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L’Algérie instrumentalise-t-elle la question touareg à des fins hégémoniques ? (Israel Flash).

touareg

Les douloureux évènements qui ont secoué le Mali, et qui se poursuivent malheureusement encore aujourd’hui, interpellent la communauté internationale et notamment les pays de la région sahélo-saharienne sur le rôle plus que suspect de l’Algérie dans son implication directe ou indirecte dans cette crise malienne et dans sa gestion de la lutte anti-anti-terroriste sur son territoire, particulièrement dans les confins sahariens frontaliers avec le Mali et le Niger.

Articles sur le Mali et le Sahel

Par Farid Mnebhi

L’Algérie, qui se considère, à tord d’ailleurs, comme la seule et unique puissance régionale incontournable pour régler par le dialogue la crise dans laquelle a sombré le Mali, avec un Sud sans institution stable et un Nord fragmenté par des groupes terroristes et mafieux, n’a jamais esquissé un plan de sortie de crise au Mali ou tenter de combattre efficacement le terrorisme, la criminalité transnationale et l’immigration clandestine dans sa zone sahélo-saharienne.

Une indifférence des autorités militaro-politiques et sécuritaires algériennes, si ce n’est quelques gesticulation stériles et sans intérêts, qui inquiète de plus en plus ses voisins, les pays de la région ainsi que la communauté internationale.

Cette indifférence, ou plutôt cette attitude irresponsable, s’explique notamment par le fait qu’il est de notoriété publique qu’une multitude de groupuscules du Nord Mali ont tissé des liens d’une grande proximité avec les algériens à travers des liens familiaux, mafieux, criminels, terroristes ou même économiques.

Elle est également la résultante qu’AQMI est un monstre créé par l’Algérie. Il ne faut pas occulter le fait que ce le groupe est constitué d’anciens membres du Groupe islamiste armée (GIA, créé après la confiscation de la victoire du Front Islamique du Salut  aux élections législatives en 1992), d’anciens membres des forces armées et d’éléments des services algériens.

En effet, il de notoriété publique que les sécuritaires algériens ont infiltré AQMI et donc d’opèrent aujourd’hui un certain contrôle sur ce mouvement afin de répondre aux intérêts de certains cercles algériens qui sont multiples.

Parmi ses intérêts, il y a lieu de souligner  celui de diriger les terroristes jihadistes hors de son territoire et de les orienter vers le Mali  afin créer une zone grise au nord du Mali car c’est une région où il existe un trafic de drogue très important, dans lequel certains cercles très élevés maliens et algériens sont impliqués.

Autre intérêts de la mafia militaro-politico-économique algérienne, et non des moindres, celui des enjeux pétroliers.

Un contrôle total par l’Algérie sur les terroristes d’AQMI évoluant en toute liberté et quiétude sur son territoire et dans le Nord du Mali permettrait aux foreurs de l’entreprise algérienne SONATRACH, en créant un vide de contrôle du pouvoir malien, de faciliter leur déplacement en toute liberté dans cette zone sous souveraineté malienne.

En effet, l’annonce de la découverte du pétrole dans le septentrion malien, a attisé des appétits certains au sein de la hiérarchie algérienne mais aussi suscité une hantise de voir ses voisins malien et nigérien s’affranchir de sa sphère d’influence en raison de leur richesses minières et de leur riche potentiel en ressources pétrolières et gazières.

Une richesse qui poserait la question du leadership, déjà fortement émoussé, de l’Algérie sur le continent africain mais aussi dans le monde arabo-islamique ainsi qu’auprès des organisations internationales.

La stratégie algérienne est toute simple :

1/  rester très passive, comme si Alger attendait de voir la suite des événements avant de se prononcer En cas d’obtention de l’indépendance de l’AZAWAD, l’Algérie pourra dire qu’elle n’a pas contré le MNLA. Pour l’Algérie, ce ne serait pas totalement négatif puisqu’elle pourrait éventuellement imposer son influence sur un Etat nouvellement indépendant, sous sa coupe et renfermant l’essentiel des richesses maliennes, que sur le Mali, pays avec qui les relations ne sont pas très bonnes.

