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Nouvel édifice juif à Hébron (Israel7).

Au milieu de la nuit, à Hébron, un groupe de plusieurs dizaines de personnes s’est introduit dans un édifice acquis au prix fort. Cet édifice est situé à proximité du parking près du Caveau de Makhpela, les tombeaux des Patriarches et des Matriarches. Des forces de police et de l’Armée sont arrivées sur place. Les pionniers juifs leur ont montré les documents en bonne et due forme attestant de l’acquisition légale.

Sur place se trouvent des familles composées d’hommes, de femmes et d’enfants ainsi que de bébés qui s’organisent pour leur premier Shabbat dans leurs nouvelles demeures.

Les nouveaux résidents ont prononcé la bénédiction : « Que soit béni le Nom pour nous avoir octroyé le privilège de poursuivre l’œuvre d’Abraham, notre père, qui avait acheté le Caveau de Makhpela il y a 4000 ans de cela. Aujourd’hui, nous, ses descendants, nous marchons sur ses pas et nous avons acheté un immeuble sur le même site. Nous renforçons la présence de ses descendants dans la cité des Patriarches. Nous en appelons au Gouvernement d’Israël d’encourager et d’élargir la poursuite de l’implantation juive à Kyriat Arba – Hébron, la cité des Patriarches par la délivrance d’autres maisons et d’autres terrains. »

Le député Michael Ben-Ari (Ihoud Léoumi) a déclaré : « Il est temps de réintégrer toutes les demeures de la cité des Patriarches qui ont été volées par l’ennemi. Si déjà on évoque l’Etat de Droit, la première des choses consisterait à permettre aux Juifs de retourner dans les dizaines de maisons qui appartenait à la Communauté juive jusqu’en 1929. »

Ce matin, le député Ariéh Eldad (Ihoud Léoumi) a béni les pionniers de Hébron pour l’acquisition de ce nouvel immeuble à Hébron et a lancé un appel au Gouvernement d’Israël de « respecter le droit d’acquisition d’un bien et de s’abstenir de toute tentative d’empêcher des Juifs d’habiter partout sur la Terre d’Israël, et a fortiori dans la Cité des Patriarches où des Juifs habitaient dans des maisons où ils ont été massacrés et expulsés par les Arabes. Aujourd’hui, c’est une grande réparation historique qui a été accomplie, même si ce n’est pas le Gouvernement d’Israël qui l’a entreprise. Toutefois, il est demandé au Gouvernement de ne pas compromettre cette belle chose. »

 

 

 

Bombre iranienne (Lessakele).

Révélations : Plus de 60 experts nucléaires travaillent, nuit et jour, à fabriquer une bombe nucléaire iranienne

 

 

MalekAshtarUniversity

 

L’Université Malek Ashtar : QG du projet de bombe nucléaire

 

 

L'un des principaux courants d’opposition iranienne, le Mujahedin-e-Khalq (MEK ou PMOI) a révélé, samedi 12 mai, les noms et adresses de 60 experts iranins employés au sein de 11 agences iraniennes différentes sous le contrôle du Ministère de la Défense iranienne. C’est la première fois qu’est révélée en détail, la structure hautement secrète de l’organisation centrale, se consacrant à fabriquer une arme nucléaire – et, pour être plus précis, plus le Ministère de la Défense sous le haut commandement du Corps des Gardiens de la Révolution, qui gère également le site d’enrichissement d’uranium de Fordow.

 

 

L’information mise à jour le 12 avril, a été fournie par des “sources au sein des agences du régime iranien, y compris des institutions militaires”.

 

 

Elle contredit la conclusion fondamentale atteinte par les Etats-Unis et les cinq puissances nucléaires mondiales, ainsi que l’Agence Internationale à l’Energie Atomique (AIEA), selon laquelle le programme nucléaire iranien ne serait pas dirigé par une organisation unique  – ce pourquoi ils sont entrés en négociation avec Téhéran. Plus que tout, elle réfute un autre argument-clé tenu pour vrai par l’Occident, qui veut croire que l’Iran n‘a pas encore décidé de fabriquer effectivement une arme, parce que le Guide Suprême de l’Iran, Ali Khamenei, aurait prétendu que ce serait un « péché ».

