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Quelques nouvelles (Guysen).
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«Les Bretons, peuple amical et courageux» (Europe Israël).
«Les Bretons, peuple amical et courageux» David Ben Gourion.
Non, ce n’est pas un président de la patrie des droits de l’homme qui a écrit cela, mais un premier ministre d’un « vieux jeune état » à la Bretagne : David Ben Gourion.
En 1954, la revue « al liamm » consacre un article sur l’état juif.
L’emsav est particulièrement sensible à la résurrection de l’hébreu comme langue vivante, profane, elle qui fut confinée depuis des siècles comme langue sacrée dans les écoles talmudiques, les yéchivot.
Dans bien des lieux de Bretagne, hormis quelques points disparates ayant nécessité de hurler fort pour paraître nombreux, l’amitié, le soutien et défense d’Israël pour Sa terre, Sa Capitale Une et Indivisible, Eternellement Juive n’est pas étranger non plus.
Elle n’est certes pas majoritaire, mais elle existe avec force et fierté.
De Saint Brieuc à Douarnenez, de Rennes à Vannes, de Saint Malo à Lorient, d’Arradon au fin fond de Brocéliandre, des Bretons aiment ce pays où coule le lait et le miel, et où il fait bon vivre sans la haine qui l’entoure.
Laissons s’exprimer Per Denez :
« Ur vro vihan eo Israhel : 700 000 den a oa enni e 1948. D’ar mare-se avat he deus gouezet gounit he frankiz a-enep da zaou eus galloudoù bras ar bed, ar Saozon hag an Arabed. Hag hep gortoz tamm ebet bezañ gounezet ar frankiz politikel, he deus gouezet ivez dasorc’hiñ he yezh, marv abaoe kantvedoù evel prezeg pemdeziek. Ur vro vihan eo Israhel dre niver an dud. Ur vro vras eo dre nerzh-kalon, ha kalz hon eus da zeskiñ ganti. »
« Israël est un petit pays : il y avait 700 000 habitants en 1948. À cette époque, il a su gagner sa liberté contre deux grandes puissances mondiales : les Anglais et les Arabes. Et sans attendre sa liberté politique, il a su ressusciter sa langue, morte depuis des siècles en tant que langue parlée. Israël est un petit pays en ce qui concerne sa population. Mais il est grand, vu sa force de caractère, et nous avons beaucoup à apprendre de lui. »
David Ben Gourion ancien et futur premier ministre, alors ministre de la défense adressa une lettre de félicitation aux rédacteurs de la revue en ces termes:
« Although I am unfortunately unacquainted with the noble Breton language, I will keep that review as a cherished treasure and gift of a friendly and brave people. 21 »
« Bien que je ne parle pas malheureusement la noble langue bretonne, je garderai cette revue comme un trésor précieux et un cadeau venant d’un peuple amical et courageux. »
Voici une phrase que les dirigeants français de droite comme de gauche devraient méditer…
De quoi faire indigestion aux …pro palestiniens en Bretagne si prompts à défendre l’invraisemblable…
L’hymne Breton « Bro Goz ma Zadou » (Vieux Pays de mes Pères), quoi de plus réel et marquant pour Israël ? C’est le retour sur sa terre avec Jérusalem, Capitale Eternellement Juive, Une et Indivisible !!!
Nétanel tiens aujourd’hui une Crêperie en Israël. Avis aux amateurs !!!
Kenavo שלום
Source : Nétanel Hazo Beer-Shéva. Israël
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Naqba : la catastrophe "palestinienne" - Guy Millière (Dreuz.info).
Le 15 mai dernier, les « Palestiniens » célébraient le jour de la naqba, la catastrophe qu’est censée avoir été la création de l’Etat d’Israël. Nombre d’Arabes israéliens l’ont eux-mêmes célébré, montrant ainsi qu’ils sont infectés par le même venin que les Arabes de Judée-Samarie et de Gaza. Des Juifs israéliens, ce qui est beaucoup plus grave, et montre que le venin peut susciter dans certains esprits dérangés un haine de soi, ont eux aussi participé aux célébrations. Bien sûr, des journalistes européens ont parlé de la naqba, en reprenant à leur compte la narration « palestinienne ».
Ce qui doit être dit à tous ces gens est qu’ils contribuent à une imposture.
