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Kassim Hafeez : Je suis sioniste, musulman, fier de l'être et de défendre Israël (Israël Flash).

kassim

Kassim Hafeez, 28 ans, est un britannique musulman issu d’une famille d’origine pakistanaise. Il est sioniste et fier de se tenir aux cotes d’Israël.

Kol Ha Kavod !

Il dirige et écrit sur le site Internet « Israel campaign ». C’est a ce titre qu’il a été nommé par le conseil consultatif à l’agence britannique de l’organisation « StandWithUs » qui diffuse des messages pro-israeliens et lutte contre l’antisémitisme.

« J’ai grandi dans une famille ou mon père faisait les louanges d’Hitler et ou j’ai vécu un lavage de cerveau grâce aux discours de Nasrallah et Ben Laden. Apres la lecture du livre d’Alan Dershowitz, « Plaidoyer pour Israel », j’ai eu une crise de conscience et je suis venu en Israel pour une visite qui a change ma vie.

Je suis sioniste, musulman, fier d’être sioniste, et j’aime Israel, mais ça n’a pas toujours été le cas. En fait, pendant de longues années j’ai été tout le contraire de ça. J’ai participe aux actions antisémites et antisionistes qui sont organisées sur les campus britanniques, parce que j’étais moi-même un militant antisémite et anti-Israël.

J’ai grandi au sein d’une communauté musulmane britannique, j’ai été en contact avec les thèses et les gens qui, dans le meilleur des cas, dénoncent Israel et présentent les juifs comme des voleurs et des assassins, et qui, dans le pire des cas, appellent a la l’élimination complète de « l’entité sioniste » et de tous les juifs. En résume, dans cette communauté il n’y a aucune place pour l’Etat juif dans le Proche-Orient.

La haine qui se déverse en permanence a une influence énorme sur les gens qui grandissent dans ce milieu. Le plus effrayant est que ces gens la ne sont pas spécialement extrémistes ou radicaux, mais quand il s’agit d’Israel on entend de leurs bouches sortir la rhétorique  la plus extrême, mélange a de l’antisémite latent très vif. Par exemple, l’expression « arrêtes d’être juif » sert pour vexer.

En plus de cela, mon père n’avait aucune honte a faire les louanges d’Adolf Hitler, de dire qu’il était un héros dont le seul échec était de ne pas avoir tuer assez de juifs. A l’age de 18 ans, j’avais déjà le cerveau complètement lave par l’islam radical, et ma haine d’Israel et des juifs était entretenue par des images de destructions et de morts sur fond de musique arabe parlant de djihad, et par les discours du dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, ou d’Ossama Ben Laden. Ces idées étaient renforcées par mes participations au « jour de la nakba », là-bas les discours parlaient de la fin d’Israel pendant que les drapeaux du Hezbollah flottaient fièrement dans le centre de Londres.

Est ce qu’Israel avait une excuse ? Bien sur que non, pour moi la réponse était négative. Je n’avais pas l’ombre d’un doute, et même les religieux refusaient de condamner les attaques terroristes contre Israel. Bien sur que c’est bien fait pour eux, les israéliens, c’est ce que je croyais. Alors qu’est ce qui a change ? Comment tant de haine s’est transformée en amour et en affection pour Israel et le peuple juif ?

 

Je me suis retrouve un jour dans le rayon Israel-Palestine d’une librairie locale et je me suis arrête sur le livre d’Alan Dershowitz, « Plaidoyer pour Israel ». D’après ma perception du monde, les juifs et les américains maîtrisaient les médias, et après avoir lu le résume du livre, j’ai souri au vue de la propagande sioniste. Malgré tout, j’ai décide d’acheter le livre avec le sentiment que je pourrais bientôt démonter la propagande sioniste et prouver qu’Israel n’avait pas de sens, et ainsi montrer mes trouvailles en guise de victoire pour le peuple palestinien. Alors que je lisais les arguments de Dershowitz, et qu’il démontait tous les mensonges auxquels je croyais, je me suis retrouve a tenter de chercher des contre arguments. Mais tout ce que j’ai trouve c’était de la rhétorique vide, celle la même a laquelle j’ai cru pendant des années.

J’ai décide de voir moi même Israel

J’ai vécu une vraie crise de conscience, et j’ai commence des recherches impartiales. Jusqu’alors je n’avais jamais rien trouve qui soit un tant soit peu positive pour Israel. A ce moment la je ne savais plus quoi penser. J’ai tellement cru aveuglement les autres, mais soudain je me suis retrouve a me demander si je n’avais pas tort.

