blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

etzbetzion

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Blog dans la catégorie :
Actualités

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

etzbetzion

Un musulman tue,chut...

Un musulman tue, chut…

Classé dans: France,Islam,Société |

Hier un musulman a abattu d’une balle dans la tête deux jeunes femmes gendarmes, l’une était mère de deux petites filles.

Que croyez-vous ?

J’ai été assailli de messages d’injures pour avoir osé mentionner que le criminel est musulman.

Ceux qui m’ont injurié n’ont pas élevé la voix lorsque Breivik a été décrit comme un chrétien. Ils ne protestent pas lorsque les israéliens tués sont désignés comme « colons ». Ils ne se plaignent pas lorsque les boycotteurs et les antisionistes stigmatisent les israéliens dans leur ensemble.

Ils dessinent leur outrage selon les situations.

Je vous rassure, chacune de ces injures m’a fait sourire, et me renforce dans mon sentiment qu’il faut parler, questionner, dénoncer et critiquer l’islam jusqu’à ce que cette idéologie de mort, qui ne progresse que par le nombre de cadavres, ne sera pas combattue.

A Toulouse, un terroriste musulman abat des enfants d’une balle dans la tête. Hier, le musulman a abattu les gendarmes d’une balle dans la tête. La semaine dernière, le musulman a poignardé deux policiers par derrière. La semaine d’avant, les musulmans ont sauvagement agressé des jeunes juifs à coups de marteau et de barres de fer. La semaine dernière, à Albi, un jeune homme a été abattu par un musulman. A Sarcelles, agression par des musulmans.

Les prisons sont pleines de musulmans faut-il le rappeler ? Et pourtant, la justice est clémente, elle les renvoie chez eux.

Aujourd’hui, dans le monde violence = musulmans. Musulman n’égal pas violence, mais musulman = tolérance de la violence.

Deux manifestations contre l’islam radical et fasciste ont été organisées récemment. Une à Bruxelles dimanche 17 juin, une autre le 15 avril à Paris.

Dans les deux cas, les musulmans « modérés », ceux qui rejettent l’islam et veulent vivre en démocratie, ont été cruellement absents – je croyais qu’ils étaient des millions. Je croyais qu’ils étaient les premiers visés. A Paris, les organisations de musulmans ont même refusé de s’associer à la marche de protestation. S’ils sont lâches à ce point, vers quel bord se tourneront-ils si les islamistes font monter la tension ?

Pendant combien de temps et jusqu’à quel point peut-on ankyloser toute une population ? L’humilier en lui soutenant que les arabes sont l’avenir de la France, et que le vivre ensemble est encore possible en dépit de tout ce qu’ils subissent ?

Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

Israël n'est pas tenu d'assumer la misère de l'Afrique orientale (Desinfos.com).

Le 3 juin 2012, Israël a décidé d’appliquer une Loi intitulée « prévention de l’infiltration » votée en janvier 2012, qui accorde aux autorités la faculté de placer en détention les demandeurs d’asile pour une durée de 3 ans, et qui permet d’infliger un emprisonnement compris entre 5 et 15 ans, aux personnes qui faciliteraient l’immigration clandestine.

Israël se doit, en effet, de résoudre un problème d’immigration massive (qui s’opère via la frontière égyptienne), de personnes originaires du Soudan ou d’Erythrée. Depuis 2006, 62 000 personnes ont franchi la frontière (dont 2031 pour le seul mois de mai 2012), pour fuir les conditions de vie pénibles dans leur pays d’origine, notamment les combats, la pauvreté, les régimes autoritaires...

Cette immigration est fatalement à l’origine d’une désorganisation de la société israélienne qui prend la forme d’une recrudescence de la violence et d’une hausse de la criminalité (tel le viol d’une Israélienne de 19 ans survenu le 15 mai 2012, impliquant quatre suspects érythréens). Par ailleurs, on assiste, au sein de la société israélienne, à des comportements nouveaux comme la multiplication de manifestations contre la présence des ces africains en situation irrégulière (dans le meilleur des cas), ou xénophobes et violents contre les migrants. Dans certains quartiers, notamment de Tel Aviv, des logements occupés par des érythréens sont incendiés, tagués de slogans tels « sortez du quartier », pendant que d’autres sont la cible de cocktails Molotov...

