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Le Hamas veut protéger Israël (Israel-infos.net).

par Gerard Fredj
Le gouvernement du Hamas vient de créer une nouvelle force dont la seule mission sera d'empecher les tirs de roquettes sur Israël.

Le Hamas, qui s'est toujours présenté comme le champion de la guerre sainte contre Israël entend maintenant user de son autorité pour contrecarrer les tentatives des organisations terroristes concurrentes, essentiellement le Djihad islamique et les Comités populaires de résistance (PRC), responsables de la dernière escalade des tirs sur Israël.

La nouvelle unité est sous l'autorité du ministre de l'intérieur du Hamas, Fathi Hammad, qui a souvent pris par le passé des positions extrêmes à l'égard d'Israël.

L'unité, forte de 300 hommes, opèrera "jour et nuit, partout dans la bande de Gaza, et principalement près des frontières avec Israël" selon le ministre.

Ses membres, qui patrouillent en voiture ou à moto, auraient reçu le feu vert pour tirer en cas de résistance de la part des activistes interpelés.

Selon des sources à Gaza, l'unité aurait déjà procédé à des arrestations de membres de groupuscules radicaux, mais également d'activistes du Djihad islamique et des PRC, qui sont désormais depuis plusieurs mois, en compétition avec le Hamas pour le leadership –au moins idéologique – de Gaza, chacun se présentant comme l'opposant "le plus dur" à Israël.

En vertu d'un accord entre les deux organisations, les membres du Djihad islamique arrêtés auraient cependant été rapidement relâchés.
En dépit d'absence de communication directe, la convergence d'intérêts entre le Hamas et Israël sur le terrain n'a jamais été aussi grande – même en l'absence de tout arrangement sécuritaire.

Avec cette force, le Hamas cherche probablement à démontrer à Israël qu'il fait tout ce qui est en son pouvoir pour maintenir le calme, afin de se consacrer à asseoir son autorité de plus en plus contestée sur la bande de Gaza.
Et pour cela l'organisation terroriste a besoin de calme et que se prolonge le statu quo avec Israël.

Selon les observateurs israéliens, cette force ne serait pas active si Israël "tire le premier" (comme en mars lorsqu'il s'est agi d'éliminer un terroriste qui préparait un attentat) , mais, durant les "périodes calmes", elle aurait déjà bloqué plusieurs tentatives de tirs de mortier sur le sud d'Israël.

 

Israël - Kotel : à cause des larmes des femmes (Israel-infos.net).

 

  A LA UNE
Numéro 1111 - 11.05.2012 - 19 Iyyar 5772

Israël - Kotel : à cause des larmes des femmes
par Gerard Fredj
Un récent examen des livres de prières mis à la disposition du public au Kotel – Mur occidental du Temple – a mis en évidence une large contamination par des bactéries, dont la concentration excède largement la normale.

Cette contamination se retrouve sur les ouvrages situés du côté des hommes, comme du côté des femmes, sans différences notables.
Une infection par le type de bactéries retrouvées peut, selon les spécialistes, provoquer des douleurs abdominales, de la fièvre, des infections intestinales dont certaines formes pourraient être mortelles.

Bien que ces bactéries aient été retrouvées en concentration équivalente des deux côtés, Shmuel Rabinovitch, le Rabbin du Kotel, estime que "la responsabilité en incombe aux femmes".

Selon lui, la prière des femmes est "souvent plus forte en raison de leurs émotions, de leur force spirituelle et…de leur larmes".
Et pour lui, aucun doute, ce sont bien les larmes des femmes qui sont responsables de la contamination : " les femmes rapprochent les livres de prières de leurs visages, et les inondent de larmes"

L'association israélienne pour la santé publique a remercié le rabbin pour sa collaboration dans le cadre des tests scientifiques réalisés.

L'administration du Kotel s'est engagée a changer les livres plus souvent…on ne sait pas si elle recommande aux femmes de ne plus pleurer.

 

 

Nétanyahou renonce à des législatives anticipées suite au ralliement de Kadima (JForum.fr).

La perspective d’élections législatives s’est éloignée en Israël après que le parti centriste Kadima a accepté de rejoindre le Likoud du Premier ministre, Benjamin Netanyahou (photo), dans la coalition gouvernementale.

