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Vidéo: Idée reçue n°1 : « Dans Tsahal, il n’y a que des Juifs, c’est l’apartheid » (Europe Israël).

Vous pensez qu’Israël est un pays d’apartheid ? Que dans l’armée israélienne, Tsahal, il n’y a que des Juifs ? Voici quelques réponses…

http://youtu.be/mjpDbalbt5s

 

Scandale Oberlin à l’Université Paris Diderot (Europe Israël).

Scandale Oberlin à l’Université Paris Diderot, mise au point au regard du Droit International Humanitaire !

 

Tel que présenté aux étudiants de l’Université Paris Diderot, l’exercice édicté par le pro-terroriste du Hamas Christophe OBERLIN démontre un manque de rigueur qui ne peut que révéler son caractère provocateur et propagandiste au service de l’idéologie mortifaire du Hamas. La qualification de « crimes » d’une gravité telle qu’évoquée dans l’énoncé requiert l’examen d’information précises qui manquent cruellement aux étudiants visés par cet exercice de manipulation.

L’énoncé de l’exercice rédigé par OBERLIN est redoutable tant par la fausseté des diverses qualifications de « crime » que par l’absence d’autres choix possibles pour les étudiants soumis à cet examen. Même s’ils ne partagent pas les opinions que OBERLIN essaye de leur inculquer à travers cet exercice issu de la pure propagande du Hamas, les étudiants sont dans l’incapacité de pouvoir rétablir la vérité sans risquer d’être sanctionné par ce professeur indélicat.

Cet article est une mise au point juridique au regard du Droit International Humanitaire. Il est suivi par un communiqué du Président de l’université Paris Diderot, Vincent Berger, qui faire part de sa consternation.

Signez la pétition pour demander des sanctions contre Christophe OBERLIN en cliquant ici !

Au regard du Droit International Humanitaire, la mort de civils dans une zone de guerre ne constitue pas la preuve d’un crime. Aussi, il convient d’éviter de se ruer vers des conclusions hâtives.

Le Crime de Génocide, une accusation particulièrement nauséabonde quand elle est dirigée contre Israël, est défini au regard du Droit International Humanitaire comme un acte commis dans le but de détruire un groupe « national, ethnique, racial ou religieux ». Les faits tels que présentés ne peuvent absolument pas être considérés comme satisfaisant les paramètres pour une qualification de Crime de Génocide, tel que requis par les statuts de la Court Pénale Internationale (CPI).

Le Crime contre l’Humanité est défini comme un acte violent (meurtre, extermination, réduction en esclavage…) commis de façon systématique « contre une population civile », et représentatif de la volonté d’un État de viser les civils de façon répétée. Les faits sur le terrain prouvent la volonté inverse d’Israël et de Tsahal : nombre d’opérations sont annulées quand il est prouvé que des civils palestiniens sont présents à l’endroit visé, et utilisés comme boucliers humains par les terroristes qui se terrent dans leurs zones d’habitation. Tsahal a par ailleurs investit des efforts sans précédents dans le développement du système anti-roquettes Dôme de Fer, dont le déploiement opérationnel protège non seulement les civils israéliens, mais aussi les civils palestiniens en minimisant le besoin d’opération terrestres à Gaza. Encore une fois, les faits ne permettent absolument pas la qualification du crime selon les statuts de la CPI (Article 7).

Au regard des information proposée aux étudiants, il est impossible de qualifier le Crime de Guerre, et suggérer le contraire, tel que le fait l’intitulé de l’exercice, est une manipulation.

L’expression « bombardement classique » n’a pas de sens légal. D’autres données cruciales manquent: les membres du clan Al-Daya étaient-ils des combattants ou des membres armés d’une organisation terroriste? Si c’est le cas, ils constituent des cibles valides et légales. Étaient-ils des civils directement impliqués dans le déroulement des hostilités? Encore une fois, si c’est le cas, leur protection au regard du Droit International Humanitaire est caduque, et ils constituent des cibles légales.

