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Dernières nouvelles du front Sud (Guysen).
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Les Etats-Unis et Israël redoutent les armes de destruction massive syriennes (Dreuz.info).
Michel Garroté – Les Etats-Unis et Israël redoutent que des armes de destruction massive syriennes ne finissent entre les mains du Hezbollah. Les armées américaine et jordanienne développent une stratégie visant à sécuriser les stocks présumés d’armes chimiques et biologiques du régime syrien, rapporte aujourd’hui vendredi le Wall Street Journal, citant des responsables arabes et américains proches du dossier. Selon des informations livrées par des responsables américains et jordaniens, une délégation de hauts responsables de la défense jordanienne s'est rendue au Pentagone fin février pour évoquer la menace des armes syriennes de destruction massive, ainsi que d’autres affaires sécuritaires. Damas pourrait posséder, poursuit le quotidien américain, l’un des stocks d’armes chimiques les plus importants au monde. Selon la CIA, le régime Assad aurait amassé de vastes réserves de gaz moutarde, de gaz sarin et de cyanure.
"Une quantité importante de ces composés chimiques aurait été incorporée dans des bombes et des missiles de l’armée syrienne", indique le quotidien, précisant que la Russie, la Corée du Nord, l’Egypte et l’Iran auraient assisté Damas pour le développement de ces armes. Les responsables américains estiment qu’il n’y a jusqu'à présent aucune indication quant à la volonté du régime d'utiliser cet arsenal contre l’opposition syrienne, "mais l’administration de Barack Obama s’inquiète du sort de ces armes après la chute du régime de Bachar el-Assad". Si des responsables turcs et jordaniens ont exprimé des inquiétudes quant à l'existence possible de liens entre l’opposition syrienne et el-Qaëda, les responsables américains craignent surtout que l’arsenal tombe entre les mains du Hezbollah ou d'autres groupes militants dans la région. "Ces armes seraient, potentiellement, une menace extrêmement sérieuse entre les mains du Hezbollah libanais", a déclaré l’amiral Willam McRaven, commandant des unités spéciales de l’armée américaine, à une commission du Congrès américain mercredi dernier.
"Je pense qu'il faudra un effort international quand Assad tombera – et il tombera – pour sécuriser ces armes", a-t-il ajouté. Lors de leur dernière rencontre, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président américain Barack Obama ont discuté extensivement de la question des armes syriennes de destruction massive. Selon WSJ, le gouvernement israélien redoute, lui aussi, l’utilisation par le Hezbollah de cet arsenal contre l’Etat hébreu. Ces inquiétudes ont donc poussé Washington à coopérer sur ce dossier avec Amman, qui possède des unités spéciales et un service de renseignements expérimentés. Les deux pays ont déjà, rappelle le WSJ, mené des opérations conjointes, ces dernières années, en Afghanistan et en Irak. Les forces spéciales des deux pays s'entraînent également régulièrement ensemble.
Un scénario envisagé pour sécuriser le présumé arsenal, impliquerait les unités spéciales de l’armée jordanienne, agissant dans le cadre d’une mission de la Ligue Arabe pour le maintien de la paix en Syrie. Ces forces entreraient en Syrie pour y "sécuriser une douzaine de sites, soupçonnés d'abriter des armes", note le journal, citant des sources officielles. Les responsables américains ont insisté sur le fait que Washington et Amman n'envisagent pas de raids unilatéraux en Syrie, "car la possibilité d’un conflit direct avec les forces de sécurité de Bachar el-Assad est élevée", note le WSJ. "Cependant, la localisation et la sécurisation de ces sites sera certainement un objectif central de toute mission de maintien de la paix en Syrie", poursuit le quotidien, citant les mêmes responsables américains. "Ce genre d’opérations nécessite un environnement permissif. En l'absence d'environnement permissif, il vous sera difficile d'envoyer qui que ce soit là-dedans", affirme un des hauts responsables cités par le journal.
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L’Autorité Palestinienne revendique à l’UNESCO l’Eglise de la Nativité de Bethlehem (Dreuz.info).
L’Autorité Palestinienne revendique à l’UNESCO l’Eglise de la Nativité de Bethlehem comme héritage palestinien

Eglise de la Nativité
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Prétendre que Jérusalem est dans le Coran, de Daniel Pipes (Europe Israël).
Veuillez nous excuser d’apprendre seulement [maintenant] l’existence de Jérusalem dans le Coran par Imran N. Hosein., 2e éd. abrégée (Long Island, New York: Masjid Dar-Al-Qur’an, 2003), près d’une décennie après sa publication, toutefois cela vaut la peine d’en parler, pour deux raisons principales.
D’abord, comme c’est amusant de trouver un livre de 142 pages sur un sujet qui n’existe pas, car Jérusalem n’est pas dans le Coran. J’ai même, il y a longtemps, offert de payer 1 million de dollars à quiconque pourra localiser où il est fait mention de la ville, sans vainqueur pour le moment. Comme le blog Le Sage de Sion qui a attiré mon attention, sur ce livre, le dit, «Ouah! Un livre au sujet de Jérusalem dans le Coran quand Jérusalem n’est pas dans le Coran ! » En effet, pour rendre les choses encore plus curieuses, même Hosein reconnaît (à la p. 31) que «Il est vrai que le mot « Jérusalem » n’est pas explicitement mentionné dans le Coran. » D’accord, comme ça le problème est réglé. Ailleurs, il explique (avec de légères modifications d’ordre rédactionnel visant à améliorer la lisibilité), que
Le Coran fait référence à Jérusalem, maintes et maintes fois, comme à une «cité» ou «ville» -, mais sans la nommer … Cela semble avoir été une partie de la nuée divine qui a enveloppé le sujet sur le rôle de Jérusalem dans le dernier âge.