Le mot naqba a été utilisé au Proche-Orient pendant une longue période pour désigner le redécoupage régional effectué lors du démantèlement de l’empire ottoman, et qui a séparé la Syrie, placée sous Mandat français, de la Syrie du Sud placée sous Mandat britannique sous le nom de Mandat palestinien.
Ce fait a été rappelé récemment par Steven Plaut dans un article appelé Happy Nakba Day, et Steven Plaut cite le livre qui décrit la naqba : c’est le livre fondateur du nationalisme arabe, The Arab Awakening de George Antonius. Cette conception de la naqba est spécieuse, mais à l’époque, Israël n’existait pas, et le « peuple palestinien » n’avait pas encore été inventé.
Ce qui doit être dit à tous ces gens qui parlent de naqba aujourd’hui est qu’ils sont, de surcroît les acteurs et les participants d’une falsification de l’histoire.
Non seulement il n’y a jamais eu d’Etat palestinien dans la région, aussi loin qu’on remonte dans le temps, tout comme il n’y a jamais eu de « peuple palestinien » avant que ce « peuple » ne soit inventé au milieu des années 1960, mais les choses ne se sont pas passés comme elles sont décrites par les adeptes de la « cause palestinienne ».
En 1920, quand le Mandat palestinien a été institué pour (re)créer un foyer national juif au Proche-Orient, les terres du Mandat palestinien étaient peu peuplées.
Un Etat arabe a été très vite créé (dès 1921), sur plus des trois quarts des terres du Mandat, Etat confié à l’un des héritiers de la dynastie chérifienne chassée de La Mecque, mais peuplé de la plus grand part des Arabes de la Syrie du Sud. Cet Etat est l’Etat arabe palestinien : qu’il soit gouverné par une dynastie monarchique venue de la péninsule arabique, bien que sa population ne soit pas venue de la péninsule arabique en même temps que lui est un problème qui ne concerne pas Israël.
Sur le territoire restant, les Britanniques ont favorisé l’immigration arabe, freiné l’immigration juive, y compris pendant la période où le Troisième Reich exterminait les Juifs en Europe, et confié le pouvoir spirituel à un fanatique antisémite qui travaillera ensuite pour Hitler, Amin Al Husseini. Cela a fait des Britanniques des complices de la Shoah et du nazisme, même s’ils l’ont combattu par ailleurs, et cela a fait d’eux les créateurs d’une situation perverse.
En 1948, quand le plan de partition du territoire restant a été voté, puis quand, les dirigeants juifs acceptant le plan de partition, Israël a vu le jour, nul dirigeant juif n’a chassé le moindre habitant arabe. Il y a eu une guerre d’extermination menée par les pays arabes de la région contre les Juifs et contre Israël. Cette guerre a échoué, comme les guerres ultérieures lancées contre Israël. On doit le souligner : Israël n’est pour rien dans ces guerres et en a été la victime.
Quand la guerre d’extermination a été enclenchée lors de la (re)naissance d’Israël, ce sont les dirigeants arabes (dont Amin Al Husseini, revenu dans la région) qui ont demandé aux Arabes vivant en Israël de partir, le temps que les Juifs soient tous tués. Les juifs n’ont pas été tous tués. Les Arabes qui sont partis l’ont fait parce que les dirigeants arabes le leur ont demandé, ou à cause de la guerre. Leur situation est de la responsabilité des dirigeants arabes et pas de celle d’Israël, qui considère, à juste titre, que partir pour ne pas être éclaboussé par le sang juif que des armées doivent venir verser, est se faire complice des armées concernées.
On doit le dire : Israël n’étant pour rien dans les guerres dont Israël a été la victime, Israël n’est pour rien dans les conséquences de la guerre déclenchée contre Israël, et donc dans le départ de milliers d’Arabes vivant sur le sol israélien en 1948-49.
Le problème des « réfugiés » est un problème arabe que le monde arabe aurait dû résoudre depuis longtemps comme d’autres problèmes du même genre ont été résolus ailleurs sur terre.
C’est aussi un problème entretenu par les instances internationales : sans l’existence de l’UNWRA, il n’y aurait pas des « réfugiés » depuis plus de trois générations, il n’y aurait pas de « réfugiés » dont le nombre s’est multiplié par dix en soixante ans, et il n’y aurait pas de « réfugiés » n’ayant eu à prouver que deux années de résidence en Israël pour devenir « réfugiés ».
