blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

etzbetzion

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Blog dans la catégorie :
Actualités

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

etzbetzion

Nouvelles agressions antisémites : dossier (JForum.fr).

Tout d’abord dans le train reliant ...Toulouse à Lyon :

Un adolescent de 17 ans, scolarisé à l’école Ozar Hatorah de Toulouse, a été victime d’une violente agression antisémite hier soir dans un train reliant Toulouse à Lyon, a annoncé aujourd’hui le ministère de l’Intérieur.

Souffrant d’une interruption temporaire de travail de huit jours, le jeune homme a déposé plainte dans la nuit au commissariat de Lyon et "les identités des deux agresseurs sont connues grâce à l’action en gare de la police ferroviaire", a précisé l’Intérieur.

Dans un communiqué, le ministère se dit déterminé "à combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu’est l’antisémitisme", "une offense aux valeurs et à l’histoire de notre République".

"Un adolescent de 17 ans portant un signe religieux distinctif et par ailleurs scolarisé à l’école Ozar Hatorah de Toulouse, a été pris à partie et insulté par deux individus.

L’adolescent a ensuite été agressé au niveau de la plate-forme des toilettes par ces deux mêmes individus qui l’ont roué de coups", raconte l’Intérieur.

Selon une source proche de l’enquête, la victime rejoignait sa famille à Lyon.

D’après les premiers éléments de l’enquête, il aurait été pris à partie dans un compartiment après que les deux suspects ont remarqué une chaîne à son cou, a-t-on précisé.

"Seule l’intervention d’un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", poursuit le ministère de l’Intérieur qui juge que "ces actes d’une extrême violence sont inadmissibles".

Deux jeunes hommes ont été interpellés aujourd’hui à Lyon et placés en garde à vue après l’agression d’un adolescent d’une école juive de Toulouse, dans un train reliant Toulouse à Lyon, selon une source policière.

Les deux hommes ont été interpellés peu après 11 heures dans un bureau de recrutement de l’armée à Lyon et placés en garde à vue, selon la même source.

Les agresseurs présumés avaient été identifiés par les agents de sûreté de la SNCF.

La victime, qui portait une étoile de David autour du cou, a été prise à partie mercredi soir dans le train alors qu’elle rejoignait sa famille à Lyon.

"L’adolescent a ensuite été agressé au niveau de la plate-forme des toilettes par les deux mêmes individus qui l’ont roué de coups", a indiqué jeudi le ministère de l’Intérieur.

Souffrant d’une interruption temporaire de travail de huit jours, le jeune homme de 17 ans a déposé plainte dans la nuit au commissariat de Lyon, où une enquête a été ouverte.

L’adolescent est scolarisé dans l’école Ozar Hatorah de Toulouse dans laquelle Mohamed Merah a tué trois enfant et un père de famille, le 19 mars.

Début juin, trois jeunes juifs portant la kippa avaient également été agressés à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon.

Ces jeunes hommes se rendaient à un office religieux dans une école juive lorsqu’ils avaient été attaqués à coups de marteau et de barre de fer.

Après cette agression, les représentants de la communauté juive s’étaient inquiétés d’une recrudescence des actes antisémites depuis les tueries perpétrées par Mohamed Merah.

Le Crif cite notamment "90 actes recensés par le ministère de l’Intérieur dans les dix jours qui ont suivi" la tuerie de Toulouse et "148 actes entre le 19 mars et le 30 avril" relevés par le Service de protection de la communauté juive.

"Les lois de la République prévoient en réponse des sanctions sévères", met en garde le ministère.

AFP

D’autres faits récents :

Il avait passé 1350 appels antisémites à l’école Ozar Hatorah

Après la tuerie d’Ozar Hatorah, où trois enfants et un adulte ont été tués par Mohammed Merah le lundi 19 mars, l’établissement de confession juive a reçu différents messages de menaces par mail, fax ou téléphone.

