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Des cas de canibalisme avéré en Corée du Nord (Le Monde).

 

La Corée du Nord a déjà connu une grave famine à la fin des années 1990 (ici, les étals vides d'un magasin à Pyongyang en août 1997).
La Corée du Nord a déjà connu une grave famine à la fin des années 1990 (ici, les étals vides d'un magasin à Pyongyang en août 1997). | CATHERINE FIELD/AFP

Les faits de cannibalisme en Corée du Nord ont longtemps relevé de la rumeur fantasmatique dans ce pays en proie à des famines à répétition et dirigé par l'une des pires dictatures au monde. Pour la première fois, un organisme public sud-coréen aux travaux reconnus, l'Institut pour l'unification nationale (KINU), confirme et étaye, dans son Livre blanc annuel sur les droits de l'homme en Corée du Nord, qui paraîtra lundi 21 mai, l'existence de telles pratiques.

L'institut tire ses conclusions d'une enquête approfondie menée, en 2011, auprès de 230 transfuges nord-coréens. Au moins trois cas d'exécution publique sont avérés, entre 2006 et 2011, en Corée du Nord pour des actes de cannibalisme. Certains témoignages de réfugiés nord-coréens citent des cas où les personnes ont mangé et vendu de la chair humaine sur les marchés en la faisant passer pour de la viande de mouton.

Le rapport relate ainsi l'histoire d'un habitant de la ville de Hyesan, au nord-est du pays, exécuté en décembre 2009, pour avoir tué et mangé une fillette. Les auteurs de l'enquête mentionnent aussi le cas de ce père et de son fils, condamnés à mort en 2006 dans la ville de Doksong pour avoir mangé de la chair humaine. Un autre fait similaire a été rapporté dans la ville de Musan (nord-est) en 2011.

DOCUMENT DE LA POLICE

En 2011, la mission Caleb, un groupe de missionnaires sud-coréens, était parvenue à récupérer un document de la police nord-coréenne, daté de 2009, relatant d'autres cas de cannibalisme et laissant entendre que le phénomène était plus étendu et récurrent dans un pays confronté à un contexte de situation de pénurie alimentaire.

Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies avait affirmé, en mars 2011, que près de 6 millions de personnes - surtout les femmes et les enfants - étaient gravement menacées par la famine. L'Union européenne (UE) et les Etats-Unis avaient relayé cette inquiétude en juillet, estimant que la pénurie alimentaire devenait " aiguë ".
Au cours de l'automne 2011, des témoignages recueillis par des ONG travaillant en relation avec des réseaux d'opposants à ce régime totalitaire, qui survit grâce à un véritable système basé sur la terreur, ont apporté des éléments qui confortaient ce diagnostic. Des populations civiles se regroupaient vers les gares dans l'espoir d'y trouver de la nourriture.

UN MILLION DE MORTS DANS LES ANNÉES 1990

Le site d'information sud-coréen Daily HK, animé par des transfuges avait révélé, fin septembre, que des militaires, eux-mêmes, confrontés à la faim en dépit de leurs privilèges, dépouillaient ces mêmes civils de leur maigre ration. La famine a déjà causé, selon l'ONU, la mort d'un million de personnes dans les années 1990.

Les organisations internationales connaissent pourtant de grandes difficultés à atteindre les populations en danger, notamment dans les zones rurales. Les Etats-Unis, qui ont envoyé à deux reprises, en 2011, leur propre mission d'évaluation, ainsi que la Corée du Sud, qui a fait de même, dénonçaient des détournements de l'aide alimentaire par les autorités nord-coréennes au détriment de la population.

Pour ces raisons, depuis octobre, seule une partie des fonds promis par l'ONU a été débloquée et les livraisons du PAM ont été interrompues à plusieurs reprises face aux contraintes imposées par le régime nord-coréen qui a coupé sa population du reste du monde limitant l'accès à son territoire. Les autorités de Pyongyang, pour leur part, se refusent à tout commentaire sur ces faits et se contentent d'agiter l'argument " du complot international " pour expliquer la révélation de ces informations sur la situation alimentaire du pays.

 

 

Immigration clandestine et délinquance en Israël (JForum.fr).

L’affaire du viol du Gan Ha’ir à Tel Aviv samedi dernier a déclenché en Israël des réactions sans précédent. Le lendemain une nouvelle affaire de viol éclatait : une scène de violence et de viol contre une Israélienne de 19 ans, dans le quartier de la Gare centrale (Tahana Merkazit). Il s’agissait cette fois d’un viol en meute, elle aurait été violée par quatre hommes, parmi eux des immigrés clandestins et réfugiés d’Afrique.

Depuis, une partie de la presse et des télévisions s’est emparée de toutes les affaires de violences, et de viols en particulier, en Israël. Avec de sérieuses différences néanmoins selon les médias. Selon certains journaux, on aurait tendance à penser que le viol est devenu pratique courante en Israël, pour d’autres, le sujet n’est presque pas abordé.