Le problème des « réfugiés » n’est pas une seule seconde de la responsabilité d’Israël.
On peut rappeler qu’Israël a dû gérer un problème de réfugiés qui n’intéresse personne hors d’Israël : celui des réfugiés juifs chassés du monde arabe.
L’invention du « peuple palestinien » et celle de la « cause palestinienne » , plutôt que de contribuer à la paix et à la prospérité, a transformé les « réfugiés » arabes et les Arabes de Judée-Samarie et de Gaza en otages de la volonté du monde arabe de détruire Israël et d’exterminer les Juifs. Les otages sont devenus instruments : on leur lave le cerveau et on en fait des auteurs d’attentats et d’autres formes d’assassinat.
On doit le préciser : la prise d’otage et la transformation des otages en instruments ne sont pas la faute d’Israël, mais celle du monde arabe, celle des instances internationales qui ont créé l’UNWRA, celle des pays occidentaux qui financent le tout.
Si on voulait parler en termes de catastrophes, on pourrait dire qu’il y a eu une succession de catastrophes dans la région : les décisions britanniques, l’imprégnation du monde arabe par des idées haineuses qui l’ont conduit vers l’impasse, la volonté répétée de détruire Israël et d’exterminer les Juifs, la création des « réfugiés » arabes et la perpétuation de ce statut de « réfugié », l’accroissement du nombre des « réfugiés » en question de génération en génération, l’invention du « peuple palestinien » et de la « cause palestinienne ».
Le seul fait historique qui n’ait pas été une catastrophe dans la région, strictement le seul, a été la (re)naissance d’Israël.
Que les « Palestiniens » protestent contre le seul fait historique qui n’ait pas été une catastrophe dans la région et continuent à être utilisés comme des instruments de haine génocidaire est répugnant et consternant. Que nombre d’Arabes israéliens protestent eux aussi montre que l’abcès de fixation créé par l’invention du « peuple palestinien » et de la « cause palestinienne » devra se trouver vidé de sa substance.
Qui dira que la « cause palestinienne » est une imposture, et qui rappellera haut et fort comment et pourquoi le peuple palestinien a été inventé ?
Que des Juifs israéliens protestent contre l’existence de leur propre pays donne la nausée.
Que des journalistes européens reprennent à leur compte la narration « palestinienne » montre que nous vivons dans une époque sordide où les leçons de l’histoire ne sont plus enseignées, et où le pire peut aisément recommencer.
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
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Nucléaire iranien : Israël redoute un "faux accord" (Europe Israël).
La visite plutôt réussie, en ce début de semaine à Téhéran, de Yukiya Amano, le chef de l’Agence internationale à l’Énergie atomique (AIEA) a semé un vent de scepticisme et de nombreuses critiques parmi les hauts responsables israéliens.
Au cours de cette visite, Amano a obtenu le feu vert de principe des Iraniens pour l’inspection de plusieurs centrales nucléaires jusque-là interdites d’accès, et surtout l’annonce que l’Iran et les pays du P5+1 (USA, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne qui devaient se retrouver le 23 mai à Bagdad pour un nouveau round de négociations) allaient sans doute se mettre d’accord pour une suspension des activités perses d’enrichissement d’uranium à 20 % À Jérusalem, on craint en effet qu’une fois de plus, les diplomates iraniens, devenus les spécialistes mondiaux des manœuvres dilatoires leur permettant de gagner encore et encore du temps, ne réussissent à duper l’AIEA et les grandes puissances en promettant, à titre seulement provisoire, de ne plus enrichir leur uranium à 20 % et au-delà, tout en poursuivant secrètement dans les faits leurs préparatifs de plusieurs têtes nucléaires au sein de leurs centrales enfouies sous des centaines de mètres sous terre …
Une solution qui pourrait « arranger » un Barack Obama en pleine campagne électorale, et peu désireux d’en arriver à une intervention militaire contre les centrales iraniennes.