Le gouvernement s’est donc exprimé de façon radicale sur la nécessité de protéger le travail des israéliens mais également le caractère juif de l’Etat d’Israël : le Ministre israélien de l’Intérieur, Eli Yishai a indiqué, le 24 mai 2012, que la détention et l’emprisonnement des infiltrés africains représentaient la meilleure solution, en prélude à leur expulsion. Il en est de même pour le Premier Ministre Benjamin Netanyahu, qui considère les demandeurs d’asile africains comme « une menace concrète au caractère juif et démocratique du pays ».

De telles déclarations ont naturellement provoqué un tollé général au sein des organisations des Droits de l’Homme en Israël qui multiplient les recours contre les demandes d’expulsion du Ministre de l’intérieur, afin de permettre aux africains d’obtenir le statut de réfugiés politiques. Ces démarches sont, fort heureusement, vaines. La justice israélienne rejette les recours à l’instar de la décision du Tribunal du District de Jérusalem du 7 juin 2012 qui a refusé de prolonger l’asile de 1500 migrants d’origines sud soudanaise qui n’avaient pas prouvé « être confrontés à un risque pour leur vie ou exposés à de graves dommages »...

La question se pose donc de savoir qu’elle doit être l’attitude d’Israël à l’égard de la population africaine stigmatisée, qualifiée d’infiltrée voire de criminelle, qui se plaint de l’oppression dans le pays d’origine, et d’absence d’emploi ou de statut officiel dans le pays d’accueil. Pour sa part, le Ministère de l’Intérieur considère qu’ils ne peuvent bénéficier d’une protection particulière au sein de l’Etat juif, s’agissant de simples migrants qui ne répondent pas à la définition de réfugiés mais une fois encore, la solution de trouve dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

L’article 1er de cette Déclaration pose que les hommes doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. Par ailleurs, l’article 14 réserve expressément la possibilité aux personnes persécutées dans leur pays, de chercher et d’obtenir asile dans d’autres pays. A la lumière de ces textes, il convient de rechercher si Israël doit être pénalisé et notamment obligé d’accueillir sur son territoire des personnes africaines, eu égard à son système démocratique et l’humanité de ses institutions.

La réponse est bien évidemment négative, et ce conformément aux principes de la DUDH. Tout d’abord, l’article 21 de la DUDH précise dans son troisième alinéa que « la volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ». C’est donc le peuple juif souverain qui est maître de décider qui il accueille ou non sur son territoire, sans que ce choix ne puisse lui être imposé par des institutions internationales ou des personnes en provenance de l’étranger.

Aussi, appartient-il à Israël d’arbitrer entre le principe d’humanité et le coût occasionné en terme de déstructuration nationale. Naturellement, c’est la préservation des intérêts fondamentaux de l’Etat juif qui doit préoccuper les décideurs, non les motivations économiques des candidats à l’immigration.

De même, Israël peut décider qui sera le bénéficiaire de son système de protection sociale, des logements, des soins et du versement des allocations. Le contribuable israélien ne saurait être tenu de prendre à sa charge la misère de l’humanité en général, et celle de l’Afrique orientale en particulier. Enfin, et sur le plan national, il est à craindre que des personnes ayant violé la loi israélienne, pour ce qu’il en est des conditions d’installation et d’entrée sur le territoire national, ne seront pas forcément enclines à la respecter dans le futur, ce qui posera à court terme de gros problèmes d’intégration. Résultat : à la crispation du marché du travail, s’ajouteront une insécurité nouvelle et surtout, une menace identitaire.

S’agissant de la prise en charge des réfugiés économiques, La DUDH offre également une réponse très intéressante : C’est à la communauté internationale, qu’il revient d’y procéder. Selon l’article 22 DUDH, si chaque personne est fondée à obtenir la satisfaction de ses droits économiques, sociaux culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, cela doit l’être grâce à « l’effort national et à la coopération internationale compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays ». La communauté internationale se doit donc d’assumer les problèmes économiques auxquels sont confrontés les pays africains, non à Israël.