Étaient-ils de simples civils, victimes collatérales d’une opération visant à cibler une rampe de lancement? La situation forcerait alors l’examen de la proportionnalité de l’utilisation de la force, justifiée au regard des statuts de la CPI (Article 51-5-b du Protocole Additionnel I) si un groupe terroriste mettait en danger immédiat des civils israéliens en tirant des roquettes, et particulièrement si toutes les précautions possibles pour éviter les dommages collatéraux ont été prises: utilisation de tirs précis, choix de l’heure de l’attaque ciblée… Chacune des opérations de Tsahal contre des terroristes opérant à Gaza est pré-approuvée par un comité chargé justement de l’évaluation de ces paramètres!

Mais ces détails n’ont pas été précisés aux étudiants de l’université Bichat, pas plus ne leur a été précisée la possibilité qu’Israël n’a tout simplement pas commis de crime.

L’utilisation répétée des civils de Gaza comme boucliers humains, l’implantation de cellules terroristes actives dans les zones résidentielles, la saisie d’édifices publics (jardins d’enfants, mosquées, hôpitaux, etc.) comme caches d’armes et de munitions, le camouflage des terroristes parmi les civils, le pilonnage de localités civiles israéliennes par des milliers de roquettes, le détournement des symboles d’organisations internationales pour mieux dissimuler des opérations terroristes – voilà les crimes qui révèlent le mépris du Hamas pour la valeur de la vie humaine, qu’il s’agisse de celle des civils de Gaza ou des israéliens. Le Droit Humanitaire International est bafoué à Gaza, de façon quasi-quotidienne, mais pas par Israël.

La volonté manifeste de faire condamner Tsahal par des étudiants français manipulés par un intitulé tendancieux révèle les intentions peu louables des auteurs de cet examen. Leur indignation s’avère bien sélective à l’aune des atrocités commises en ce moment même dans la région.

Source Tsahal

Communiqué du Président de l’université Paris Diderot

14 juin 2012

Le Président de l’université Paris Diderot, Vincent Berger, souhaite faire part de sa consternation à la lecture d’une question posée aux étudiants le 12 juin 2012 dans le cadre d’un examen optionnel de médecine. Cette question interrogeait sur la qualification de crime de guerre, de crime contre l’humanité, ou de génocide, le résultat d’un bombardement dans la bande de Gaza ayant fait 22 victimes.

Cette question comporte un caractère polémique regrettable, qui contrevient à l’esprit de neutralité et de laïcité de l’enseignement supérieur. Vincent Berger rappelle que le principe d’indépendance des enseignants chercheurs, inscrit dans notre constitution, n’autorise en rien le non-respect des valeurs fondamentales du service public. Le Président de l’université considère d’autre part que cette question dépasse le cadre pédagogique de la discipline concernée, ne relevant ni de médecine, ni de médecine humanitaire.

Le Président de l’université regrette le « hors-sujet » d’un de ses professeurs. Il comprend l’émotion suscitée, au sein de la communauté universitaire et au-delà, par une telle question au sein d’un examen universitaire.

Il est décidé de l’ouverture d’une enquête administrative qui sera instruite strictement dans le cadre des instances académiques de l’université.

Vincent Berger
Président de l’Université Paris Diderot

 

 

Transfert maximal de malades arabes de Judée-Samarie et Gaza vers Israël (Europe-Israël).

Plus de 90% des demandes palestiniennes de transfert dans les hôpitaux israéliens approuvées (OMS).

Selon des chiffres publiés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l’unité de Tsahal de Coordination des Activités Gouvernementales dans les Territoires répond de manière positive à plus de 90% des demandes de malades palestiniens qui souhaitent être soignés dans des hôpitaux israéliens.

Régulièrement, l’armée israélienne intervient en Judée-Samarie pour sauver la vie de Palestiniens. Compte-tenu de l’avancée israélienne dans le domaine de la médecine et du manque de certaines spécialités ou matériels dans les hôpitaux palestiniens, il est très fréquent que des demandes de transferts dans ceux d’Israël depuis Gaza et la Judée-Samarie soient adressées à Tsahal.