Je suis arrive a la situation ou j’ai senti que je devais voir Israel par moi même. Je savais que je ne découvrirais la vérité que comme ça. Malgré que cela ait l’air d’un vrai cliche, cette visite a change ma vie. Je n’ai pas découvert un pays d’apartheid ou de racisme, mais tout le contraire. Je me suis retrouve face a des synagogues, des mosquées, et des églises, face a des juifs et des arabes qui vivent ensembles, et des minorités qui ont un rôle important dans tous les domaines de  la vie en Israel, de l’armée jusqu’a l’appareil judiciaire. Ce fut une expérience extraordinaire qui m’a ouvert les yeux. Ce n’était pas l’Israel sioniste et méchante dont on m’avait parle.

Après une interrogation interne profonde, j’ai su que tout ce que je croyais avant était faux. Je me suis vraiment trompe, et j’ai bien du le reconnaître. En plus, j’ai du faire face a une autre question importante : et je fais quoi maintenant ? Pendant des années j’ai lutte contre Israel, mais maintenant je connaissais la vérité. Maintenant le choix était clair : je devais me tenir aux cotes d’Israel, ce petit pays, libre et démocratique qui fait des pas de géant dans les domaines de la science et de la médecine, et qui pour autant est la victime des mensonges et de la haine qui avaient pratiquement pris le contrôle de mon âme.

La décision que j’ai prise n’était pas simple. J’ai fait face à l’hostilité de ma communauté et de certains éléments de la communauté juive britannique, mais c’est la réalité de quelqu’un qui soutient Israel en Europe. Ce n’est pas simple, mais c’est justement ce qui le rend impératif. Il ne s’agit pas de religion ou de politique, mais de vérité.

La vérité n’est pas entendue au sujet d’Israel, alors que les rangs de la haine aveugle n’en finissent pas de se remplir. Nombre de ceux qui détestent Israel sont loin de la réalité, mais remplis de rhétorique vide et des slogans politiques qu’ils aiment tant.

Nous pouvons changer les choses, mais nous devons être forts et unis. Israel n’est pas que le problème des juifs. Il s’agit de liberté, de droits de l’homme, de démocratie, et de tous ce qui composent les pays occidentaux. Il s’agit d’une tentative d’être une lumière pour les nations. Les actions humanitaires internationales d’Israel parlent d’elles mêmes, mais si nous ne diffusons pas ce message, personne ne le fera.

Nous ne devons pas baisser la tête en s’excusant et dire que « Israel n’est pas parfaite ». Il ne faut pas avoir peur de dire : je suis sioniste, je suis fier, et je soutiens Israel. Est ce que vous ferez ça ?  »  (1)

 

Remarque du Collectif Arabes pour israel

De temps à autre une voix musulmane s’élève pour défendre Israël.  Votre soutien nous réchauffe le cœur monsieur Kassim Hafeez, mais peu de musulmans réagissent comme vous. Ces derniers sont sensibles à la propagande et à la campagne de désinformation bien orchestrée et relayée par les médias arabes  qui, sans état d’âme, se font les porte- paroles des pires barbares. Pour certains musulmans, trop heureux d’enfourcher ce cheval de bataille qui les exonère de toute remise en question quant à leur comportement aussi partisan et antijuif.



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/04/kassim-hafeez-%c2%ab-je-suis-sioniste-musulman-fier-de-l%e2%80%99etre-et-je-soutiens-israel-%c2%bb/#ixzz1tVdOX5G3

 

Egypte : le Parlement veut légaliser le mariage des mineures et la nécrophilie (Israël Flash).

Imam saoudien

Alors on avait le vol (la razzia), le mensonge, la lapidation, les membre coupés, la décapitation, l’esclavage, ceux qui se font enterrés vivants, la pédophilie, la zoophilie, la nécrophilie aujourd’hui …What next ?! De quoi être islamophobe non ? 

 

Image à la Une – le pervers pédophile

Arabie saoudite : « les filles sont mûres pour le mariage à 10 ans » (Grand Mufti)

Le Grand Mufti a fait parler de lui récemment pour sa fatwa appelant à la destruction de toutes les églises de la péninsule arabique.  Il est la plus haute autorité « morale » de l’islam wahhabite.

Le Grand Mufti d’Arabie saoudite a exprimé son soutien au mariage des filles mineures  dans le royaume, condamnant ceux qui cherchent à élever l’âge légal du mariage.

Une jeune fille est prête à se marier à 10 ou 12 ans a déclaré Abdul-Aziz Al-Cheikh selon le journal basé à Londres Al Hayat, ajoutant que la loi islamique n’est nullement répressive pour les femmes. “Ceux qui appellent à élever l’âge du mariage à 25 ans sont dans l’erreur absolue” a dit  le Mufti dans une conférence à l’Université Islamique de l’Imam Mohamed Ben Saoud à Riyad. Il a ajouté: “Nos mères et nos grands-mères se sont mariées quand elles avaient à peine 12 ans. Avec une bonne éducation une fille est prête à remplir toutes les tâches conjugales à cet âge.”

