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Europe, ne nous trompons pas de débat (Israël Flash).
Alors ouvrons le débat !
Par Yéochoua Sultan
Trop souvent, la pensée contemporaine européenne, sûre de sa culture pacifique, se laisse entraîner par des représentants de l’islam dans un débat inapproprié.
Ces derniers cherchent presque systématiquement à le définir comme religieux. D’autre part, beaucoup s’imaginent à tort que l’islam serait fondamentalement différent des autres religions parce qu’il ne se circonscrit pas à la sphère privée, comme si ce principe le rendait fondamentalement différent du christianisme.
Le débat qui oppose les deux méga groupes a priori définis par leur religion, islam et christianisme, reste stérile quand il puise ses arguments sur les valeurs intrinsèques prêtées ou puisées de façon limitative aux deux cultes.
Souvent, des Européens pensent que la confrontation entre les cultures et les religions serait perçue d’une manière plus authentique si elle ne se contentait pas de décrire les phénomènes comportementaux des adeptes des civilisations en conflit, et qu’elle devrait être envisagée à partir des textes religieux. D
e la sorte, lorsque des musulmans leur reprochent à plus de cinq cents ans d’écart la conquête ou Reconquista de l’Espagne ou de la France, avec la bataille de Poitiers, et qu’ils se montrent lésés et décidés à les reprendre, en arguant que leur religion n’est pas plus cruelle que celle qui sert de toile de fond au monde occidental, les bons républicains cherchent à prouver le contraire, en essayant d’expliquer l’avantage du christianisme sur l’islam sur le plan humain.
La discussion s’engage alors dans une voie sans issue, puisque les exactions des Catholiques d’Isabelle de la même appartenance n’ont rien à envier en cruauté au jihad islamique, et que l’on pourrait sans se tromper parler d’un jihad catholique.
Inutile de citer des fragments de textes qui montreront combien la religion véhiculée par le dit «Nouveau testament» est ouverte, renonce à la lapidation et aux interdits alimentaires, etc. L’adjectif inclus dans le nom du testament en question indique fort bien l’aspiration à effacer ceux qui font de l’«Ancien» un texte très actuel. Si on reste sceptique, on peut tout simplement consulter l’opinion de Rome sur la légitimité du retour d’Israël en ses frontières (voir; Le synode, une très vieille rancune).
De plus, l’histoire de l’Europe et de l’islam est jonchée de guerres de conquêtes et de soumissions. C’est le plus fort qui gagne, et la répartition géographique aujourd’hui entre pays musulmans et pays occidentaux en est la conséquence directe. La notion d’infidélité prévalait dans les deux camps, et les sujets de nouvelles terres conquises par l’un ou l’autre étaient soumis à la religion du vainqueur.
Mais ce piège rhétorique n’est pas dépisté. Il faut bien reconnaître aujourd’hui que le conflit entre les deux civilisations ne dépend plus des différences qui pourraient exister ou non entre les deux systèmes religieux. L’un comme ‘autre s’immisçaient profondément dans la vie familiale, économique et culturelle des masses populaires. Aujourd’hui, la guerre ne se situe plus sur le plan de la conflictualité des cultes.
Le citoyen du monde libre qui assume sa civilisation, à l’opposé d’un citoyen naturalisé non par identification mais par opportunisme, éviterait de perdre du temps s’il répondait: «Vous avez raison. L’islam comme le christianisme sous ces différents dérivés écrasent la dignité humaine, mais ce n’est pas ce qui vous oppose à nous».
L’Europe occidentale a depuis plusieurs siècles quitté le chemin de la guerre. Les deux guerres mondiales, ou encore les campagnes napoléoniennes n’étaient pas des guerres de religion. Le plus grave, c’est que lorsque l’habitant autochtone du monde libre veut vérifier s’il est réellement agressé ou s’il n’en a que l’impression, il réfléchit en termes de notions qui se rattachent aux guerres de religion moyenâgeuses. «Le musulman est-il dirigé par un chef armé qui vient m’attaquer? Est-il le citoyen d’un pays qui me déclare la guerre?» A la rigueur, il se demandera encore s’il a en face de lui un terroriste potentiellement armé à tous les sens du terme. «Est-il porteur d’une bombe ou d’un fusil mitrailleur, ou risque-t-il de s’en procurer? Est-il animé de mauvaises intentions à mon égard?»