2/ en cas d’échec, Alger pourra toujours prétendre qu’elle n’a jamais été non solidaire du mouvement, et offrir sa médiation, rôle qu’elle a déjà joué dans la rébellion de 1990.

Au final l’Algérie laisse la situation pourrir pour savoir sur qui elle pourra avoir le plus d’influence, afin de tirer le maximum d’opportunités le moment venu.

Il ressort donc de ce qui précède que l’Algérie tente par tous les moyens de « somaliser » la région sahélo-saharienne. Cette affirmation est confirmée par le fait que les autorités algériennes refusent de s’impliquer sérieusement dans l’éradication du terrorisme ou du sécessionnisme dans toute la zone.

Cette attitude irresponsable a été fermement soulignée dernièrement par le Ministre nigérien des Affaires Etrangères, Monsieur Mohamed Bazoum.

Ce dernier a rappelé qu’il devient urgent que les Algériens sortent de leur attitude de retrait et d’expectative, qu’ils doivent se réveiller face à la grave situation qui prévaut au Nord Mali

Il a également souligné le CEMOC (Comité d’Etat-Major Opérationnel Unifié) était conçu pour faire face à de telles situations. Or, depuis que cela est arrivé au Mali, cette entité a été mise en hibernation par l’Algérie et qu’elle doit aujourd’hui justifier sa position de retrait et d’expectative qui porte gravement à la souveraineté des Etats et à la sécurité des populations de la région.

Pour le Ministre nigérien, il est également primordial que l’Algérie intègre le fait que seule l’option militaire est à même d’éradiquer définitivement la menace terroriste d’AQMI.

A ce sujet, le Maroc a été invité à s’impliquer dans la lutte anti-AQMI par le Niger et le Mali. Contrairement à l’Algérie, le Maroc demeure convaincu de la nécessité d’une démarche basée sur la coordination des actions pour faire face aux défis sécuritaires dans la région duSahel.

La participation du Maroc à la lutte antiterroristedans la région du Sahel se fait de plus en plus nécessaire.

Les Etats de cette région de l’Afrique, marquée par une forte présence d’AQMI, un ex-Groupe salafiste de prédication et de combat algérien, sont conscients de cette urgence. Ils affichent désormais publiquement leur adhésion à cette thèse malgré l’opposition manifeste de l’Algérie à la participation de son voisin de l’ouest dans ce combat

D’ailleurs, la position du Royaume à propos de cette question est claire. Le Maroc demeure convaincu de la nécessité d’une démarche basée sur la conjugaison des efforts et la coordination des actions pour faire face aux défis sécuritaires régionaux.

J’ajouterai que le Maroc accueillera dès le 09 juin 2012 le prochain conseil exécutif des ministres des Affaires étrangères de la Communauté des États sahélo-sahariens (Cen-Sad) qui regroupe 28 pays d’Afrique.

Cette réunion a pour objectif d’insuffler une nouvelle dynamique à cette organisation et dont une de ses principales missions est la promotion de la paix et de la sécurité. Une paix mise à mal dans la région en ébullition et dont certaines parties comme le Mali sont déstabilisées avec le risque d’une contagion régionale et d’une «kurdistanisation» qui toucherait l’arc sahélo-saharien.

En conclusion Il est plus que jamais clair que le régime algérien s’obstine à vouloir cacher ce qui ce passe dans cette région du monde pour servir ses propres intérêts, alors que la lutte contre la nébuleuse terroriste au Sahel exige une coopération étroite entre l’ensemble des Etats de la région.