Six semaines après avoir ravi la direction du parti centriste Kadima, Shaul Mofaz a rallié dans la nuit de lundi à mardi la coalition gouvernementale du Premier ministre Benjamin Netanyahu qui, du coup, a renoncé à des élections anticipées.

Selon la radio publique, MM. Mofaz et Netanyahu ont secrètement négocié un accord en vue d’un gouvernement d’union nationale, alors que la Knesset avait déjà voté lundi soir un projet de loi de dissolution de la Chambre en première lecture qu’elle s’apprêtait à voter en deuxième et troisième lectures.

En vertu de cet accord, M. Netanyahu a renoncé à des élections législatives anticipées et M. Mofaz doit devenir vice-Premier ministre et ministre sans portefeuille du nouveau cabinet en gestation.

MM. Netanyahu et Mofaz sont notamment convenus qu’un nouveau texte plus égalitaire remplacera d’ici l’été la Loi Tal qui permet aux juifs religieux orthodoxes d’être exemptés du service militaire.

Des membres du Kadima vont disposer de postes importants, notamment à la commission parlementaire des Affaires étrangères et de la Défense et à celle des Affaires économiques.

L’accord prévoit une relance du processus de paix avec les Palestiniens et assure le vote du budget de l’Etat pour le prochain exercice fiscal.

Le Kadima, première formation d’Israël avec 28 députés, est en chute libre. Les sondages ne lui prévoyaient au mieux qu’une douzaine de mandats. Autant dire que M. Mofaz, 63 ans, apparaît comme un "sauveur" aux yeux de ses camarades de parti.

Ce transfuge du Likoud est un ancien chef d’état-major et ex-patron de la Défense. A la faveur d’élections primaires entièrement axées sur son image sécuritaire, il a évincé en fin mars Tzipi Livni à la tête du Kadima.

Ses sympathisants mettent en avant sa riche expérience militaire et portent notamment à son crédit l’écrasement de la seconde Intifada palestinienne (2000-2005). Ils font valoir que ses qualités pourront être mises à profit alors que M. Netanyahu reproche à l’Iran de faire planer "une menace existentielle" sur Israël en poursuivant son programme nucléaire à des fins militaires, ce que Téhéran dément.

France-24



 

 

La France et le vote des étrangers (20% de la population) JForum.fr

Au détour d’une dépêche, nous apprenons que plus de trois millions d’Algériens pourraient voter en France prochainement, si François Hollande honore son engagement sur le vote des immigrés. Il pourraient ainsi lier l’intérêt de leur pays d’origine, de leur culture, et de leurs aspirations sociétales et religieuses à celui de la France.

Combien de Français résidant en Algérie pourraient voter lors des élections algériennes ? Zéro.

Tout le monde a pu constater que le vote des français issus de l’immigration a considérablement favorisé François Hollande, entre autres grâce au vote des immigrés inscrit au programme du candidat socialiste. Ce vote qui pourrait concerner plusieurs millions d’électeurs, pas seulement Algériens, est une réserve de voix considérable pour la gauche, qui sans cela se verrait écartée du pouvoir.

Sans l’attitude incohérente du Front National, François Hollande n’aurait pu accéder à la Présidence de la République. Le FN peut toujours dénoncer le nombre de drapeaux étrangers Place de la Bastille, mais en privant Nicolas Sarkozy d’un million quatre cents mille voix qui aurait assuré sa réélection, il a ouvert la voie au vote des étrangers.

Le clivage va se faire de plus en plus, entre ceux qui refusent la dissolution de la France dans un multiculturalisme, et ceux qui veulent préserver la culture et la civilisation à laquelle la France appartient. Si à Tulle François Hollande était heureux de se retrouver sur la Place de la cathédrale, c’est l’ombre d’autres édifices que certains français veulent fuir, notamment dans des banlieues où la France de Hollande vue de là-bas n’est qu’une image d’Épinal.

Ce sujet est loin d’être mineur. C’est même un sujet de fond, qui relève de la politique. Les sujets économiques sont importants, mais la marge d’action est très étroite, et les politiques sont contraintes par les exigences des marchés et des accords existants. Là où les politiques peuvent agir en toute indépendance, c’est sur des sujets sociétaux, et de ce point de vue leur responsabilité est totale.

