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Terre d'Islam, le calvaire des chrétiens (Israël Flash)
La liste est malheuseusement trop longue, quelques derniers faits cependant, Un petit garçon chrétien sauvagement mutilé au Pakistan, Egypte, on crucifie les opposants, et on appelle à l’extermination de tous les chrétiens, on égorge une chrétienne en plein marché à Betléhem, on défenestre des chrétiens en Syrie, bref une horreur ! Dans l’ensemble des 57 pays musulmans de la planète, la liberté religieuse est inexistante : il est défendu pour un musulman de quitter l’islam. À l’échelle mondiale, toutes les trois minutes un chrétien est persécuté. L’année dernière, 165,000 chrétiens furent tués en raison de leur foi. 80% des persécutions chrétiennes ont lieu en terre d’islam. Et de tout cela, la majorité des médias n’en parlent pas.
Sélection par Aschkel pour israel-flash
Lire aussi : Syrie/Vidéo : défenestration d’un chrétien par des musulmans
Bethléhem : en plein marché une chrétienne se fait égorger par son mari musulman – Photo
Coran – Sourate 9,5 – Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salât et acquittent la Zakât, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
Bref après le samedi, le dimanche ?
Pakistan : un garçon chrétien de 11 ans torturé et tué
Un autre cas de « blasphème »?
Pendant ce temps, la petite Rimsha, une chrétienne trisomique de 11 ans, est toujours en prison après avoir été accusée de blasphème. Après son emprisonnement, des hordes de fanatiques ont infligé aux chrétiens une punition collective : ils ont incendié des maisons de chrétiens, détruit une église, tiré des coups de feu en direction d’une autre église, déchiqueté des bibles, etc.
Le corps d’un garçon chrétien de 11 ans portant des marques de torture a été trouvé dans une ville du Pendjab au Pakistan, quelques jours après l’arrestation d’une fillette chrétienne accusée de blasphème.
Des défenseurs des droits humains ont condamné le meurtre de Samuel Yaqoob dont le corps brûlé et torturé a été découvert le jour de l’Aïd, la fête qui marque la fin du ramadan. Ses lèvres et son nez ont été coupés, son estomac a été retiré et ses jambes ont manifestement été mutilées.
Le garçon était porté disparu depuis lundi quand il a quitté le bidonville chrétien de la ville où il habitait pour aller au marché local. Ses proches ont identifié son corps grâce à une marque distinctive sur son front.
La police a déclaré qu’elle cherche à déterminer si l’attaque contre Samuel est liée à une accusation de blasphème. Sa mort intervient quelques jours après l’arrestation de Rimsha Masih, une fillette trisomique de 11 ans accusée par des musulmans d’avoir brûlé des pages du coran pour faire la cuisine.
Le président Asif Zardari est intervenu après que des dizaines de chrétiens ont fui leurs maisons, craignant la violence. Il a dit que la loi controversée sur le blasphème, qui prévoit la peine de mort pour ceux qui insultent l’islam, ne devait pas être détournée pour régler des comptes.
Source : Christian boy tortured and killed in Pakistan, Telegraph, 23 août 2012. Extrait traduit par Poste de veille
Pakistan : après l’inculpation d’une fillette pour blasphème, des musulmans incendient les maisons de chrétiens
Des hordes de fanatiques ont infligé aux chrétiens une punition collective après qu’une fillette trisomique de 11 ans a été emprisonnée sous l’accusation de blasphème, un délit punissable de mort au Pakistan. Elle aurait été vue avec des pages brûlées du coran dans les mains.
Après l’incarcération d’une fillette trisomique pour «blasphème», des musulmans ont incendié des maisons de chrétiens et «détruit» une église dans un bidonville d’Islamabad, et des militants présumés ont tiré des coups de feu en direction d’une autre église à l’extérieur de la capitale pakistanaise, ont déclaré des témoins le mardi 21 août.
«Notre personnel et quelques autres chrétiens se sont rendus dans le secteur Meherabadi d’Islamabad mardi soir», a indiqué Farrukh H. Saif, directeur exécutif de l’ONG World Vision In Progress, à BosNewsLife. «Nous avons constaté que cinq maisons avaient été incendiées et une église détruite. Des bibles ont été déchiquetées et la croix d’une église a été brisée ».
