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« Nous avons aujourd’hui besoin d’un sionisme pour les nations européennes » Geert Wilders

Europe Israël

Galvaudé par les propagandistes -islamo-nazis, le mot sionisme n’en perd pour autant pas sa définition réelle. Le mot Sionisme veut dire en substance: « Une terre pour un peuple ».
Le député Geert Widlers déclare que l’Europe a besoin d’être constituée d’Etats-nations et non d’une nomenclatura bureaucratique toute puissante, réduisant  les élus du peuple à la simple fonction de gestionnaire comptable du pays.

Il est clair qu’en Israël, c’est bien le gouvernement qui choisit la direction à prendre, même si tout n’est pas si simple en démocratie juive.

A Los Angeles, ce dimanche Geert Wilders déclare « les européens ont besoin de suivre l’exemple du peuple juif et de rétablir leur État-nation » pour contrer l’islamisation croissante de leurs pays.

« Mes amis, ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un sionisme pour les nations européenne, »  a déclaré Geert Wilders, fondateur et chef du Parti pour la liberté aux Pays-Bas au « Last Stand de l’Europe? » Conférence, organisée par l’Alliance Américaine des libertés.

Wilders décrit que les centres-villes d’Europe « finissent par ressembler à l’Afrique du Nord et au Moyen-Orient », parce que ces populations adeptes des lois de la Charia islamisent le pays. Wilders rappelle notamment  que la banlieue de Bruxelles, capitale Européenne, est largement islamisée.

« L’Europe est dans un état terrible, » a déclaré Wilders. « Peu à peu, les pays européens sont en train de perdre leur souveraineté nationale. »

Journo Elan, chercheur et directeur de recherche sur les politiques à l’Institut d’Ayn Rand à Irvine, en Californie, propose l’analyse suivante:
L’Europe est le modèle appliqué du vrai communisme et du socialisme. « Le féodalisme puis la Révolution française ont conduit de nombreux Européens à intégrer une mentalitécollectiviste qui ressemble étroitement à l’idéologie islamiste et ce n’est pas un hasard si ils travaillent aujourd’hui main dans la main. Cette mentalité collectiviste a également stimulé l’antisémitisme, déclare Journo.

« Lorsque vous importez à l’intérieur de vos frontières une idéologie comme l’islam militant, laquelle en vertu de sa croyance religieuse divise le monde en deux groupes les croyants d’un coté et les incroyants de l’autre, il ne faut alors pas s’étonner des conséquences désastreuses que cela engendre», dit Journo.

 

Source: http://www.jns.org/

 

Egypte : une jeune fille de 13 ans est morte après avoir été excisée par un médecin

Europe Israël.
La barbarie contre les femmes en œuvre :

En novembre dernier, le Dr Mohamed Kandil, professeur d’obstétrique et de gynécologie à la Faculté de médecine de l’Université Menofyia en Égypte, publiait le résultat de ses recherches sur l’excision. Il concluait qu’il n’y a aucune preuve de la nocivité de l’excision pour les femmes.

L’excision est nocive en soi. Elle peut aussi être mortelle. La preuve : Suhair al-Bata, 13 ans, morte après avoir été excisée :

Une Égyptienne de 13 ans est morte après avoir été excisée dans un village privé du gouvernorat du Dakalieh au nord-est du Caire, ont rapporté des médias égyptiens dimanche.

«Nous avons laissé notre fille entre les mains du médecin et de l’infirmière. Quinze minutes plus tard, l’infirmière a sorti notre fille de la salle d’opération et l’a installée dans une pièce voisine avec trois autres filles que le médecin avait excisées, a dit Mohammed Ibrahim, un fermier, au journal al-Masry al-Youm. J’ai attendu une demi-heure, espérant que ma fille se réveille, mais hélas, contrairement aux autres filles, elle ne s’est pas réveillée», a-t-il dit.