Les données publiées par l’Organisation Mondiale de la Santé en février dernier mettent en évidence les efforts mis en œuvre à la fois par l’unité de Tsahal de Coordination des Activités Gouvernementales dans les Territoires et du gouvernement israélien pour faciliter le passage des malades palestiniens de la bande de Gaza vers les hôpitaux israéliens.

D’après le rapport de l’OMS, 91,5% des requêtes de traitements dans les hôpitaux israéliens sont approuvées par les autorités israéliennes. 7,2% des demandes sont par ailleurs en cours d’étude. Comme le montrent ces statistiques, le gouvernement traite les urgences médicales avec beaucoup de sérieux et met tout en œuvre pour y apporter une réponse dans les plus brefs délais.

Les frais de transfert sont supportés par plusieurs organisations, dont le ministère palestinien de la Santé, l’ONG « Physiciens pour les Droits de l’Homme » ou encore le Centre Pérès pour la Paix.

Tsahal

 

 

Des tirs sur Israël ordonnés par les Frères musulmans égyptiens (Israel Infos).

Des tirs sur Israël ordonnés par les Frères musulmans égyptiens
par Gerard Fredj
Selon des officiels israéliens, les roquettes tirées vendredi sur Israël, qui ont atteint les sites d'Ovda et de Mitspe Ramon ont été lancées à la demande d'un responsable de la confrérie des Frères musulmans égyptiens.

Les traces des roquettes grad ont été découvertes seulement samedi. Tombées dans des zones inhabitées d'Ovda (au nord d'Eilat) et de Mitspe ramon, l'armée en cherchait les traces depuis vendredi; Elles n'ont été identifiées que samedi en fin de journée.C'est la première fois que des tirs atteignent ces zones.

Ordonné par le Hamas à la demande des Frères musulmans, l'organisation islamiste n'auraient pas, elle même, procédé aux tirs, mais aurait "délégué" cette tache à un des multiples groupes bédouins qui lui sont liés dans la péninsule du Sinaï - Les Frères musulmans sont la "maison mère" du Hamas.

L'objectif d'une première action de tirs sur Israël directement ordonnée par les frères musulmans n'apparaît pas encore clairement aux analystes sécuritaires israéliens : tester une capacité d'attaque sur Israël, ou créer des incidents à la veille du second tour du scrutin présidentiel égyptien, alors que le candidat des Frères musulmans est au coude à coude avec un ancien premier ministre d'Hosni Moubarak.

Comme souvent dans le monde arabe, le discours de la confrérie est basé sur le principe du double langage : pour la communauté internationale, les Frères musulmans ont affirmé qu'ils ne reviendraient pas sur le Traité de paix signé par l'Egypte et Israël.

Mais dans un rassemblement début mai, en présence de Mohamed Morsi, le candidat à la présidentielle, les leaders des Frères musulmans ont affirmé que "leur objectif était la libération de Jérusalem".

Le principal orateur du rassemblement, Sifwat Hijazi, déclarait ensuite que Mohamed Morsi "libèrerait Jérusalem", affirmant que l'objectif de l'organisation "était la création d'une union des nations arabes, dont la capitale ne serait ni Médine ou la Mecque, mais Jérusalem, quand des millions de shahids –martyrs- marcheraient sur la ville.
Notre objectif est Jérusalem, nous prierons à Jérusalem, ou nous mourrons en martyrs dans ses ruines", alors qu'un autre orateur parlant de Gaza lançait " les juifs ne doivent pas pouvoir dormir, venez, amoureux du martyr, prenez vos armes et préparez vous pour la prière".

En Avril 2010, plusieurs roquettes Grad tirées depuis le Sinaï avaient tué un jordanien.
Israël a, à de nombreuses reprises, exprimé son inquiétude sur le fait que la Péninsule du Sinaï, se transforme en "zone franche" pour les groupes islamistes terroristes, à commencer par le Hamas.