L’enquête, prise très au sérieux, a permis rapidement d’identifier deux personnes fragiles psychologiquement et qui depuis des établissements de soins spécialisés de Pau et la région parisienne avaient envoyé des fax antisémites…

Des investigations plus longues, et plus techniques, viennent d’aboutir à la mise en cause d’un Toulonnais âgé de 20 ans.

Il a été interpellé sur les bords de la Rade le 21 juin par les enquêteurs de la sûreté départementale de la Haute-Garonne.

Et il a rapidement reconnu ses appels téléphoniques où l’antisémitisme s’additionnait à la justification des crimes commis par le tueur au scooter à Montauban et Toulouse.

Et aussi incroyable que cela puisse paraître, la motivation de ce garçon inconnu des services de police résidait dans la volonté de faire rire un groupe qui se retrouve le soir sur internet, via un site intitulé Violvocal.

« Ils ne se connaissent pas, se retrouvent via le net à dix, quinze ou vingt et se lancent des défis.

Un des participants appelle, les autres écoutent », explique un policier.

Et certains appels, découverts lors de l’enquête, laissent les policiers sans voix.

« C’est incroyablement violent », confirme un proche du dossier.

Et avec des participants très jeunes, souvent mineurs, et qui visiblement ne se rendent pas compte de la gravité de ce qu’eux désignent comme de canulars.

L’école Ozar Hatorah a été prise pour cible en mars mais des gendarmeries, des commissariats de police, des commerçants ou de simples particuliers ont également été l’objet de ces appels de forts mauvais goût.

L’homme mis en cause par l’enquête toulousaine a, à lui seul, passé plus de 1 350 appels via le logiciel Skype et des plateformes qui ont rendu son identification difficile.

Mis en examen par le juge Guichard, il a été placé sous contrôle judiciaire.

Son matériel informatique a été confisqué.

Il est passible d’une peine maximum d’un an de prison.

La dépèche.fr

Le Bureau National de Vigilance Contre L’Antisémitisme condamne l’agression violente commise contre un jeune juif, de 17 ans,le 4 juillet 2012 dans le train Montpellier Lyon.

Selon nos informations la victime est une élève de cette ecole « Ozar Hatorah » de Toulouse,qui a déjà été terrorisée par le tueur antijuif Merah.

Les agresseurs décrits comme étant deux soldats en civil, d’origine maghrébine,ont ,traite le jeune de « sale juif, » et l’ont frappé.

Ils l’ont mis au sol et lui ont porté des coups, causant une ITT de 8 jours.

Les contrôleurs SNCF sont intervenus.

La victime qui souffre de nombreux hématomes a déposé plainte .

Le BNVVCA salue l’action de la police qui a identifié et interpellé les deux agresseurs dans un temps très proche de l’infraction.

Le BNVCA constate qu’il y a y une recrudescence importante des actes antisémites.

Que ce soit dans la rue, au travail, dans les transports en commun, les juifs sont pris à partie, insultés, frappés.

Ainsi le 4/7/12, le rabbin d’une commune du Val de Marne a été insulté, et frappé, alors qu’il était dans le bus 281 près de la commune de Creteil,, par un individu décrit comme d’origine africaine .

L’agresseur a injurié l’épouse du rabbin, puis a giflé le rabbin devant sa fillette traumatisée, lui a fait sauter ses lunettes, et lui a asséné des coups sur la tête et le dos.

Il est surprenant que non seulement personne n’a aidé les victimes mais que le contrôleur de la RATP ait fait descendre les victimes de son bus.

Nous avons recommandé au rabbin de déposer plainte.

De plus, le BNVCA signale qu’une résidente de Sarcelles s’est plainte d’avoir découvert sur son palier, des excréments qui ont recouvert sa porte et sa "mezouza"

De plus, le 27 /6/12 c’est un dentiste exerçant à Drancy qui a déposé plainte contre un client qui l’a traité de « sale Juif. »

Enfin le BNVCA vient d’être informé par le Président de la Synagogue de Noisy le Grand qu’il vient de découvrir que ce lieu de culte a été littéralement saccagé.

