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Ava, l'infiltrée (Ava est un nom d'emprunt) ISRAEL INFOS

Après la guerre des six jours, son père est accusé d'espionnage, torturé et pendu. Sa grand-mère est assassinée devant sa porte.

Harcelée, maltraitée, la mère fuit avec ses enfants, traverse l'Iran et parvient en Israël.
Après ses années d'études supérieures au département des études sur le Moyen-Orient, Ava va travailler au contact de population très diverses dont des juifs pour s'intégrer et réussir; elle apprendra l'art du "déguisement".

Quelques années plus tard, épouse et mère elle s'installe aux Etats-Unis. Elle cherche un emploi et répond à l'annonce d'un organisme dont le but non lucratif est de trouver des informations sur le Moyen-Orient.

Elle parle Arabe, Hébreu, Anglais, elle recueillera à travers des publications en vente libre: revues, journaux et autres, des articles qui lui feront découvrir - avec un peu de recherche -la face cachée d'une gigantesque toile d'araignée, la H.L.F : Holy Land Fondation ou la Fondation de la Terre Sainte pour les Secours et le Développement.

Elle édite un fascicule dont le logo représente deux mains autour de la mosquée d'Al-Aqsa.
Le texte intérieur est en partie en anglais - des termes très mesurés- et une autre en arabe, qu'Ava traduit, imprécations virulentes ,incitation au djihad. Elle cherchera où va l'argent recueilli.

En 1992, la H.L.F dresse une liste des organisations de bienfaisance qu'elle chapeaute 30 y figurent, 39 dans le texte arabe.
Ava donnera des preuves de leur implication dans des attentats meurtriers contre des israéliens, des fournitures de planques, des caches d'armes. Toutes opèrent avec la plus grande facilité sur le sol américain.
Le H.L.F exonéré d'impôts alimente le Djihad.

Ava, après avoir constaté que les collectes de fonds sont annoncées, comme n'importe quelle autre information dans les différentes presses du pays, décide de se déguiser en musulmane -le physique, la langue aidant- et de se présenter dans des hôtels "huppés", les mosquées et parfois les bouges où se tiennent les réunions.

Sous ses grandes robes se cache le matériel du parfait espion et elle peut ainsi obtenir un grand nombre d'indications sur les hommes qui dirigent, sur les intentions, es créations de cellules...
Elle ne reculera devant rien: s'agenouillera pour participer aux prières, donnera sa contribution au terrorisme, adoptera financièrement l'enfant d'un "martyr".
Plus d'une fois elle manquera de se faire prendre. Elle découvrira des sigles tels que: P.I.J Palestinian Islamic Jihad; (reconnue organisation terroriste en 95, I.C.P le Comité Islamique pour la Palestine ou encore
W.I.C.E, le World and Islam Studies Entreprises
Chacune de ces associations ayant des ramifications, façades du terrorisme.

Toutes ayant pour responsables des hommes tels que:
Sami Al-Arian, professeur à l'Université de Sud-Floride à Tampa, Ramadan Abdallah Sallah, Economiste, Bashir Nafi, théologien,Spécialiste de l'Islam, Khalil Shikaki,chercheur,Docteur en sciences politiques à l'Université de Colombia,…

Et d'autres encore, tous bien installés dans le tissu social du pays.
Elle découvre que c'est dès les années 70 qu'Al-Ahrian, Ramadan et Nafi,tous trois palestiniens, étudiants à l'université du Caire, se rencontrent et que va germer l'idée du djihad.
Elle devient une spécialiste reconnue sur le sujet.

Les informations qu'elle recueille sont transmises au F.B.I qui n'en tient pas compte. Jusqu'au 11 septembre!

Ce livre est écrit avec une foule de détails qui ne peuvent que convaincre de la réalité des faits racontés.
Le lecteur est absolument sidéré de la liberté avec laquelle les organisations terroristes sous couvert d'humanitaire ont tissé, de l'Illinois à la Californie, de l'Indiana au Texas, des structures devenues des plaques tournantes du djihad.

On peut alors se poser la question - lorsque l'on sait qu'avant même le 11 septembre l'entrée aux USA était un exercice compliqué et "tatillon" - qu'en est-il de leur installation dans notre belle Europe, si accueillante ? Les prières dans les rues, la création de mosquées, ne seraient que la partie apparente de l'iceberg.