Les migrants africains ont d’ailleurs bien conscience du chantage humanitaire auquel ils se livrent : ils choisissent leur pays de destination non en considération de la situation politique locale mais des avantages économiques procurés par le pays de destination. Ainsi, et au lieu de s’établir dans un pays immensément riche comme l’Arabie Saoudite (situé en face des côtes du Soudan), qui pourrait financièrement absorber une partie substantielle de la population nécessiteuse (mais avec un accueil certes moins chaleureux), ils se rendent directement en Israël où les valeurs démocratiques sont censés compliquer leur éviction.

La justice israélienne ne se prête pas à cette démarche malsaine, aux tentatives de culpabilisation, ni au jeu de tous ceux qui aspirent à la destruction de l’Etat juif par une arrivée massive de personnes non juives (telle une invasion déguisée sous couvert de prétextes humanitaires). La déclaration Universelle des Droits de l’Homme présente, comme son nom l’indique, un caractère universel. Il en est de même de la règle de Droit qui doit s’imposer dans les Etats qui n’en sont pas dotés, et non être détournée de son sens et être opposée aux seuls Etats démocratiques en vue de provoquer leur disparition.


 

 

Les universités européennes de la honte (Europe Israël).

Les universités européennes de la honte, ou comment obtenir une maitrise d’antisémitisme

http://www.europe-israel.org/wp-content/themes/Grade/images/date.pngmai 12th, 2012 - Europe-Israel.org

Les conférences des spécialistes pro-israéliens sont annulées, et ceux qui arrivent sont évacués par les portes arrières. Un journaliste italien tire la sonnette d’alarme, les universités occidentales se transforment de façon inquiétante en bastions de la haine.

D’un regard extérieur, les universités en occident ressemblent à des oasis raffinées où abondent la sagesse et la connaissance. En fait, ces institutions des hautes études se transforment de plus en plus clairement, et de façon brutale, en temples de la haine antisémite. Les facultés célèbres qui forment le berceau de la culture européenne sacrifient la liberté et Israël, en faveur de la barbarie et du refus du progrès.

Même aux Etats-Unis, on commence à baisser les bras. L’institut de recherche juif de San Francisco a publié dernièrement un rapport intitulé « Seul dans le système : comprendre l’isolement des étudiants juifs sur les campus », une des études les plus complètes du genre. D’après ce rapport, plus de 40% des étudiants confirment qu’il y a de l’antisémitisme sur leurs campus. Environ 41% d’entre eux ont dû faire face à des remarques anti-israéliennes de la part de leurs professeurs de classe.

Les chiffres montrent une situation grave, même en Europe. Les universités européennes sont fières d’avoir une population étudiante musulmane importante, par contre, on compte peu d’étudiants juifs ou pro-israéliens. Alors, que 15 a 20% des inscrits dans les universités américaines sont juifs, les facultés européennes ne comptent peut-être qu’un dixième de ces chiffres.

Non aux israéliens, oui au Hezbollah

Nous sommes actuellement les témoins de la plus puissante vague anti-israélienne vue depuis le 6 avril 2002, quand 123 universitaires avaient signé une lettre ouverte publiée par le journal britannique « The Guardian » appelant à suspendre tout contact avec la culture israélienne.

L’université de Provence, en France, a annule l’apparition d’une écrivaine israélienne survivante de la shoah, mais des responsables du Hezbollah ont été autorisés à prononcer un discours à la Sorbonne. En Hollande, l’université Erasmus a organisé dernièrement des manifestations au cours desquelles Israël était comparée à l’ex régime d’apartheid d’Afrique du sud. Mais le cas de Peter van der Horst, professeur d’histoire catholique et juive ancienne à l’université hollandaise d’Utrecht, montre toute la peur et la haine qui dominent l’université hollandaise.

Le chercheur de premier plan comptait prétendre dans son discours d’adieu que « l’islamisation de l’antisémitisme européen est un des développements les plus effrayants de ces dernières décennies ». Le président de l’université l’en a empêché et a censuré sa conférence.

« Ce devait être ma dernière conférence », a déclaré Peter van der Horst. « Dans le Proche-Orient actuel, le niveau de démonisation des juifs est arrivé à un stade incroyable. Les juifs sont accusés de tout ce qui est mal, cela a commence par du cannibalisme lors des attaques contre les Twins-Towers, le tsunami, la grippe aviaire, le SIDA, etc… Le comité de direction de l’université a décidé que mon discours dans son entier était dangereux, et qu’il risquait d’entrainer une réaction violente de la part des ‘organisations étudiantes musulmanes bien organisées’. J’ai décidé de présenter un discours plus court parce que je ne voulais pas m’exposer à un danger potentiel ».