Dans la ville de Karachi, au sud du Pakistan, l’église catholique de Saint-Mathieu a été «attaquée par des extrémistes inconnus à 2 h, heure locale», a ajouté Saif, citant des enquêteurs. «Ils ont ouvert le feu en direction de l’église et endommagé la façade dans le quartier Pehlwan Goth de Karachi».
Ce n’était pas un incident isolé dans ce quartier, des «extrémistes musulmans» ayant attaqué les propriétés de chrétiens et des églises à deux reprises l’année dernière, a ajouté Saif. Les dernières violences ont éclaté pendant que Rimsha, 11 ans, se préparait à passer une autre nuit à la sinistre prison d’Adiala à Rawalpindi à proximité d’Islamabad.
La police a emprisonné la fillette le vendredi 17 août après que des centaines de manifestants musulmans ont exigé qu’elle soit inculpée en vertu des lois du Pakistan sur le blasphème. Le lundi 20 août, pendant que les musulmans célébraient la fête de l’Aïd al-Fitr, Rimsha était toujours dans la prison d’Adiala, apparemment avec sa mère, en attente d’être fixées sur leur sort.
Des hordes de musulmans ont incité les voisins chrétiens de la jeune fille et d’autres à fuir, ont indiqué Saif et d’autres activistes. Des milliers de chrétiens sont encore à l’extérieur de la zone du bidonville où le coran aurait été brûlé et ils craignent pour leur vie, ont déclaré des défenseurs des droits humains.
Source : Pakistan Christian Homes Torched, Churches Attacked After Jailing Girl, BosNewsLife, 21 août 2012. Extrait traduit par Poste de veille
Égypte : les Frères musulmans crucifient des opposants
En Égypte, la semaine dernière, quand des partisans des Frères musulmans ont terrorisé les médias laïques, plusieurs sites arabes, y compris Arab News, Al Khabar News, Dostor Watany et Egypt Now, ont rapporté que des gens étaient « crucifiés ». Voici la traduction d’un extrait :
«Un correspondant de Sky News Arabic au Caire a confirmé que des manifestants appartenant aux Frères musulmans crucifiaient les opposants du président égyptien Muhammad Morsi, nus sur des arbres en face du palais présidentiel, et abusaient d’autres opposants. Des partisans des Frères musulmans ont également verrouillé les portes de lieux de production de médias dans le quartier du 6-Octobre [un important quartier de médias au Caire], où ils ont attaqué plusieurs journalistes populaires. » [ ]
Loin de condamner ces terroristes, Al-Azhar, la plus haute autorité islamique en Égypte, vient de publier une fatwa appelant à davantage de violence et de répression : « combattre ceux qui participent aux manifestations contre les Frères musulmans prévues pour le 24 août est une obligation religieuse ».
La plupart des sites arabes mentionnés ci-dessus soulignent que ces attaques font partie de la campagne des Frères musulmans pour intimider les médias laïques et les empêcher d’exposer le programme islamiste des Frères, ce que font tous les jours Youm 7, On TV et Okasha. [ ]
En réalité, il y a peu de raisons de douter de cette histoire de crucifixions. Dans le monde musulman, des militants musulmans crucifient régulièrement leurs adversaires : en Côte d’Ivoire, des partisans du président musulman ayant évincé un chrétien ont crucifié deux frères chrétiens ; en Indonésie, des séparatistes islamiques ont crucifié un musulman accusé d’être un informateur de l’armée ; et en Irak, des militants musulmans ont crucifié des enfants chrétiens. [ ]
Fait révélateur : il y a quelques mois à peine, et pour la première fois dans l’histoire moderne de l’Egypte, un député a proposé d’institutionnaliser les peines les plus draconiennes de la charia, y compris la crucifixion.
Sous les Frères musulmans en Egypte, la bouteille a été ouverte et le génie s’est échappé. Le pire est encore à venir.