Rappelons qu’à Bagdad cette semaine, le but des grandes puissances sera d’obtenir un arrêt des activités iraniennes d’enrichissement d’uranium à 20 % démarrées en 2010 et qui n’ont fait que s’accélérer ces derniers mois, notamment dans la centrale de Fordow. Quant aux Iraniens, ils prétendent toujours que cet uranium enrichi à 20 % leur est indispensable « pour mener certaines recherches médicales ». Paradoxalement, tout en nourrissant l’espoir que ces discussions de Bagdad seront « couronnées de succès », les dirigeants iraniens ont toutefois averti le P5+1 qu’ils ne tolèreraient « aucune pression » et qu’ils décideraient « en toute indépendance et autorité de l’avenir de leur programme nucléaire ». « Alors que nous attendons le résultat des pourparlers prévus cette semaine à Bagdad, devait déclarer le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, nous n’avons relevé aucune intention des Iraniens de renoncer à leurs ambitions nucléaires. Je ne crois pas qu’il existe de grandes illusions à ce propos au sein de la communauté internationale ».
Le vice-Premier ministre, Silvan Chalom, a lui aussi fait part de son scepticisme en faisant remarque que malgré l’optimisme relevé ces derniers jours en occident sur « certains signes de changement » de la part des Iraniens, il était difficile d’imaginer que ces derniers avaient subitement « inversé leurs positions à 180 degrés ».
« Voilà pourquoi, a-t-il ajouté, je crois qu’il est bien trop tôt pour pavoiser et qu’il est essentiel de poursuivre les sanctions qui possèdent le potentiel de faire échec au régime installé à Téhéran ».
Quant au ministre israélien des Affaires stratégiques, Moché Yaalon, il a précisé que si le gouvernement iranien était réellement confronté au dilemme de choisir entre la poursuite de son programme nucléaire et le risque très réel de perdre son pouvoir, il opterait sans doute pour sa survie, « mais, a-t-il fait remarqué, les Iraniens escomptent avoir encore assez de marge de manœuvre, d’autant que la communauté internationale ne semble pas vouloir les mettre vraiment au pied du mur … »
Source : Hamodia, par Richard Darmon
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Le Sénat américain se prononce sur un accord de Défense sans précédent avec Israël
Sur Israel Infos,
par Gerard Fredj
Le Sénat américain a débuté la révision de l'Accord sécuritaire entre Israël et les USA, déja adopté par le Congrès.
Le texte de loi envisage le partage des informations recueillies par les satellites, des avions de ravitaillement en vol – l'un des principaux obstacles que rencontrera l'armée de l'air israélienne en cas d'attaque des installations nucléaires iraniennes - ainsi que la revente de surplus de matériels militaires retirés d'Irak depuis le rapatriement des troupes américaines.
Selon un assistant parlementaire, le texte serait sponsorisé par plus de 50 sénateurs –sur 100 élus au Sénat - et "devrait passer avec une large majorité, peut être à l'unanimité".
Démocrates et Républicains devraient être alignés sur les mêmes positions, commente Johnny Isakson, Sénateur républicain de l'Etat de Géorgie.
Introduit à la Chambre Haute par Barbara Boxer, sénatrice juive de Californie, le texte prévoit, outre le partage d'informations et la fourniture de matériel, une extension des fameuses "garanties de prêts" américaines, jusqu'à l'horizon 2015.
L'ensemble du projet répond de fait aux demandes israéliennes dans le cas d'une attaque sur l'Iran : le projet envisage par exemple l'entrainement de pilotages israéliens aux USA (pour compenser les "l'espace aérien limité de l'état hébreu), le renforcement de l'implication israélienne au sein de l'Otan, y compris par une présence plus marquée au siège de l'Organisation de l'Atlantique Nordet une participation plus large aux entrainements".
Proposition qui ne fera pas que des heureux : la Turquie, en "guerre froide" avec Israël, a bloqué la participation israélienne au récent sommet de l'Otan à Chicago.
Les Etats-Unis se proposent également de participer à l'effort de prévention de trafic d'armes au bénéfice de la bande de Gaza, ainsi qu'à la lutte contre les infiltrations depuis la Péninsule du Sinaï.
Enfin, la loi, si elle est acceptée, prévoit un élargissement de la fourniture d'armes conventionnelles et une plus grande coopération dans l'anti terrorisme, mais également dans des champs nouveaux de conflits comme la cyber sécurité
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