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Des nazis s'attaquent à leurs voisin juifs. En France (JSSNews).

Dimanche 16 juin en fin de journée, en Seine et Marne (77), une famille est réunie dans son pavillon.

Le jeune fils de la famille sort sur le pas de la porte pour demander à un homme qui fait des allers retours en moto à grande vitesse dans une petite rue limitée à 30km/h de ralentir car des enfants traversent. Le motard énervé tente de l’écraser. Le reste de la famille rejoint le jeune homme pour lui porter secours.

Capture d’écran 2013-06-22 à 01.34.40

 

Le motard qui s’avère être un voisin est rejoint dans la rue par ses amis : 5 personnes de type européen.

Le ton monte.

Une bagarre explose.

L’un des agresseurs a une barre en fer qu’il utilisera a plusieurs reprises contre les membres de la famille dont deux jeunes femmes. Ils font à plusieurs reprises le salut nazi, crient « Heil Hitler, on aurait dû tous vous brûler et finir le travail en 40″ ; « sale feuj, je vais brûler ta maison et brûler ta voiture avec tes fils dedans » « sale chien de feuj je t’encule».

Le service de sécurité du lotissement intervient, la police aussi.

Un des attaquants est placé en garde à vue le soir même. Les 5 autres le lendemain matin.

La fille de la famille attaquée et la fiancée du fils ont eu 5 jours d’ITT chacune, l’une d’elle a le poignet cassé. Tous les membres de la famille présents sont convoqués au commissariat. Deux d’entre eux sont placés en garde à vue. En fin de matinée toutes les gardes à vues sont levées.

Plusieurs voisins ayant assisté à la scène ont témoigné auprès de la police et relaté les insultes antisémites virulentes et répétées ainsi que les violences physiques commises. Une vidéo tournée sur les lieux atteste d’une partie des insultes antisémites.

Tous les protagonistes (famille + agresseurs) ont reçu une convocation pour audience au Tribunal de Grande Instance de Melun pour le 20 janvier 2014.

Mais comment imaginer à présent que les voisins reviennent vivre juste à côté de la famille juive ? Comment la famille juive peut-elle accepter cela ? Comment la France peut-elle accepter la remise en liberté des nazis ? Un jugement rapide n’aurait-il pas plutôt lieu d’être ? Une ordonnance réclamant aux nazis de se tenir à au moins 10 km de ses voisins en attendant le procès ne serait-elle pas légitime ? Pour la justice de daube Taubira, non.

Par Luce Pierre – Avec le SPCJ – JSSNews

 

Le Décodeur n° 31 Le décryptage d’Alliance VITA sur l’actualité de la loi Peillon

Le Décodeur n° 31
21 06 2013

Le décryptage d’Alliance VITA sur l’actualité de la loi Peillon


« Le Gouvernement et le Gender à l'école »

L’EVENEMENT

La loi « d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République » va repasser au Sénat, en seconde lecture, à partir du 24 juin prochain. 
Parmi les mesures les plus symboliques, un amendement avait été voté à l’Assemblée nationale le 19 mars pour introduire « l’éducation à l’égalité de genre » dès l’école primaire. Cet amendement a ensuite été retiré au Sénat le 24 mai, le ministre Vincent Peillon craignant « un débat idéologique malsain qui déchaînera de mauvaises passions » (Voir ci-après).
En réalité, en dehors de tout débat de société approfondi, le Gouvernement a pris de multiples initiatives pour promouvoir ce qu’on appelle la théorie du Gender (ou théorie du genre) ces derniers mois : de la crèche à l’Université, en passant par la formation des enseignants, l’objectif est de changer les mentalités et de « déconstruire les stéréotypes de genre », au nom de l’égalité hommes-femmes et de la lutte contre les discriminations.
LE CHIFFRE

57% des Français se déclarent défavorables à ce que « la théorie du genre soit enseignéedans les établissements scolaires ». Tel est le résultat du sondage IFOP rendu public le 20 juin 2013, à la demande de l’Observatoire de la Théorie du Genre, site internet créé par le syndicat étudiant UNI.

Par ailleurs, 65% sont opposés à ce que « des membres d’associations LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transgenres) puissent être associés à l’éducation à la sexualité dans les écoles ». Il est également frappant de noter que 66% des 18-24 ans sont défavorables au principe-même de ces cours d’éducation à la sexualité (contre 49% pour l’ensemble des Français), ces jeunes portant un jugement fortement négatif sur la qualité et l’intérêt de cet enseignement tel qu’il est réalisé jusqu’à présent.
LES OBJECTIFS DU GOUVERNEMENT

Ces objectifs, et les mesures concrètes pour les atteindre, sont contenus dans divers documents récents. En prendre connaissance permet de mesurer la détermination du Gouvernement et l’ampleur des changements attendus pour transformer la société française en profondeur.
 
