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La chasse aux Juifs est ouverte (Guy Millière sur Dreuz.info).


Un incident isolé n’est qu’un incident isolé, bien sûr. Mais un incident isolé extrêmement grave suivi d’un autre événement isolé extrêmement grave, ce n’est plus seulement un incident isolé, c’est une série qui s’enclenche. Quand ces incidents viennent s’ajouter à des centaines d’incidents moins graves, on peut parler d’une atmosphère. Et c’est ce que je fais.

Ce doit être dit : il existe en France aujourd’hui, mais aussi ailleurs en Europe, une atmosphère antisémite particulièrement nauséabonde.

Celle-ci s’est fortement accentuée depuis les crimes de l’ignoble Mohamed Merah.

Elle a débouché sur l’agression de trois jeunes hommes portant kippa à Lyon ce samedi. Elle est ponctuée d’insultes, de graffitis, d’agressions plus mineures, qui n’en sont pas moins des agressions.

Elle ne signifie pas que tous les Juifs, partout, sont menacés en France, non, tout au moins pas pour le moment.

Un Juif discret sur son appartenance au peuple juif courra beaucoup moins de risques. Un Juif qui ne portera pas de kippa et ne se rendra jamais la synagogue courra moins de risques aussi. Mais lorsque, pour continuer à vivre un peu plus tranquilles dans un pays, les Juifs doivent baisser la tête, raser les murs, se faire transparents, prêter attention aux mots qu’ils prononcent, ils peuvent en déduire que ce pays n’est plus un pays de liberté et qu’il s’y prépare pire encore.

Or, je le pense, il se prépare pire encore.

Je l’ai écrit dans mes derniers livres. La chasse aux Juifs a recommencé, et je le dis avec tristesse et colère, elle se poursuivra.

Elle se poursuivra d’autant plus aisément que rien ne viendra la freiner.

Les associations censées pratiquer la « vigilance » contre l’antisémitisme sont en réalité des association de police de la pensée au service du « politiquement correct ». Elles sont prêtes à se mobiliser contre l’antisémitisme d’extrême droite, seulement contre l’antisémitisme d’extrême droite qui, en Europe occidentale, est moribond. Si on leur parle d’antisémitisme islamique, elles passent à l’attaque : non pas contre les antisémites islamiques, mais contre ceux qui les dénoncent, et qui seraient racistes, « islamophobes ».

Les adeptes de l’antisémitisme islamique donneront d’autant plus aisément libre cours à leurs basses pulsions qu’outre la complicité de leurs compagnons de route, ils sont branchés en direct sur la vague islamique qui déferle sur le monde arabe et musulman, et que diverses chaînes satellitaires arabes déversent dans des centaines de milliers d’appartements en France. La haine des Juifs déversée quotidiennement par al Djazeera en arabe monte en puissance.

Les adeptes de l’antisémitisme islamique peuvent aussi compter, au-delà de la LICRA, de Sos Racisme, ou du Mrap, sur l’amitié active de l’extrême gauche et de la gauche bien pensante, qui clament haut et fort qu’elles ne sont pas antisémites, mais qui, dès qu’on leur parle d’Israël, commencent à laisser leur bouche se tordre sous l’effet d’un mépris insidieux qui, chez certains, aura tôt fait de se transformer en détestation bilieuse.

Pour ne pas courir de risque dès aujourd’hui, un Juif en France doit non seulement être discret, ne pas porter de kippa, ne pas se rendre à la synagogue, ou furtivement. Pour bien baisser la tête, raser les murs, se faire transparent, et pour bien prêter attention aux mots qu’il prononce, il doit parler aussi peu que possible d’Israël, ou ne le faire que de manière critique, distanciée, en se disant, par exemple « pro-Israélien et pro-Palestinien », hostile à Netanyahu et aux « colons ».

Ce pays n’est plus un pays de liberté, non.

Et il s’y prépare pire encore, oui.