L’hypothèse du conflit est d’emblée rejetée, car même quand des gangs armés inquiètent les autorités, la vigilance se rendort, comme dans l’affaire de Toulouse, sachant que ces armes ne sont pas à première vue destinées à s’en prendre aux Juifs, aux Occidentaux, ou aux «traitres» ayant pactisé avec eux. Elles entrent dans le cadre «normal» d’une criminalité de droit commun, au même titre que le recel, la drogue ou le braquage.
Le citoyen libre n’est donc absolument plus à même de penser en termes stratégiques, ou de se dire qu’une nouvelle guerre se fait insidieusement, sans armes, par invasion piétonne ou motorisée, non plus par des militaires mais des par des civils qui peuvent s’en passer et occupent la place en chassant le premier occupant d’une manière légale, légalisée ou qui reste clandestine. (Voir: Une guerre sous anesthésiant).
De surcroît, la liberté, l’égalité et la fraternité ont été si bien assimilées par l’esprit du citoyen honnête qu’il finit, par excès de tolérance et absence totale de suspicion, par considérer que la nationalité française, anglaise ou belge, n’est qu’une affaire de papiers. L’étape suivante consiste à considérer que la naturalisation n’est pas assez importante – puisqu’il ne s’agit que simples papiers sans valeur réelle – pour empêcher à un individu de prendre les rênes par le vote. Certes, il faut bien reconnaître qu’un pays comme la France s’est largement construit d’immigrations successives, mais le caractère d’un pays n’est pas seulement forgé à partir de la bonne volonté du dit pays.
Il dépend aussi considérablement de l’attitude de l’immigrant, et c’est elle qui fera toute la différence. Il ne faut pas mépriser son sentiment. S’il aime le pays dans lequel il est accueilli, même s’il peut naturellement ressentir une nostalgie d’intensité variable de son pays natal, il s’intégrera sans problèmes. Et même s’il peut ressentir une certaine rancœur vis-à-vis de gens mieux installés que lui après son arrivée, ses enfants feront partie intégrante de la nation. Quant aux Juifs qui se savent en exil, ils savent aussi en principe se montrer reconnaissants envers les pays d’accueil à l’épanouissement desquels ils contribuent largement, et monteront en Israël en gardant toujours un sentiment bienveillant envers le pays qu’ils auront quitté.
Mais lorsque l’immigrant est animé d’un sentiment de haine, de mépris voire de conquête, et qu’il déclare, profitant de la liberté d’opinion et d’expression: «Nous allons utiliser la démocratie comme une arme contre vous», il faut se garder de se montrer condescendant et attendri en se disant: «Bof, ça lui passera, le temps qu’il s’imprègne de la langue et des avantages inégalables que confèrent à tous les points de vue le système démocratique, il se mettra lui-même à rire en se demandant comment il avait pu penser comme ça».
Car il s’agit, une fois encore, d’une forme moderne de guerre paradoxalement véhiculée par des civilisations bloquées avant le moyen-âge. Certains principes proclamés haut et fort par les conventions et déclarations sur les droits de l’homme sont généreux a priori mais inapplicables dans un contexte réel. Même les tribunaux internationaux établis pour traiter de crimes de grande envergure, qui devraient partir d’une bonne intention, pour l’ex Y
ougoslavie ou le Congo, ou plus généralement la CPI, s’embourbent pendant des années en raison des amendements toujours remis en question et réactualisés en fonction des cas de figure. Ces instances craignent en effet d’établir un verdict hors contexte, et préfèrent se préserver d’inclure la peine de mort dans leurs options ou des peines excédant trente ans, sans compter que les peines ne sont pas cumulables, ce qui peut donner des résultats surprenants. En l’occurrence, toutes les chartes des droits de l’homme sont d’accord sur le fait que tout individu a le droit de vivre où bon lui chante sur la surface de la planète.
