Les islamistes radicaux font déjà entendre leur voix et n’hésitent pas à faire du chantage auprès des socialistes pour les législatives. Ils réclament le port du voile en échange de leurs voix:  "Si vous votez contre le port du voile nous on ne votera pas pour vous ! ». (Sur Europe Israel).

Cliquez sur le lien ci-dessous, c'est très clair !

http://youtu.be/RSUWefaUjW0

Un article publié par Europe Israël.

Une défaite définitive des boycotteurs d’Israël ! La Cour de cassation, par son arrêt du 22 mai 2012, confirme que le fait d’appeler publiquement au boycott des produits israéliens est constitutif d’une provocation à la discrimination à raison de la nationalité.

Cette décision confirme les avis exprimés par le Défenseur des Droits,dans un récent rapport (octobre 2011). Nous saluons la ténacité du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme qui a été le premier et le seul, depuis 2009 à avoir déposé près d’une centaine des plaintes, devant les tribunaux de l’hexagone, contre les militants du mouvement « Boycott, Désinvestissements, Sanctions » (BDS) qui, en infraction avec nos lois,encourage une campagne illégale qui appelle au boycott total des échanges économiques, culturels, sportifs et universitaires avec Israël.

Communiqué du BNVCA

Drancy le 23/5/12

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme salue la décision de La Cour de Cassation, amenée à se prononcer sur l’arrêt de la Cour d’Appel de Bordeaux dans une affaire de boycott des produits « israéliens » dans un magasin Carrefour de la région, vient de rendre public son jugement et de condamner Sakina Arnaud pour discrimination.

Ainsi la Cour de cassation, par son arrêt du 22 mai 2012, a confirmé que le fait d’appeler publiquement au boycott des produits israéliens est constitutif d’une provocation à la discrimination à raison de la nationalité.

Cette décision confirme les avis exprimés par le Défenseur des Droits,dans un récent rapport.(octobre 2011)

Le BNVCA rappelle avoir été le premier et le seul ,depuis 2009 à avoir déposé près d’une centaine des plaintes , devant les tribunaux de l’hexagone, contre les militants du mouvement « Boycott, Désinvestissements, Sanctions » (BDS) qui , en infraction avec nos lois,encourage une campagne illégale qui appelle au boycott total des échanges économiques, culturels, sportifs et universitaires avec Israël.

Le BNVCA avait identifié Sakina ARNAUD ,mais précise qu’en raison du caractère récent de ses statuts à l’époque des faits,il avait préféré confier les poursuites judiciaires à Maitre William Goldnadel et Avocats Sans Frontières..

Le BNVCA a toujours souligné que ces campagnes organisées par BDS et son annexe Europalestine,ne relevaient pas de la liberté d’expression,mais participaient plutôt de la propagande pro palestinienne ,incitative à cette haine d’Israel qui pousse à l’acte antijuif depuis 12 ans .

Le BNVCA juridiquement recevable, espère que les dispositions de cet arrêt de la Cour de Cassation vont mieux inspirer, voire encourager les magistrats des tribunaux à juger et sanctionner sévèrement les prévenus,convoqués devant les différentes cours à la suite des poursuites engagées par le BNVCA, comme lors de l’audience du 24 mai 2012 à Perpignan, puis à Paris, Pontoise, Bobigny,etc…

Sammy GHOZLAN

Israël - Boualem Sansal, la visite tumultueuse d'un écrivain algérien en Israël
par Misha Uzan
Boualem Sansal est un auteur algérien censuré dans on pays.
Ailleurs dans le monde il est un romancier et essayiste, reconnu.

Il a participé la semaine dernière à la troisième édition du Festival international des écrivains à Jérusalem, défiant la censure dans son pays -et le monde arabe pour - se rendre en Israël. (Note d'Etzbetzion : l'écrivain a d'ailleurs transité par la France, où il a obtenu son visa pour Israël, pour pouvoir arriver secrètement dans le pays).

"Quand j'ai accepté cette invitation je suis devenu la cible de la condamnation, mais j'ai décidé de venir parce que c'était important" a déclaré Boualem Sansal.

Boualem Sansal, âgé de 62 ans, a grandi dans un village berbère à 200 km au sud-ouest de la capitale, Alger. Ingénieur et titulaire d'un doctorat en économie, et il a commencé à écrire des romans à 50 ans après une longue carrière au sein du gouvernement.