Cette déclaration du Grand Mufti arrive suite à des discussions au ministère de la Justice pour fixer un âge minimum pour le mariage. Le Royaume conservateur est confronté à une forte pression internationale pour élever l’âge minimum du mariage, suite aux critiques sur des affaires de fillettes forcées à se marier avec des hommes plus âgés. En 2010, par exemple, la Commission saoudienne des droits, un groupe affilié au gouvernement, avait engagé un avocat pour aider  une fille de 12 ans à divorcer de son mari âgé de 80 ans.

Source : Girls ready for marriage at 12 – Saudi Grand Mufti, Arabian Business, 24 avril 2012. Traduction par Bivouac-id

Rapport sexuel avec sa femme morte depuis moins de 6 heures; le Parlement égyptien en débat

Le très sérieux quotidien nationaliste turc Hürriyet (« Liberté » en turc),  qui cite un éditorialiste d’Al-Ahram,  nous fait part d’un projet de Loi qui sera bientôt débattu au parlement égyptien.  La question est de savoir si un mari aura ou non le droit d’avoir une relation sexuelle avec sa femme décédée, jusqu’aux  six heures qui suivent le décès. Il s’agirait nous explique t-on d’une sorte de  « Farewell Intercourse », un adieu aux armes ou plus exactement un adieu au sexe. Touchant comme attention !

On en parle beaucoup à la télévision égyptienne; remarquez,  il y a de quoi. Rappelons que le nouveau parlement égyptien comporte une écrasante majorité d’Islamistes purs et durs ; le projet de Loi, s’il est maintenu ,pourrait donc de passer.

La nécrophilie institutionnalisée par le parlement égyptien risque donc de créer une jurisprudence dans quelques pays arabes, et ailleurs. Cela dit, si la question est venue sur le tapis, c’est que cette pratique est déjà répandue.

N’étant pas trop au fait de la progression de la rigidité cadavérique, j’ai du chercher de l’information et, suis arrivé à la conclusion, qu’effectivement il était particulièrement risqué – pour l’homme – de dépasser le délai fatidique de 6 heures après le décès.

Il faudrait peut être en informer Monsieur Tariq Ramadan, qui, malgré sa vaste érudition des choses de l’Islam, ne peut pas tout connaitre.

Par Aryeh

 

La recherche effectuée par Poste de Veille (source) permet d’affirmer que les relations sexuelles d’un homme avec le cadavre d’une femme sont légales dans l’islam. Les références suivantes (en langue arabe) viennent en appui à cette affirmation:

L’ouvrage intitulé « Radd el mouhtar dans la jurisprudence d’Abou Hanifa » (le chef de l’école hanafite, l’une des quatre écoles juridiques) par Ibn Abideen, volume 1 page 166, citation du passage: « le coït avec une bête ou avec une femme morte n’invalide pas la prière ».

L’ouvrage intitulé « Badaï el sanaeï » par El Sassany, volume 7 page 34, citation du passage: « le coït avec le cadavre d’une femme est permis, aucun châtiment n’est prévu dans ce cas, il en est de même pour le coït avec une bête. »

L’ouvrage intitulé « Qawateh el adella » par Ibn abd el Gabbar el Samaany, volume 2 page 111, citation du passage: Le coït avec le cadavre d’une femme ou avec une bête est halal »

Il n’existe aucune référence dans la charia qui interdit la nécrophilie. La récente fatwa d’un juriste islamique au Maroc permettant le coït avec l’épouse décédée est donc fondée en droit. Par conséquent les lois qui interdisent et punissent la nécrophilie et la bestialité dans les pays islamiques sont contraires à la charia et pourraient être abolies.

Le Conseil national des femmes d’Égypte (CNF) a appelé le Parlement dominé par les islamistes à ne pas approuver deux lois controversées, l’une rabaissant l’âge minimum du mariage et l’autre permettant au mari d’avoir des relations sexuelles avec sa défunte épouse dans les six heures suivant son décès, rapporte un journal égyptien.

L’appel lancé par le Dr. Mervat al-Talawi, présidente du CNF, au Dr. Saad al-Katatni, président de l’Assemblée du peuple égyptien, évoque les malheurs des femmes égyptiennes, surtout après le soulèvement populaire qui a renversé le président Hosni Moubarak en février 2011.

Elle a mentionné deux projets de loi : l’un qui légaliserait le mariage des filles à partir de 14 ans et l’autre qui permettrait au mari d’avoir des relations sexuelles avec sa défunte épouse dans les six heures suivant son décès. … « Dans son message, Talawi souligne que le fait de marginaliser les femmes et de réduire leurs droits dans les futurs plans de développement aurait indéniablement un effet négatif sur le développement humain du pays, pour la simple raison que les femmes représentent la moitié de la population », écrit Abdul Samea dans son article.