Il n’est pas étonnant de voir les scores de François Hollande, dans les banlieues, et l’accueil de son élection en Algérie, Tunisie, Turquie où l’on se félicite de l’attitude du Socialiste à l’égard de l’adhésion de ce pays à l’Union Européenne, voire de l’Iran qui voit disparaître de la scène politique internationale un certain Nicolas Sarkozy, qui a été l’aiguillon d’un Barak Obama indécis sur la question du nucléaire iranien, et qui a beaucoup tardé à prendre les sanctions qui s’imposaient.

A contrario le vote des Israéliens francophones qui a plus de 90% a plébiscité Sarkozy, non pas tant pour ses positions à l’égard d’Israël, mais par les craintes suscitées par les promesses de François Hollande.

Tout cela peut paraître relever du racisme à l’égard des étrangers. Il ne s’agit pas ici de compromettre des lois morales, mais simplement de dire, ce qui est aussi valable pour tous, que "la loi du Pays s’impose à tous", et cela dans le but de préserver ce pays, et non pas que ce dernier doive se plier aux désires des étrangers qui y résident.

Hors flatter les étrangers, qui au demeurant peuvent devenir Français, s’ils veulent accéder à certains droits, à des fins POLITIQUES, est totalement pervers.

Le multiculturalisme est un échec partout en Europe. C’est la dissolution des Etats nations. Dans certains cas, à terme, c’est la disparition de la souveraineté nationale. François Hollande, comme tous les politiques sait bien que toute carrière commence par la ville, puis le département et la région, pour arriver au sphères du pouvoir gouvernemental.

A l’exemple des algériens de France dont 800.000 sont binationaux, l’apport d’un électorat de plusieurs millions de voix peut propulser plus d’un de ces binationaux, bien au-delà de ce qu’il pourrait espérer sans ce soutient communautaire, et solidaire.

Tant que les communautés étrangères ne constituent pas un poids politique significatif, le danger est nul. A l’inverse, comme c’est le cas avec une forte population qui se retrouve sur une vision religieuse, sociétale, voire politique, qui peut modifier de manière forte les équilibres nationaux, pour des intérêts autres que ceux de la République, le danger est total.

M. COHEN

Selon l’Insee, immigrés (5,3 millions) et descendants direct d’immigrés (6,5 millions) sont au nombre de 11,8 millions en 2008, soit 19 % de la population (dont environ 5,5 millions d’origine européenne et 4 millions d’origine maghrébine). Ces chiffres ne tiennent pas compte de la troisième génération et de l’immigration illégale.

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Algérie - France

 

Les Algériens de France éliront leurs députés de mardi à jeudi

Quelque 800.000 Algériens vivant en France sont appelés à élire de mardi à jeudi leurs représentants à l’Assemblée populaire nationale algérienne, lors d’un scrutin où la mobilisation de ces immigrés risque d’être encore plus faible en raison de la tenue de la présidentielle française.

Les 489.545 électeurs de la zone 1 (moitié nord de la France) vont choisir entre 22 listes lors de ce scrutin proportionnel majoritaire à un tour. Les 311.963 autres de la zone 2 (moitié sud) choisiront entre 18 listes.

La zone 3 concerne les Algériens vivant au Maghreb, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie et la 4 ceux établis dans le reste de l’Europe et aux Amériques.

Quatre députés seront élus en France pour représenter leurs concitoyens à l’Assemblée populaire nationale (APN) à Alger qui va compter 462 sièges. En tout, 44 partis, dont 21 nouveaux, et des indépendants sont en lice pour ces élections qui se déroulent le 10 mai en Algérie.

Traditionnellement élevée en France, l’abstention risque de l’être d’avantage encore cette fois, les électeurs n’ayant que trois jours pour voter contre six d’habitude.

Prévue initialement du 5 au 10 mai, la durée de la consultation a été réduite à la demande des autorités françaises, en raison du second tour de la présidentielle le 6 mai, ont indiqué à l’AFP des sources consulaires algériennes.

Dans la zone 1 qui couvre Paris, dix centres et 82 bureaux de vote seront ouverts. Il y aura aussi dix centres dans la zone 2 et 57 bureaux de vote.

Chaque liste à parité hommes/femmes est composée de deux candidats titulaires et de deux suppléants. Mais seules deux femmes sont placées en tête.