Les faits ont du se produire entre le 3 et le 4/7/12.

La communauté est traumatisée.

Le BNVCA n’a eu de cesse de dénoncer le actes antijuifs, d’alerter sur le fait que la liberté d’aller et venir des juifs de France est comprise .

Le BNVCA demande à la police de tout mettre en oeuvre pour identifier et interpeller les auteurs antijuifs.

Nous attendons de la justice des sanctions exemplaires et dissuasives.

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L ANTISEMITISME 8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 0668563029

Le Président Sammy Ghozlan

Drancy LE 5/7/2012

Dernière Minute :

Un rabbin israélien agressé dans le métro de Paris

Le rabbin Asher Idan, directeur de l’école Kol Hanaar de Jérusalem, a été agressé et volé mardi dans le métro à Paris.

Actuellement en France pour différentes activités, il était en compagnie d’un élève quand deux individus lui ont lancé un ’’Juif puant’’ et l’ont agressé, le bloquant contre un mur et lui dérobant 600 euros.

 

 

Les Territoires inoccupés : Qui est légal en Judée-Samarie ? (JForum.fr).

La nouvelle la plus importante de la semaine, peut-être de l’année, est pratiquement passée inaperçue, peu relevée par les médias.

Et pourtant !

Il s’agit d’un rapport rédigé par le Comité chargé d’examiner l’état de la construction en Judée et en Samarie, dirigé par l’ancien juge de la Cour suprême israélienne Edmond Levi.

Le rapport touche au cœur du conflit israélo-arabe.

On peut dire que le gouvernement a reçu la permission de jeter le rapport du procureur Talia Sasson sur les implantations de peuplement dans les poubelles de l’histoire.

Car le rapport Levi conclut qu’Israël a parfaitement le droit d’installer des Juifs en Judée et en Samarie, et qu’il est inexact de dire que la construction d’implantations est illégale selon le droit international.

"Selon la loi internationale, les Israéliens ont le droit légal de s’établir dans toute la Judée et Samarie, et à tout le moins dans les territoires sous contrôle israélien sur la base des accords avec l’Autorité palestinienne, par conséquent la création d’implantations de peuplement à l’intérieur de ces territoires n’est pas un acte illégal" dit le rapport.

Le comité conclut également :

"Du point de vue du droit international, les lois relatives à "l’occupation" sont inapplicables en raison des circonstances particulières historiques et juridiques relatives à la présence israélienne pendant plusieurs décennies en Judée et Samarie."

Depuis les années 1970, des juristes de haut rang en Israël et à l’étranger ont fait valoir qu’Israël est complètement dans son droit en installant ses citoyens en Judée et Samarie.

Parmi eux se trouvent le Président de la Cour internationale de Justice à La Haye, le juge Stephen Schwebel, mais aussi le professeur Eliahu Lauterpacht de l’Université de Cambridge et le professeur Eugene Rostow, ancien diacre à l’école de droit de Yale, qui, avec d’autres, ont exprimé leurs analyses juridiques claires en ce qui concerne la juste revendication d’Israël sur la Judée et la Samarie, dans les circonstances historiques et juridiques.

Depuis la guerre des Six-Jours, cependant, Israël s’est abstenu de déclarer un statut permanent à ces territoires conquis, à l’exclusion de Jérusalem et du Golan.

A partir de ce vide juridique, le juge Aharon Barak et d’autres ont créé le paradigme juridique d’ "occupation belligérante," selon lequel la gouvernance militaire tire son autorité des règles du droit international dans les territoires qui ont été remportés pendant la guerre.

Ce qui signifie qu’Israël est réputé, prétendument, être un occupant étranger, et qu’il n’a pas le droit d’appliquer sa souveraineté sur, ou pour déplacer sa population civile dans, ces territoires.