La controverse concernant les rapports sexuels du mari avec le cadavre de sa femme remonte à la déclaration d’un imam marocain en mai 2011 : Zamzami Abdul Bari a affirmé que le mariage reste valide même après la mort, précisant néanmoins que la femme aussi avait le droit d’avoir des relations sexuelles avec le cadavre de son mari.

De nombreux députés du nouveau parlement à majorité islamiste ont été accusés de s’en prendre aux droits des femmes dans le pays. … Ils souhaitent annuler un grand nombre, sinon la plupart des lois qui favorisent les droits des femmes, notamment la loi qui permet à l’épouse d’obtenir un divorce sans obstruction de son mari.

Source : Egypt’s women urge MPs not to pass early marriage, sex-after-death laws: report, Alarabiya, 26 avril 2012. Extrait traduit par postedeveille



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/04/egypte-le-parlement-veut-legaliser-le-mariage-des-mineures-et-la-necrophilie/#ixzz1tVc6Oqza

 

Un point de vue à prendre en compte (même si nous ne faisons pas de politique à Etzbetzion).

La bataille de France – Par Emmanuel Navon

Navon

 Malgré tout ! Sarkozy….

Voici ce que nous dit le Professeur Navon,…

Par Emmanuel Navon

Professeur de Relations Internationales à l’Université de Tel-Aviv est candidat du Likoud pour les prochaines législatives israéliennes.

Le premier tour de l’élection présidentielle en France m’a rappelé mon passé: Nicolas Sarkozy était le maire de la commune où je vivais; Nicolas Dupont-Aignan (le candidat gaulliste) et Pierre Moscovici (le directeur de campagne de François Hollande) furent mes maîtres de conférence à Sciences-Po.

Mais ces candidats ne me manquent pas et je m’estime heureux de ne plus vivre en France (et pas seulement parce que les cours de Dupont-Aignan et de Moscovici étaient à mourir d’ennui).

Car si Sarkozy est battu au second tour (comme les sondages le prévoient), la France ira à la faillite et l’Euro ne survivra sans doute pas.  Bien que j’ai été déçu par Sarkozy, et bien que j’ai perdu toute patience pour son style erratique, je le soutiens.

J’ai fermement critiqué Sarkozy après qu’il ait insulté mon Premier Ministre en novembre 2011 (« Sarkozy, c’est fini, en fin d’article- » 9 novembre 2011).

Dans mon article, je raillais la politique étrangère de Sarkozy, je désavouais son attitude à l’égard d’Israël, et je lamentais l’écart entre ses demi-réformes économiques et la « rupture » qu’il avait promise avant son élection.

Je concluais ainsi: « Sarkozy a perdu le vote juif et sa défaite probable aux élections présidentielles sera bien méritée.  Sarkozy, c’est fini. »

Je souscris à chaque mot: Sarkozy ne mérite pas d’être réélu et je ne saurais m’en désoler au vu de son attitude à l’égard d’Israël ces deux dernières années.

Et pourtant, comparé à Hollande, Sarkozy est un moindre mal.  J’en appelle donc à voter pour lui.

L’économie française est sur le point de partager le sort de celui de ses voisins du sud du fait de sa croissance faible, de sa dette insoutenable, et des inquiétudes justifiées des marchés financiers.

L’État français est le plus grand dépensier de l’OCDE: ses dépenses représentent 56% de son PIB, tandis que la moyenne des pays de l’OCDE est de 43%.

Comme ses voisins européens, la France a bâti un État providence généreux après la Seconde Guerre mondiale.  Mais la crise économique des années 1970 a fortement diminué la croissance et les revenus fiscaux qui finançaient  l’État providence européen.  Et la démographie européenne (augmentation de la durée de vie et diminution du taux de natalité) réduit inévitablement le nombre de contribuables tout en augmentant le nombre de retraités.  Ajoutez à cela la globalisation, qui permet aux capitaux et aux sociétés de migrer librement vers des pays plus accueillant fiscalement, et vous comprenez pourquoi le gouvernement français ne parvient pas à joindre les deux bouts et a besoin d’emprunter pour assurer ses dépenses.

Contrairement à ses voisins nordiques, la France n’a jamais adapté ses dépenses à sa démographie et à la globalisation.  Les réformes réussies de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne (dans les années 1980) et de Gerhard Schröder en Allemagne (dans les années 1990) n’ont jamais eu lieu et n’auront sans doute jamais lieu en France: les Français pensent dans leur majorité (comme l’indiquent systématiquement les sondages d’opinion) que le capitalisme est injuste, et ils semblent croire que les lois de l’économie ne s’appliquent pas à l’État.