1)   La vision de Vincent Peillon sur le rôle de l’école
Le ministre de l’Education nationale a expliqué, à plusieurs reprises, le rôle fondamental qu’il entend donner à l’école républicaine, en particulier pour l’enseignement de la morale laïque et la lutte contre les déterminismes. On peut résumer sa pensée avec la fameuse phrase prononcée au cours d’une interview le 1er septembre 2012 : « Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel ». 
Dans son livre-programme « Refondons l’école », publié en février 2013, il insiste : « Il appartient à l’école (…) de produire un individu libre, émancipé de toutes les tutelles – politiques, religieuses, familiales, sociales » (page 12) ; dans ce but, « la lutte contre les stéréotypes de genre et l’homophobie doit être menée avec force, à tous les niveaux de l’enseignement » (page 128). 
2)   Le plan national contre l’homophobie, présenté le 31 octobre 2012

Présenté comme le plus vaste jamais conçu en France, le « Programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre » concerne pratiquement tous les domaines de la vie sociale : justice, éducation, médias, travail, santé, vieillesse, relations internationales, etc. Le chapitre 2, intitulé « S’appuyer sur la jeunesse pour faire évoluer les mentalités », détaille plus spécifiquement les actions à mener de l’école primaire à l’enseignement supérieur.

3)   Les mesures en faveur de l’égalité hommes-femmes

Au cours d’un Comité interministériel consacré aux droits des femmes, le 30 novembre 2012, le Gouvernement a présenté « des mesures fortes » pour lutter contre les stéréotypes à l’école, la violence faite aux femmes ou le temps partiel subi. Ce plan annonce « la troisième génération du droit des femmes, après le droit de vote et la loi IVG », selon l’entourage de Najat Vallaud-Belkacem.

4)   La Convention interministérielle pour l’égalité entre filles-garçons et femmes-hommes dans le système éducatif, 2013-2018.

Ce texte organise un partenariat très structuré entre les différents ministères concernés par les objectifs fixés dans les plans évoqués ci-dessus. La liste des actions à mener est impressionnante : formation initiale et continue de enseignants, évolution des manuels scolaires « pour éviter les stéréotypes sexistes », éducation à la sexualité intégrant davantage les recherches sur le genre, aides à l’orientation pour amener les jeunes filles vers les métiers d’hommes et inversement, etc.
 
Les principales initiatives prises ces derniers mois sur la base de ces documents sont détaillées dans les notes en annexe, consacrées à chaque niveau d’enseignement : petite enfance et crèches, école primaire, enseignement secondaire, enseignement supérieur, formation des enseignants.
 
 NOTRE COUP DE COEUR

L’appel des professionnels de l’enfance : cette association, présidée par Jérôme Brunet, demande depuis sa création en 2004 que l’intérêt de l’enfant soit considéré comme prioritaire dans les choix politiques ou éducatifs. Très engagée sur la question de l’adoption des enfants dans le débat sur le mariage homosexuel, elle multiplie désormais les initiatives pour faire prendre conscience des enjeux sur l’introduction du Gender à l’école.
A mentionner également, Les « Enseignants pour l’Enfance » : cette toute nouvelle association se donne pour objectif « de fédérer un maximum de professeurs, d'instituteurs, de maîtres et de maîtresses, qui vont du primaire aux classes préparatoires, et de mobiliser toutes ces personnes pour lutter contre la théorie du genre qui va envahir les manuels scolaires ». Quelques enseignants de la région lyonnaise se trouvent à l’origine de cette initiative à suivre.
NOTRE COUP DE GUEULE

Voici comment la députée PS Julie Sommaruga justifiait, le 28 février 2013 à l’Assemblée nationale, son amendement introduisant l’éducation à l’égalité de genre à l’école primaire, avec l’avis favorable du rapporteur : « Cet amendement a pour objet l’intégration dans la formation dispensée dans les écoles élémentaires d’une éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la déconstruction des stéréotypes sexués. Il s’agit de substituer à des catégories telles que le « sexe » ou la « différence sexuelle », qui renvoient à la biologie, le concept de « genre », qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites. »

Sur le fond (l’objectif culturel) comme sur la forme (les mots utilisés), cette déclaration permet de mesurer à quel point l’idéologie du Gender a désormais imprégné la conscience de nombreux responsables politiques.
POUR ALLER PLUS LOIN