 

Le Mujahedin-e-Khalq, que Téhéran accuse de collaborer avec les renseignements des Etats-Unis et d’Israël, dans le cadre des assassinats de ses scientifiques nucléaires, a, selon les sources en Iran et du renseignement de Debkafile, clairement programmé l’agenda de la publication de ses découvertes,11 jours avant que les six puissances mondiales ne oivent tenir un second cycle de pourparlers nucléaires avec l’Iran, à Bagdad, le 23 mai.

 

 

En prévision de cette rencontre, des sources dans l’Administration américaine ont fait savoir qu’un accord de compromis était en voie de progresser, grâce aux filières de discussion directe en coulisse, entre Washington et Téhéran et qu’il avait de bonnes chances de se concrétiser avant même la rencontre. Il consisterait en trois points d’accord : permettre l’enrichissement d’uranium de se poursuivre, jusqu’à 5% d'épurement ; interdire l’enrichissement d’uranium au-delà de 20% ( c’est-à-dire interrompre effectivement le travail en cours à Fordow) ; et exporter tous les stocks iraniens d’uranium à 20%, de façon à empêcher l’Iran de l’utiliser pour produire une bombe.

 

 

Selon les sources dans le renseignement iranien de Debkafile, rien d’un tel accord n’est réellement crédible. Téhéran ne souhaite pas plus arrêter son enrichissement d’uranium à plus de 20% que fermer son site de Fordow. C’est même exactement le contraire : l’hebdomadaire de Debka sur internet, la seule revue occidentale qui suit de près les négociations secrètes américano-iraniennes, a cité la semaine dernière un message de Khamenei au Président Barack Obama, qui refuse radicalement de fermer Fordow, dont l’unique objectif est de produire de l’uranium à un niveau de 20% d’enrichissement, qui fournit le carburant nécessaire à atteindre le seuil proche qui précède l’obtention de bombes atomiques.

 

Après avoir obtenu le consentement de Washington qu’il puisse produire un enrichissement à 5% - malgré les fermes protestations d’Israël – Téhéran s’est senti encouragé à se battre pour obtenir aussi facilement le droit d’en produire à 20%. Le seul point d’accord probable serait de s’en tenir à un plafond concernant la quantité exacte autorisée.

 

D’autres sources américaines plus récentes ont affiché leur optimisme quant au fait que les discussions secrètes puissent parvenir à un succès, Téhéran admettant pour la première fois qu’il s’était engagé à développer une arme nucléaire, ce qu’il a démenti jusqu’à présent. Cela préparerait le terrain pour une négociation ouverte sur ce sujet.

 

En tout et pour tout, Jérusalem met en cause l’acceptation américaine de l’accord mentionné ci-dessus comme étant « un mauvais accord pour Israël ». Il refuse d’entériner quoi que ce soit, à moins d’un arrêt complet et immédiat de tout enrichissement d’uranium, la fermeture de Fordow et la suppression de la moindre bribe d’enrichissement d’uranium en Iran. Cette position a été fermement rappelée, face à la directrice exécutive des affaires étrangères de l’Union Européenne, Catherine Ashton, par le Premier ministre Binyamin Netanyahou et les chefs de son gouvernement d’unité, le Ministre de la Défense Ehud Barak, le Ministre des affaires étrangères, Avigdor Liberman et l’adjoint au Premier ministre récemment désigné, Shaul Mofaz, mercredi dernier, 9 mai.

 

Elle est arrivée à Jérusalem, un jour après la formation et l’extension du gouvernement Netanyahou, pour connaître sa position au sujet de la question iranienne.

 

Le document exhaustif et détaillé du Moujahedin e-Khalq présente un tableau totalement nouveau, celui d’un programme de production d’armes nucléaires très avancé et centralisé, bien différent de celui mis en scène par les Etats-Unis et ses négociateurs permanents sur le nucléaire – et même de celui imaginé par certains cercles en Israël.

 

 

En réfutant les croyances d’après lesquelles l’Iran n’a pas effectivement commencé à fabriquer de tête ou de bombe nucléaire, le groupe d’opposition iranien ouvre un nouveau chapitre qui tend à démontrer que l’Iran a, depuis longtemps, dépassé le stade de la décision et s’est, depuis, envolé à vitesse accélérée vers la construction de la bombe.