Je ne vous en ai donné qu'un bref aperçu de ce livre. Il mérite une lecture approfondie.Je vous la conseille.
Colette Busidan (L’Infiltrée – Anonyme, Presse Pocket).

NDLR : les dirigeants de la Holy Land Fondation ont été condamnés il y a trois ans pour financement d'organisations terroristes, fraude fiscale et blanchiment.
 

 

Histoire: "Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France..."

Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

(UN PEU D'HISTOIRE CAR CEUX QUI IGNORENT LE PASSE SONT CONDAMNES A LE REVIVRE..).

Haim

Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France à l’époque.

Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu’à Sens.

En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne. On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien. Les capétiens étaient en train de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne.

Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’Ouest des Pyrénées.

15.000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732.

Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continués à ravager l’Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages. (Ces bandes n’ont finalement été éliminées qu’en 808, par Charlemagne)

Les ravages à l’Est ont continué jusqu’à ce qu’en 737 Charles Martel descende au sud avec une armée puissante, et reprenne successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et mettent le siège devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France a obligé Charles Martel à quitter la région.

En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans. Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l’Ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans les harems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans.

La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l’actuelle La Garde-Freinet. Une zone d’environ 10.000 kilomètres carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée.

En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genève. Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes.

En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles.

La pression musulmane ne cessa pas pour autant.

Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer. Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dâr al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems. Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord.

Toulon a été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte.

Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord de l’Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer.

Ce n’est qu’en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, et à aller en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates musulmans. Vous savez ce qu’est devenue ensuite l’Algérie, et l’histoire ne s’est pas figée.

Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des pirates barbaresques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais.

Ce qui est encore plus frappant, c’est qu’on a tendance à faire remonter la première vague d’invasion par les musulmans à 1973, sous Giscard D’estaing.

Et finalement, le plus frappant de tout, c’est que tout ceci ne soit pas soigneusement enseigné dans les livres d’histoire – et faites confiance à la France pour ne pas de si tôt remettre ces faits essentiels aux programmes scolaires.

L’islam tente maintenant de se faire passer pour une religion de paix d’amour et de tolérance. Elle n’a qu’à se baisser pour trouver des complices qui vous traitent de racistes s’il vous prenait l’idée de demander si c’est en distribuant des roses qu’elle a conquis 22 pays devenus islamistes, et 35 autres à dominante musulmane.

Vous avez le droit de poser la question. Mais vous devenez alors un islamophobe, et il vous faut le cuir aussi dur que le mien pour y être totalement indifférent.

Cette plongée historique montre que les musulmans ont, au cours du temps, adapté leur méthode de conquête avec plus de science qu’on en attendrait d’un peuple retardé en tout, et puisque des millions sont installés et pour longtemps, je ne serais pas surpris que le peuple français – les élites étant occupées sur les plateaux de télévision, et leur négationnisme est finalement notre meilleur avocat – se réinvente de nouvelles méthodes à partir des armes dont ils disposent pour vaincre encore le colonisateur.

Je sais très bien ce que la plupart des lecteurs de Dreuz pense sur la question.

Je sais très bien qu’ils sont, au fond, dans l’attente que quelque chose se passe, se déclenche, qui change la donne et renverse un rapport de force dont ils se pensent les plus faibles, tout en représentant une écrasante majorité.

Je sais qu’une partie grandissante de la jeunesse immigrée et descendant d’immigrés est habitée par le rejet de plus en plus violent de tout ce qui fait la France, mais je sais également que demain, ils seront toujours à la traine de la société, car il n’y aura jamais assez de camions poubelles pour donner du travail aux bons à rien.

Mais lorsque les identitaires auront montré qu’ils tournent en rond, et comptez sur moi pour faire régulièrement le bilan, il sera peut-être temps d’inventorier nos armes, à savoir,

- aider les féministes à reprendre pied (elles ont été déstabilisées par le paradigme où la minorité est forcément victime, et elles ont loupé les vraies victimes – les femmes – au sein de cette minorité), et les laisser faire goûter aux femmes musulmanes les délices d’une égalité non négociable avec les hommes.