Je laisse à Hosein le soin d’interpréter les nuages qui enveloppent les divins sujets; je m’en tiens aux textes terrestres.
Deuxièmement, Hosein explique que
Le livre Jérusalem dans le Coran a été écrit en partie en réponse à l’article de journal de Daniel Pipes qui a été publié dans le Los Angeles Times Jérusalem signifie plus pour les Juifs que pour les musulmans 21 juillet 2000). Il y a tenté de rejeter toute réclamation islamique sur Jérusalem en déclarant de Jérusalem, entre autres choses, que: « Elle n’est pas mentionnée une seule fois dans le Coran ou dans la liturgie … » Dr Pipes et ses auxiliaires des médias, qui nous ont provoqués pour que nous répondions, voudront peut-être réviser leur opinion s’ils sont un jour amenés à lire ce livre. … Peu importe si le Dr Pipes accepte ou n’accepte pas le livre Jérusalem dans le Coran, il est clair que l’étude de cette question est fondamentale pour la compréhension du problème d’Israël et de l’islam.
Eh bien, j’ai lu le laïus antisémite de Hosein et, désolé de le dire, je ne suis pas convaincu par son argumentation laborieuse que Jérusalem est vraiment dans le Coran bien qu’elle n’y soit jamais mentionnée. J’avoue ma perplexité lorsque le brave auteur affirme que le Deutéronome 9 :6* [*« Sache aujourd'hui que ce n'est pas ta juste conduite qui te vaut de recevoir de Yahvé ton Dieu cet heureux pays pour domaine ; car tu es un peuple à la nuque raide] est un faux et que le long règne musulman sur Jérusalem offre « un signe clair du ciel de l’approbation divine de la domination musulmane sur la Terre Sainte! » Comment ceci peut-il prouver que Jérusalem est bel et bien dans le Coran?
Hosain s’égare pour aller discuter de ce qui s’écarte du sujet comme la mort d’un pharaon, l’Antéchrist, les Khazars, la presse Soncino [presse à caractères hébraïques], les Ahmadiyya, le déclenchement de la Première Guerre mondiale, le système financier de Bretton Wood, la justice israélienne, et la révolution féministe. En outre, Henry Ford, Fidel Castro, Hal Lindsey, et Louis Farrakhan tous se dandinent dans son compte-rendu .
Commentaire: Cette diatribe de mauvaise qualité est malheureusement typique de la tentative musulmane de construire une fausse histoire de Jérusalem. Comment peut-on prendre cela au sérieux ?
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Plus de 80 roquettes tirées sur le sud d'Israël dans la nuit (Europe Israel).
Depuis la liquidation de Zouhir El-Kaissy, les tirs de roquettes ne se sont pas arrêtés sur le sud d’Israël. Jusqu’a maintenant 4 israéliens ont été blessés, dont un sérieusement. Le chef d’état major a fait une estimation de la situation et a déclaré : « nous répondrons avec détermination à chaque tir ». Le pikoud haoref a ordonné d’ouvrir tous les abris anti-bombes : « il faut agir selon les consignes qui ont déjà prouvé qu’elles sauvaient des vies ».
Une roquette interceptée par « kippat barzel » le dôme anti-missile
Depuis la liquidation du secrétaire général du comité de résistance populaire, Zouhir El-Kaissy, il a été tiré sur Israël plus de 80 roquettes et obus de mortier. Les tirs ont continué de longues heures et une legère accalmie est apparue au milieu de la nuit. Ce matin deux tirs supplémentaires ont eu lieu, et une roquette a explosé au sud de Beer-Sheva. Jusqu’a maintenant 4 israéliens habitant le conseil régional d’Eshkol ont été blessés, dont un sérieusement et un moyennement. Les palestiniens rapportent 12 morts dans leurs rangs.
Le commandant du pikoud haoref de la région sud, le général Doron Mor Yossef, a précisé « les consignes du pikoud ont prouvé qu’elles sauvaient des vies. Il faut les respecter et quand il y a une alerte ou une explosion il faut se rendre aux abris. Il faut se souvenir que même pour ceux qui sont protégés par « kippat barzel » le dôme anti-missile, les consignes restent inchangées »
D’après lui, « nous avons décidé, en accord avec les autorités locales, d’ouvrir tous les abris publics dans les endroits sans construction ». Il a aussi été décidé de fermer la route 12 a la circulation des civils.
Le maire de la ville de Beer-Sheva, Roubik Danilovitch, s’est exprimé sur les consignes du pikoud haoref et a appelé la population de sa ville à « continuer de se comporter avec responsabilité et selon les consignes. Même si kippat barzel fait un bon travail, on n’est pas a 100% de reussite. Il faut rester dans les abris plusieurs minutes après les alertes car il peut y avoir plusieurs tirs ».
Tsahal a attaqué cette nuit plusieurs cibles dans la bande de Gaza appartenant à des organisations terroristes. Le porte parole de Tsahal a rapporté que les appareils de l’armée de l’air ont attaqué six objectifs : 2 sites de fabrication d’armes, 2 sites de lancement de roquettes, 1 site de fabrication d’armes dans le centre de la bande de Gaza, et 1 centre de coordination dans le sud.
Pendant la nuit il a été rapporté que Tsahal a touché deux commandos qui s’apprêtaient à tirer des roquettes sur Israël, un dans la ville de Gaza, et un autre à l’est de la ville. Plus tard l’aviation a attaqué et tué 2 terroristes appartenant au Djihad islamique dans la ville de Beit Liha et en ont blessé 4 autres qui étaient à côté d’entrepots à Gaza.
Traduit de l’hébreu par David Goldstein pour Haabir-haisraeli
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