 

 

Il révèle que le projet se réalise  sous la tutelle des “quartiers généraux du SPND (de la Nouvelle Organisation de la Recherche pour la Défense) du Ministère de la Défense iranien, sur le site de Mojdeh, dans la zone ouest de l’Université Malek Ashtar, dans la région de Lavizan ».

 

(Cette université avait d’abord été mise en évidence en 2009, en même temps que trois campus à Téhéran, Ispahan et Urma.)

 

Là où le document surprend et apporte de nouveaux éléments, c’est qu’il détaille les 7 sous-sections du SPND, « chacune d’entre elle menant des recherches et des expériences dans un champ spécifique » :

 

 

1. Travailler aux principaux éléments nécessaires à la bombe, c’est-à-dire l’uranium enrichi et le matériau fissile.

2. Façonner et modeler le matériau requis, y compris les éléments de métal, nécessaires à fabriquer une ogive

3. Produire les métaux requis pour fabriquer une ogive nucléaire.

4. Produire des matériaux hautement explosifs utilisés pour déclencher une bombe nucléaire.

5. Conduire des recherches sur des matériaux chimiques avancés.

6. Etablir des plans directeurs et réaliser les calculs électroniques requis pour la fabrication d’une ogive nucléaire.

7. Activités laser appliquées dans le domaine nucléaire.

 

Pour chaque subdivision, le document du Mujahedin-e-Khalq a produit les diagrammes de sa structure interne en plus des noms complets et adresses de chacun de ses chefs, officiers, chercheurs et bureaux de liaison, au sein des différents départements. Certains sont fournis avec leurs numéros de téléphone fixe et cellulaire. L’information est dite mise à jour pour le mois d’avril 2012.

 

En réponse à ces révélations, certaines sources proches des responsables américains les ont commentées en disant qu’elles ne pouvaient être confirmées et qu’ils restaient sceptiques en ce qui concerne la crédibilité de ce document. Nos sources du renseignement font savoir que, jusqu’à présent, au cours des neuf dernières années, toutes les découvertes antérieures de ce groupe iranien se sont avérées exactes.

http://www.debka.com/article/21999/

DEBKAfile Reportage exclusif May 13 mai 2012, 9:00 AM (GMT+02:00)

Adaptation : Marc Brzustowski. 

 

 

 

Mali : à Tombouctou, les chrétiens deviennent la cible des islamistes (Europe-Israël).

Au Mali comme en Syrie , les islamistes ont les mêmes tactiques. Dès qu’ils prennent le contrôle d’une ville, ils pillent les habitants non-musulmans et les chassent, quand ils ne les massacrent pas.  Les islamistes ne font que suivre scrupuleusement les enseignements de l’islam (Coran et Sunna).

Après la prise de Tombouctou début avril par des groupes islamistes et la profanation, vendredi 4 mai, du mausolée d’un des saints musulmans de Tombouctou, les chrétiens ont déserté la ville malienne. Depuis une semaine, les biens des chrétiens sontspécifiquement visés, et pillés selon les différents témoignages qui sont parvenus à La Croix. Les musulmans qui ne partagent pas la même conception de l’islam qu’eux sont aussi menacés.

Depuis quelques jours, les maisons des chrétiens sont cambriolées méthodiquementpar les islamistes

Mercredi 9 mai, un notable de Tombouctou raconte : «Aujourd’hui, des islamistes du mouvement Ansar Dine sont venus à bord de cinq Toyota avant de défoncer les portes de la maison du pasteur Nouh Ag Infa Yattara, un pasteur baptiste très connu dans la ville pour avoir converti de nombreux Touaregs au christianisme. Des voisins se sont interposés, les suppliant de ne pas s’en prendre à cette demeure. “C’est la maison d’un chrétien, le pasteur Nouh. Si on l’avait trouvé ici, il aurait été un homme mort”, leur ont répondu les islamistes. Tous les biens du pasteur ont été pillés.»