« Je me suis contraint à la censure personnelle », a ajoute Peter van der Horst. « Au pays d’Anne Franck, nous acceptons le fait qu’aujourd’hui les juifs ne peuvent pas se promener avec des symboles religieux. Nous acceptons le fait que les synagogues en Hollande soient sécurisées par la police. Comment cela va t-il finir ? ».

La haine est de plus en plus forte en Angleterre

Des dizaines d’universitaires ont signé dernièrement une pétition qui condamne l’université de Liverpool qui a invité l’adjoint de l’ambassadeur d’Israël en Angleterre à prononcer un discours. A l’université d’Edimbourg en Ecosse, les étudiants ont voté en faveur du boycott des produits israéliens. A l’université Queens de Belfast, des militants palestiniens violents ont attaqué le diplomate israélien Solon Solomon.

Le professeur Benny Morris de l’université Ben Gourion a été attaqué l’année dernière par un groupe de musulmans avant une conférence au « London school of economics ». Apres avoir, malgré tout, fait sa conférence sur la guerre d’indépendance de l’état d’Israël, Morris fut évacué par la porte arrière de la faculté, celle qui sert à sortir les ordures, par crainte pour sa sécurité s’il sortait normalement. « Je me suis senti comme un juif a Berlin dans les années 20″, a raconté Morris sous le choc. « Israël est un sujet totalement tabou en Europe. A Cambridge mon cours a été annulé sous la pression de groupes islamistes. Je crains que la situation ne fasse qu’empirer ».

Encore en Grande-Bretagne, le spécialiste allemand en science politique, Matthias Konzl, a été invite par l’universite de Leads à un séminaire de trois jours. Sa conférence devait porter sur le sujet de « l’héritage d’Hitler : l’antisémitisme islamique au Proche-Orient », et était censée réunir un large public, mais lorsqu’il est arrivé à la faculté on lui a annoncé que son intervention avait été annulée pour des « raisons de sécurité ».

La paix avec Israël est un crime

Au printemps dernier, le professeur israélien Ronen Cohen, dont le pêché est de travailler au centre universitaire d’Ariel, fut éjecté d’une conférence universitaire à Berlin (il fut réintégré après de très vives protestations). En Espagne, le ministre de la construction l’a empêché de participer à une compétition internationale sur l’énergie solaire parce que l’universite d’Ariel se situe en Samarie.

Selon un sondage commandé par le ministère des affaires étrangères espagnol, 62% des étudiants en université ne veulent pas de juifs dans leurs classes. Ces chiffres inquiètent plus qu’ils ne surprennent : les gens les plus antisémites en Espagne sont aussi les plus cultives.

En Italie, les sites internet populaires appellent à créer une « liste noire » des professeurs juifs. Un étudiant israélien de l’université de Torino, Amir Per, a raconté au journal italien « Corriera della sera » que « les juifs qui sont ici cachent leur identité de peur de devenir des cibles ». Le diplomate Shai Cohen a été empêché de prononcer un discours à l’universite de Pise suite à une attaque violente d’étudiants qui l’ont traite de ‘boucher’. L’ambassadeur israélien en Italie, Ehud Gol, a dû se sauver de l’université de Firenze suite à un événement du même genre.

Même en Scandinavie la situation est similaire. Une chaussure fut envoyée sur l’ambassadeur d’Israël, Beni Dagan, pendant sa conférence à l’université de Stockholm. Dans ce même établissement un professeur a publié une lettre appelant les juifs à prendre leurs distances avec Israël s’ils ne veulent pas devenir des cibles de l’antisémitisme. A l’université d’Oslo une étudiante juive, Ania Savsonik, a dû arrêter ses études d’hébreu suite aux attaques antisémites de la part des ses ‘amis’ de l’université. Les universités de Norvège ont interdit de séjour Alan Dershowitz, le célèbre professeur de Harvard, à cause de ses positions pro-israéliennes.