- aider les écoles, les entreprises, les médias et la société en général, à montrer aux musulmans qu’ils peuvent utiliser sans crainte cette partie de leur cerveau qui donne la liberté de penser par eux-même et non par le coran, qui autorise à changer d’avis et de mode de vie, et même de religion, et, plus généralement, à leur faire goûter au sentiment incomparable de pouvoir vivre dans une société qui n’est pas régie par la haine et la vengeance.

Les Français, c’est une réalité, ne semblent pas en mesure de regagner le terrain perdu avec le ventre de leurs femmes. La victoire peut très bien arriver par les mêmes vecteurs que l’invasion musulmane contemporaine : l’entrisme culturel, le barrage de l’islam radical par les bienfaits de l’occident. C’est ce que nous avons de mieux à offrir.

Combien de musulmans se sont détournés du coran, après s’être frotté à notre société, ou par ignorance ou rejet, tout en se disant toujours musulman pour sauver les apparences ?

La meilleure lutte contre le danger intégriste n’est-il pas d’encourager les musulmans à suivre cette route ?

Je n’affirme rien. J’ouvre des portes de réflexion car je ne vois nulle part poindre de proposition réaliste.

Encore un effort, une grosse tape dans le dos pour les aider, et nos valeurs pourraient bien vaincre l’obscurantisme des Tarik Ramadan, et les neutraliser. Ce serait toujours mieux qu’une guerre civile dont l’issue, contrairement aux horreurs qui l’accompagne, est loin d’être connue.

Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info et source citée

 

Ce que pense Denis Pietton, directeur de Cabinet de Laurent Fabius du «dossier israélo-palestinien"

Par Hélène Keller-Lind (sur Desinfos.com).
 
On annonce la nomination d’un ancien Consul-général de France à Jérusalem, dont le dernier poste a été Ambassadeur de France au Liban, à la direction du Cabinet du nouveau ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Ce que pense ce « fin connaisseur de la région » du « dossier israélo-palestinien » n’est guère anodin : il y voit un « scandale ».

Les consuls de France à Jérusalem

Dès lors d’un membre du personnel diplomatique français a été en poste au consulat général de Jérusalem on peut être quasi-certain que sa position, officielle tout au moins, ne peut qu’être favorable aux Palestiniens. Partant, défavorable à Israël. Ce consulat étant de fait l’ambassade de France auprès des Palestiniens. Il n’est pas rare que le réseau culturel français dans les Territoires palestiniens contribue à l’incitation à la haine d’Israël en invitant, par exemple, Stéphane Hessel dont on connaît l’obsession anti-israélienne . Et ce n’est pas là une exception .

On retrouvait récemment à Doha dans une Conférence sur Jérusalem très hostile à l’État hébreu, un ancien Consul de France à Jérusalem qui venait d’être nommé conseiller diplomatique du gouvernement français. Cette Conférence s’était terminée par une déclaration scélérate accusant Israël de tous les maux, y compris une absurdité : celle de vouloir « judaïser » Jérusalem. Cet ancien Consul de France à Jérusalem, Stanislas de Laboulaye, est celui-là même qui avait été partie prenante de la fermeture de l’Alliance française dans la capitale israélienne. Il avait invoqué des prétextes financiers, alors qu’en réalité le Quai d’Orsay considérait cette présence franco-israélienne comme inacceptable dans une ville qui, selon lui, n’est pas en Israël.

Le nouveau Chef de Cabinet de Laurent Fabius

Dans le cas du nouveau chef de Cabinet du nouveau ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, il semblerait que ce penchant qu’ont en commun ces consuls de France à Jérusalem se vérifie. En, effet, en novembre dernier, alors qu’il était Ambassadeur de France au Liban il participait à une conférence organisée par le Mouvement Culturel – Antélias libanais et y parlait du « scandale » du « dossier israélo-palestinien » dans des termes rapportés ainsi :