1) La petite enfance et les crèches
  • Le rapport de l’IGAS sur l’égalité dans les modes d’accueil de la petite enfance donne le ton : dans un document de 150 pages remis en décembre 2012, deux membres de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) se lamentent sur les « pratiques qui, sous couvert de neutralité, confortent les stéréotypes » entre les garçons et les filles de 0 à 3 ans. Ils proposent un vaste plan d’éducation à l’égalité, décliné en 5 axes et 15 recommandations.
La synthèse commence ainsi : « Toutes les politiques de promotion de l’égalité butent sur un obstacle majeur, la question des systèmes de représentations qui assignent hommes et femmes à des comportements sexués, dits masculins ou féminins, en quelque sorte prédéterminés. » Sur la base d’un tel présupposé idéologique, il ne faut pas s’étonner que toutes les mesures proposées (vêtements portés, jouets utilisés, activités sportives proposées, livres de littérature enfantine…) visent à « déconstruire les stéréotypes de genre ».
  • La crèche Bourdarias, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) a été présentée comme un modèle dès septembre 2012 par Mme Vallaud-Belkacem et Mme Bertinotti, lors d’une visite sur place très médiatisée. Sa pédagogie « active égalitaire », où par exemple l’album Petit Ours Brun est censuré comme trop sexiste, est encouragé partout en France, notamment à Lyon, à Toulouse, etc. Les expériences se multiplient, de façon plus ou moins discrète, et parfois sans que les parents y soient réellement associés.
  • Sur un autre plan symbolique, Sandrine Mazetier, députée PS de Paris, a posé unequestion écrite au ministre de l’éducation le 18 décembre 2012, pour demander que l’appellation genrée « école maternelle » soit remplacée par un nom neutre comme « première école » ou « école élémentaire». Le ministre n’a toujours pas répondu.

2) L’école primaire
  • Le programme national contre l’homophobie, dans le chapitre sur la jeunesse, insiste tout particulièrement sur l’éducation à la sexualité. Dans sa présentation, la ministre du droit des femmes Najat Vallaud-Belkacem a précisé : « Il faut que dès le plus jeune âge, chacun comprenne qu'il existe plusieurs types d'orientation sexuelle. L'éducation à la sexualité va revenir dans les établissements scolaires, et il ne sera plus question d'éluder la question de l'homosexualité.»
  • Quant au plan égalité hommes-femmes du 3O novembre 2012, il prévoit que pour les plus jeunes, un « ABCD de l'égalité » déconstruira les stéréotypes. Une documentation pédagogique s'adressera aux élèves, de la grande section de maternelle au CM2, et à leurs enseignants. Expérimenté à la rentrée 2013 dans cinq académies (Bordeaux, Corse, Guadeloupe, Nancy-Metz, Rouen), il sera généralisé à toutes les écoles à la rentrée 2014.
  • La loi sur la refondation de l’école, actuellement en discussion au Parlement, est l’occasion d’un débat significatif autour de l’article 31 consacré aux missions de l’école primaire.
Le 28 février 2013, à l’occasion de l’examen du texte en commission de l’éducation, la députée PS Julie Sommaruga a fait voter l’amendement suivant : « Elle [l’école primaire] assure les conditions d’une éducation à l’égalité de genre ». (Voir notre Coup de gueule).
Le Sénat a ensuite retiré cette phrase pour y substituer une version plus neutre, soutenue par le ministre Vincent Peillon pour éviter de créer de nouvelles polémiques : « Elle assure l'acquisition et la compréhension de l'exigence du respect de la personne, de ses origines et de ses différences, mais aussi de l'égalité entre les femmes et les hommes. »
Cette seconde version a été finalement acceptée en seconde lecture à l’Assemblée nationale, malgré les tentatives de plusieurs députés de revenir à l’amendement initial.
  • Le syndicat SNUipp-FSU, principal syndicat d’enseignants au sein de l’école primaire, a organisé le 16 mai dernier un colloque sur le thème de l’éducation contre l’homophobie. A cette occasion, il a diffusé un dossier de près de 200 pages, avec des analyses théoriques, des conseils et des fiches pratiques liées à des albums pour enfants (comme par exemple Papa porte une robe) afin d’inciter les enseignants à consacrer du temps scolaire pour « faire évoluer les mentalités ».