La campagne électorale, entamée le 15 avril, est visible dans quelques quartiers populaires comme Barbès à Paris où les murs sont tapissés des photos et promesses des candidats et où la liste du Front de libération nationale (FLN), parti au pouvoir, a établi son siège. Les radios communautaires ont été aussi utilisées.

Trois promesses semblent partagées par la plupart des listes. Il s’agit de la réduction du prix des billets d’avion entre la France et l’Algérie qui n’autorise pas les compagnies à bas prix. Le marché est partagée entre Air France, Air Algérie et Aigle Azur appartenant à un homme d’affaires franco-algérien.

Les candidats promettent aussi de militer pour l’ouverture d’une banque algérienne en France et l’obtention de facilités d’investissements dans le pays, les Algériens vivant à l’étranger étant soumis aux mêmes règles que les étrangers.

En raison de l’histoire qui lie la France à son ancienne colonie occupée pendant 132 ans et qui fête cette année le cinquantenaire de son indépendance, les Algériens y forment la première communauté étrangère. Toutes générations et tous statuts (binationaux et résidents), il seraient plus de trois millions, selon des sources consulaires algériennes.

AFP


 

 

La lettre de nouvelles de Revive Israël.

 

Le Professeur Benzion Netanyahu

Par  Asher Intrater

Vers les années 1900, l’un des principaux activistes Sionistes  d’Europe de l’Est fut le Rabbin Nathan Milikovski. En 1910 , son fils Benzion naquit à Varsovie. Dans ses écrits , le rabbin Milikovski  utilisa le nom de plume «  Netanyahu ». Plus tard, Benzion Milikovski choisit ce pseudonyme comme nom de famille  hébraïque.

Benzion étudia à l’Université Hébraïque et devint membre du cercle d’intellectuels proches du Professeur Joseph Klausner. Benzion poursuivit ses études et devint professeur  d’histoire dont l’ouvrage majeur fut une étude de 1400 pages  sur l’Inquisition Espagnole (dans laquelle il prétend que les Maranes ne se sont pas convertis par contrainte ,mais de leur plein gré). Il co-édita l’ Encyclopédie Hébraïque avec le Professeur Isaïah Liebowitz.

Le père du Sionisme « Révisionniste » fut Zev Jabotinsky. Jabotinsky eut deux principaux disciples : Menahem Begin, qui devint par la suite Premier Ministre, puis Benzion Netanyahu. Lorsque Jabotinsky mourut en 1940, Benzion le remplaça comme l’idéologue intellectuel du mouvement Révisionniste . La famille Netanyahu partit pour les Etats-Unis où Benzion se fit le principal écho de la menace  qui pesait sur les Juifs d’Europe.

En qualité de « Révisionniste », Benzion croyait que toute la terre d’Israël « de chaque côté du Jourdain » appartenait  au peuple juif. Le plan de partage des Nations-Unies a été ratifié par vote le 29 novembre 1947 reconnaissant  l’indépendance  d’Israël. Bien que la ratification fût accueillie  avec joie par une majorité écrasante des Juifs d’Israël, Benzion s’éleva contre.

La famille Netanyahu retourna en Israël pour œuvrer à la construction du nouvel état. Tandis que le fils aîné de Benzion, Yoni, (qui plus tard fut tué , alors qu’il était à la tête du , fameux commando Israélien qui donna l’assaut sur Entebbe) est né à New York, ses deuxième et troisième fils , Benjamin et Ido sont nés en Israël peu de temps après le retour de la famille.

C’est durant ses études à l’Université Hébraïque que Benzion rencontra Zilah qui , plus tard, devint son épouse. La sœur de Zilah  elle aussi avait  un fils nommé Benjamin à qui elle a donné le surnom de « Bibi ». Zilah décida d’imiter sa sœur et les deux garçons furent surnommés « Bibi ».