« Le scandale palestinien Concernant le dossier israélo-palestinien, l’ambassadeur français, qui était consul général à Jérusalem, affirme que le dossier palestinien lui tient à cœur, lui qui a vu les méfaits de la colonisation qui menace sérieusement de couper la Cisjordanie en deux, entraînant une impossibilité d’avoir un territoire contigu et donc cohérent pour un État palestinien. Selon lui, le « scandale du dossier palestinien est que tout le monde connaît la solution, alors que malheureusement la communauté internationale n’a pas été capable d’imposer une solution ». Il faut forcément une intervention internationale pour aboutir à une paix, car le problème est que les deux parties ne peuvent pas se mettre d’accord toutes seules, estime Denis Pietton, qui estime qu’aujourd’hui Israël est de plus en plus isolé, surtout avec les révoltes arabes et l’arrivée au pouvoir des islamistes qui aura sûrement un impact sur l’État hébreu. Selon lui, la France a pris ses responsabilités en votant en faveur de l’admission de l’État de Palestine à l’Unesco, tout en appelant le président palestinien Mahmoud Abbas à aller devant l’Assemblée générale des Nations unies et non pas au Conseil de sécurité où un veto américain l’attend. L’ambassadeur français a terminé son intervention sur l’Union pour la Méditerranée (UPM). « C’est une idée qui reste visionnaire malgré les déboires qu’elle a subis parce que l’avenir de l’Europe, et en tout cas l’avenir de la France, passe par sa relation avec les pays méditerranéens. C’est l’enjeu de la nouvelle génération », conclut-il. denis-pietton-14-12-2011.html

Les membres du nouveau gouvernement ayant demandé la création immédiate d’un État palestinien en 2011 maintiendront-ils leur position ?


On notera que l’Ambassadeur termine son intervention en rappelant ce qu’était la position de la France alors : elle avait appelé « le président palestinien Mahmoud Abbas à aller devant l’Assemblée générale des Nations unies ». Mais on peut se demander si la politique du nouveau gouvernement s’y tiendra étant donné que le nouveau Président français et tous les ministres actuels ayant été députés auparavant avaient demandé la reconnaissance immédiate d’un État palestinien en septembre 2011 et qu’une même demande était présentée par le groupe socialiste du Sénat en juin 2011

Évidemment ces demandes étaient assorties de formules exigeant « des conditions de sécurité pour Israël ». Sans préciser comment cela serait garanti et au vu de ce qui se passe au Liban où les résolutions exigeant le démantèlement des milices sont restées lettre morte ce flou est des plus inquiétant...La dernière, la 1701, date de 2006 Et n’aura été qu’un chiffon de papier étant donné que le Hezbollah, non seulement n’a pas été désarmé mais, au contraire, s’est surarmé au nez et à la barbe de la FINUL. Cet allié de l’Iran posant un problème de taille à la frontière nord d’Israël.

« Une centaine de députés et sénateurs, sous la conduite des présidents des groupes d’amitié France-Israël des deux assemblées, Claude Goasguen (UMP) et Jean-Pierre Plancade (Divers droite), [ avaient ] en revanche signé une lettre ouverte dans laquelle ils demandent à Nicolas Sarkozy « de s’opposer à la résolution visant à imposer de façon unilatérale la reconnaissance d’un Etat palestinien ». Leur demande avait alors été entendue.

Que se passera-t-il aujourd’hui, quelle sera la ligne survie, dès lors que l’expert en géopolitique régionale au ministère des Affaires étrangères faisait état de telles opinions il y a quelques mois à peine ?

 

 

Eaux vives ou citernes crevassées (Beth Yeshoua).

Écrit par Ghennassia Paul. Posted in Articles du périodique TMPI

« Voici, Dieu est ma délivrance, je serai plein de confiance et je ne craindrai rien ; car l’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges ; c’est Lui qui m’a sauvé. Vous puiserez de l’eau avec joie aux sources du salut. » Isaïe 12 : 2 - 3