A la télévision, les débats s’animent avec une certaine tendance à vouloir démontrer que les immigrés clandestins ne sont pas plus violents que la moyenne des Israéliens et qu’il s’agit d’un gonflement politique de faits divers. En Israël aussi, les médias penchent du côté des bien-pensants. Mais dans l’autre sens, les déclarations politiques s’envolent. Le ministre de l’intérieur Eli Ishaï (Shass) a déclaré à la radio de l’armée qu’il faudrait "mettre en prison" tous les réfugiés et immigrés clandestins africains et les renvoyer dans leur pays ou dans un pays tiers. Il a encore dit : "nous sommes en train de perdre le pays, Eilat est envahie et le sud de Tel Aviv aussi. J’ai prévenu, j’ai averti". De son côté le ministre de la sécurité intérieure, Itzhak Aharonovitch, s’est rendu sur place dans le quartier de la Gare centrale et a appelé le ministre de l’intérieur à faire pleinement son travail.

Dans le même temps, les deux affaires qui ont provoqué le tumulte ont bien avancé pour la police, puisque tous les suspects ont été arrêtés. Le violeur du Gan Ha’ir, un habitant arabe de Judée-Samarie qui n’a que 21 ans, a été retrouvé et arrêté. Dans un premier temps il a nié le viol, affirmant n’avoir fait que voler le téléphone portable. Les tests ADN ont depuis montré qu’il mentait. De même, les quatre suspects dans l’affaire du quartier sud de Tel Aviv ont également été arrêtés.

La police a semble-t-il, rapidement agi. Reste à savoir à présent de quelle peine ils écoperont ? Reste à savoir en somme, si la justice suivra. Toutefois le problème reste entier, que peut faire Israël, d’une part du point de vue de l’hostilité arabe, d’autre part contre l’immigration clandestine ? Sur ce dernier point, des experts du Centre climatique d’Israël, menés par le professeur Arnon Soffer, ont donné un début de réponse dans un rapport publié la semaine dernière : face aux changements climatiques et à l’immigration clandestine en développement, Israël n’aura pas d’autre choix que d’ériger des barrières de sécurité infranchissables le long de toutes ses frontières, y compris le long des mers.

JForum – Misha Uzan



 

 

L’antisémitisme à l’école publique et dans le métro à Paris (JForum.fr).

Le BNVCA nous rapporte 2 agressions commises à Paris ce Lundi 14 et Mardi 15 Mai 2012 , sur la ligne 5 du métro et près de la station de métro "Laumière" , dans le 19ème arrondissement.

Tout d’abord, la première agression a eu lieu dans une rame de la ligne 5 du métro parisien, le 14/5/12 vers 19h15,quand un homme d’origine africaine s’en est pris à un homme qu’il a identifié comme juif.

La victime qui a demandé le soutien du BNVCA, est un homme français de confession juive, 48 ans, pharmacien.Mr Roger O...nous rapporte que, alors qu’il était assis dans le wagon de cette rame, l’auteur des faits s’adresse avec les injures "salope tapette tu es juif , t’as vu comment t’es habillé"...

la victime qui qualifie son agresseur de « voyou » se voit insulter d’une salve d’injures "sale juif"...et reçoit un coup au visage et à l’oreille droite.

Selon Mr Roger O... , contraint de faire stopper le métro, aucun des nombreux voyageurs témoins ne lui a apporté assistance.

Certains auraient même ricané.

L’agresseur en profite pour s’enfuir, non sans crier à sa victime" t’as pas de couilles sale juif salope ...ici tu es à Paris , pas ailleurs ".

Profondément choqué, Mr Roger O... a déposé plainte au commissariat de Police de Paris 10 ème, conformément aux recommandations du BNVCA.

Le BNVCA demande aux services de Police de saisir les disques de vidéos surveillance afin de permettre à l’enquête d’identifier l’auteur des faits que la victime a décrit dans sa déposition.

La victime nous a fait part de son sentiment mêlé d’humiliation , de révolte et d’impuissance, que partagent de nombreux concitoyens juifs, en dépit des mesures prises pas les institutions, mais qui ne sont pas parvenues à enrayer ce fléau réapparu avec une telle intensité depuis 12 ans, en même temps que l’Intifada lancée contre Israel, entretenue par une propagande organisée, et relayée tant par certains médias que par des partis politiques engagés.

Nous demandons à la police de tout mettre en oeuvre pour interpeller l’agresseur antisémite et le mettre à la disposition de la justice.

Le BNVCA qui recense le faits de nature antisémite constate que les agressions physiques se multiplient .

Le comportement de l’agresseur reflète la haine gratuite qui s’exprime contre nos compatriotes d’origine juive, et qui émane notamment de français ou étrangers qui appartiennent à des groupes ou des communautés qui se disent victimes de racisme .