Le médecin qui a excisé Suhair al-Bata’a avait excisé sa sœur aînée il y a deux ans. «Tout ce que je veux, c’est que le médecin rende des comptes et obtenir justice pour ma fille», a déclaré la mère de la victime, Hasanat Naeem Fawzy, au journal.

La police a convoqué le médecin et ordonné une autopsie pour déterminer la cause de la mort de la jeune fille. Selon le rapport d’un inspecteur de la santé, la mort a été causée par «une chute brutale de la pression artérielle due à un choc traumatique», a déclaré l’avocat de la famille, Abdel Salam, au Masry al-Youm.

Le Conseil national des femmes d’Égypte a condamné cette excision mortelle qualifiée d’acte criminel reflétant une «barbarie extrême», et appelé le gouvernement à enquêter sur l’incident et à punir les coupables. L’UNICEF-Égypte a également condamné l’incident, affirmant que l’excision n’a aucune justification médicale ou religieuse.

En 1996, l’Egypte a criminalisé l’excision, mais de nombreuses familles continuent de faire exciser leurs filles illégalement. En 2009, les autorités égyptiennes ont arrêté un homme pour la première fois depuis l’interdiction de l’excision. Il avait enfreint la loi en excisant une jeune fille de onze ans dans le gouvernorat de Minya, à 600 kilomètres au sud du Caire.

Source : Poste de veille

 

Enquête sur l’affaire Teva: et s’il n’y avait pas « d’affaire Teva » ? (JSSNews).

Hier, JSSNews publiait une longue enquête concernant ce que les médias français nomment« l’affaire Teva ». Nous révélions ainsi qu’il pourrait s’agir d’un acte de malveillance.

Ce mercredi, JSSNews a pu obtenir de nouvelles informations qui viennent confirmer, en quelque sorte, nos écrits d’hier.

Alors que mardi midi, « Teva n’avait toujours pas pu avoir entre les mains ne serait-ce qu’une seule des boites mises en cause », il se trouve que mercredi, soit plus de 3 jours après l’ouverture de l’enquête, toujours aucune erreur n’a pu être identifiée.

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« Je confirme que ni l’Agence Française du Médicament, ni la police, si les experts judiciaires qui ouvrent des milliers de boites par jour pour vérifier si une erreur a pu être commise, absolument personne n’a trouvé la moindre boite suspecte, la moindre erreur d’emballage » explique un responsable de Teva. « A ce jour il n’y a absolument aucun élément qui permet de dire qu’il y a le moindre problème avec le Furosémide. »

Selon une source très bien renseignée au sein du Ministère français de la santé: « l’Agence de sécurité du Médicament a rendu un premier rapport ce matin expliquant qu’aucun problème n’a été identifié sur les chaînes de productions des usines Teva. » Et notre source confirme que : « l’affaire Teva n’est peut-être qu’une non-affaire Teva. »

Impossible de savoir vraiment ce que signifie cette dernière remarque mais selon les dires de plusieurs personnes proches de l’enquête, « une personne de 91 ans et une autre de 101 qui meurent, c’est « normal. » Ce n’est pas comme si il s’agissait de personnes de 35 ou 50 ans. On attends toujours les résultats de l’autopsie mais il est probable que Teva n’ait absolument rien à se reprocher. »

Et d’ajouter: « 30.000 personnes meurent tous les ans en France d’une infection attrapée dans un hôpital. Un rien peu causer un changement dans l’état de santé un patient âgé de plus de 90 ans. Reste maintenant à la justice à comprendre comment a été lancée l’alerte, et avec quelles informations. »

« Nous allons ouvrir 100% des boites retirées du marché, ouvrir tous les emballages et vérifier, une à une, chaque pilule. Nous allons faire de travail de la même manière que nous le faisons aujourd’hui, avec la supervision d’experts judiciaires et pharmaceutiques indépendants. Nous irons au bout de toutes les boites et nous prenons cette affaire très au sérieux. Si nous sommes responsable de quoi que ce soit, alors on le dira. Mais dans le cas échéant, il faudra aussi que les médias le disent… » ajoute un responsable de Teva.