Aujourd'hui, le romancier est un critique véhément du gouvernement autoritaire en Algérie ainsi que des islamistes. Depuis 2006 ses livres - tous écrits en français - ont été interdits en Algérie.

Sansal a été présenté en 2007 au Festival de littérature de Berlin comme un écrivain "exilé dans son propre pays.".
Dans un discours d'ouverture du salon des écrivains, dimanche soir, Uri Dromi, le directeur général, a applaudi Sansal, et d'autres qui ont bravé la pression pour se rendre en Israël, rendant hommage à "certains de nos amis de l'étranger confrontés, comment dirais-je, à la critique hostile".

En 2008 Sansal a publié son cinquième roman, le premier à être traduit en anglais, sous le pseudonyme de Mujahid.
Le roman raconte l'histoire de deux frères algériens qui découvrent que leur père avait été un officier nazi SS qui a fui en Afrique du Nord après la Seconde Guerre mondiale. Il explore également les liens entre le nazisme et l'islamisme, deux mouvements qui selon l'auteur, partagent des visions totalitaires et connaissent tous deux "le concept de la conquête - la conquête des âmes, mais aussi des territoires.

"Je vois bien des parallèles, et je crois que nous devons analyser le national-socialisme, si nous voulons garder l'islamisme en échec", commentait-il en 2009.

A Jérusalem, Sansal, laïc convaincu, a réitéré ses avertissements concernant la marée montante de l'islamisme dans le sillage des révoltes arabes.
"Je pense que nous sommes dans les années 1930 du siècle dernier - alors, personne n'a répondu correctement.
Aujourd'hui l'islamisme est devenu le fascisme.
Il ne faut pas se leurrer, cela prendra 10 ou 15 ans - ce sera un travail très difficile".

Les réactions en Algérie ont été partagées.
"Sur mon site, c'était 50/50" explique-t-il. "La moitié des gens disaient qu'on devrait faire pour moi ce qu'ils ont fait à Mouammar Kadhafi en Libye. L'autre moitié a dit que c'est merveilleux, que nous pouvons apprendre de l'expérience d'Israël. "

Dans le reste du monde arabe, les réactions à la visite de Sansal ont été extrêmement négatives.
Le Hamas a fustigé la visite de l'auteur comme un "crime contre les 1,5 millions de martyrs algériens qui ont sacrifié leur vie pour la liberté sous l'occupation française", affirmant qu'il légitime "les crimes perpétrés contre le peuple palestinien."

Sansal a indiqué qu'il expliquerait les raisons de sa visite une fois qu'il serait rentré en Algérie. "Je vais m'expliquer par des articles.
Je suis très écouté en Algérie, même si je ne suis pas autorisé à m'exprimer librement là-bas."

par David Koskas Le Shin Bet a démantelé une série de cellules terroristes ces dernières semaines, qui prévoyaient des attentats à la bombe ou des enlèvements d'israéliens. Ces groupes étaient pour la plupart localisés dans la région d'Hébron. Un des groupes, affilié à l'aile militaire du Hamas, était impliqué dans une attaque à la bombe tandis que l'autre se préparer à enlever des israéliens dans la région de l'implantation juive de Kiriat Arba. En vue de la préparation de ses enlèvements, les terroristes ont à plusieurs reprises lancé des engins explosifs sur les clôtures autour de Kiriat Arba pour "tester" et observer les réactions de l'armée. Ce groupe était constitué de trois jeunes palestiniens d'une vingtaine d'années, dont le leader est le frère d'un agent opérationnel du Hamas libéré dans le cadre de l'échange avec Gilat Shalit. En début de semaine, le Shin Bet révélait avoir arrêté des terroristes qui prévoyaient d'enlever une femme et sa fille. Deux autres Palestiniens, tous deux âgés de 26 ans, se sont servi d'un engin explosif contre une voiture israélienne dans village de Yata, en Cisjordanie. D'après le Shin Beth, le matériel utilisé était particulièrement sophistiqué: la partie explosive, cachée dans un extincteur, a été activée à l'aide d'un téléphone portable

par David Koskas
L'adage populaire dit que l'Humanité se joue des frontières. Un jeune alpiniste israélien vient de lui donner raison.

En effet, en route pour le sommet de l'Everest, il préféré abandonné pour sauver son nouvel ami turc, rapporte le Jerusalem Post.