La LICRA, Sos Racisme, le Mrap vont continuer à combattre un antisémitisme qui n’existe quasiment plus, à empêcher qu’on combatte un antisémitisme qui, lui, existe, tue des Juifs à l’arme de guerre ou les agresse en groupe à coups de marteau, et à dénoncer le « racisme islamophobe », la main dans la main avec des associations islamiques.

La vague islamique qui déferle sur le monde arabe et musulman va continuer à déferler, lourde d’imprécations antisémites que les chaînes de télévision françaises passent sous silence, mais que les chaînes satellitaires arabes déversent quotidiennement dans toute la Franc et toute l’Europe.

L’extrême gauche et la gauche bien pensante gagnent en importance, année après année, s’approchent, en France, d’une mainmise hégémonique et sans partage sur tous les pouvoirs : politique, économique, culturel, médiatique.

Au mieux, vraiment au mieux, on peu s’attendre à des propos tels que ceux de Manuel Valls qui a parlé d’ « attaque délibérée contre notre modèle républicain », mais n’a dénoncé ni l’antisémitisme de ces actes, ni, surtout, l’antisémitisme islamique.

Et nous sommes dans une période où le calme règne sur les frontières d’Israël….

La chasse physique aux Juifs s’accompagne, par ailleurs, d’une chasse aux produits juifs.

Plusieurs pays d’Europe (pas encore la France) ont décidé d’interdire à la vente les produits de la mer Morte, car ils sont fabriqués par des mains juives dans des territoires qui ont été islamisés à un moment donné et qui doivent donc, apparemment, l’être à jamais aux yeux de dirigeants européens soumis à l’islamiquement correct. D’autres produits suivront sans doute.

Des festivals de cinéma boycottent les films israéliens : on y voit des acteurs juifs qui parlent hébreu. Imaginez !

Soixante dix ans après la Shoah, les pays qui interdisent les produits juifs israéliens ne semblent pas se souvenir qu’un chancelier allemand a pris le même type de décision trois générations avant eux.

Mais ne leur dites pas qu’ils raisonnent comme ce chancelier allemand, ils pourraient se fâcher. Je pourrais par contre leur suggérer de continuer à vendre les produits concernés en apposant dessus une étoile jaune et la mention : « attention, produits juifs ! ». Ce serait plus clair.

Ne dites pas aux responsables des festivals de cinéma qu’il y a quelque chose de Joseph Goebbels chez eux.

Ils pourraient vous traiter de fasciste, ou de nazi. C’est ainsi qu’on procède chez ces gens-là. Les disciples de Goebbels aujourd’hui traitent ceux qui ne sont pas disciples de Goebbels de fasciste et de nazis. Nous vivons vraiment une époque extraordinaire. Je pourrais suggérer aux responsables de festivals de projeter les films en question en affichant à l’entrée des étoiles jaunes et en avertissant : « attention, film juif ! ». Ce serait plus clair là encore.

Au temps de Goebbels, certes, Israël n’existait pas. Le « peuple palestinien » n’avait pas encore été inventé par des adeptes vieillissants de la « solution finale » et des membres du KGB. Les antisémites européens agissaient directement et ne pouvaient pas instrumentaliser l’antisémitisme islamique pour tenter d’avancer vers leur objectif d’une Europe et d’un monde judenrein.

Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info

 

Le retour humanitaire de la croisade - Shmuel Trigano (Europe Israël).

Le projet d'intervenir en Syrie pour mettre un terme aux massacres abominables qui s’y déroulent soulève des enjeux importants dans la sphère des relations Internationales et du droit. Depuis 2005, on invoque, au Conseil de sécurité, un nouveau principe, la « responsabilité de protéger », qui autorise une ingérence dans les affaires intérieures des Etats pour des causes humanitaires. Or, cette pratique intempestive, qui, après la Libye, risque de s’étendre très dangereusement avec une intervention en Syrie, pourrait avoir des conséquences cataclysmiques sur la vie internationale.