Un de nos grands prophètes bibliques fut Jérémie ! Il n’était pas beaucoup aimé et il a eu énormément à souffrir de ses contemporains parce qu’il leur disait la « Vérité » , non pas « sa vérité », mais la Vérité selon Dieu qui ne se trompe jamais ! Cela ne plait pas toujours à ceux qui se sont installés sur une voie de mensonge ! Pourtant quand l’Esprit de Dieu, le Ruah HaKodesh, parle, il faut absolument dire la « Vérité » même si cela provoque de la souffrance ou de l’opposition, ce qui fut le cas pour Jérémie ! Notre temps si grave, le monde si malade, l’actualité des paroles prophétiques de Jérémie font que nous sentons la nécessité de vous faire entendre ces paroles, toujours aussi vraies à notre époque, et que vous pouvez lire dans votre Bible, au livre de Jérémie, chapitre 2 versets 9 à 13 : « Cieux soyez étonnés de cela ; frémissez d’épouvante et d’horreur ! dit l’Eternel. Car mon peuple a commis un double péché : ils m’ont abandonné, moi qui suis une source d’eau vive, pour se creuser des citernes crevassées qui ne retiennent pas l’eau. »

L’Eternel prend à témoin les cieux et la terre contre son peuple qui a commis ce double péché : abandon de la source vive qui est le Seigneur pour se creuser des citernes crevassées : des produits de remplacement à la place de la plénitude divine, l’inutile à la place de l’indispensable !

En effet, cette source  d’eau vive, c’est le Seigneur et Créateur Tout-Puissant qui voulait être pour ses créatures, ce que l’eau est pour l’être humain, une eau vive indispensable, fraîche, jaillissante et bienfaisante !

Cette source a commencé à couler du ciel au temps lointain d’Adam, le premier homme, pour prendre sa valeur et son sens particulier avec Abraham le croyant auquel l’Eternel fera une extraordinaire promesse messianique, lui disant :  « Va dans le pays que je te montrerai, je ferai de toi une grande nation et je te bénirai et tu seras une source de bénédictions. Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui te maudiront et toutes les familles de la terre seront bénies en toi… » (Genèse 12 : 1 - 3).

Si l’on suit attentivement les pages inspirées de la Bible, on peut se rendre compte que cette  « source » de révélation et de vie divine a coulé au travers des patriarches, Isaac, Jacob devenu Israël, Joseph et, plus tard, après la longue période d’esclavage en Egypte, a arrosé le peuple hébreu redevenu libre sous la conduite de Moïse, lequel rempli  de l’Esprit prophétique informe Israël de la venue de « Celui » qui sera  la concrétisation de cette source divine : le Messie, l’espérance d’Israël, leur disant de la part de Dieu: « Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, je mettrai mes paroles dans sa bouche et Il leur dira tout ce que je lui commanderai. Et si quelqu’un n’écoute pas mes paroles qu’Il dira en mon nom, c’est moi qui lui en demanderai compte ! » (Deut. 18 : 18 - 19).

La Bible entière montre, sans erreur possible, qu’il s’agissait de Yeshoua le Messie, que les nations appellent Jésus. Il était vraiment cette source divine promise, annoncé par les prophètes et pouvant dire à Israël et au monde entier : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture. » (Jean 7 : 37 - 38). Dans une autre circonstance, il disait à une femme samaritaine venue chercher de l’eau, à Sichem au puits de Jacob : « Si tu connaissais le don de Dieu et qui est Celui qui te dit : donne-moi à boire ! tu lui aurais toi-même demandé à boire et Il t’aurait donné l’eau vive ».

Déjà dans le désert, l’Eternel a désigné prophétiquement cette source messianique lorsqu’Il commande à Moïse, devant le peuple pressé par la soif : « Prends dans ta main la verge… Je me tiendrai devant toi sur le rocher d’Horeb, tu frapperas le rocher, il en sortira de l’eau et le peuple boira ».  (Exode 17 :    5-6). Quel symbole stupéfiant et saisissant que cela : un tableau prophétique où déjà se dessine l’ombre de la croix de Golgotha ! Dieu sur le rocher…Moïse frappe le rocher sur l’ordre de Dieu, qui dans l’invisible semble recevoir les coups qu’Il a lui-même ordonnés, puis le rocher qui s’ouvre et les eaux coulent en abondance pour désaltérer le peuple épuisé et accablé par la soif ! Quatorze siècles environ plus tard, sur le rocher désolé de Golgotha, hors des portes de Jérusalem, Yeshoua, le Messie d’Israël et Sauveur du monde devenait, par sa mort et son sacrifice expiatoire, la « Source Divine » de salut et de pardon, accomplissant ainsi ce que disait Isaïe le prophète, chapitre 12, verset 2 : « L’Eternel est ma force, le sujet de mes louanges : c’est Lui qui m’a sauvé ;  vous puiserez de l’eau avec joie aux sources du salut ». Cela est d’autant remarquable que les mots « sauvé » et « salut » employés ici se disent en hébreu « Yeshoua » c’est-à-dire, Jésus !