Tandis qu’en Grande-Bretagne, en Irlande, au Portugal et en Espagne les électeurs ont choisi ces deux dernières années des partis et des dirigeants qui ont promis des réformes économiques douloureuses, les Français ont plébiscité le 22 avril dernier des candidats qui accusent la globalisation et les marchés financiers des problèmes économiques de la France, et qui n’ont promis aucune des réformes dont l’économie française a tant besoin.

Le fait que la France refuse de regarder la réalité économique en face a des conséquences.  La dette publique de la France constitue 90% de son PIB (un chiffre qui ne fait qu’augmenter et qui atteindra 100% en 2015 selon la Cour des Comptes).   Le budget de l’État est déficitaire depuis 1974.  La France a le plus grand déficit des comptes courants de la zone Euro en termes nominaux.  Les banques françaises sont sous-capitalisées.  La France souffre d’un taux de chômage structurel (10% contre 5,8% en Allemagne) entre autres parce que coût de l’emploi en France est trop élevé (un employeur français paie deux fois plus de charges sociales qu’un employeur allemand).

Jusqu’à la crise financière de 2008, la France pouvait vivre à crédit parce que, après tout, l’économie française a de nombreux atouts.  Mais les prêteurs, aujourd’hui, sont rares et exigeants, et donc la France pourrait bien partager le sort de la Grèce.

La France doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard, et les candidats à la Présidence doivent dirent la vérité aux électeurs.  Or ils font exactement le contraire –surtout François Hollande.

Le programme d’Hollande inclut l’augmentation des dépenses publiques (20 milliards d’Euros sur cinq ans), la remise en cause partielle de l’augmentation de l’âge de la retraite à 62 ans, un impôt sur le revenu de 75% pour les plus riches, et une augmentation de l’impôt sur la fortune.  Alors que l’État français a besoin de se mettre au régime d’urgence, Hollande veut l’engraisser.  Pis, Hollande veut renégocier l’acte  fiscal européen, un accord conclu à l’arrache-pied pour imposer une certaine discipline budgétaire au sein de la zone Euro.

La victoire d’Hollande entraînera donc une fuite des capitaux et des talents, ainsi qu’une déstabilisation de l’Euro.  Au lieu de s’attaquer aux déséquilibres structurels de l’économie française, Hollande mènera la France à la faillite et l’Euro à sa perte.

Les réformes économiques de Nicolas Sarkozy ont certes été bien minces pendant ses cinq années au pouvoir, mais un Sarkozy réélu n’aura plus à craindre la sanction de l’électorat et il prendra peut-être les mesures impopulaires et nécessaires pour sauver la France de la faillite.  Même s’il ne mérite pas le bénéfice du doute et même s’il ne  mérite pas d’être réélu, son remplacement par Hollande constituerait une catastrophe pour la France et pour l’Europe.  Pour cette raison, les Français doivent mettre de côté leur antipathie justifiée pour Sarkozy et le réélire.

 Emmanuel Navon pour israel-flash 

Sarkozy, c’est fini

En novembre 2011 disait…

Hervé Vilard est devenu immédiatement célèbre en 1965 avec sa chanson d’amour « Capri, c’est fini ». Bien que cette chanson soit un véritable disque rayé, elle fut un énorme succès (2,5 millions de disques vendus). Est-ce parce que la déception est un sentiment tellement universel que même la chanson la plus nulle sur ce sujet nous émeut ? Et obtiendrais-je 2,5 millions de « downloads » sur I-tunes si j’écrivais une chanson sur « Sarkozy, c’est fini ? ». Après tout, il y a plus de 2,5 millions de personnes déçues par Sarkozy. Mais comme je ne suis pas musicien, je me limiterai à ma prose.

Depuis que j’ai fait mon « aliyah » il y a dix-huit ans, j’ai renoncé à mon droit de vote aux élections françaises. Je ne partage plus la destinée de la France, pays que j’ai quitté volontairement. En 2007 cependant, j’ai fait une exception. Impressionné par Nicolas Sarkozy, je fis deux fois le déplacement au consulat de France pour lui donner mon vote. Sarkozy était un outsider. Fils d’un immigrant hongrois, il fut élevé par un grand-père juif et grandit comme le vilain petit canard à Neuilly, la banlieue huppée de Paris. Contrairement au reste de la classe politique française, Sarkozy n’a pas été cloné intellectuellement par l’ENA. Mais, surtout, il semblait sincère lorsqu’il disait qu’il comptait remplacer le dirigisme économique français par une politique libérale, et quand il parlait affectueusement d’Israël et de l’Amérique. Cela semblait presque trop beau pour être vrai – et effectivement, c’était du bluff.