L’Algérie tient toujours, pour des raisons inavouables, à sa position intransigeante malgré les mutations profondes que connaît la région, notamment la vague de protestation qui secoue le monde arabe et la mort d’Oussama Ben Laden, leader emblématique d’Al Qaida, avec tout ce que cela pourrait impliquer comme risque de radicalisation des filiales régionales de cette organisation terroriste, notamment AQMI, dirigée par l’Algérien Abdelmalek Droukdel.

L’Algérie instrumentalise donc la question touareg, comme elle le fait pour celle du Sahara marocain, à des fins hégémoniques et de leadership sur le continent africain et arabo-musulman. Mais elle a oublié que la patience du Maroc, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, de la Tunisie, de la Libye, du Tchad, du Burkina Faso, du Sénégal, du Nigéria et d’autres pays a atteint ses limites.

Farid Mnebhi pour israel-flash



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/06/l%e2%80%99algerie-instrumentalise-t-elle-la-question-touareg-a-des-fins-hegemoniques/#ixzz1xIOfdDwY

 

Syrie : Quoi faire ? Interview d’un ancien du Mossad et de François Heisbourg (Israel Flash).

Russie Syrie

Que peut-on faire pour arrêter les massacres ? Faut-il intervenir en Syrie ? Livrer des armes à l’opposition ? Yossi Alpher, ancien responsable de la Syrie au Mossad et François Heisbourg, conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique tentent de nous éclaircir…

 

Articles sur la crise syrienne

Voici ce qu’en dit l’Israélien Yossi Alpher, ancien responsable de la Syrie au Mossad.

Que faut-il faire pour résoudre la crise syrienne ?

- Commençons avec ce qu’il ne faut pas faire. Eliminons quelques possibilités. Premièrement : compter sur l’opposition. Elle est désespérément divisée et tout aussi désespérément incompétente. Il est donc difficile de la soutenir. Deuxièmement : espérer le départ de Bachar al-Assad. Il ne va pas partir, il ne sera pas non plus chassé par une résolution des Nations Unies. Aucune des solutions adoptées dans les autres pays arabes n’est applicable en Syrie en raison de la situation ethnique et religieuse de ce pays. Assad n’est pas seulement le chef d’Etat de la Syrie mais le chef des Alaouites. Qui sont soutenus par les chiites, c’est-à-dire par l’Iran et les chiites libanais. S’ils perdent le pouvoir, ils sont morts. Ils seront massacrés. Tout ce qu’ils pourraient faire serait de se barricader dans leur bastion côtier et se battre jusqu’au dernier contre tout le monde. Aucun compromis avec eux n’est aujourd’hui imaginable.

Même si Bachar al-Assad se retirait ?

- Oui, même s’il se retirait ou était écarté pour être remplacé par un autre alaouite. Cela ne mettrait pas un terme à la guerre qui est chaque jour un peu plus une guerre entre les Alaouites et les sunnites. Les autres minorités – chrétiens, druzes – se limitent à changer de position selon les protections qu’elles attendent. Une solution yéménite est donc exclue.

Autre idée à écarter : la création de couloirs humanitaires permettant de fournir aux victimes de la guerre de la nourriture, des médicaments de l’aide médicale. Impossible. S’ils sont créés, à partir de la frontière libanaise ou turque, il faudra les protéger, car ils seront attaqués par l’armée syrienne qui estimera avoir à faire à une invasion de son territoire. C’est à des opérations de guerre qu’il faudra faire face. C’est une tromperie de laisser croire que l’on pourrait créer des corridors humanitaires et les protéger sans provoquer une escalade. Soyons clairs : la création de couloirs humanitaires signifie une intervention militaire en Syrie.

Il ne reste qu’une option : l’opération militaire internationale. Qui ne se produira pas sans un mandat des Nations Unies. Auquel la Russie s’opposera. Pour de nombreuses raisons, stratégiques, historiques et autres. N’oublions pas, en particulier, qu’il y a 250.000 orthodoxes en Syrie et que l’église orthodoxe russe dispose, autour de Poutine d’un lobby puissant, qui plaide en faveur du soutien à Assad car il protège les orthodoxes syriens des islamistes.