Cette source divine est devenue ainsi un immense fleuve capable d’arroser dans toutes les nations, des hommes de toutes races et de toutes langues, faisant connaître partout le Tout-Puissant, le Seigneur Dieu révélé en son Messie Yéshoua. 

Alors, on comprend le reproche profondément attristé de l’Eternel lorsqu’Il dit par Jérémie :  « Ils m’ont abandonné, Moi qui suis une source d’eau vive » ! Oui, nous avons beaucoup perdu en rejetant le Messie Yeshoua et on comprend alors pourquoi tant de cœurs sont devenus ainsi arides, desséchés, un vrai désert stérile. Il y manque « l’eau vive du Seigneur ». Le seul, le vrai Messie que Dieu a envoyé !

Mais, la seconde faute a été de vouloir remplacer ce qui nous manquait, ce dont nous avions besoin, par des « citernes qui ne retiennent pas l’eau » : des produits de remplacement que nous nous sommes fabriqués, mais qui, hélas, non plus « d’eau vive » mais seulement quelques gouttes d’une eau nauséabonde, boueuse, et même dangereuse.

Je veux parler de ces « citernes crevassées » de la tradition, la superstition qui conduisent tôt ou tard à la magie et à l’idolâtrie.

Combien nombreux sont ceux qui ont remplacé les simples et vrais enseignements de la Bible, le « Tenah », par des traditions ou superstitions humaines ! Yeshoua disait à juste raison :  « Vous annulez la Parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie » (Marc 7 : 13). C’est bien cela que reprochait Jérémie :  « Comment pouvez-vous dire : nous sommes sages, la Loi de l’Eternel est avec nous ?  C’est bien en vain que s’est mise à l’œuvre la plume mensongère des scribes (en hébreu les Sophérim) ; les sages sont confondus, ils sont consternés, ils sont pris ; voici ils ont méprisé
la Parole de l’Eternel, et quelle sagesse ont-ils ? » (Jérémie 8 : 8-9).

Quand à Isaïe, poussé par l’Esprit de Dieu, il s’écrie, mettant en relief des faits qui n’ont pas changé malgré les siècles : « Le Seigneur dit : Quand ce peuple s’approche de moi, il m’honore de la bouche et des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi, et la crainte qu’il a de moi n’est qu’un précepte de tradition humaine, c’est pourquoi je frapperai encore ce peuple par des prodiges et des miracles, et la sagesse de ses sages périra et l’intelligence de ses hommes intelligents disparaîtra » (Isaïe 29 : 13-14).

Pour beaucoup d’entre nous, la Bible, le Tenah, a été remplacé par des écrits d’hommes : la tradition a pris le pas sur la Parole de Dieu, la déviation s’est insensiblement amplifiée avec le temps, engendrant la superstition, c’est-à-dire un sentiment religieux faussé, créant des obligations erronées à l’opposé de la volonté divine. Plus grave encore, la superstition a créé une déformation du surnaturel, conduisant à des actes très dangereux parce que diaboliques : l’occultisme, le port d’objet magique, l’allumage de veilleuses et de bougies aux saints, donc culte des morts ; toutes sortes d’idolatries dénoncées par les prophètes tout au long des Ecritures ! Déjà par la bouche de Moïse, Dieu avait averti son peuple : disant : « Qu’on ne trouve chez toi, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui interroge les morts, car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel » (Deut 18 : 10-12).

Beaucoup d’entre nous sont devenus malheureux parce que, par ignorance, nous avons commis ce double péché : ne connaissant pas, ne lisant pas la Bible, nous avons négligé la source, le Messie dont pourtant tous les prophètes ont parlé : Yeshoua que les nations appellent Jésus et que l’Ecriture appelle « Le Saint d’Israël ». Nous l’avons remplacé par des « citernes  crevassées » qui ne retiennent pas l’eau, voilà pourquoi nous sommes desséchés, incrédules et souvent devenus insensibles à la voix de Dieu !