3) L’enseignement secondaire
  • En cohérence avec le programme national contre l’homophobie, le Plan Egalité hommes-femmes du 30 novembre 2012 prévoit des actions de sensibilisation dans les collèges et les lycées, avec les associations et l'agence du service civique. Elles viseront la lutte contre le harcèlement et les violences sexistes, ainsi que l’éducation au respect et à l'égalité. L’Onisep (organisme public chargé de l’orientation des jeunes) devrait lancer cette année un site internet « Objectif égalité ».
Par ailleurs, la circulaire de 2003 sur l'éducation à la sexualité dans les écoles, collèges et les lycées sera actualisée, afin d'être effectivement mise en œuvre dans tous les établissements. Trois séances d'éducation à la sexualité « traiteront tant des questions d'ordre biologique que des dimensions psychologiques, sociales, éthiques et culturelles de la sexualité ». Dès octobre 2012, Vincent Peillon avait mis en place un groupe de travail sur ce thème, avec des représentants d’associations militantes dans la mouvance LGBT.
  • La Ligne AZUR, ligne d’écoute pour les jeunes se posant des questions sur leur orientation ou leur identité sexuelle, fait l’objet d’une campagne publicitaire sans précédent. Vincent Peillon a écrit à tous les recteurs le 4 janvier 2013 pour leur demander de « relayer avec la plus grande énergie » cette campagne.
Le site internet fait pourtant l’objet de critiques régulières pour sa promotion des thèses du lobby LGBT. Il a par exemple fait la publicité d’une brochure scandaleuse (« Tomber la culotte ») vantant des pratiques sexuelles allant jusqu’au sadomasochisme lesbien. Suite à une action des réseaux sociaux, ce site a retiré la brochure, mais celle-ci continue d’être accessible sur d’autres sites dédiés aux jeunes, comme par exemple Fil Santé Jeunes.
  • Dans le même esprit, une association comme SOS homophobie s’est donnée pour mission d’intervenir en milieu scolaire pour lutter contre les discriminations, c’est-à-dire lutter «contre la lesbophobie, la gayphobie, la biphobie et la transphobie ». Après des centaines d’interventions dans les collèges et les lycées, la justice a annulé en décembre 2012 l’agrément que le ministère de l’Education nationale lui avait accordé en 2009, pour cause de partialité dans leur message. Discrètement, par un arrêté daté du 21 mai 2013, le ministère vient de lui donner à nouveau un agrément pour cinq ans…
  • Pour mémoire, il faut rappeler que le premier « coup de tonnerre » qui a déclenché une prise de conscience dans les milieux éducatifs concerne l’introduction du Gender dans certains manuels scolaires. De nouveaux programmes de SVT (Bulletin officiel du 30 septembre 2010, voir introduction de la page 7) pour les classes de Première L et ES, avaient été publiés par le ministre de l’Education Luc Chatel dans l’indifférence générale. Mais certains manuels scolaires, prenant appui sur une phrase du programme « Féminin/masculin », ont mis en valeur les thèses du Gender de façon si provocante que de nombreuses associations ont émis de vives protestations et demandé le retrait de ces manuels.
Un groupe de travail parlementaire a été constitué et son animateur, le député Xavier Breton, a rédigé un rapport d’information sur la façon dont les manuels scolaires étaient élaborés. Le rapport demande notamment que des débats soient organisés sur les programmes, en amont de leur parution.
 
4) L’enseignement supérieur
  • Le programme national contre l’homophobie et le plan Egalité hommes-femmes s’appliquent également à toute la population étudiante : il est notamment prévu un guide pratique pour aider les étudiants victimes d’homophobie, ou une campagne d’information pour favoriser leur accompagnement « par la médecine universitaire, le service social ou une association LGBT ».
  • Beaucoup d’Universités ou d’Ecoles supérieures intègrent désormais des modules de formation aux études de genre ou à certaines dimensions scientifiques ou culturelles du Gender. Sciences Po Paris a par exemple déployé le « Programme de Recherche et d’Enseignement des SAvoirs sur le GEnre » (PRESAGE), qui insère une réflexion sur le genre dans l’ensemble des activités de l’école : enseignement, recherche, formation continue. Sans oublier une « Queer week » annuelle, occasion pour le lobby LGBT d’organiser avec le soutien de l’école des animations pour sensibiliser les étudiants : films pornographiques, distribution de sex-toys, atelier de travestissement, vente de contes « non sexistes » pour enfants, etc.
  • L’activité la plus intense - et certainement la moins connue - est menée par l’Institut Emilie du Châtelet « pour le développement et la diffusion des recherches sur les femmes, le sexe et le genre » (c’est ainsi qu’il se définit). Créé en 2006, cet organisme reçoit chaque année une subvention d’environ 1 million d’euros du Conseil régional d’Ile de France, ce qui lui permet de financer des recherches universitaires, des colloques, des manifestations, des publications. Tout au long de l’année, il diffuse les thèses du Gender dans les sphères intellectuelles, politiques et médiatiques, via les organismes les plus prestigieux de recherche et d’enseignement français (CNRS, INED, Sciences Po, EHESS, HEC, plusieurs Universités parisiennes, etc.).
Pour donner un exemple, la thèse de doctorat 2010 intitulée « Altérités de genre : migrantes lesbiennes entre pratiques politiques, vies subversives et oppressions en Italie. Comparaison Palerme et Vérone » mérite-elle réellement d’être financée par la région Ile de France ?
 