Source : Muslim Brotherhood ‘Crucifies’ Opponents, Attacks Secular Media, par Raymond Ibrahim, 15 août 2012. Extrait traduit par Poste de veille
Pakistan : des musulmans inculpent une fillette trisomique de 12 ans pour blasphème envers l’islam
La religion de paix et d’amour encore une fois à l’œuvre…
Des musulmans ont dénoncé une pauvre gamine trisomique à la police pakistanaise parce qu’elle aurait brûlé des pages du coran. Elle s’est retrouvée en état d’arrestation au poste de police et sa famille chrétienne a été obligée de fuir leur maison de la banlieue d’Islamabad pour ne pas se faire agresser ainsi que les autres familles chrétiennes aux alentours. L’Etat islamique du Pakistan punit de mort, toute personne insultant l’islam et le prophète mahomet. Vidéo en fin d’article
Des islamistes égyptiens distribuent des tracts appelant à l’extermination des chrétiens dans le pays
Raymond Ibrahim a publié le 14 août, un article particulièrement inquiétant sur le site Right Side Views. Il y commente une lettre circulaire (photo) distribuée en Égypte par des groupes islamistes, et publiée sur le site El Fegr (ou El Fagr) appelant à l’extermination des chrétiens à Suez, Ismaïlia et dans toute la Haute Égypte. Voici ce qu’en dit le journaliste. D.H.
« L’image d’une photocopie de la lettre vient de paraître sur le site El Fegr. Intitulée “Note urgente et importante” elle commence par appeler “les frères et les sœurs” à “tuer ou à agresser physiquement les ennemis de la religion d’allah*, les chrétiens de toutes les provinces d’Égypte, les esclaves de la croix – que la malédiction d’allah soit sur eux…”. Elle poursuit en promettant une prime à quiconque aidera “à faire prévaloir les droits d’allah sur ses ennemis”.
Comme preuve de la tranquillité qu’éprouvent les organisations djihadistes dans l’Égypte d’aujourd’hui sous le nouveau Président des Frères Musulmans,Mohammed Morsi, le langage habituellement crypté est abandonné et le lettre nomme les points de contacts et même une mosquée la Sheikh Ahmed Mosque à Kasfrit, où ceux qui sont intéressés pourront s’adresser “après les prières du vendredi et où les nouveaux membres de l’organisation seront les bienvenus”.
Ce génocide est exigé jusqu’à ce que les chrétiens d’Égypte “reviennent à la vérité”, une expression qui pourrait vouloir dire que les chrétiens égyptiens doivent soit accepter “la vérité” – c’est-à-dire l’islam auquel ils doivent se convertir –, soit revenir aux vérités de la religion qui stipulent que les chrétiens doivent accepter leur statut infrahumain de dhimmis (coran 9, 29) ».
* On aura remarqué que je n’utilise pas de capitale pour « allah », ne serait-ce que parce que l’arabe ne connaît pas de capitale dans son alphabet (mais ce n’est pas la seule raison : je vous laisse deviner les autres…).
Source : Right Side News (repris sur Assyrian International News Agency)
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Quand un évêque syriaque parle vrai sur l'Islam et indispose l'Union Européenne (JForum.fr)
Retranscription du discours du Père Samuel au Parlement Européen à Bruxelles le 9 juillet 2012 (une conférence organisée par l’Alliance internationale des libertés civiles/ICLA).
Le Père Samuel nous raconte son expérience et sa vie durant 35 ans dans les pays arabo-musulmans.
Il nous parle de la dhimmitude et de la souffrance humaine qu’elle engendre.
Charles Clément Boniface Ozdemir, connu sous le nom de Père Samuel est un évêque de l’Eglise syriaque ou syro-catholique.
Transcription du discours du Père Samuel au Parlement Européen le 9 juillet 2012 à Bruxelles
Je dois parler français si vous le permettez ...
La liberté d’expression et la charia, comme l’a déjà dit parfaitement par M. Jansen.
J’ai vécu 35 ans dans les pays arabo-musulmans.
J’ai étudié l’islam près de 40 ans, je suis venu ici (en Belgique). J’ai eu le malheur de dire : "Une mosquée en Europe c’est pire que le nucléaire".
J’ai eu le malheur de dire aussi : "Un enfant bien islamisée musulman c’est une bombe à retardement contre les petits enfants européens".
L’égalité des chances ou de malchance, on m’a attaqué, porté plainte contre moi.
Le procès a duré presque de 6 ans, j’avais 4 avocats, et heureusement nous avons gagné.
Et les bien pensants, les journalistes européens étaient fâchés parce que nous avons gagné.
Ils étaient vraiment fâchés.
Ils pensaient que nous allions être condamnés, qu’ils (les juges) allaient fermer notre bouche, notre liberté d’expression.
Je pense que M. Jansen a très bien parlé sur le thème de la charia, je vais ajouter un mot sur la charia.
La charia est contre les athées, les juifs, nos amis juifs et les chrétiens.