Benjamin « Bibi » Netanyahu , aujourd’hui en second mandat comme Premier Ministre d’Israël, à propos de l’influence de son père sur sa vie  , a un jour déclaré : «  Pour comprendre le fils, il faut connaître le père »

Benzion Netanyahu est décédé ce lundi matin (30 mars) à l’âge de 102 ans, l’esprit clair et la langue bien affilée jusqu’à la fin ! Les hauts dirigeants politiques et militaires du pays  ont assisté à ses funérailles à Jérusalem . Ses fils , Benjamin et Ido ont lu le «  Kaddish » et ont rendu hommage au défunt . Le  Président Shimon Peres , dans son éloge funèbre, en se tournant vers Benjamin Netanyahu a déclaré : « Votre père a écrit l’histoire et vous, vous faites l’histoire avec le même sentiment et la même ferveur. »

Informations extraites de différents articles par  Dov Eichvald, Itamar Eichner, Shalom Yerushalmi, Eitan Haber, Arik Bender, Eli Bradenstein, Moshe Ronen, Amihai Atheli, Boaz Hendel, Yair Lapid and Sheri Blikov.

Les Relations d’Alliance

Notre approche de la vie et du ministère est basée sur les relations d’alliance. Dieu est un Dieu d’amour. C’est pourquoi les relations sont prioritaires. L’alliance est le cadre pour construire les relations de confiance. En fait , la Bible est elle-même un document d’alliance .

Puisque nous avons une alliance avec Dieu nos relations avec notre prochain devraient reposer sur des principes de type alliance. Les deux principes fondamentaux de l’alliance sont : la loyauté envers les amis et l’intégrité dans nos actions. Les valeurs bibliques d’alliance incluent les attitudes justes envers les autorités et les forces de l’ordre ( ces principes sont résumés dans le Livre  « Covenant Relationships », en anglais.)

Le rôle des valeurs d’alliance est d’apprendre à communiquer de manière à ce que nos paroles  instaurent la confiance. Nous « professons la vérité dans l’amour » -- Ephésiens 4 :5 ; en nous assurant que chaque mot « est bon pour l’édification » -- Ephésiens 4 :29 ; sans commérage aucun.  « Si ton frère pèche contre toi, va et reprend-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. »  -- Matthieu 18 :15. Ce type de dialogue d’alliance est conçu pour préserver l’amitié et pour nous empêcher de nous blesser réciproquement.

Notre but n’est pas de faire des projets mais de construire les personnes. Nous accordons une valeur plus élevée à la personne  plutôt qu’à son charisme. Le royaume de Dieu est un réseau de relations. Le but final du discipolat est de conduire à l’amitié. Jean 15:15 – «  Je ne vous appelle plus serviteurs…mais amis. » Les personnes passent avant les projets.

L’alliance c’est être engagé dans toute une vie de relation. Nous nous sommes engagés à construire ces types de relations ; par conséquent nous investissons beaucoup de temps à développer des relations de travail en équipes dans chaque projet de ministère. A la fin d’une vie au service du Royaume de Dieu, nous devrions partager le fruit des cercles convergents d’amis qui entreront avec nous dans l’éternité.

L’Origine du Nom « Yeshua »

La branche Israélienne des «  Juifs pour Jésus » a lancé ce mois-ci une campagne d’annonces dans les journaux avec un slogan en  hébreu : « Yeshu =Yeshua=Y’shuah ».
Le nom « Yeshu » est le nom hébreu le plus commun pour « Jésus » ; pourtant c’est un terme péjoratif terrible qui signifie : «  Que son nom soit effacé » ( Bien que certains érudits prétendent que c’est simplement une translittération du Grec  Iesous)

Dans Nombres 13 :16, le nom  Joshua a été changé : Hoshea  est devenu  Yehoshua. Le nom Yehoshua est une combinaison du nom YHVH et du mot salut ( Y’shuah) . Ainsi le nom de Joshua signifiait « YHVH sauve » , c’était une annonce prophétique du Messie à venir ( Matthieu 1 :21) . Yeshua est Son nom et il signifie salut ( il eut été préférable de traduire Son nom par Joshua au lieu de Jésus afin de préserver le sens  historique).

Environ 700 ans après Joshua et 700 ans avant Yeshua, ce nom a été raccourci ; Yehoshua a donné Yeshua. Dans les derniers livres de la Bible Hébraïque ( Chroniques, Ezra et Néhémie) la forme abrégée « Yeshua » apparaît 31 fois. Le nom Yeshua était déjà un nom Hébreu populaire en Israël des siècles avant la Nouvelle Alliance ; c’est pourquoi il n’y a aucune raison de ne pas l’utiliser aujourd’hui.

 

 

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