Par Shmuel Trigano

Professeur des Universités

À partir d’une chronique sur Radio J du vendredi 1er juin 2012.

L’ordre mondial dans lequel nous vivons, en effet, date de 1648, du traité de Westphalie, qui a fondé un ordre politique reposant sur la souveraineté nationale des États et le partage entre vie nationale et vie internationale. C’est justement la souveraineté qui fait le partage entre le national et l’international, ce dernier mot impliquant que ce niveau de réalité n’est pensable qu’entre « nations » souveraines (inter-national).

Les raisons intéressées de la Russie (Tchétchénie oblige) et de la Chine (Tibet occupé oblige), qui s’opposent à toute intervention en Syrie, ne suffisent pas à déconsidérer l’opposition à une intervention en Syrie. Soit dit en passant, même leurs raisons intéressées ont une portée universelle. Imaginons que, demain, le Qatar et l’Arabie Saoudite soient appelées à intervenir en France pour soutenir une rébellion sanglante des banlieues musulmanes, ou, pourquoi pas, la revendication d’indépendance de la Corse ? Et le Libéria ou le Nigéria pourraient aussi bien se soucier du sort des Antilles françaises…

Ces exemples, à peine absurdes, montrent quel chaos politique mondial pourrait découler d’une deuxième intervention armée, après la Libye. Le partage du national et de l’international perdrait toute validité et l’on reviendrait en l’an 1300 lorsque rois et empereurs envoyaient leurs armées de mercenaires bien au delà de leurs frontières, qui n’étaient pas alors encore nationales, pour guerroyer au nom de la religion ou des alliances dynastiques.

La seule différence serait qu’aujourd’hui l’interventionnisme mondial serait « moral ». C’est justement le problème car les réalités sont plus complexes que le sentimentalisme propre au discours médiatiques sur lequel surfent à loisir les groupes dissidents (sans questionner si leur rébellion est légitime ou pas) pour capter l’attention des bonnes âmes d’Occident.

Mais cette moralité est frelatée. Ce n’est pas parce que les journalistes ont forgé un nouveau « mot-valise » comme « la communauté internationale » que cette dernière existe et qu’elle incarne la morale… Les organisations internationales, c’est à dire le personnel bureaucratique qui les composent, commandité par les Etats (et les plus puissants : ceux qui paient), ne constituent en rien une « communauté ». Le Conseil de sécurité n’est pas le parangon de la morale mais il exprime le consensus des Etats les plus puissants, imposant leur volonté aux plus petits. De surcroît, ces institutions ne sont pas composées d’individus jugeant en leur âme et conscience mais de blocs d’Etats, dont le plus puissant est le bloc de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), composé d’une soixantaine d’États. Ceux-ci votent en commun, en fonction d’une stratégie politique intéressée et non « morale » (sauf que le plus fort a toujours l’ambition d’incarner la « morale »). Il est impossible de voir dans les États, ces monstres froids, des juges impartiaux, capables d’administrer le droit et d’incarner les droits de l’homme. On se demande d’ailleurs pourquoi, dans le cas de la Libye, la France et le Royaume Uni incarneraient tout spécialement la morale ? Le dernier occupe les Malouines et la France mitterrandienne a trempé gravement dans le génocide rwandais.

Prenons le cas de la Libye, le bilan est accablant. L’intervention « morale » s’est donné un but politique : abattre un régime (quelque odieux fut-il), soutenir des factions locales, installer un nouveau régime qu’elle a consacré à Paris avant que cela ne le soit à Tripoli, un régime de surcroît islamiste. Elle a conduit ce pays, factice depuis son indépendance (ce que sont bien des Etats post-coloniaux), à l’éclatement régional entre Tripoli et Benghazi, poussé au désordre dans le sud du pays, ébranlé le Mali et produit la création d’un Etat fantoche, l’Azawad, sous la loi islamique, reconnu par aucun pays de l’OUA et nourrissant des velléités sur le reste du Mali, désormais en état de décomposition. Dans le vacuum ainsi créé s’est installé Al Qaïda. Quel bilan !