Le meilleur conseil que nous puissions vous donner parce que nous l’avons expérimenté : lisez la Bible entière, Ancienne et Nouvelle Alliances à l’exclusion de toute autre tradition humaine.  Laissez l’Eternel vous montrer, vous désigner le Messie dans les Ecritures, puis, quand vous l’aurez découvert, quand vous comprendrez enfin votre si grand besoin d’eau vive, alors, buvez au « rocher frappé » comme jadis dans le désert notre peuple a bu cette eau vive et jaillissante ! Il est certain, alors que vous n’aurez plus besoin de ces « citernes inutiles ». L’eau coulera du ciel sur vous. La « Shéhina », la Gloire de Dieu, le Ruah HaKodesh, c’est-à-dire l’Esprit Saint du Seigneur et Messie vous vivifiera, vous fertilisera pour devenir à votre tour une source jaillissante de bénédictions divines pour ceux qui vous entourent ! 

Paul Ghennassia

 

 

Ce qui ferait la UNE des médias occidentaux si c’est l’inverse qui s’était produit...

Par Hélène Keller-Lind. (Desinfos.com).
Imaginez les gros titres....une ambulance palestinienne vient secourir des automobilistes israéliens qui viennent d’avoir un accident. Des Israéliens les entourent, les insultent, frappent le secouriste qui est resté à l’extérieur de l’ambulance....ils sont finalement dégagés par la police...Eh, bien , c’est l’inverse qui s’est produit à Jérusalem. Remplacez « palestinien » par « israélien » et vice-versa et vous avez des secouristes israéliens insultés et frappés par une foule palestinienne pour avoir voulu secourir des Palestiniens...Mais ça, vous n’en entendrez jamais parler...

La scène, rapportée par Yedioth Ahronoth, reprise par Ynetnews n’a finalement rien d’étonnant pour qui suit l’incitation à la haine et la violence anti-israélienne et antisémite systématiquement mise en place par l’Autorité palestinienne.... A force d’entendre, de lire à tout bout de champ que les Juifs sont la représentation du mal ou qu’Israël est établi sur des terres palestiniennes volées, plus d’un Palestinien en est intimement convaincu. Ce qui les conduit à haïr tout ce qui est israélien ou juif...et à agir parfois en conséquence. Cela ne se traduit pas que dans des activités terroristes..On vient d’en voir un exemple déplorable avec la prise à partie violente d’une équipe de tois secouristes venus apporter les premiers soins à des victimes palestiniennes d’un accident de la route..

Une voiture conduite par de jeunes Palestiniens quittait la route et heurtait une barrière de sécurité près d’un village palestinien aux portes de Jérusalem... Des secours arrivèrent. A bord de l’ambulance du Magen David Adom trois personnes : un secouriste chevronné, une femme qui conduit l’ambulance et un bénévole de 16 ans. Arrivés sur le lieu de l’accident ils commencèrent à traiter deux jeunes femmes palestiniennes qui avaient été blessées. Des membres des familles des blessées arrivèrent alors...une Volkswagen apparut...aussitôt le ton monte, côté palestinien, les secouristes sont insultés. Leurs agresseurs insultent le Magen David Adom, l’État d’Israël et les Juifs en termes choisis. Le secouriste chevronné , S., dit aux deux autres Israéliens de se mettre à l’abri en s’enfermant dans l’ambulance et tente de parlementer. Il est alors frappé aux côtes et à la tête...la foule se referme sur lui.

Un agent de sécurité d’une implantation voisine, Ma’ale Levona, arrive, la police et une ambulance palestinienne également. La foule est dispersée, des agresseurs sont arrêtés. Les secouristes ont échappé de peu au lynchage...S est emmené à l’hôpital où il reçoit des soins. Cela fait 12 ans qu’il est secouriste, il a souvent soigné des Palestiniens et c’est la première fois qu’il est agressé de cette manière. Ce qui l’attriste profondément... « mon travail est d’aider et de sauver les gens » dit-il « en arriver là est affligeant ».

 

 

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