Certaines des mesures hostiles d’organismes juridiques, prises à l’encontre de l’entreprise d’implantation en Judée et Samarie, découlent de cette perception.

Ces mesures, qui visent à étrangler l’implantation israélienne, ont reçu la justification du Bureau du Procureur d’Etat en raison de son adoption du paradigme d’ "occupation belligérante", malgré les nombreuses objections de l’actuel gouvernement.

Mais si les territoires ne sont pas occupés, comme la gauche l’a soutenu depuis des années, ils doivent être annexés, tout comme les populations qui y vivent.

Toutefois la réalité n’est pas si simple, elle est complexe.

Le présent rapport reconnaît une réalité intermédiaire : celle d’un territoire contesté, avec deux entités, et aucun des deux côtés n’est considéré comme un "occupant".

Il y a un désaccord concernant la propriété, qui doit être clarifié par différents moyens, mais il n’existe pas de définition d’ "occupation" dans le sens du droit international.

L’ "occupation belligérante" se produit lorsque l’on conquiert des territoires d’un autre pays.

Dans le cas d’Israël, la dernière puissance souveraine fut le mandat britannique, qui a reçu sa légitimité de la Société des Nations pour créer un foyer national pour les Juifs en Terre d’Israël.

La souveraineté jordanienne sur ces territoires (ou égyptienne dans la bande de Gaza) n’a jamais été reconnue (en dehors de la Grande-Bretagne et du Pakistan), et Israël n’a jamais conquis "le territoire jordanien".

En outre, la Jordanie a renoncé à sa souveraineté sur ces territoires dans les années 1980.

Un autre point spectaculaire du rapport est sa position sur les communautés qui ont été construites sans décision du gouvernement ("non autorisées").

Le rapport conclut que parce que leur création et leur développement ont eu lieu avec la connaissance, l’encouragement et l’accord des échelons les plus élevés du gouvernement, "cette conduite doit être considérée comme une "autorisation".

Par conséquent, "l’acte d’expulsion de ces communautés n’est pas pratique et une solution différente doit être trouvée, comme l’indemnisation ou des offres alternatives de terres.

Pour cette raison, le comité a suggéré à l’État qu’il s’abstienne d’exécuter des ordres de démolition dans ces communautés, où il est en substance responsable de leur création."

Si le gouvernement israélien adopte les conclusions du rapport, cela signifierait que les personnes qui travaillent au Bureau du Procureur d’Etat ne seront plus en mesure de refuser, au nom de l’Etat, l’existence de ces communautés, et ne seront plus en mesure de faire avancer leur destruction par le biais de revendications juridiques.

Il est à prévoir à présent qu’une guerre mondiale s’ensuivra contre le rapport et contre Edmond Levi.

Tous les vieux arguments et les vieilles tactiques de diffamation seront dépoussiérées et mises à profit par les organisations de gauche qui feront appel à l’aide de leurs amis partout dans le monde, et de l’élite juridique aliénée qui luttera contre la chose la plus naturelle pour nous en tant que peuple : le retour à notre patrie, le berceau de notre nation.

C’est exactement ce pourquoi le gouvernement a été élu.

C’est la volonté de la plupart des gens, et c’est aussi un décret historique.

Editorial de Dror Eydar pour « Israel Hayom »

Traduit et adapté pour le public francophone par Misha Uzan pour JForum (correspondant spécial).

 

 

Plainte contre le jeune Juif agressé dans un train (Le Figaro.fr).

L'un des gardés à vue dans l'affaire de l'agression de l'adolescent dans le train Toulouse-Lyon estime avoir subi des violences de sa part.

Les gardes à vue des deux jeunes de 18 ans, qui ont été interpellés jeudi à Lyon après l'agression dans un train Toulouse-Lyon d'un élève de l'école juive Ozar-Hatorah de Toulouse, ont été prolongées, a déclaré le procureur de la République de Lyon, Marc Cimamonti. Les deux hommes, qui ne nient pas l'agression, ont en revanche rejeté toute connotation religieuse, selon une source proche de l'enquête. L'un des jeunes hommes arrêtés a par ailleurs porté plainte contre la victime, estimant avoir subi des violences de sa part.