L'organisation islamiste sait que les possibilités de représailles israéliennes en territoire égyptien sont quasiment inexistantes: elle y a transféré une partie de son matériel pour le mettre à l'abri des opérations israéliennes, et y initie des attaques contre Israël – tout comme les groupes radicaux islamistes, liés à Al Qaeda, qui y "pullulent".

Selon l'armée israélienne, certaines zones de la Péninsule du Sinaï sont déjà des "no man's land" où l'armée et la police égyptienne n'entrent plus, alors que le Traité de Paix signé entre es deux pays en fait une zone démilitarisée.

Israël a, malgré les termes de cet accord, accepté le déploiement de troupes égyptiennes pour y rétablir l'ordre, sans résultats.

La zone pourrait cependant être également le point de départ d'attaques terroristes pour déstabiliser l'Egypte – notamment en cas d'échec des islamistes au scrutin présidentiel, et alors que la Haute Cour de égyptienne vient de dissoudre le Parlement dominé par les Frères musulmans.

Le Sinaï est depuis plusieurs années une zone d'intense trafic d'armes, qui s'est accru depuis la chute du régime libyen de Kadhafi : des stocks impressionnants d'armes détenues par l'armée régulière se sont évaporées et font l'objet de trafics dans toute la région, et notamment à travers les tunnels entre Gaza et l'Egypte – un trafic financièrement juteux pour le Hamas qui prélève des taxes et parfois organise lui-même la contrebande.

Une autre route est désormais ouverte pour les armes entre le très islamiste Soudan et le Sinaï.

Un responsable militaire pointait en fin de semaine la difficulté pour Israël de collecter des informations sur ces groupes qui agissent en territoire égyptien, et se savent à l'abri de toute action israélienne – en dépit de la coopération sécuritaire entre les deux pays.

 

Des Arabes en Israël sont d'origine juive.

La vidéo qui suit (en hébreu et en anglais) nous explique qu'un nombre important, probablement proche des 85%, des Arabes d'Israël et de Judée-Samarie ont des origines juives. Nous ne parlons pas bien sûr de la population arabe importante des pays voisins qui est arrivée dans le pays au début du 20è siècle pour y trouver du travail, voyant la renaissance du pays et l'opportunité de s'y installer. Non, il s'agit des Arabes qui se trouvaient encore sur cette terre déserte quand les Juifs ont commencé à y revenir pour y installer un foyer national à partir des années 1880. Ces Arabes sont en fait pour beaucoup des Juifs ayant demeuré dans le pays après la destruction du Temple par les Romains en 70 apr. J-C et qui au fil des siècles ont été convertis de force à l'Islam lors des diverses invasions musulmanes. Certains parmi eux expliquent que leurs parents, grand-parents conservaient des pratiques juives telles que la pose des teffilines. Les Bédouins également déclarent qu'une grande proportion d'entre eux sont d'origine juive. Des études génétiques ont été faites à l'hôpital Hadassa de Jérusalem et il en ressort que beaucoup d'Arabes du pays ont le même profil génétique que les Ashkénazes.

Ceci s'inscrit dans le plan de l'Eternel de restaurer le royaume d'Israël (voir Actes 1 dans la Bible) et d'y ramener et rassembler  tous ceux qui lui appartiennent.

Par ailleurs, sachons que le Coran déclare que la volonté d'"Allah" lui-même est de rassembler les enfants d'Israël à nouveau dans leur pays promis avant la fin des temps. Cinq versets du Coran reconnaissent le don par "Allah" du pays d'Israël au peuple juif : sourates 5 : 21, 7 : 37, 10 : 93, 17 : 103 et 104, 28 : 4,5, 6. Ce pays appartient bien à Israël ! Voilà de quoi opposer des arguments clés à tous ceux qui déclarent que nous sommes des colonisateurs et que cette terre appartient aux Arabes.
 

Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo :

http://youtu.be/om9xF4eRTp4

 

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