5) Les enseignants
  • Le programme national contre l’homophobie et le plan Egalité hommes-femmes prévoient que les futurs enseignants recevront une formation pour lutter contre les stéréotypes de genre et les discriminations liées à l’orientation sexuelle. Les personnels en poste en bénéficieront également, par le biais de la formation continue.
  • Au-delà des professionnels de l’éducation, de nombreuses autres catégories de personnel devront être formés : policiers, gendarmes et magistrats suivront par exemple des «sessions de formation à la lutte contre les violences homophobes ». La convocation au premier stage organisé début juin 2013 a provoqué la colère du principal syndicat de magistrat (l’USM), tellement la pression du ministère de la Justice était forte.
 
 
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Architip, l’application qui va vous faire découvrir l’archéologie israélienne comme il y a 2.000 ans

Les visiteurs des sites archéologiques d’Israël sont la plupart du temps équipés de leur caméra et de leur imagination. L’appareil photo leur sert à conserver en souvenir des lieux et l’imagination les aide à visualiser ce que pouvaient être les sites avant de tomber en ruine.

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Il y a beaucoup de façons de nourrir son imagination, notamment grâce aux guides papiers, aux enregistrements audio ou encore aux guides touristiques. Mais Architip, une nouvelle application créée par une équipe de professionnels de l’image et de l’archéologie, adopte une approche high-tech de la question.

Grâce à la technologie de réalité augmentée, l’application permet aux utilisateurs de voir à quoi des sites archéologiques ressemblaient réellement il y a des milliers d’années. Le virtuel offrant ainsi une vision claire du passé en le « restaurant ».

La réalité augmentée est une technologie qui utilise les mathématiques, les modèles, les services de localisation, la technologie de la caméra et les algorithmes avancés pour imposer une image virtuelle qui se fond dans une vraie image. «Par exemple, vous pouvez regarder une ancienne mosaïque sur le sol d’une synagogue ou d’une église et avoir du mal à distinguer les motifs en raison de l’ancienneté », a déclaré Yaron Benvenisti, le PDG de Architip, qui est situé à Jérusalem. «Avec Architip, vous verriez la mosaïque en couleur, avec tous ses dessins intacts. »

Parce que chaque site doit être cartographié  séparément, Architip est commercialisé comme un moteur « White Label (en marque blanche) « , qui sera utilisé pour des sites spécifiques. L’équipe de R et D d’Architip menée par Israël AR et le pionnier informatique Sagiv Philipp, ont cartographié et «virtualisé» le site archéologique de Tel Lakis dans le centre d’Israël. Tel Lakis était une ville fortifiée encerclée par des tours et avait de nombreux bâtiments imposants. En observant le site aujourd’hui, il est difficile de visualiser la ville telle qu’elle était avant. Avec Architip, les utilisateurs peuvent admirer le site en positionnant  l’ appareil photo de leur téléphone à l’endroit voulu et en regardant l’écran.

«Avec Architip, vous pouvez voir Tel Lakis comme elle était auparavant, » selon Benvenisti , « vous pouvez marcher dans ses rues et voir les anciennes constructions à travers votre appareil. »

Benvenisti a un faible pour l’archéologie (l’une des raisons pour lesquelles il a convaincu l’équipe d’orienter leur première application commerciale sur ce type de solution).  »L’archéologie est ma passion», a déclaré Benvenisti. «Nous voulions aider à combler le« fossé de l’imagination, entre ce que vous voyez et ce que vous imaginez. Les gens veulent faire l’expérience et notre technologie est tout a fait appropriée. »

L’archéologie est également à l’origine du modèle d’Architip :  » les sites voudront utiliser notre technologie pour améliorer l’expérience du visiteur. Ils peuvent offrir le téléchargement pour quelques dollars ou l’inclure dans le prix de l’entrée, comprenant aussi une visite guidée. « L’ajout d’informations vocales sur les sites à l’application serait également possible, dit-il, mais Architip serait alors utilisée comme un substitut aux guides touristiques.