Sarkozy s’est vite révélé comme un dirigeant autoritaire et impulsif. Ses réformes économiques sont maigres et sa politique étrangère est un désastre. Son projet d’« Union pour la Méditerranée » a été un échec cuisant. En plus d’avoir irrité ses partenaires européens (en particulier l’Allemagne) pour ne pas les avoir consultés sur ses idées farfelues (tout en attendant d’eux qu’ils prennent part à leur financement), Sarkozy s’est ridiculisé. En juillet 2008, il lança en grande pompe son « Union pour la Méditerranée » à Paris avec des invités embarrassants tels que Hosni Moubarak et Bashar Assad. Sarkozy pensait que son « Union pour la Méditerranée » allait convaincre la Turquie d’abandonner sa candidature à l’Union Européenne, alors même qu’à l’époque Erdogan avait déjà fait le choix d’une politique étrangère panislamique.

Pis, Sarkozy fit tout pour réhabiliter Mouammar Kadhafi afin de vendre des centrales nucléaires françaises et des avions de chasse à la Libye. Peu après son élection, Sarkozy accueillit Khaddafi à Paris puis il se rendit à Tripoli pour célébrer « un partenariat stratégique » entre la France et la Libye. Alors que le candidat Sarkozy faisait de grands discours sur le rôle international de la France dans la promotion des droits de l’homme, le président Sarkozy fit des affaires avec Khaddafi (« Je suis sur le point de conclure des contrats de plusieurs milliards avec la Libye » déclarait fièrement Sarkozy aux media français). Sauf que Sarkozy sous-estimait le risque de faire des affaires avec un exploseur d’avions. Khaddafi empocha le « certificat de réhabilitation » de Sarkozy mais ne renvoya pas l’ascenseur. Outre son courroux contre Kadhafi, Sarkozy fut embarrassé par les révoltes arabes qui révélèrent les relations intimes de son gouvernement avec des dictateurs arabes. Du jour au lendemain, Sarkozy se réincarna en Zorro du monde arabe, bombardant Khaddafi avec les avions qu’il voulait lui vendre.

Sarkozy essaya sans succès de jouer le rôle de pacificateur à l’égard du président russe Medvedev quand ce dernier bombarda l’Ossétie du Sud à l’été 2008. Ça ne se fait pas de tenter de préserver un empire révolu en utilisant la force militaire contre des dirigeants nationalistes qui menacent le feu empire, expliqua Sarkozy à Medvedev. Pourtant, c’est exactement ce que fit Sarkozy contre Laurent Gbagbo, qui lutta contre le néo-colonialisme français en Côte d’Ivoire.

L’impétuosité et la duplicité de Sarkozy ne sont plus un secret pour Israël. Sarkozy a des origines juives, et il commença sa carrière politique comme maire de Neuilly où vit une communauté juive influente. Comme ministre de l’intérieur sous le président Chirac, Sarkozy fut très ferme contre les actes antisémites. Ses discours étaient pleins de louanges pour Israël. Il se lia d’amitié avec Benyamin Netanyahou. Son discours à la Knesset en juin 2007 fut une divine surprise (à part, bien sûr sa phrase scandaleuse sur la division de Jérusalem).

Aujourd’hui, l’attitude de Sarkozy envers Israël est identique à celle de ses prédécesseurs : il est odieux et condescendant, et la « politique arabe » de la France est de retour. En 2009, Sarkozy accorda la Légion d’Honneur à Charles Enderlin, le journaliste français qui accusa à tort Israël d’avoir tué Mohamed al-Dura, contribuant ainsi au déclenchement de la deuxième intifada et fournissant des prétextes à des actes de « vengeance » tels que la décapitation de Daniel Pearl.

Sarkozy blâme Netanyahou et absout Abbas pour l’impasse des négociations israélo-palestiniennes, et ce en dépit des gestes de Netanyahou et du refus d’Abbas de négocier. Il a encouragé la démarche unilatérale d’Abbas à l’ONU et a récemment voté en faveur de l’admission de la « Palestine » à l’UNESCO comme Etat membre à part entière. Sarkozy a également déclaré récemment que l’exigence d’Israël d’être reconnu comme Etat juif par les Palestiniens est « ridicule ». Dans une conversation privée avec le président Obama il y a deux jours, Sarkozy a fait de la médisance sur Premier ministre israélien en le traitant de « menteur » et en ajoutant qu’il ne pouvait pas le supporter.

Le discours de Sarkozy à l’Assemblée Générale de l’ONU en septembre 2011 frôla le ridicule. Tout en affirmant que l’impasse israélo-palestinienne était due à un « problème de méthode » Sarkozy proposa d’appliquer cette même méthode une nouvelle fois pour résoudre le conflit, à savoir négocier le statut final de Jerusalem, des frontières et des ‘implantations’ selon un calendrier pré-établi. C’est précisément ce à quoi le processus d’Oslo, la Feuille de Route et la Conférence d’Annapolis ont tenté d’aboutir sans succès.