Avec Yonatan Aboulkeir et Isa Berda – JSSNews 

Articles liés

 

Le chef du Mossad, Tamir Pardo, en visite (secrète) en Turquie… (JSSNews)

Le journal Hurriyet (Turquie) affirme ce matin que le Memouneh (chef du Mossad) se serait rendu lundi en Turquie pour rencontrer le numéro deux de l’agence truc du renseignement, Hakan Fidan, pour discuter avec lui des développements géostratégiques sur la Syrie et l’Iran.

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Selon l’article, Pardo a demandé un rendez-vous avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan. Erdogan, cependant, n’a pas répondu à cette demande. Il faut dire que l’islamiste au pouvoir s’attèle à tenter de calmer la crise actuelle, qui a déjà fait au moins 3 morts et plus de 5.000 blessés.

« Il semble qu’Israël et la Turquie viennent de partager des informations importantes et sensibles sur l’Iran, le nucléaire iranien, et sur la Syrie et le Hezbollah » affirme à JSSNews un expert militaire israélien. » Et le journal turc abonde aussi dans ce sens: « ils auraient échangé un certain nombre de renseignements. »

« Israël a probablement apporté des preuves, s’il en fallait, que l’Iran finance ceux qui se battent, depuis la Syrie, contre la Turquie » explique notre source.

Par Arnaud Darmon – JSSNews 

 

Enquête sur l'affaire Teva : la piste du sabotage anti-israélien prend du sérieux (JSSNews)

« Teva, le géant pharmaceutique israélien dans la tourmente. Le numéro un mondial du médicament générique serait responsable de la mort d’au moins une personne. Agée de 91 ans, il prenait un diurétique, du Furosémide 40 mg mais il semble que suite à un problème de conditionnement, le patient ingurgitait en réalité des somnifères. »

L’information passe en boucle sur tous les JT des chaînes d’information. Sans parler du ticker, le bandeau déroulant en bas de l’écran. Sur BFM TV, il est carrément en rouge.

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Et quand on parlait, lundi soir, d’un deuxième mort suspect (cette fois âgé de 101 ans), on ne pouvait qu’imaginer l’excitation de certains.

Pour en savoir plus, les équipes de JSSNews se sont mobilisées, en Israël comme en France, pour tenter de comprendre. Qui a pu commettre une telle erreur. Enquête.

« Il n’y a qu’un message à faire passer », nous explique Marisol Tourraine, la Ministre française de la Santé : « tous les patients qui ont chez eux une boite de ce médicament doivent la rapporter chez leur pharmacien. Mais rassurons la plupart des patients: le problème ne concernerait que quelques dizaines de boites. »

Cette dernière affirmation a deux aspects.

D’une part, soulagement de savoir que peu de gens sont concernées et courent un risque en raison de ce problème d’emballage. Mais d’un autre côté, il y a de quoi être stupéfait. Comment quelques dizaines de boîtes d’un médicament fabriqué industriellement par dizaines de milliers de gélules et de boîtes, peut-il se retrouver mal emballé.

Réponse : ou bien la ministre tente de calmer la crise, ou bien…

…Ou bien il pourrait s’agir d’une malveillance …

« Laissez-moi vous expliquer comment fonctionne une chaîne de production de médicaments. Nous fabriquons et emballons toute une série de médicament pendant plusieurs semaines, puis nous nettoyons tout le laboratoire et, quelques jours plus tard, nous commençons la production d’un autre médicament », explique un responsable de la société à JSSNews, qui ajoute que « s’il y avait eu une erreur sur la chaîne d’emballage, elle serait sur toute la production et non pas sur quelques boites. Nous menons actuellement l’enquête avec l’agence de sécurité des médicaments en France, mais il semble bien qu’il ne s’agisse que de dizaines boites. Dans ce cas de figure, ce serait bien un sabotage humain. Il faut être clair : mettre de côté quelques dizaines de plaquettes de somnifères est possible, mais plusieurs milliers, ce serait impossible ! »

Un responsable de la police confirme, de manière anonyme : « pour l’heure, toutes les pistes sont ouvertes mais en effet, il pourrait s’agir de l’action d’une ou deux personnes à l’intérieur même de la société ».