Cela signifie-t-il que Poutine ne lâchera jamais Assad ?

- Il ne faut jamais dire jamais. Les Russes sont rationnels. Je dis seulement que c’est difficile pour eux de lâcher Assad. D’autant qu’ils ont leurs propres problèmes avec les islamistes et qu’ils n’ont pas aimé ce qui s’est passé en Libye où ils estiment avoir été trompés par l’Occident. Par l’Otan et les Nations Unies.

Donc la guerre civile syrienne va se poursuire…

- Pour le moment, franchement, je ne pense pas qu’il soit possible de faire quoi que ce soit. Pour moi, il faudrait que les atrocités s’aggravent encore et/ou que la guerre déborde d’une manière sérieuse sur les pays voisins – on en voit déjà les premiers signes au Liban – pour que la communauté internationale, ou une partie de la communauté internationale se décide à intervenir fermement. Oui, pour que cela se produise, il faudra que la situation en Syrie soit encore pire que ce que nous avons sous les yeux.

Israël peut-il être entraîné dans ce conflit ?

- Larijani, le président du parlement iranien vient de déclarer que si une intervention étrangère avait lieu en Syrie, l’Iran attaquerait Israël. Si les Iraniens sont assez stupides pour faire cela, ils entraîneront Israël dans ce chaos. Et Israël – je parle ici d’expérience, sans me référer à un sondage ou à une étude – est de plus en plus convaincu qu’aucune autre solution en Syrie ne pourrait être pire que Bachar al-Assad. La Syrie ne deviendra pas un Etat Frère musulman ennemi monolithique. Par ailleurs, il est clair que la chute d’Assad serait un coup terrible pour l’Iran. Attention, cela ne veut pas dire qu’Israël serait tenté d’intervenir. Israël a sagement décidé de ne pas intervenir.

Jusqu’à présent d’ailleurs, Bachar-al-Assad a été, comme son père, un voisin relativement paisible pour Israël.

- Oui, on peut dire cela dans la mesure où la frontière du Golan a été la plus tranquille des frontières d’Israël pendant plusieurs décennies. Par ailleurs, les Assad père et fils n’ont jamais été très pressants dans les négociations sur le Golan. Tout cela est vrai, mais l’alliance de la Syrie avec l’Iran et avec le Hezbollah doit être prise au sérieux. Surtout lorsque les menaces iraniennes se font de plus en plus précises. Cela dit un événement très important dans nos relations avec Damas a eu lieu la semaine dernière : Netanyahou et Barak ont critiqué, pour la première fois, ensemble et ouvertement les atrocités perpétrées par le régime syrien, adoptant une posture qui peut être comprise par l’opposition syrienne comme hostile à Assad. Peut-être cela veut-il dire que la position israélienne, sur la question est en train de changer…

Excluez-vous l’hypothèse qu’un groupe de militaires ou de politiciens civils alaouites écarte Assad pour enrayer le glissement du pays dans l’anarchie.

- Non je n’exclus pas qu’un groupe d’officiers supérieurs alaouites parviennent à la conclusion que le régime n’est plus en mesure de défendre les intérêts de leur communauté et tentent d’abord d’obtenir de l’opposition des garanties convaincantes pour les alaouites avant d’essayer d’agir. C’est possible. Mais la Syrie est un régime doté de services de sécurité puissants et omniprésents et c’est précisément le genre de trahison qu’ils guettent. Si une telle initiative devait être prise, elle ne pourrait venir, selon moi, que de l’armée.

Mais attention. On ne peut exclure non plus que Bachar durcisse encore la répression, multiplie les atrocités, écrase l’opposition et remporte cette guerre. Ce n’est pas impossible.

Interview de Yossi Alpher* par René Backmann

(*) Ancien officier des services de renseignements militaires israéliens et du Mossad,


Et François Heisbourg, conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique

Est-il vraiment impossible d’intervenir militairement en Syrie ?