La compagnie a commencé à commercialiser l’application en fin d’année dernière. Jusqu’ici auto-financée, elle a récemment obtenu son premier client : un site touristique à Jérusalem (dont le nom n’est pas encore connu) et l’application sera disponible cet été.  »Nous avons parlé à d’autres sites et d’autres villes de l’application », a déclaré Benvenisti. «Les pays du monde entier travaillent sur ​​des moyens d’améliorer les visites des touristes. Cette application va certainement les y aider. «

Maeva Tibi pour-Tel-Avivre – JSSNews 

 

L’opération chirurgicale sans scalpel, sans incision ni anesthésies:encore une invention israélienne

Opérer un patient sans aucune incision ni anesthésie mais en utilisant tout simplement une mystérieuse machine… Cela semble sortir tout droit de Star Trek ! Et pourtant, cette technologie est actuellement commercialisée sous le nom d’ExAblate O.R. par la société israélienne Insightec, une start-up créée en janvier 1999.

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Des ultra-sons à la place des scalpels

L’idée d’Insightec est audacieuse. Il s’agit d’utiliser des ultrasons pour détruire tumeurs et kystes sans qu’aucune incision ou anesthésie ne soit nécessaire. La destruction de ces grosseurs est suivie en temps réel grâce à des techniques d’imagerie médicale, ce qui permet au médecin de modifier les paramètres d’utilisation et d’adapter ainsi le traitement tout au long de l’intervention. Cette technologie a tout d’abord été appliquée au traitement des fïbroides utérins, une pathologie aux effets symptomatiques non négligeables et qui concerne environ un quart des femmes. Le traitement classique de ces fïbroides est l’hystérectomie, une procédure chirurgicale lourde. A l’heure actuelle, plus de 9.000 femmes ont pu éviter une telle opération grâce à cette technologie israélienne.

Deuxième étape : traiter les cancers

Mais Insightec ne s’est pas borné à de simples applications gynécologiques. La société a décidé de se tourner vers une utilisation en oncologie, avec comme premières cibles les tumeurs osseuses métastasiques. Les premiers essais ont été fructueux et l’autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis a été obtenue en octobre 2012. Une étude devrait être lancée afin de comparer l’efficacité d’ExAblate O.R. par rapport au traitement classique.

Vers un traitement des maladies neuronales

L’entreprise israélienne ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle vise dorénavant les applications neurologiques, qui sont loin d’être évidentes. En effet, le cerveau est protégé par la boite crânienne et les ultrasons doivent pouvoir être focalisé en un point précis malgré la non-uniformité de cette boîte. En outre, toute la procédure doit pouvoir être guidée par IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), une technique d’imagerie médicale fréquemment utilisée en neurosciences. Mais Insightec est parvenu à surmonter ces difficultés et sa nouvelle gamme, ExAblate Neuro, vient tout juste d’être autorisée en Europe. Pour l’instant, trois types de maladies neurologiques peuvent être ainsi traités : la maladie de Parkinson – une maladie neuro-dégénérative affectant le système nerveux central et responsable de troubles moteurs -, les tremblements ainsi que les douleurs neuropathiques. La société envisage également une application prochaine au traitement des tumeurs cérébrales.

Par Bulletin-Electronique - JSSNews 

 

Doux, tolérant et fraternel islam (Dreuz.info)

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La nature tolérante, douce et fraternelle de l’islam, façonnée par le coran, ce livre sacré de la religion de tolérance, d’amour et de paix, au travers de quelques exemples récents :

Nigéria :

Le jihad islamique contre les Chrétiens du Nigéria s’avère être le plus barbare. D’après un nouveau rapport,70% des Chrétiens assassinés à travers le monde en 2012 le furent dans un pays africain par des musulmans. Parmi les atrocités commises en mars dernier,

  • 41 personnes furent tuées lors d’une attaque suicide à la bombe dans une station de bus d’un quartier à majorité chrétienne. Pour la « Christian Association of Nigeria» ces attaques sont le signe d’uneextermination programmée des Chrétiens et du christianisme dans le nord du Nigéria.
  • Selon le Rév. Jerome Ituah, des 52 églises catholiques du diocèse de Maiduguri, 50 ont été détruites par Boko Haram, une pieuse organisation musulmane, adepte de la charia, la loi coranique.

Egypte:

El Watan News : trois frères chrétiens abattus à leur domicile. La famille des victimes avait été accusée d’avoir essayé de construire une église sur un terrain leur appartenant, après avoir acheté des matériaux pour construire une maison sur ce terrain. Les rumeurs sur la construction d’une église se répandirent lors de la prêche du vendredi à la mosquée. Une foule de 2000 musulmans en colère envahit le terrain et essaya de détruire la maison, la voiture et le tracteur. Cette invasion se termina par l’assassinat des 3 frères chrétiens.