Voilà qui fait froid dans le dos.

Plus étrange encore : mardi midi, Teva n’avait toujours pas pu avoir entre les mains ne serait-ce qu’une seule des boites mises en cause.

« La police n’en a pour l’instant pas trouvé. Nous non plus. Et pour le cas des personnes décédées, nous attendons les résultats des autopsies. Car si tout est déjà médiatisé, personne n’a vraiment d’information sur les causes réelles du décès et l’implication de cette défaillance médicamenteuse. »

Retour en Israël, avec un autre responsable de Teva.

« Nous sommes partout sur la planète [NDLR: Teva est le numéro un mondial de la fabrication de médicaments génériques], mais Teva France est le seul endroit où cela est arrivé. C’est quand même étrange quand on sait que c’est le seul pays où nos employés reçoivent des lettres de menaces s’ils continuent à travailler avec nous. »

Quand on lui demande s’il ne s’agit pas là de paranoïa, le responsable ajoute : « Non. Nous acceptons nos erreurs et n’avons jamais crié à l’antisémitisme ou à l’anti-sionisme. Chez Teva, nous sommes très sérieux et sommes reconnus à travers le monde pour cela. Mais il faut admettre qu’un sabotage parce que nous sommes une société israélienne est tout à fait possible. Et je ne pense pas qu’il s’agisse d’un sabotage organisé par un concurrent. »

Depuis 48 heures, les équipes du laboratoire Teva de Sens tentent de trouver la faille dans la chaîne de production du Furosémide. Le président du laboratoire, Erick Roche, n’exclut lui aussi aucune piste, car « aucune erreur industrielle n’a été relevée« .

Et le président de Teva France se veut rassurant. « Les appels que nous recevons des patients démontrent qu’un certain nombre d’entre eux ont des difficultés à identifier les numéros des lots », a-t-il expliqué. « Par précaution, nous étendons donc le rappel à l’ensemble des lots », a-t-il ajouté.

Les diurétiques sont prescrits dans des cas d’hypertension artérielle et d’oedèmes d’origine cardiaque, rénale ou hépatique, l’arrêt brutal du traitement présentant des risques avérés.

« Laissons faire les enquêteurs », conclut un responsable de Teva en Israël. « Mais nous prenons dores et déjà des mesures de sécurité supplémentaires sur les chaînes de production [NDLR françaises]« 

Quand au Ministère israélien de la Santé, il a expliqué à JSSNews que « l’acte de malveillance semble être la cause de ces mauvais conditionnements. Si c’est le cas, nous avons confiance en la justice française pour déterminer s’il s’agit d’une personne infiltrée, d’une sorte de « loup solitaire » qui voudrait nuire à l’industrie pharmaceutique israélienne, ou si, et il ne faut rien écarter, il ne s’agit pas du début d’une nouvelle ère de terrorisme médicamenteux ».

Un député israélien du Likoud va dans le même sens : « des groupes terroristes comme le Hezbollah sont capables de bien des choses et ont des agents partout. Ne tombons pas dans le conspirationisme mais gardons les yeux bien ouverts ! »

Sur la toile, de nombreux groupes anti-israéliens se font déjà une joie de cette campagne de dénigrement contre l’un des piliers de l’économie israélienne. Une telle action serait une première dans l’histoire de la lutte anti-israélienne et, que ce soit BDS, un groupe similaire, ou une organisation terroriste, il est tout a fait possible d’imaginer qu’ils aient recruté quelqu’un au sein même de l’entreprise, ou qu’ils se soient eux-même fait recruter.

Pour l’heure, la justice et les spécialistes enquêtent…

Par Greg Sulin – Eric Petrosino et Elyes Kahn – JSSNews

 

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