En 1936, au début d’une nouvelle vague d’émeutes anti-juives, le dirigeant sioniste Berl Katznelson avait écrit : « nous devons nous protéger non pas seulement des émeutes physiques mais aussi des émeutes spirituelles ». Mais aujourd’hui les émeutes spirituelles siègent dans les facultés occidentales. Il est question d’une « solution finale » universitaire que l’on peut résumer à l’aide des affiches placardées sur les murs de l’universite de Londres : « La paix avec Israël est un crime ».

Par Giulio Meotti.

Giulio Meotti est un journaliste italien et l’auteur du livre : « La nouvelle shoah : l’histoire non racontée des victimes israéliennes du terrorisme ».

Traduit de l’hébreu par David Goldstein pour Haabir-haisraeli

Articles à lire également

·         L’Université hébraïque inaugure une salle de prière pour les Musulmans

 

Les Juifs Berbères Marocains de Tenghir Maroc

Un magnifique documentaire sur la vie des Juifs berbères au Maroc, filmé par un jeune Marocain musulman, lui-même exilé en France.

http://youtu.be/X3lQuImPkCc

Suivi d'une interview du jeune homme, sur ce qui l'a motivé à faire cet émouvant documentaire :

http://youtu.be/bby7i4yjFGs

 

Endoctrinement au djihad des enfants dans la bande de Gaza (Europe Israël).

Le Jihad islamique aux commandes d’une fête d’école de Gaza: prière d'apporter vos armes et explosifs. 

Fête de fin d’année dans une école maternelle de la bande de Gaza tenue par les terroristes du Jihad islamique. Au programme : tenue militaire pour enfants, fausses armes et appel à « se faire exploser dans les bus ».

 
« Il est de notre obligation d’éduquer les enfants à l’amour de la résistance et de la Palestine. Ils doivent comprendre qui est notre ennemi », a affirmé le directeur de l’école.
Les enfants devaient défiler devant des cercueils

 

Les enfants devaient défiler devant des cercueils

Durant le spectacle, auquel les familles étaient invitées, les enfants devaient se tenir aux côtés de cercueil.
L’un d’entre eux a déclaré :
« quand je serai grand, je rejoindrai le Jihad islamique et les Brigades al-Quds. Je combattrai l’ennemi sioniste et tirerai des missiles jusqu’à ce que je sois tué en martyr et je rejoindrai mon père au paradis »…
« Je chérie la résistance et la martyrs de Palestine. Je veux me faire exploser près de sionistes et les tuer dans un bus en commettant un attentat suicide », affirme un autre.
"Défilé militaire" dans une école maternelle

 

« Défilé militaire » dans une école maternelle

Ce n’est pas la première fois qu’une telle scène se produit dans les écoles palestiniennes.
« Dans toutes les écoles maternelles, nous mettons l’accent sur le rôle de la résistance au nom d’Allah afin qu’ils grandissent avec l’idée qu’il faut se mettre au service de la Palestine et du saint Jihad », explique ainsi l’un des enseignants.
Un enfant "immite" un soldat israélien torturant un prisonnier palestinien
 
De manière générale, les mouvements terroristes palestiniens s’emploient systématiquement à contrôler les esprits de la jeunesse afin de leur imposer leur idéologie totalitaire.
Les camps d’été font notamment la promotion de l’islamisme radical, de la  libération de la Palestine », du « Jihad et la mort en l’honneur d’Allah », ainsi que de la position idéologique et stratégique du Hamas dans le conflit israélo-palestinien (notamment le droit au retour, la libération de tous les prisonniers palestiniens détenus en Israël et la banalisation de la haine d’Israël et du peuple juif). Des hauts dirigeants du Hamas viennent rendre visite aux jeunes pendant ces camps de vacances afin de faire passer ce type de messages.
Entraînements militaires dans un camp de vacances du Hamas

 

Entraînements militaires dans un camp de vacances du Hamas

Les trois grands thèmes généralement abordés pendant les activités reflètent parfaitement les priorités du Hamas : la formation militaire de la jeunesse, diffusion des messages politiques du Hamas et endoctrinement politique et religieux  dans l’esprit de l’Islam radical défendu par le Hamas.
Un enfant apprend à tirer

 

Un enfant apprend à tirer

 

 

Minibluff the card game

Hotels