Les deux agresseurs présumés feront l'objet samedi d'une information judiciaire pour «violences aggravées», alors que l'accusation d'»antisémitisme» doit encore être soumise à des «investigations», a déclaré une source judiciaire vendredi.

D'origine maghrébine et sans casier judiciaire selon une source policière, les auteurs présumés ont été interpellés peu après 11 heures dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue. Si le caractère antisémite de l'agression «n'est pas encore avéré», «les faits de violence sont là», a déclaré jeudi soir une source judiciaire à l' Agence France-Presse, ajoutant: «Il faut continuer à recueillir des témoignages, notamment des passagers de la rame, pour considérer un caractère antisémite.»

Scolarisé dans la même école que celle où Mohamed Merah avait tué le 19 mars trois enfants et un père de famille, la victime, âgée de 17 ans, rentrait dans sa famille à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, lorsqu'il a été pris à partie mercredi soir dans un train. Dans une interview au quotidien régional Le Progrès réalisée après sa sortie de l'hôpital, le jeune homme raconte avoir été insulté par l'un de ses agresseurs présumés, alors qu'il téléphonait à son frère, «qui a un prénom juif». «Il me demande de le suivre sur la plateforme. Je m'exécute, pensant que nous allons avoir une simple explication. C'est alors qu'il commence à me frapper. Il est ensuite rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l'un des deux a fait référence à mon judaïsme», explique encore la victime, qui s'est vu imposer une interruption temporaire de travail de dix jours. Il affirme également qu'il ne portait pas d'étoile de David, comme cela a pu être dit, mais une médaille non distinctive. Selon le ministère de l'Intérieur, «seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences».

Un acte «intolérable»

L'association la Licra, qui a demandé «la convocation en urgence d'une réunion interministérielle», sera reçue vendredi par le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls. Ce dernier a affirmé que «tous les moyens ser(aient) mis en œuvre pour faire reculer, pour faire disparaître ces actes d'antisémitisme». «Nous avons un travail de longue haleine, en profondeur» à faire, a-t-il ajouté.

Les réactions se sont multipliées jeudi dans la classe religieuse et politique. Le grand rabbin de Lyon, Richard Wertenschlag, qui a pu s'entretenir avec la famille, a évoqué un acte «intolérable». «Ils étaient sur la plateforme et ils l'ont mis dans les toilettes avant de lui donner des coups», a-t-il dénoncé. Pour le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Richard Prasquier, «il y a un problème d'antisémitisme en France dont il faut absolument être conscient».

À Lyon, le sénateur-maire PS Gérard Collomb a appelé «les autorités à condamner les auteurs de ces faits avec la plus grande sévérité», «devant la multiplication des manifestations de haine et d'intolérance». Le préfet du Rhône, Jean-François Carenco, a lui rappelé qu'il recevait vendredi «les représentants de la communauté juive dans le cadre de la Conférence départementale de la laïcité et de la liberté religieuse». Selon le ministère de l'Intérieur, les actes et menaces antisémites ont augmenté de 46% de janvier à avril 2012 par rapport à l'an dernier.

 

Premier discours de Mohamed Morsi (Marc Lev)

Ah qu'il a été rassurant ce premier discours de Mohamed Morsi !...

 

J'ai effectivement suivi en direct le premier discours officiel du nouveau président égyptien, attendant impatiemment le choix des mots quant aux accords égypto-israéliens, quant aux "frères" palestiniens de Gaza, et l'avenir ne me semble dorénavant pas des plus optimistes quant à ce voisin du Sud...

Tout d'abord je l'avoue bien franchement; tout en entendant les mots prononcés par Morsi je n'ai pu m'ôter de la mémoire la devise des Frères Musulmans : «Dieu est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyr notre plus grande espérance»...