Techniquement, il faut tout de même être équipé d’un passeport et même souvent d’un visa, justifier par des raisons tangibles la volonté d’être accepté dans un nouveau pays. Mais si une population d’un milliard d’habitants émigre pour n’avoir jamais su exploiter rationnellement les ressources de sa région et ruiné leurs pays, et se met à se déplacer massivement, à pied ou dans toutes sortes d’embarcations, selon les conditions géographiques, pour submerger des Etats qui ont mis des siècles à se construire socialement et économiquement, il faudrait peut-être alors penser à un alinéa garantissant le droit des civilisations qui se sont prises en charge à préserver leurs acquis.
Donc, le conflit qui oppose la société islamique à la société chrétienne n’est que rhétorique, car ce n’est absolument plus une question de religion pour l’Europe. Les pouvoirs moyenâgeux occidentaux se servaient de la religion pour interdire aux peuples de penser et d’évoluer exactement comme l’islam le fait aujourd’hui pour annihiler toute volonté de développement. Il suffit de se rappeler le danger encouru par les observateurs qui ont constaté que la terre est ronde. Si la civilisation occidentale est si attractive aujourd’hui, et que les mouvements migratoires humains s’inscrivent quasi exclusivement dans un mouvement de convergence vers l’Europe ou l’Amérique du Nord, c’est dû précisément au fait que la religion imposée jadis à ces civilisations qui n’avançaient pas plus au niveau du respect de la personne humaine que de l’essor scientifique et économique, a été supplantée par la laïcité et/ou réduite au cercle privé.
En ce qui concerne les religions, islam et christianisme, la différence ne se situe pas sur le plan de l’essence, mais de la forme. Or, les islamistomusulmans refusent catégoriquement de renoncer comme les Européens à la religion qui leur a été imposée par toutes sortes de conquérants, ou de la réduire au cercle de la vie familiale ou paroissienne, dans le sens où cette dernière ne déborde pas au-delà des murs du lieu de culte.
Cette attitude expansive, à laquelle ont renoncé les chrétiens mais pas les islamistes, n’est pas seulement gênante pour les pays d’accueil forcé, mais pour tous les ressortissants de pays dits de développement qui veulent tourner la page et profiter du progrès socioculturel européen, mais qui sont rattrapés, menacés voire soumis à des congénères qui s’expatrient jusqu’aux pays libres pour y charrier leur système totalitaire, et répandre le crime dans toute son horreur.
Ce ne sera que lorsque cette nuance de taille sera bien comprise que les pouvoirs européens auront la volonté et a détermination d’étendre la séparation de l’Eglise et de l’Etat à la mosquée. Une fois encore, il faut sortir des anciens systèmes de pensée. Ce combat n’est pas réservé à ‘extrême droite et contrée par la gauche, qui peut s’avérer plus nocive que la précédente, lorsqu’elle laisse les extrémistes passer de la parole au crime.
Là encore, l’impossibilité générale de raisonner sur le danger de la gauche radicale dérive de la stratification des mentalités dans les anciens dangers d’une extrême droite identifiée encore aux royalistes qui ont tenté de remettre en cause les acquis de la Révolution ou des problèmes de l’Allemagne nazie et de l’Italie fasciste. On oublie que la gauche ne lutte plus aujourd’hui pour les droits des couches les plus pauvres des populations indigènes, mais lèse au contraire ces dernières au profit des populations montantes qui risquent, si elles n’adoptent pas la mentalité des pays d’accueil, de les faire sombrer come leurs pays d’origine.
Yéochoua Sultan pour israel-flash son site
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Hollande, la trahison débute (Israël Flash).
Avant même la prise du pouvoir qui aura lieu le 15 mai, Hollande débute la trahison à l’égard d’Israël. Dhimmitude exécrable de la gauche !
L’ancien premier ministre socialiste, Michel Rocard, est parti aujourd’hui en mission en Iran pour tenter de relancer les relations entre les deux pays, après l’élection de François Hollande à la présidence de la République, a-t-on appris auprès de son entourage. A Téhéran, Rocard devrait rencontrer le ministre des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, ainsi que Saïd Jalili, le négociateur en charge du dossier nucléaire. Sa visite doit durer trois jours. François Hollande en a été informé, mais on ignore si l’ancien premier ministre est porteur d’un message de sa part aux autorités iraniennes.
Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les relations entre la France et l’Iran se sont détériorées, Paris apparaissant en pointe dans les efforts internationaux pour empêcher la république islamique de se doter de l’arme nucléaire. « Les Iraniens connaissent bien Michel Rocard, nous a déclaré Michel Dubois, un collaborateur qui l’accompagne. Nous espérons que sa visite facilitera les premiers contacts entre le prochain gouvernement français et l’Iran ».
Face à ses interlocuteurs iraniens, l’ancien premier ministre devrait plaider pour une approche française moins « pure et dure » vis-à-vis de l’Iran. En 2010, les responsables iraniens avaient accepté la médiation de Michel Rocard afin de faire libérer la chercheuse française Clotilde Reiss, retenue à Téhéran. Mais cette médiation s’était heurtée alors au refus du gouvernement Fillon.
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Guerre ? (Slate.fr).

Avec un nouveau gouvernement d'union nationale et la ralliement au Premier Ministre Benjamin Netanyahou du parti centriste Kadima et de son leader Shaoul Mofaz, les Etats-Unis s'inquiétent sérieusement d'une attaque israélienne des installations nucléaires iraniennes à tout moment. Sachant que si cette guerre «préventive» a lieu, ce sera avant l'élection présidentielle américaine de novembre qui rend plus difficile pour l'administration Obama de contraindre par des sanctions le gouvernement israélien à ne pas se lancer dans une aventure militaire.
Le sentiment de l'imminence d'un conflit est partagé par le chroniqueur du Washington Post Charles Krauthammer. Il explique que la formation d'un gouvernement d'union nationale en Israël lui rappelle étrangement les évènements de mai et juin 1967 quand une alliance militaire entre l'Egypte, la Syrie et la Jordanie lancée dans un grand élan de nationalisme arabe par Nasser menaçait l'existence même de l'Etat d'Israël et qu'en réponse un gouvernement d'union nationale allait décider de se lancer dans la guerre préventive des six jours. «Quarante cinq ans plus tard, dans la nuit du 7 au 8 mai, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a surpris son pays en associant à son gouvernement Kadima le principal parti d'opposition… Parce que pour les Israéliens, aujourd'hui c'est mai 1967. Le temps commence à manquer… Israël fait face aujourd'hui à la plus grande menace pour son existence depuis mai 1967, l'arme nucléaire aux mains de mollah apocalyptiques qui ont publiquement annoncé l'annihilation d'Israël. Et le monde dit à nouveau aux Israéliens de ne rien faire…»
Un gouvernement d'union nationale n'est pas chose courante, y compris en Israël et même pendant les périodes de guerre et d'extrême tension. Tant que le scénario était celui d'élections législatives anticipées en Israël en septembre, l'administration Obama estimait qu'il n'y aurait pas d'attaque contre les installations nucléaires iraniennes avant octobre et que la fenêtre de tir pour l'aviation israélienne serait d'à peine quelques semaines. Mais avec un gouvernement d'union nationale disposant d'une très forte majorité au parlement tout change.
Pour Voice of America, cela ne signifie pas qu'il existe aujourd'hui un consensus au sein du cabinet israélien pour attaquer l'Iran, mais que si un consensus est trouvé, il aura bien plus de force car il sera appuyé par une large majorité des forces politiques du pays. La radio publique américaine rappelle aussi que le dirigeant de Kadima, Shaoul Mofaz, d'origine iranienne et ancien chef d'état-major de l'armée israélienne, déclarait il y a un mois dans une interview que: «permettre à l'Iran d'obtenir une capacité nucléaire changerait les rapports de force dans la région et qu'Israël ne peut pas l'accepter»
Le ministre de la défense israélien Ehud Barak a été plus explicite en expliquant le 1er mai qu'à ses yeux: l'Iran disposant d'une arme nucléaire est plus dangereux qu'une attaque contre l'Iran. «Je pense que cela est bien compris à Washington et à Jérusalem qu'aussi longtemps qu'il y aura une menace existentielle contre notre peuple, toutes les options pour empêcher l'Iran d'avoir une armé nucléaire doivent rester sur la table. J'ai suffisamment d'expérience pour savoir qu'une option militaire n'est pas simple. Cela sera compliqué avec des risques associés. Mais une République islamique d'Iran radicale avec des armes nucléaires sera plus dangereuse pour la région et pour le monde».
