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20 000 vaccins venus d'Israël pour lutter contre la fièvre aphteuse à Gaza (Israël-flash).
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Tariq Ramadan a appelé à voter pour "un parti politique qui serve l'Islam" (Europe Israël).
Les islamistes les plus radicaux appellent à voter pour François Hollande et pour un « parti qui serve l’Islam« : Tariq Ramadan, ainsi que Youssef Brakni du Parti des indigènes de la République et Marwan Muhammad du Collectif contre l’Islamophobie en France, ont appelé « à voter pour François Hollande » ou » pour un parti politique qui serve l’Islam ».
Et c’est à l’occasion d’une réunion sur le thème de « Palestine et islamophobie » organisée par diverses associations pro-palestiniennes que tout ce beau monde a lancé cet appel. Ainsi sont mis en évidence les liens étroits en l’Islam radical et la cause palestinienne inventée de toute pièce pour détruire Israël (voir vidéo ici).
Comme dans toutes les réunions pro-palestiniennes l’essentiel du public est constitué d’islamistes radicaux qui tentent d’importer le conflit israélo-palestinien. La prétendue « cause palestinienne » est une arme utilisée par l’Islam radical pour propager sa haine anti-juive mais aussi anti-chrétienne et anti-occident.
Nicolas Sarkozy avait indiqué mercredi soir que l’intellectuel controversé avait appelé à soutenir le candidat PS ou « un parti qui serve l’Islam ». Tariq Ramadan a démenti. François Hollande a parlé de « mensonge ». Atlantico s’est procuré une note policière interne sur la réunion du 11 mars à Lyon.
Selon une note policière interne datée du vendredi 23 mars, intitulée « Mise en cause des lois de la République lors d’une conférence sur les thèmes « justice sociale, Palestine et islamophobie« , Tariq Ramadan, ainsi que Youssef Brakni du Parti des indigènes de la République et Marwan Muhammad du Collectif contre l’Islamophobie en France, ont appelé » à voter pour François Hollande » ou « pour un parti politique qui serve l’Islam ».
Selon la note, les propos ont été tenus à Lyon, dans le cadre du « Printemps des quartiers », dimanche 11 mars dernier, à l’occasion d’une réunion publique sur le thème : « Justice sociale, Palestine et islamophobie » organisée par diverses associations pro-palestiniennes.
La note décrit ainsi la réunion : « Un public d’un millier de personnes très majoritairement musulman, composé à parité d’hommes et de femmes dont la plupart étaient porteuses du voile traditionnel, a participé à cette réunion. Une seule femme était revêtue d’un niqab et une dizaine d’hommes arborait la tenue traditionnelle »

Les femmes islamistes lors de la conférence de Tariq Ramadan sur la Palestine
Elle précise : Youssef Brakni « a annoncé la création d’un groupe de résistance contre l’islamophobie en France, dont le but est de combattre le racisme à l’encontre de la communauté musulmane, en pleine phase d’expansion ». De son côté, toujours selon la note, Marwan Muhammad « a expliqué à l’assistance que ‘les récentes lois concernant le port du voile et la consommation de la viande hallal étaient islamophobes et créaient des torts à la communauté musulmane’. Son inquiétude concernait également la perception de la communauté musulmane et regrettait que ‘chaque musulman soit considéré comme un terroriste potentiel.’ »
La note poursuit au sujet de Tariq Ramadan : « l’intellectuel islamologue et universitaire suisse très médiatique, est intervenu longuement et a regretté « la stigmatisation des musulmans », déplorant que « la France soit devenue le pays le plus raciste de l’Union européenne ». Il a par ailleurs encouragé les musulmans à un certain communautarisme ».
Selon la note, « plusieurs femmes voilées ont interpellé les intervenants à propos du port du voile ou de la pratique de leur religion et il leur a été conseillé de se rapprocher du ‘Comité Contre l’Islamophobie en France’ qui étudierait les dossiers au cas par cas. Des hommes portant des tee-shirts orange où était inscrit ‘Stop au Guantanamo Français’, ‘Soutien à Adlène Hicheur 902 jours d’emprisonnement sans jugement’ étaient présents dans la salle.
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Israël - Le kibboutz à la croisée des chemins (Israel-infos).
par Misha Uzan
Les kibboutzim, qui ont joué un role central dans la création et le développement d'Israël traversent, depuis plusieurs années, une crise qui n'en finit pas.
Pourtant, le rapport sur l'état du mouvement des kibboutzim fait apparaitre, cette année, des réussites.
Tout d'abord, et alors qu'on parlait d'une hémorragie de population, celle-ci a recommencé à augmenter, et dans des proportions relativement sensibles.
Ainsi, entre 2005 et 2010, la population a augmenté de vint pour cent : 140 000 personnes, soit plus d' 1,5 % de la population israélienne, vit au kibboutz.