Un enseignement est à tirer : la destruction de l’Etat nation et de son attribut, la souveraineté nationale, ouvre la porte aux pirates et à la fragmentation sectaire. Avec la Libye, sous couvert humanitaire, nous sommes de plus formellement dans un cas de figure colonialiste : les Etats occidentaux, « moraux », font les gendarmes dans les Etats du Tiers monde. Imagine-t-on l’inverse ? Non.

L’ingérence humanitaire peut donc engendrer des complications insolubles : il semble impossible que l’intervention humanitaire ne soit pas instrumentalisée par les forces politiques locales, c’est à dire des groupes prêts à l’assaut du pouvoir. De même, peut-il ne pas y avoir d’arrières pensées très intéressées derrière la compassion humanitaire des Etats guerriers ? Qu’on ne dise pas que le pétrole libyen n’a pas joué un rôle dans cette aventure… L’argument du ministre russe des affaires étrangères Lavrov à propos de la Syrie est aussi intéressant : pourquoi porter au pouvoir des islamistes qui eux mêmes se livreront à un massacre des Alaouites, le clan du pouvoir de Bashar Al Assad, et demain des chrétiens, etc. Le problème de la Syrie comme de la Libye est de nature avant tout nationale ou tribale. Les 2 millions d’Alaouites savent que si le régime était renversé la majorité sunnite se livrerait à un carnage à son égard. L’exemple de l‘hiver égyptien est probant. Les révoltes arabes n’ouvrent pas sur la démocratie, ni sur le respect des droits de l’homme, mais sur une dictature islamique.

L’interventionnisme humanitaire peut donc devenir, ce qu’il est déjà, un levier d’action manipulé par les groupes irrédentistes ou en rebellion. C’est bien là la source d’un nouveau type de guerre : « les guerres asymétriques », dans lesquelles des fragments de la société civile se rebellent violemment contre des Etats organisés, quasiment à main nues, sans armée formelle, faisant le choix tactique de sacrifier leurs civils de façon provocatrice, avec force boucheries et sang, pour appeler à l’aide l’Occident « moral » et provoquer une intervention étrangère qui les aidera à terrasser l’Etat contre lequel ils se sont rebellé, de façon à imposer une solution qui consacrera leurs objectifs politiques. L’exemple le plus probant est le projet d’indépendance du Kosovo, suite à l’intervention internationale.

Il est patent que cette stratégie est celle de l’OLP-Autorité Palestinienne depuis les années 1990. L’instrumentalisation meurtrière des femmes et des enfants, l’invention des « hommes-bombes », le projet de ravager les populations civiles de l’ennemi, le mythe créé de toutes pièces du martyr de l’enfant Al Dura, devenu l’emblême d’une stratégie sordide, est là pour le prouver. C’est ce qui a installé dans la conscience mondiale une obsession pathologique pour ce conflit, qui oppose deux fois 5 millions de personnes, au point d’effacer des conflits infiniment plus graves.

Depuis quelques années, néanmoins, l’OLP est passée à une tactique moins sanguinolente et plus sournoise et perverse. Elle a pour objectif de détruire l’image d’Israël, son honneur, sa respectabilité, à travers un véritable happening, qui vise à enraciner dans les esprits l’accusation d’apartheid et de génocide lancée à l’encontre d’Israël. Il est évident que, pour une partie de la planète, Israël est un Etat qui a commis un génocide (et donc qu’il est l’égal des « Nazis »). Dans la rue, en France, des musulmans attaquent des Juifs en leur lançant à la figure le génocide qu’ils commettent en Palestine (cf. le discours de Merah). Cet affairement, qui s’appuie sur un véritable réseau mondial d’une multitude d’organisations, dont le centre est à Ramallah, vise à préparer peu à peu les esprits à une intervention humanitaire pour sauver « le peuple en danger ». Tel est le véritable objectif du boycott : inciter à la haine. Ce n’est pas le boycott réel.