Le lendemain, mardi 15 mai 2012 à 14h40 ,aux abords de la station de métro "Laumière" à Paris 19ème, un groupe scolaire du lycée "Sinaï" a fait l’objet d’insultes à caractère antisémite.

Ils ont été traités de "sale juif".

L’un d’eux s’est fait voler son téléphone portable après avoir reçu un coup de lanière sur la tête.

Le Lycée « Sinaï »

Selon nos informations, les élèves de l’école « Sinaï » se rendaient vers le Parc des Buttes Chaumont , accompagnés de leurs professeurs et de parents d’élèves, dans le cadre d’un cours de S V T(science de la vie) lorsqu’ils ont été pris à partie par les élèves d’une école publique eux aussi accompagnés par leurs professeurs qui n’ont rien pu faire pour empêcher leurs élèves d’agresser les enfants juifs.

Il a fallu l’intervention de passants pour faire cesser les attaques, jusqu’à l’arrivée de la Police qui a recueilli les identités des professeurs qui se sont eux refusés à fournir celles de leurs élèves mis en cause.

Le BNVCA considère que la responsabilité de ces professeurs est engagée.

Le BNVCA a décidé de saisir le rectorat de Paris à propos du comportement de ces élèves du Lycée Edouard Pailleron de Paris 19eme, et des professeurs qui les conduisaient. La DTSP de la Préfecture de Police de Paris est saisie de l’enquête.

Le. B. N. V. C. A qui se réserve le droit de se constituer partie civile, a recommandé aux victimes et au directeur de l’Établissement « Sinaï » de déposer plainte.

Le. B. N. V. C. A constate que les violences antisémites persistent et demande que tout soit mis en œuvre pour identifier les auteurs et les sanctionner sévèrement .

Le BNVCA se demande jusqu’à quand les juifs et particulièrement leurs enfants seront ainsi menacés, privés de vivre comme à Toulouse, ou simplement empêchés d’aller et venir, d’étudier, sans faire l’objet de cette insécurité antisémite qui se répand dans la société et dont la source, essentiellement causée par la propagande palestinienne a instillé cette haine d’Israel qui conduit à l’acte antijuif.

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L ’ANTISEMITISME 8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 0668563029

Le Président Sammy Ghozlan

Antisémitisme Paris Métro Ligne 5 Laumière Lycée Edouard Pailleron

Police Préfecture DTSP BNVCA lycée Sinaï Rectorat Alteracisme

Incivilité Lacheté Insécurité Buttes Chaumont Palestinisme Faits divers

Justice Parquet



 

 

Commentaire messianique de la Parasha de la semaine (Be'houkotaï) par Soucat David.

Be'houkotaï.pdf

Cliquez sur le lien ci-dessus pour accéder au commentaire de la Parasha de la semaine. Bonne lecture et Shabbat Shalom à tous !

 

Encore une photo palestinienne tout à fait authentique ! (le blog de Danilette).

 

Image Temporaire

Cette photo a été scandaleusement publiée par le journal l'Express pour illustrer un article sur les prisonniers palestiniens en Israël ! L'express s'est empressé de la publier sans commentaires ni aucun esprit critique, la photo a été fournie par l'AFP et prise par le photographe arabe Mahmoud Zayya [AFP / Mahmoud Zayya]

Comment le photographe (arabe) a-t-il pu prendre cette photo, comment pouvait-il être présent ? Le soldat à gauche n'est pas un soldat israélien, sans aucune discussion ou doute possible,  mais bien un Palestinien déguisé en soldat israélien, aucun soldat israélien ne porterait une telle chemise au tissu grossier dont on distingue la trame et les mauvaises coutures (sur la photo aggrandie)  ! La scène se passe devant un mur avec des affiches écrites en arabe donc en territoire palestinien et si des soldats israéliens avaient l'intention de faire ce genre d'interrogatoire ou de sévices, ils auraient choisi un autre endroit et ne se trouveraient pas à découvert ! Enfin, l'expression du jeune palestinien alors qu'il n'a pas moins de 3 armes pointées sur lui, révèle son jeu...

C'est complètement invraisemblable et cela rejoint la longue liste des manipulations palestiniennes mais l'AFP et l'Express sont complètement irresponsables de publier sans aucune vérification une photo d'un certain Mahmoud Zayya, c'est comme si un photographe taliban transmettait une photo à l'AFP montrant un prisonnier afghan torturé par des soldats français, quelle valeur aurait cette photo ? Est-ce que le journal l'Express aurait pris la responsabilité de la publier ?

Ce sont bien ces mêmes journalistes incendiaires qui crient ensuite au feu quand le feu de la haine pousse des Mohamed Merah à assassiner des enfants juifs pour venger les souffrances palestiniennes !

 

 

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