Jeudi 10 mai, selon ce même témoin, les islamistes occupaient toujours la maison de ce pasteur tandis que d’autres s’attaquaient à la résidence du pasteur Abdoulaye Cissé. […]

«Les leaders de la communauté chrétienne de Tombouctou sont recherchés par les islamistes» , témoigne un chrétien de Tombouctou, réfugié à Bamako : «Nos amis musulmans nous ont alertés sur l’existence d’une liste noire dressée par les salafistes sur laquelle on trouverait tous les noms des leaders de la communauté chrétienne.» […] D’autres lieux ont été visités par les islamistes, comme L’Arche de Noé, l’orphelinat chrétien de la ville. .[…]

Source : La Croix du 11 mai 2012

maliactu.net

 

 

France : la nuit des morts vivants (Guy Millière pour Dreuz.info).

Je n’aime pas les films d’horreur. Je n’en ai pas moins assisté le 6 mai dernier au soir à la réalisation d’un film d’horreur. En direct. Une semaine s’est écoulée depuis. Les images vues ce soir-là ne s’effacent pas. Elles ne constituent sans doute que le prologue à bien pire.

Ces images ont été, bien sûr, celles de la place de la Bastille, cet endroit où la gauche se plait à célébrer ses victoires électorales, sans doute parce que s’y sont enclenchés en 1789, les engrenages qui allaient mener, un peu plus de trois années plus tard à la Terreur et à la loi des suspects. Elles ont été celles de la noce barbare où se sont mêlées les couleurs de tout le dar el islam et celles des léninistes, des simples marxistes, des homosexuels et des brouteurs d’herbe bleue. J’en ai déjà traité en renvoyant à mon livre, Face à l’islam radical*. J’aurai l’occasion d’y revenir.

Ces images ont été celles des dirigeants socialistes venant parler aux participants à la noce et débiter des discours ineptes ou odieux, parfois les deux à la fois : parler de redressement du pays après le désastre, comme cela s’est fait, montrait que ces gens n’avaient aucune honte ou avaient perdu tout contact avec la réalité.

Ces images ont été aussi celles venues de Grèce. Les partis qui ont remporté les élections en Grèce se situent à l’extrême gauche et à l’extrême droite. Un parti ouvertement national socialiste a même fait son entrée au parlement. Aucun de ceux qui ont reçu les suffrages de la population grecque n’est en mesure de former un gouvernement. Aucun ne propose la moindre réponse viable à une situation déjà catastrophique. Voir un peuple entrer dans la spirale de la destruction collective a une dimension pathétique et cauchemardesque. Les Grecs sont, sur ce plan, plus avancés que les Français. La France néanmoins est engagée dans un chemin destiné à s’achever dans des impasses identiques, car le programme économique de François Hollande est absolument irréalisable.

Il n’y a pas eu, le 6 mai, d’image venue d’autres pays d’Europe, mais si des images étaient venues d’Espagne, d’Italie ou du Portugal, elles n’auraient pas été plus encourageantes.

En France, on voyait des gens faire la fête. En Grèce, on voyait des gens le surlendemain des fêtes, lorsque l’ivresse est effacée et que reste la dévastation. On aurait pu voir des gens ressemblant aux Grecs par leur tristesse et leur désarroi en Espagne, en Italie, au Portugal. On verra bientôt des gens de ce type en France : on pourrait d’ailleurs déjà les voir si on montrait quelques uns des dix millions de pauvres que compte le pays.

Ceux qui faisaient la fête place de la Bastille ne pensaient pas aux dix millions de pauvres. Ils ne pensaient pas aux lendemains, lorsqu’ils rejoindraient aux aussi la cohorte des pauvres.

Certains d’entre eux citaient Mohamed Merah comme leur héros. On sait dans quelle direction ce type de héros peut conduire.

La réalité est que l’Europe se rapproche de l’abîme.

Une population musulmane frustrée et gagnée par le ressentiment y coexiste avec des populations de souche européenne en désarroi, proches du désespoir, d’autres Européens qui s’imaginent avoir encore le luxe de pouvoir s’offrir des fantasmes de « justice sociale », et d’autres Européens qui cherchent la porte de sortie et quittent l’asile d’aliénés.