Comment assimiler face à cette devise reconnue comme étant sienne par Morsi que les lendemains israélo-égyptiens se situeront sur des bases d'entente, d'acceptation d'accords passés, de reconnaissance mutuelle, de continuation de paix (certes froide mais de paix tout de-même...)? 

Certes Morsi a bel et bien exprimé la poursuite des engagements internationaux égyptiens mais il semblerait que des référendums suivront...à comprendre: le peuple égyptien sera celui qui décidera de l'avenir du traité de paix avec Israël ou de son annulation pure et simple...Manière aisée de faire ressortir sur le plan international le côté démocratique de cette décision qui ne manquera pas à venir haine anti-israélienne flagrante...Effectivement: ça ne sera pas le parti au pouvoir qui aura pris la direction d'une cessation des relations avec l'état hébreu mais le peuple égyptien...alors, ne serait-ce que par démocratie, il faudra bien accepter la décision majoritaire... 

Ainsi de-même les aides (ne serait-ce que militaires) que l’Égypte reçevait chaque année des États-Unis (aide militaire de 1.3 milliard de dollars et en 2010 aide civile de 250 millions de dollars) ne pourront que continuer à arriver...alors que la force de l’armée égyptienne repose essentiellement sur des armes et des systèmes américains: avions F16 et F4, hélicoptères Apache J, chars M-60A3 et M1A1, missiles air-sol, avions de renseignements...Même des exercices militaires conjoints ainsi que des manoeuvres entre les U.S.A et l'Egypte pourront continuer à se concrétiser... Ah cette "belle démocratie" !...

Morsi n'a également aucunement omis de parler du soutien des « droits légitimes » des Palestiniens et a donc dit vouloir s'investir vers la réconciliation entre les mouvements rivaux Hamas et Fatah. Qu'est-ce à dire concrètement ? Qu'attendre de ses paroles ? L'Egypte va-t-elle ouvrir tout grand ses frontières vers Gaza ? Va-t-elle laisser circuler librement ces "frères palestiniens" annulant d'un coup ce blocus par trop médiatisé par l'international ? A moins que l'idée (qui se rattacherait on ne peut mieux à la devise des frères musulmans...) ne serait de booster le Hamas et autres groupuscules extrémistes afin de ranimer la flamme de l'extrémisme et de l'arme terroriste à partir de ce ce territoire ..?

Et la péninsule du Sinaï, ne se transformera-t-elle pas en une immense base militaire (désir de Morsi de ramener les militaires vers la défense des frontières...) d'où toute opération armée anti-israélienne sera concrétisable...avec l'appui de l'Occident ?..

Si dorénavant j'admets avoir quelque mal à repérer dans cette élection des lendemains axés vers le mieux social et économique du peuple égyptien, il me semble que le monde occidental va à nouveau se fourvoyer quant aux intentions réelles du gouvernement égyptien fraîchement et "démocratiquement élu", et il me semble de-même que les données régionales vont diamétralement se transformer avec tout de-même ce dénominateur commun: la haine anti-israélienne.

Mais quoi de nouveau me direz-vous...

Marc Lev.

 

Attaque contre deux églises de l’est du Kenya (Dreuz.info)

Encore une attaque contre deux églises de l’est du Kenya par des musulmans: dix-sept morts

Dix-sept personnes dont trois enfants ont été tuées dimanche 1er juillet dans l’attaque de deux églises d’une ville de l’est du Kenya, région frontalière de la Somalie. Il s’agit de l’opération la plus meurtrière depuis l’intervention de l’armée kényane fin 2011 dans le Sud somalien contre les islamistes chebabs.

Des hommes armés ont ouvert le feu et lancé des grenades sur deux églises à Garissa, au moment où les fidèles étaient rassemblés pour la messe dominicale. « Un fait horrible » et « une lâcheté inqualifiable » , a déclaré dimanche le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info et source citée

 

Minibluff the card game

Hotels