Le 19 mai dernier, Nadav Ben-Yehuda, un Israélien âgé de 24 ans, escalade dans la nuit glacée, seul avec son sherpa, les 1000 derniers mètres qui les séparent du sommet du mont Everest.
Pour vaincre les 8848 mètres du plus haut sommet du monde, il s'est entrainé pendant deux ans après son service militaire.

En dépit de la fatigue des jours précédents, il grimpait très vite et deviendrait bientôt le plus jeune grimpeur israélien à atteindre la pointe de l'Everest.
Proche de la victoire, 250 mètres avant le sommet, il s'arrête brusquement.

Devant lui, un homme inanimé dont il reconnut le visage sans vie: c'était celui d'un homme rencontré dans le camp de base, Aydin Irmak, un turc avec qui il avait sympathisé.
Près de lui, des cadavres pendaient à la corde d'escalade : sentant leur fin proche, les alpinistes s'étaient fixés à la corde.

"Quand nous avons vu Aydin, et constaté qu'il était encore vivant, nous ne nous sommes pas posé de question", assure Nadav.
Il met alors le jeune turc sur ses épaules, et entama le chemin du retour vers le camp IV: huit heures de descente dans le froid glacé, sans ses gants parce qu'ils le gênaient dans sa tentative de sauvetage, et sans masque à oxygène - le sien s'étant cassé.

A ces hauteurs, par moins 40°C, avec en plus un homme sur les épaules, le masque à oxygène est quasi-indispensable. "J'avais sans arrêt l'impression d'être sur le point de perdre connaissance", raconte-il. Pendant ce temps, Aydin qui avait repris conscience lui demandait de l'abandonner sur place.

Dans ce genre de cas, en plus sans oxygène et avec une seule lumière, "si l'on n'abandonne pas l'autre, on meurt aussi", explique Aydin.
Refus du jeune alpiniste israélien.
Ils réussirent finalement à atteindre le camp IV, où un hélicoptère put les récupérer.

Aydin rapporte qu'en descendant du sommet de l'Everest, il s'était retrouvé seul, avait ensuite marché longtemps, désorienté, et s'était retrouvé sans oxygène, dans l'obscurité.

Il avait alors compris qu'il devait s'arrêter. Il ne souvient plus de ce qui se passa après, du moins jusqu'à ce qu'il entende la voix de Nadav:
"Aydin, Aydin, tu m'entends mon frère? Est-ce que tu peux bouger tes jambes? ". "Et quand je me suis réveillé, j'ai vu 4 cadavres autour de moi", se rappelle-t-il.

"J'étais presque mort, Nadav m'a sauvé la vie", continue Aydin.
Lors de leur rencontre dans le camp, les deux hommes ont tout de suite eu une relation fraternelle, selon Aydin. "Parfois, vous rencontrez quelqu'un, et vous devenez automatiquement comme de la famille l'un pour l'autre", explique-t-il, ce qui pourrait surprendre dans ce cas précis, car Nadav est un Israélien et Aydin un Turc qui vit à New York.
Mais les fortes tensions entre Israël et la Turquie ne semblent pas les concerner.
"Je ne sais pas ce qui se passe entre les deux pays. Je m'en fiche. J'ai parlé aujourd'hui avec sa famille et je leur ai dit qu'ils avaient maintenant une autre famille, en Turquie et en Amérique", précise Aydin.

Nadav retournera dans les prochains jours en Israël, où une de ses mains, gravement blessée par le froid, sera traitée.

Aydin, lui, attend de récupérer le vélo qui l'a porté à travers 19 pays.
Il avait fait le pari de l'emmener avec lui au sommet de l'Everest mais les autorités, d'abord favorables, ont finalement changé d'avis et le lui ont confisqué.

Il a maintenant un autre souhait: celui d'arriver à nouveau tout en haut de l'Everest, mais cette fois-ci avec Nadav.

Mais ce n'est pas une priorité pour l'Israélien, pour qui "ce n'est pas un rêve ou quelque chose de ce genre". Par contre, "si vous m'obtenez un passeport pour le Pakistan, j'irais bien sur le K2" dit-il en riant.

Le K2 ou Qogir Feng est un sommet situé sur la frontière sino-pakistanaise. C'est le deuxième plus haut sommet du monde avec une altitude de 8 611 m, dont l'ascension est considérée comme plus difficile que l'Everest.