Et Charles Krauthammer de conclure son éditorial: «Netanyahou a annulé les élections de septembre qui lui auraient donné quatre années de plus au pouvoir. Il a choisi à la place de former une coalition nationale qui lui garantit 18 mois de stabilité - 18 mois durant lesquels, si le monde n'agit pas pour stopper l'Iran (par la diplomatie ou d'autres moyens), Israël le fera».
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L'opinion d'une Juive rescapée de la Shoah sur l'attitude des nations envers Israël aujourd'hui.
Marceline Loridan-Ivens
Mais qu’est-ce que vous a fait Israël ?
Quel est ce chœur unanime de condamnations contre Israël ?
Quel est cet ensemble vertueux qui désigne Israël comme LE coupable absolu ?
Quel est ce tribunal planétaire où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète ?
Il y aura même eu un imam iranien pour affirmer que l’éruption du volcan islandais était la punition divine des crimes du « régime sioniste ».
De Dominique de Villepin à Noam Chomski tous se sont précipités dans les télévisions pour dénoncer « l’incroyable crime » commis par les soldats israéliens !
Trop de bonne conscience tue la conscience.
Trop, c’est trop !
Qu’est ce que nous dit cet accablement ?
Qu’il y aurait un Etat de trop sur la terre ?
Non, bien sûr! Israël possède de nombreux amis qui lui écrivent des lettres d’amour, pleines de conseils en forme d’épitaphe. Il y a même une célèbre journaliste américaine qui conseille aux Israéliens de rentrer
« chez eux".
Chez eux ?
J’avais fait, il y a longtemps, le choix de la pensée universelle. Bien que je fûs déportée parce que j’étais juive, j’ai cru que l’humanité, l’idée d’humanité, était plus forte que la charge des origines.
Près de soixante ans plus tard dois-je faire le constat de mon erreur ?
De quoi Israël est il coupable ?
Pourquoi une telle mauvaise foi planétaire ?
Numéro tatoué sur le bras gauche à Auschwitz-Birkenau : 78750
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Iran : les services de renseignement arrêtent ceux qui se convertissent au christianisme
Europe Israël
Les Iraniens se convertissent par milliers et le régime panique : c’est une menace à la sécurité nationale. Les services de renseignement brûlent des bibles par milliers…
Les ayatollahs iraniens sont frustrés que les Iraniens abandonnent l’islam pour le christianisme en grand nombre malgré la menace d’exécution pour apostasie.
Un ancien officier de renseignement de la Garde révolutionnaire, qui a fait défection en Europe, a déclaré au Daily Caller que le régime iranien avait ordonné aux services de renseignement intérieur d’utiliser des mesures draconiennes pour mettre fin aux conversions – y compris l’emprisonnement, la torture et la destruction massive de bibles par le feu.
La source du Daily Caller a indiqué que dans la seule ville de Shiraz, dont la population excède un million, le siège social du renseignement possède 30.000 dossiers sur des musulmans convertis au christianisme. « Les espions des Gardiens de la révolution ont désigné des unités dans les grandes villes à travers le pays, avec l’ordre d’infiltrer leurs groupes, d’identifier les pasteurs et les membres, puis de les arrêter et de les forcer, sous la torture, à avouer des activités criminelles et des relations avec Israël ou les USA », a-t-il affirmé.
L’une des méthodes de torture consiste à battre les épouses des convertis en leur présence pour les amener à collaborer. D’autres convertis sont enfermés pendant des semaines dans l’obscurité totale dans des cellules de type cachot sans aucun contact humain, de sorte qu’ils perdent la notion du temps.
Des dizaines de milliers de bibles importées en contrebande ont été confisquées et brûlées par les Gardes sous les ordres du régime islamique. Dans un cas, selon la source du Daily Caller, le bureau du guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a ordonné aux Gardiens de brûler toutes les bibles confisquées pour empêcher les conversions. Le bureau de Khamenei a déclaré que la bible n’est pas considérée comme un livre saint.
Source : Iranian intelligence agents target, arrest Christian converts, The Daily Caller, 5 mai 2012. Extrait traduit par Poste de veille
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