- Une intervention militaire directe, c’est-à-dire le recours aux armes par des puissances extérieures, ne peut se faire qu’en passant par le Conseil de sécurité des Nations unies. Or, sans même parler des vetos russes et chinois, il n’y aura pas les neuf voix de majorité nécessaires pour adopter une telle résolution, compte tenu de la situation géostratégique sensible de la Syrie et des risques d’embrasement régional qu’une opération militaire comporterait.

Peut-on intervenir autrement pour faire cesser le massacre ?

- On peut envisager d’appuyer plus rigoureusement l’opposition par des livraisons d’armes et par du renseignement. C’est faisable, puisqu’on peut se passer du Conseil de sécurité pour ce type d’opération, mais cela nécessiterait de s’assurer du concours des Etats frontaliers. Seulement, on ne sait pas aujourd’hui jusqu’où ces pays sont prêts à aller : la Jordanie s’inquiète pour sa stabilité et la Turquie redoute un retour de bâton qui pourrait se manifester par un soutien syrien aux combattants kurdes sur son territoire.
D’après les informations dont on dispose, il y a déjà des livraisons d’armes en provenance du Qatar et de l’Arabie Saoudite, mais pas en nombre suffisant pour que l’opposition syrienne puisse en tirer un réel bénéfice. Il leur faudrait des armes anti-char, des munitions, des moyens de vision nocturne et, cela me semble vraiment crucial, du renseignement.

Une autre option consisterait à créer des périmètres de sécurité le long de la frontière turco-syrienne. C’est ce qu’on avait fait lors de la guerre du Golfe pour protéger les kurdes du Nord de l’Irak. Mais cela avait été possible parce qu’il y avait eu une résolution des Nations unies. Dans le cas de la Syrie, on se retrouverait de nouveau face aux Russes et aux Chinois. Mais les convaincre de laisser passer ce type de mesure paraît moins improbable qu’une intervention militaire directe du type Libye.

On en revient donc toujours au blocage russe…

- La voie diplomatie n’est peut-être pas encore épuisée. Pour des raisons économiques, la Chine commence à être gênée par son veto. Ses fournisseurs de pétrole dans le Golfe, à commencer par l’Arabie saoudite, font pression pour que Pékin cesse de soutenir le régime syrien. Il y a peut-être là matière à réfléchir : ne pourrait-on pas tenter d’infléchir la position des Russes par Chinois interposés ?
Il faut avoir à l’esprit que Bachar al-Assad a peut-être la capacité de réprimer pendant des mois, voire des années, mais pas de vaincre ni de gouverner. Donc, essayer d’accélérer le changement de positionnement de la Russie est capital : si les Russes faisaient savoir qu’ils ne soutenaient plus Bachar al-Assad, le régime s’effondrerait probablement très vite.

Interview de François Heisbourg, conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique par Sarah Halifa-Legrand



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/06/syrie-quoi-faire-interview-dun-ancien-du-mossad-et-de-francois-heisbourg/#ixzz1xINXSAYZ

 

Nouvelle vague d’agressions antisémites en France – encore et toujours par des musulmans

Préparez-vous pour le vrai holocauste

 

Un adolescent de 17 ans, sa sœur et son beau-frère ont été agressés à Marseille il y a une semaine – l’information vient d’être révélée – par une bande de quatre arabes qui leur ont craché les mots suivants : « C’est chabbat chez vous, vive Mohamed Merah, nique les Juifs, Palestine vaincra ».

Le jeune Juif a été identifié par les musulmans parce qu’il portait une kippa.

L’un des musulman a ensuite sauté sur l’adolescent et lui a donné un violent coup au bras, lequel lui a rendu un coup de poing. A ce moment, la deuxième racaille arabe le frappe d’un coup de pied à la jambe.

L’adolescent a une blessure au genou et des ligaments sectionnés. Son beau-frère a également été frappé de coups de poing.