La majorité de Juifs français et la plupart des citoyens binationaux franco-israéliens ont voté pour Sarkozy en 2007. Sarkozy fait aujourd’hui le mauvais calcul qu’il peut toujours compter sur leurs votes en dépit de sa trahison, parce que les Juifs n’ont pas d’autre choix. Il se trompe. Aux primaires du Parti Socialiste, l’effrayante Martine Aubry a été battue par un François Hollande modéré et conciliant. À droite, Marine Le Pen convainc de plus en plus de Juifs qu’elle n’est pas antisémite comme son père et qu’elle partage les sentiments d’Israël vis-à-vis du monde arabe.

Sarkozy a perdu le vote juif et sa défaite probable aux élections présidentielles sera bien méritée. Sarkozy, c’est fini.



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/04/la-bataille-de-france-%e2%80%93-par-emmanuel-navon/#ixzz1tQw56MGp

 

 

Six mois: Shalit revient à la vie civile, les terroristes restent des terroristes (Europe Israel)

Il y a 6 mois, Gilad Shalit rentrait chez lui et vous viviez avec nous les étapes de son rapatriement en Israël. Il a aujourd’hui été officiellement démobilisé, après 7 ans de service dans Tsahal. L’armée et l’Agence de Sécurité israéliennes continuent de surveiller les terroristes libérés dans le cadre de l’Accord Shalit et beaucoup ont repris leur participation active à des activités terroristes.

 

Aujourd’hui (18 avril), six mois jour pour jour après sa libération et son retour en Israël, Gilad Shalit a été démobilisé après avoir servi sept années dans Tsahal, dont cinq ans de captivité aux mains du Hamas.

Shalit devient civil, les terroristes restent terroristes

Une grande partie des terroristes relâchés dans le cadre de l’accord Shalit ont repris leurs activités terroristes notamment en Judée-Samarie.

L’ensemble des terroristes relâchés sont surveillés par Tsahal et par l’Agence de Sécurité israélienne (Shabak) comme l’accord le prévoyait. Cependant, dans toute la Judée-Samarie, dix terroristes ont déjà été arrêtés en raison de la reprise de leurs activités au sein d’organisations terroristes.

Le vrai défi est de surveiller les terroristes expulsés à l’étranger et qui essaient de travailler indirectement pour les organisations terroristes. En tout, 200 prisonniers du Judée-Samarie sont actuellement dans la bande de Gaza ou expulsés à l’étranger, et  beaucoup seront autorisés à retourner en Judée-Samarie et à Jérusalem-Est.

Sur la liste des terroristes relâchés dans le cadre de l’accord Shalit, on retrouve Hana Shalabi, une terroriste membre du Jihad Islamique dans la région de Jénine. Shalabi a été arrêtée après que des renseignements ont mis en évidence son implication dans la préparation d’attaques contre des soldats israéliens ainsi que des civils à l’intérieur du territoire israélien.  Prenant exemple sur Kader Adnan dont la grève de la faim avait été sur-médiatisée également membre du Jihad islamique appelant au meurtre des Juifs par tous les moyens, Shalabi a commencé une grève de la faim et a été expulsée vers la bande de Gaza pour une durée limitée.

Faire une grève de la faim est devenue l’arme des terroristes palestiniens emprisonnés en Israël pour attirer l’attention des médias internationaux, en prenant Kader Adnan en exemple. Ce dernier entame une grève de la faim après sa mise en détention administrative. Une campagne médiatique mené par le Jihad Islamique et reprise par diverses organisations palestiniennes connait un écho au niveau mondial. L’Autorité Palestinienne, qui elle-même avait fait emprisonner Khader Adnan dans le passé, a réclamé sa libération. Un accord entre son avocat et le procureur en charge du dossier permet la libération de celui qui récemment encore appelait au meurtre de Juifs, notamment dans cette vidéo. (inaccessible sur notre blog, malheureusement).

 

“Faites trembler la terre, Brigades Al-Quds, frappez fort!”

“Qui parmi vous sera le prochain Hasan Abu Zeid (terroriste de l’attaque de Hadera)?”

“Qui parmi vous sera le prochain terroriste kamikaze? Qui parmi vous portera la prochaine ceinture explosive? Qui tirera les prochaines balles? Qui explosera son corps en lambeaux?”

Avant leur libération, les terroristes de l’accord Shalit avaient annoncé leur intention de reprendre leurs activités terroristes

Des terroristes du Hamas célébrant leur libération

 

Yahya Sanwar, fondateur de la branche militaire du Hamas et ravisseur du soldat Nachson Wachsman en 1994, avait annoncé lors de sa sortie de prison que «le Premier ministre israélien est mis en garde, nous allons continuer notre résistance, les prisonniers libérés ne vont pas arrêter de travailler en vue de notre libération.»