Les kibboutzim avaient besoin de cet apport : le rapport signale que 30 à 40% de la population est constituée de retraités.
Mais le principal défi est avant tout économique : l'année 2012 est capitale pour les kibboutzim, et en particulier pour les 300 d'entre eux dont l'activité est industrielle.
L'industrie kibboutzique a terminé l'année 2011 avec des ventes totales d'une valeur de 40,7 milliards de shekels, - en augmentation de 2,2% par rapport à 2010- mais avec un résultat diminué de 13%.
La crise mondiale a provoqué également, pour la première fois, une érosion de près de 1% des exportations après trois années de hausses successives.
Mais le kibboutz tient une place dans l'économie israélienne bien au delà de son importance numérique : il représente près de 10% des exportations du pays.
En dépit de ces succès, le modèle économique n'est pas assuré : de nombreux kibboutzim ont du céder des parts de leurs industries pour obtenir des crédits; ils ne détiennent, en propre, que la moitié de leurs industries.
Mais 2012 est aussi l'année laquelle les kibboutzim doivent rembourser leurs dettes, en conformité avec l'accord signé entre les kibboutzim et la Banque Hapoalim et la Banque Leumi en 1989, un accord sur le rééchelonnement des dettes et des crédits.
160 kibboutzim ont été inclus dans le règlement - les deux tiers du Mouvement uni des kibboutzim et des kibboutzim nationaux.
On estime que 3.3 milliards de shekels de dettes ont été effacés par le gouvernement.
Cette décision a fait "grincer des dents" le grand public, furieux de voir s'évaporer un budget qui aurait pu être utilisé dans le domaine social, le logement ou l'éducation.
Mais en cas d'effondrement du mouvement kibboutzique, le coût à payer en matière d'emploi et d'endettement aurait été probablement insupportable – sans compter le coût humain et l'impact symbolique.
Dix kibboutzim ont prévu de prolonger leur accord avec les banques, afin de pouvoir rembourser leurs dettes jusqu'à l'horizon 2025.
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Iran - La mode islamique ou la prison (Israel-infos)
Iran - La mode islamique ou la prison
par Gerard Fredj
A Téhéran, la police opère depuis peu de nouvelles mesures de surveillance de la circulation des voitures et des piétons.
Il s'agit "d'épingler" les femmes qui portent "improprement" les vêtements couvrants que sont obligées de porter les femmes, ou celles vêtues "vulgairement".
Ces opérations, qui vont jusqu'à l'inspection des galeries commerciales, sont de plus en plus fréquentes.
La dernière date de quelques jours, et précèdent le second tour des élections législatives qui se tiendront le 4 mai, alors que le printemps est particulièrement chaud et oblige des femmes à porter des tenues plus légères.
Selon le chef de la police, ces "mesures sont réclamées par le peuple".
Les femmes portant des tenues controversées sont détenues le temps que des proches leur amène des vêtements plus "adéquats".
La nouveauté réside dans le fait que les autorités vont désormais frapper directement les magasins ou fabricants qui distribuent des vêtements féminins qui ne sont pas "conformes aux standards islamiques".
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Israël - Les mesures de sécurité clouent au sol des avions israéliens (Israel-infos).
Israël - Les mesures de sécurité clouent au sol des avions israéliens
par Gerard Fredj
Une partie de la flotte des compagnies aériennes israéliennes Israir et Arkia ne pourront plus voler en raison de leur incompatibilité avec les nouvelles règles de sécurité anti-missiles.
Il s'agit des appareils ATR utilisés essentiellement pour les vols intérieurs, qui devront être retirés de la circulation d'ici à deux ans.
Tout le monde connaît ces avions, produits d'un consortium qui comprend notamment EADS : ils sont utilisés en particulier sur les liaisons entre Tel Aviv et Eilat.
Les systèmes anti-missiles, composés essentiellement de leurres destinés à tromper d'éventuels tirs de missiles ne peuvent en effet pas être adaptés sur ces appareils.
L'indication a été plutôt mal accueillie alors qu'Israël a acquis deux nouveaux appareils pour un montant de près de 35 millions de dollars.
Cette acquisition –avec celle de deux nouveaux airbus – faisait d'Israël la compagnie aérienne israélienne disposant de la flotte la plus moderne.
Selon les responsables de la compagnie, cette décision implique "de revendre les ATR en essuyant une perte importante, et de rester avec les deux airbus qui opèrent essentiellement sur les liaisons internationales", qui avertissent qu'ils devront considérablement réduire leur desserte d'Eilat.
Arkia se trouverait face à un problème identique et devrait également réduire ses liaisons avec Eilat; la décision pourrait poser des problèmes aux touristes durant les périodes de forte fréquentations de la cité balnéaire du sud du pays, et provoquer une hausse des prix.
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