Une plainte a été déposée, et le SPCJ (Service de Protection de la Communauté Juive) a chargé son avocat de prendre le dossier en mains (1).

A ce jour, les médias nationaux n’ont pas révélé cette agression, soit parce qu’ils la jugent si rapprochée de celle de Villeurbanne que les Français pourraient prendre conscience qu’un antisémitisme violent s’est installé en France, soit parce que les agresseurs étant dans les deux cas des musulmans, les Français pourraient prendre connaissance des racines de ce mal antisémite, soit enfin parce que la plupart des agressions se réfèrent au terroriste Mohammed Merah.

Toujours à Marseille, le site internet du Mouvement Sioniste Africain (2) relate un acte de barbarie immonde, qui me rappelle l’assassinat par des musulmans de Marie Dedieu, une Français handicapée, il y a quelques mois en Somalie.

Samedi 3 juin dans dans la nuit, une mamie Juive de 83 ans a été agressée, violée, et cambriolée par trois maghrébins.

La vielle dame, qui habite la rue d’Aix depuis 40 ans et qui sortait ses poubelles, a été attaquée par trois arabes (La Provence (3) mentionne à tort la présence d’un seul arabe, et a « oublié » la mezouza à la porte, déclencheur de la sauvagerie). Lorsqu’ils ont ensuite découvert une mezouza à sa porte, ils sont devenus enragés, l’ont forcé à rentrer chez elle pour la violer. Ils l’ont ensuite frappée et lui ont dérobé des bijoux, avant de disparaitre dans la nature, leur tribu à Allah accompli.

Le Nouvel Obs a mentionné le drame, mais il a soigneusement caché sa dimension antisémite, et la religion des agresseurs.

Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

(1) http://www.sosantisemitisme.org/communique.asp?ID=701
(2) http://mouvementsionisteafricain.com/flash-m-s-a-marseille-ignoble-grand-mere-juive-violee-et-agressee-reaction/
(3) http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/une-femme-de-83-ans-depouillee-et-violee

 

Le député UMP de Gonesse victime d’une agression de racistes musulmans (Dreuz.info).

Le député UMP de Gonesse victime d’une agression de racistes musulmans « sale nazi, de toutes façons on va voter pour le PS »

Alors qu’il était en déplacement dans le cadre des législatives, le député UMP Yanick Paternotte, de la 9e circonscription (Gonesse, Goussainville, Luzarches) du Val d’Oise, et candidat à sa propre succession, a été victime d’une agression raciste mercredi 30 mai après-midi à Goussainville.

Une dizaine de jeunes issus de l’immigration, qui se trouvaient devant une pharmacie dans le quartier populaire des Grandes Bornes, ont insulté le député, le traitant de « sale nazi » puis « de toute façon on va voter pour le PS ».

De retour à sa voiture, il l’a trouvée fracturée, vitre avant droite cassée, et ses effets personnels volés.

Yanick Paternotte a appelé police-secours, puis a déposé plainte.

Le député UMP peut s’estimer heureux : contrairement à Jacques Myard, également attaqué par un arabe durant la campagne législative (1), les musulmans n’ont pas interdit à Paternotte de venir sur « les terres arabes » de Goussainville.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.leparisien.fr/legislatives-2012-val-doise-95/le-depute-yanick-paternotte-agresse-a-goussainville-30-05-2012-2024414.php
(1) http://www.dreuz.info/2012/06/a-sartrouville-le-depute-maire-jacques-myard-se-fait-apostropher-par-un-musulman-vous-navez-rien-a-faire-ici-ici-cest-une-terre-arabe/

 

Commentaire messianique de Soucat David pour la Parasha de la semaine.

Voici le commentaire messianique de Soucat David pour la Parasha de la semaine : bé-Haaloté'ha.

Bé-Haalotekha.pdf    Bonne lecture et Shabbat Shalom !

 

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