Des gens porteurs de capital humain et intellectuel s’en vont, des gens sans capital humain et intellectuel arrivent et attendent la rente qu’il n’est plus possible de payer.

Les Etats providence sont en train de s’effondrer parce que ceux qui payaient, contraints et forcés, s’évadent vers d’autres cieux ou travaillent moins et paient moins tandis que ceux qui reçoivent sont de plus en plus nombreux.

La zone euro a mis ensemble des pays qui n’avaient ni le même fonctionnement économique, ni les mêmes structures politiques, ni les mêmes cultures. Il n’existe aucune variable d’ajustement permettant de prendre en compte les différences qui séparent l’Allemagne ou les Pays Bas des pays d’Europe du Sud.

La Grèce, sauf miracle, va bientôt quitter la zone euro et déposer son bilan, dans le bruit et la fureur. L’Espagne et le Portugal vont continuer à se noyer.

La France va entrer dans une zone de fortes turbulences.

François Hollande veut de la croissance ? Et il pense que l’Allemagne va payer par l’européanisation et la mutualisation des dettes ? Angela Merkel sait qu’au vu du vieillissement de la population, elle a besoin de l’épargne allemande pour les jours difficiles qui s’annoncent en Allemagne à moyen terme. Elle sait aussi que laisser la France faire faillite aurait des conséquences dramatiques pour le continent. Alors ? Je ne pense pas qu’Angela Merkel cédera au chantage. Ce n’est pas celui qui vient la sébile à la main qui dicte ses conditions. Pour des motifs diplomatiques, des concessions verbales verront peut-être le jour ; c’est ce que François Hollande pourra obtenir de mieux : des concessions verbales.

François Hollande propose que la Banque Centrale Européenne aie recours à de l’inflation, ce qui dévaluerait l’euro, et ne remédierait pas aux problèmes structurels de la zone euro (toute augmentation de la masse monétaire est un processus inflationniste). Or, les Allemands ont horreur de l’inflation et les dirigeants allemands savent que l’inflation n’est jamais un remède. Les Allemands surmonteront-ils leur horreur de l’inflation et accepteront-ils un dévaluation de l’euro ? J’en doute. Peut-être accepteront-ils tout au plus la création de « project bonds », titres de projets, censés financer des projets européens qui ne verront pas le jour.

François Hollande veut emprunter davantage et recourir à une relance par la demande ? Les financiers, qu’il a prétendu avec arrogance mettre au pas, vont assez vite le rappeler à l’ordre et lui dire qu’on ne peut continuer indéfiniment à maintenir des systèmes de dépense à base d’emprunts sans devoir songer à rembourser un jour, ou sans avoir à déposer le bilan.

François Hollande veut faire payer les riches et les grandes entreprises pour rééquilibrer les comptes. Et comment compte-t-il s’y prendre pour empêcher les entreprises et les riches de s’installer ailleurs ?

François Hollande ne pourra tenir aucune de ses promesses économiques, sinon de manière très provisoire (il lui restera ses promesses sociétales, telles le mariage gay, j’y reviendrai). Il va permettre à Jacques Attali de rééditer un de ses livres : ce ne sera pas « Tous ruinés dans dix ans », mais, version revue, « Tous ruinés dans deux ans ». Ce sera intéressant.

Y aura-t-il un retour au franc ? Ce n’est plus impossible. Surtout si la Grèce quitte l’euro.

Une alternance est-elle envisageable ? Dans l’état actuel des choses, je ne pense pas, non. L’UMP a le même maître à penser que Hollande, John Maynard Keynes. Le Front National a un programme économique écrit par des disciples de Jean-Pierre Chevénement, ce qui n’est vraiment pas un atout.

Qui propose un retour à l’esprit d’entreprise et une adaptation aux grands flux féconds de la globalisation ? Personne.

Le futur du monde ne s’écrira pas en Europe. L’Europe est en train de mourir. On a assisté le 6 mai à la nuit des morts vivants : tous ces gens semblaient vivre. Ils étaient déjà mort dans leur tête sans lucidité ni pensée. Ils seront plus morts encore demain.

Y a-t-il quelqu’un pour sauver le continent européen ? Je ne vois rien venir.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info

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