Selon l’accord Shalit, les terroristes capturés ont été libérés en Judée-Samarie mais sont soumis à plusieurs restrictions. Par exmple, ils ne sont pas autorisés à franchir la ligne verte ou à voyager à l’étranger pendant une décennie et doivent se présenter à l’antenne locale du Bureau de Coordination et de Liaison de l’Administration Civile une fois par mois.

Le Jihad Islamique encourage les activités terroristes à Jénine

Entraînements militaires pendant les camps d’été du Hamas

 

Les organisations terroristes ont récemment modifié leur mode opératoire, y compris en intensifiant les menaces d’enlèvements de soldats. Pour la première fois depuis un certain temps, le Jihad Islamique Palestinien, une des organisations terroristes principales à Jénine, a organisé des attaques terroristes depuis cette ville. L’organisation a également relancé ses efforts pour trouver des moyens de financement de ses activités.

«Ils souhaitent reprendre du pouvoir après que des tentatives d’attentats émanant de la bande de Gaza n’ont pas abouti», a expliqué une source fiable des Renseignement militaires israéliens. De plus, le nombre d’arrestations menées conjointement par les forces de Tsahal et l’Agence de Sécurité Israélienne (Shabak) dans la ville de Jénine n’a cessé d’augmenter ces trois derniers mois.

Le Hamas a également renforcé ses activités à Tulkarem. Tsahal voit un lien entre la libération de terroristes et le renforcement des activités terroristes dans la région et l’accord de réconciliation entre le Fatah et le Hamas. La plupart des activités du Hamas dans la ville repose sur un travail social et un travail d’éducation afin de gagner le soutien de l’opinion publique et de diffuser son idéologie plus efficacement.

Cette forme de propagande, appelée «Dawah», touche tous les niveaux et tous les domaines de la société. Des colonies de vacances sont notamment organisées l’été par le Hamas afin d’influencer les plus jeunes.

De nombreuses arrestations ont également eu lieu à proximité d’Hébron. Notamment. Aiman Slameh qui avait été arrêté pour son implication dans  l’assassinat de 18 civils israéliens dans la ville de Beer Sheva il y a dix ans, a repris ses activités terroristes dans le Hamas après avoir été récemment relâché.

 

 

 

Torture puis condamnation à mort d’un palestinien (Europe Israel)

Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas: Torture puis condamnation à mort d’un palestinien fautif d’avoir vendu une maison à un juif

 

La si modérée Autorité Palestinienne, adepte de la soit disant non violence et porteuse de l’éthique morale des règles issues de la Charia et du Coran, nous offre ici une belle application de ses valeurs.

JERUSALEM (JTA) – Les responsables juifs de la communauté juive de Hébron font appel aux instances internationales pour aider un homme palestinien condamné à mort pour avoir vendu à des juifs, une maison près de “la grotte des Patriarches” .
Une lettre écrite au nom de Muhammad Abu Shahala, ancien agent de renseignement de l’Autorité palestinienne, a été cosignée par les dirigeants de la communauté juive de Hébron Wilder David et Noam Arnon, et adressée au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, à la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, au président du Conseil européen de lUE, Herman Van Rompuy, et au directeur général de la Croix-Rouge internationale, Yves Daccord, entre autres.
M  Shahala aurait été condamné à mort pour son rôle dans la vente d’un bâtiment près du site connu sous le nom de Grotte Machpelah, à un groupe de Juifs. Il aurait avoué la vente après avoir été torturé et jugé de manière expéditive, selon le site Arouts-7, citant diverses agences de presse. Les responsables palestiniens ont déclaré que M Shahala n’était autorisé à vendre la maison [à des juifs] en vertu des lois palestiniennes.
La condamnation à mort doit encore être signée par le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
“C’est épouvantable de penser que les ventes de propriété puisse être considérées comme ” crime capital punissable de mort, ont écrit les responsables juifs dans leur lettre. “Le fait même qu’une telle « loi » existe dans  le système juridique de l’Autorité Palestinienne indique  un type de justice barbare et pervers, rappellant des pratiques qui avaient cours lors des heures sombres.
“Quelle serait la réaction si une loi aux Etats-Unis, en Angleterre, en France ou en Suisse, interdisait les ventes de propriété aux Juifs? En fait, il y a de cela moins de cent ans, de telles lois ont été légiféré et mises en pratique, connue sous le nom tristement célèbre des lois de Nuremberg ” ont-il ecrit.

 

Source: http://www.jta.org/news/article/2012/04/15/3092836/arab-seller-of-machpela-house-sentenced-to-death

 

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