Il ne fait pas l’ombre d’un doute que la politique d’ingérence internationale est un des derniers contre-coups de la Shoah. L’Occident n’en finit plus de racheter l’abandon des Juifs durant le génocide. Mais son excès de compensation le conduit à des comportements erratiques, dont les effets risquent d’entraîner d’autres catastrophes. A commencer par les Juifs. Je considère tout à fait possible le scénario d’une intervention de l’Europe éclairée pour imposer à Israël une « solution » au problème palestinien . Les Palestiniens, quand leur politique de boycott aura échoué, feront tout pour la provoquer.

Entre-temps, la « communauté internationale » a beaucoup de mal à intervenir pour sauver le seul peuple en dangernucléaire de la planète : Israël. Mais ici l’arme atomique, aux mains d’un régime qui recherche l’apocalypse pour des buts religieux, situe réellement le danger au niveau de toute la planète.

Shmuel Trigano – À partir d’une chronique sur Radio J du vendredi 1er juin 2012.

 

 

Quelques nouvelles (Guysen).

 

Le doyen de l'Université islamique de Gaza rappelle le devoir de conquérir l'Andalousie
Selon l'institut Memri, Subhi Al-Yaziji , doyen des études coraniques à l'université islamique de Gaza a affirmé  sur Al-Aqsa TV le 25 mai 2012 : " La conquête de l'Andalousie est un vieux rêve, quelque chose que les musulmans doivent espérer et nous continuerons à l'espérer dans l'avenir. [...]".

 

 

16:36   

Les USA prêts à une action contraignante de l'ONU contre la Syrie
Les Etats-Unis ont indiqué mercredi qu'ils étaient prêts à soutenir une action contraignante de l'ONU contre la Syrie, dans le cadre du chapitre VII de la Charte des Nations unies comme l'a demandé la Ligue arabe. "Nous, les Etats-Unis, espérons que tous les pays responsables prendront part bientôt à des actions appropriées contre le régime Syrien, notamment, si nécessaire, à des actions au Conseil de sécurité de l'ONU dans le cadre du chapitre VII, comme l'a demandé la Ligue arabe le week-end dernier", a déclaré M. Geithner lors d'un discours à Washington. "En l'absence de signes sérieux de conciliation de la part du régime [du président syrien Bachar] al-Assad, nous irons bientôt tout droit dans cette direction", a ajouté M. Geithner, qui s'exprimait à l'occasion d'une réunion de travail du groupe des Amis du peuple syrien sur les sanctions.

 

Jérusalem: Un Palestinien arrêté après avoir tenté de poignarder un garde de sécurité
Un Palestinien a tenté de poignarder un garde de sécurité avec des ciseaux dans une station du tramway à Jérusalem. Le terroriste a été arrêté. Personne n'a été blessé durant cette agression

 

Israël posséderait 200 à 300 ogives nucléaires
L'armée de défense d'Israël disposerait de 200 ogives nucléaires, indique un article publié mardi par des experts de l'Institut international d'études stratégiques de Londres (IISS). Selon les experts, ces ogives peuvent équiper les missiles balistiques intercontinentaux Jericho I, ainsi que les missiles de portée intermédiaire Jericho II. D'après le groupe de recherche IHS Jane's, spécialisé dans la collecte d'informations militaires, Tsahal possède 100 à 300 ogives nucléaires, ce qui place l'Etat hébreu sur le même rang que la France et la Grande-Bretagne.

00:34   

ONU: Kofi Annan va proposer un nouveau groupe de contact sur la Syrie
L'émissaire international pour la Syrie Kofi Annan va proposer jeudi que les Occidentaux, la Russie et la Chine forment un nouveau groupe de contact pour convaincre Damas d'engager un dialogue politique avec son opposition, ont indiqué des diplomates.