Indonésie :

Les Autorités ont démoli au bulldozer une église à l’Ouest de Java, à la grande joie des «spectateurs» musulmans qui dénoncèrent les Chrétiens comme «infidèles». D’après le Pasteur L. Bababanle gouvernement criminalise la religion chrétienne. La congrégation s’était rassemblée autour de l’église, dans une tentative désespérée de la sauver, pendant que les musulmans hurlaient : «ce sont des infidèles et ils ont construit leur église sans permission. Abattez-là maintenant ! Allahu Akbar, Allah est le plus grand !” (un dieu qui se repait de la violente intolérance de ses fidèles, ne peut être qu’un dieu de haine)

Irak :

Fox News : avant l’invasion américaine, il y avait plus de 300 églises. Aujourd’hui, une décennie après le déclenchement du jihad contre les Chrétiens et leurs lieux de culte, il ne reste plus que 57 églises et ces dernières sont fréquemment les cibles d’extrémistes islamistes. Résultat : près d’un million de Chrétiens ont fuit le pays. Une organisation de défense des Droits de l’Homme basée en Irak a déclaré que ces dix dernières années ont été les pires pour les Chrétiens irakiens, car elles témoignent du plus grand exode de l’histoire de ce pays. Plus des 2/3 des Chrétiens ont émigré. L’un des cas les plus tragiques de cette persécution fut l’attaque de l’église «Notre Dame de la Délivrance» de Bagdad en octobre 2010 par les terroristes d’al Qaïda qui fit 58 morts chrétiens et 78 blessés.

Libye :

Une église chrétienne copte de Benghazi fut attaquée par les musulmans armés. Les jihadistes frappèrent violemment le Père Paul, lui rasèrent la barbe et la moustache dans le but de l’humilier. Ils frappèrent également le diacre et 9 fidèles présents dans l’église. Le gouvernement dirigé par les Frères musulmans est très peu concerné pour lutter contre les persécutions systématiques des Eyptiens en Libye, même quand l’un deux fut torturé, puis assassiné. La manifestation des Coptes devant l’ambassade libyenne du Caire provoqua une nouvelle attaque contre une église de Benghazi, qui fut incendiée.

Pakistan :

En réponse à une accusation de blasphème contre le prophète de l’islam, soi disant proférée par un Chrétien, des milliers de musulmans prirent d’assaut la communauté chrétienne de Lahore. Ils brûlèrent deux églises, l’une catholique, l’autre des Saints des Derniers Jours, comme cela se produit souvent au Pakistan dans un contexte de punition collective contre les Chrétiens.

Soudan :

Selon le Morning Star News, le jihad génocidaire continue à Khartoum en vue de nettoyer la région de toute présence non arabeL’Eglise évangélique de Nuba a été réduite en cendres après un bombardement aérien. Quelques jours plus tard, un autre bombardement sur une région à majorité chrétienne fit 2 morts et 12 blessés. Ces bombardements sont la source principale d’angoisse parmi la population du sud Kordofan a déclaré un chef religieux.

Turquie :

Le monastère du 5e siècle, dédié à St Jean Baptiste va bientôt devenir une «succursale» de l’ « Hagia Sophia», l’une des plus grandes cathédrales, transformée en mosquée, après la conquête islamique et actuellement un musée, qui pourrait bientôt redevenir une mosquée, selon le souhait de nombreux musulmans turcs.

Hollande (le pays) :

Un iranien de 43 ans, ex-musulman converti au christianisme, a été assassiné. D’après le Farsi Christian News Network, la victime s’était rendue à l’église, l’après midi où elle fut tuée. «La terrible nouvelle de ce meurtre insensé a choqué la communauté chrétienne iranienne et les demandeurs d’asile iraniens à travers tout le pays et les a plongé dans la tristesse et la peine. Les Chrétiens représentent un grand pourcentage des réfugiés iraniens au Pays Bas (la loi islamique de la charia appelle à tuer les apostats dans le monde islamique et les convertis au christianisme sont régulièrement ciblés, même en Occident) »

Iran :

Au cours d’une importante conférence, un leader shiite a déclaré que l’islam était attaqué par la Chrétienté en Iran : des brochures et livrets chrétiens étaient envoyés gratuitement aux gens dans de nombreuses régions… Le christianisme était prêché dans plusieurs boutiques de la ville islamique de Mashhad. Des petits livres chrétiens étaient envoyés aux gens sans restriction. Mais un porte parole du journal Mahabat News a déclaré : «Evidemment, le religieux islamique n’a fourni aucune preuve pour étayer son affirmation. Le seul but de telles déclarations est de susciter la répression des Autorités et leur fournir le moyen pour accroître la pression sur les Chrétiens iraniens.»

Kazakhstan :

Vyacheslav Cherkasov : un Chrétien évangéliste a été arête pour avoir offert des brochures chrétiennes aux passants et condamné à payer une amende équivalent à un mois de salaire, pour avoir violé les règles, entrées en vigueur en 2011, relatives à l’importation, la publication et la distribution de littérature religieuse, Le tribunal avait ordonné la destruction de 121 publications chrétiennes, incluant des Bibles, y compris des Bibles pour enfants. C’est la première réglementation de ce genre dans le pays, depuis la reconnaissance de son indépendance en 1991 par l’Union soviétique. Le Conseil local des églises baptistes avait publié son indignation en déclarant avoir été choqué : «c’est un sacrilège et de l’illégalité».

Pakistan :

Le procès de Rimsha Mashi, la petite chrétienne de 14 ans, déjà arrêtée pour «délit de blasphème» suite à une fausse accusation d’un religieux musulman affirmant qu’elle avait brûlé le coran, a été réouvert.

Selon un rapport de Bos NewsLife, un enquêteur de la police a demandé à la Cour suprême d’Islamabad de rouvrir le dossier « de la jeune fille chrétienne », sous prétexte qu’il avait été contraint par le gouvernement à « abandonner les poursuites suite au tollé international ». La famille et l’adolescente vivent actuellement dans la clandestinité.

Un tribunal envisage également de prononcer la peine de mort contre Martha Bibi, une mère de famille chrétienne, accusée d’avoir émis de prétendues «remarques désobligeantes» sur le prophète musulman Mahomet. Un autre chrétien a été arrêté après avoir été accusé de blasphème par un musulman. Mais son arrestation n’a pas apaisé une foule de 3000 musulmans en colère, qui a décidé de punir collectivement les chrétiens, pillant, puis en brûlant deux églises et quelque 200 maisons chrétiennes.

Somalie :

Des militants musulmans ont assassiné un Chrétien Ahmed Ali Jimale, 42 ans, qui se trouvait sur le seuil de sa maison, près d’un poste de police. Parmi les chefs d’accusations, justifiant son meurtre, figurait celle de l’apostasie, sur la présomption que tous les Somaliens sont nés musulmans. Etant enseignant, on lui reprochait également d’initier les enfants à la religion chrétienne. Les militants musulmans l’avaient prévenus qu’ils viendraient lui prendre sa tête. Selon un ami de la victime, Jimale était un homme bon, qui aidait sa communauté. Il laisse 4 enfants âgés de 10, 8, 6 et 4 ans et une veuve terrifiée, ne sachant pas ce qui va lui arriver.

Aveuglés par la duperie de l’islam, malgré les preuves flagrantes de sa nature criminelle, l’Occident préfère sacrifier les musulmans convertis au christianisme en les renvoyant dans leurs pays d’origine, plutôt que d’offenser les islamistes :

Suède :

Les Chrétiens en Iran sont arrêtés, torturés, parfois même assassinés. Mais cela ne semble pas perturber les Autorités suédoises, qui veulent renvoyer en Iran les demandeurs d’asile iraniens, convertis au christianisme. Devenus apostats de l’islam, ils risquent la peine de mort en Iran, mais leurs demandes, pour obtenir le statut de réfugié, ce qui aurait pu sauver leurs vies, ont été rejetées. Charisma News.

Espagne :

Imran Firasat : “I am going to be killed soon” (Je vais bientôt être assassiné)

Le gouvernement espagnol a approuvé l’extradition d’Imran, ce réfugié pakistanais, apostat de l’islam, vers l’Indonésie, dans un souci d’apaisement des communautés musulmanes.

«Aussi longtemps qu’il y aura des dhimmis occidentaux comme le Ministre de l’Intérieur espagnol, nous ne parviendrons pas à nous débarrasser des terroristes islamistes. Ces gens encouragent le terrorisme islamique en arrêtant quiconque ose lutter contre le jihad islamique» et dire la vérité sur le coran et l’idéologie de terreur qu’est l’islam.

Pour rappel, Imran Firasat, auteur du site Mundo sin Islam (un monde sans islam) et d’une vidéo « Le prophète innocent » considéré comme blasphématoire par les musulmans, avait également présenté au Comité constitutionnel espagnol une pétition demandant l’interdiction du coran en Espagne.

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