00:16   

La centrale électrique de Gaza cesse de fonctionner faute de carburant
La seule centrale électrique de la bande de Gaza a de nouveau cessé de fonctionner mercredi après épuisement de ses stocks de carburant, a annoncé l'Autorité de l'énergie du territoire gouverné par le Hamas. "La centrale a cessé de fonctionner mercredi", a précisé l'Autorité de l'énergie dans un communiqué, attribuant cet arrêt au manque de carburant. Par ailleurs, une livraison de 30 millions de litres de carburant du Qatar pour faire fonctionner la centrale, acheminée via l'Egypte et Israël, a de nouveau été reportée mercredi pour "raisons techniques", a indiqué le responsable de l'Autorité palestinienne pour les approvisionnements de Gaza, Raëd Fattouh.

 

 

Des israéliens au Liban ! (Israel Infos).

par Gerard Fredj
Il est rare que des israéliens soient interceptés au Liban. C'est pourtant ce qui vient d'arriver dans le plus grand camp palestinien du pays du Cèdre.

Il s'agit cependant d'infiltrés d'un genre particulier : sous un premier emballage sur lequel est inscrit le nom de l'usine syrienne qui les a produits, un second emballage entièrement recouvert d'inscriptions en hébreu.

Car il s'agit de bonbons, des centaines de sacs de bonbons, saisi par le comité palestinien du camp d' Ein el-Hilweh.
Comment ces bonbons sont-ils arrivés jusqu'à Ein el-Hilweh?

Le dernier élément de la chaine de commercialisation, le commerçant du camp qui les a fait passer, est actuellement interrogé.
C'est en tout cas un sujet de préoccupation majeur pour le chef du comité des Affaires sociales pour les comités populaires de la ville de Sidon, Fouad Othman.

"C'est un problème très dangereux qui doit être résolu de façon responsable", a-t-il déclaré en précisant qu'il avait demandé aux autorités libanaises d'enquêter sur la question.
Selon lui, le sujet justifie une unification des efforts de toutes les factions palestiniennes du camp.

Selon le responsable de la sécurité du camp, le colonel Ahmad Nasr, la plupart des friandises ont été détruites : " nous combattons Israël dans tous les domaines, il n'est pas question de soutenir l'économie israélienne en vendant ces produits".
Les emballages de la marque israélienne Tnuva indiquent "beurre"… Pas que les gaulois qui sont fous!

 

Agression antisémite à Marseille (Israel Infos).

par Gerard Fredj
Une agression antisémite s'est déroulée à Marseille , le samedi 26 mai - la nouvelle n'a filtré qu'aujourd'hui.

Dans le 8è arrondissement de la cité phocéenne, un jeune homme de 17 ans, accompagné de sa soeur et de son beau-frère, est interpellé par 4 individus faisant référence à sa kippa et tenant les propos suivants :
"C'est chabbat chez vous, vive Mohamed Merah, n... les Juifs...Palestine vaincra...".
L'un d'eux lui saute dessus et lui donne un coup de poing au bras. I
l rend le coup de poing et reçoit un coup de pied à la jambe de la part d'un autre.
Blessure au genou et ligaments croisés sectionnés. Son beau frère voulant s'interposer a également reçu un coup de poing.
Une plainte a été déposée, un avocat du SPCJ (Service de Protection de la Communauté Juive) a pris en charge le dossier.

Dans l'affaire de l'agression antisémite de trois jeunes juifs à Villeurbanne samedi dernier, la police a tenter mercredi matin de procéder à l'interpellation de trois suspects, sans succès : ceux ci ne se trouvaient pas à leur domicile.
"Nous avions trois objectifs, on y est allés mais il n'y avait personne, ce qui prouve que l'on visait juste", a déclaré une source policière à l'AFP.

 

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