"Combattez, tuez tout homme qui ne croient pas en Allah, Dieu des musulmans". Chapitre 9 verset 29 du Coran.
En ce qui concerne nos amis juifs : Le Coran dit chap 31 v 61, c’est la charia ! "Qu’ils soient maudits, tuez-les partout où vous les trouverez, impitoyablement".
En ce qui concerne les malheureux chrétiens, ce sont des infidèles, lorsque vous les rencontrez, "tuez-les afin de faire un grand carnage", chap 47 V 4 du Coran.
Et ça c’est aussi la charia.
Les paroles de Mahomet, le Hadith, j’ai étudié l’islam franchement pendant 40 ans et je sais de quoi je parle.
Avec un grand historien, Johan Bourlard, il est ici, nous avons écrit ce dictionnaire historique de l’intolérance islamique, 2000 pages. Lorsque nous parlons, nous connaissons notre sujet.
Bat Ye’or, que nous aimons beaucoup, a écrit la préface de ce livre. Il a fallu des années pour l’écrire.
Le Père Samuel lit la préface :
Témoignage Bat Ye’or pour le père de Samuel Boniface, missionnaire :
"Pour le père de Samuel, mon frère dans la dhimmitude. Nous sommes dhimmis, si nous ne le voulons ou pas !!! ... mon frère dans la dhimmitude qui a ressenti, expérimenté, étudié les souffrances de la dhimmitude, et qui n’a pas eu peur d’en parler au nom des persécutés. Avec tous mes remerciements pour sa défense courageuse d’Israël. "
Nous aimons Israël, le seul pays démocratique en Orient, où les chrétiens ne sont pas assassinés, tous les chrétiens sont libres, contrairement à tous les autres pays islamiques, les chrétiens n’ont pas la liberté même de vivre, ni d’avoir la liberté d’expression.
Sont souvent massacrés, insultés, calomniés.
Et je peux vous dire, 42 personnes de ma famille ont été assassinées en 1915.
Voilà la tolérance islamique.
Non, dans l’islam il n’y a pas de paix, ni l’amour, ni la tolérance. C’est la haine des autres, mais nous devons les aimer.
Comme des êtres humains, nous devons les aimer. C’est normal, c’est absolument normal.
Ici, il ya quelque chose de très intéressant pour notre ami (David) Littman.
En 2010 ... Euh ... 4 il ya quatre ans quand je l’ai rencontré, il m’a dit : « Au nom de Shema Israël, priez sur ma tête. "
J’ai mis mes mains sur sa tête et c’est vrai, il est venu chez moi à la sainte messe catholique en latin, en français et en araméen.
Et il dit : "Père Samuel a prolongé ma vie de quatre ans". Et finalement, c’est la vie, l’être humain est né pour mourir.
L’être humain est né pour mourir et nous devons être tolérants bien sûr.
Mais la tolérance doit être réciproque. Pour moi, la tolérance c’est l’âme de l’humanité. Mais en islam malheureusement il n’y a pas de tolérance.
Il y a toujours la Taqiyya. La Taqiyya...c’est à dire la ruse.
Il y a une invasion de l’Europe par l’islam téléguidée, minutieusement préparée, par nos dirigeants, certains de nos dirigeants, pour que l’Islam remplace le judaïsme, le christianisme ici en occident.
Il faut dire non. (applaudissements de l’assemblée)
Quand David Littman est venu chez nous, il a lu le chapitre 1, que Dieu bénisse Israël, et je lui ai dit : "Jésus a dit dans l’Evangile (chap 4, v 22) Le salut vient des Juifs", Jesus-Christ l’a dit dans l’évangile de Saint-Jean.
(Le père Samuel montre des images projetées) Voici Bat Ye’or sur un côté et Littman de l’autre côté.... Il était enchanté, j’ai dit : "Gloire au peuple d’Israël" ... Un Etat démocratique en Orient au milieu de 300 millions de musulmans.... c’est énorme... 300 millions de musulmans.
Le seul pays démocratique, le seul pays où les chrétiens libres, le seul pays où les chrétiens ne sont pas assassinés, mais malheureusement, les médias occidentaux attaquent injustement tout le temps Israël, c’est Honteux !!!.
Retranscription : Dan
Autre article : Pour comprendre comment la Charia s’installe dans le monde et particulièrement en Europe nous vous conseillons de lire notre article "Le processus d’Istambul : Charia pour tous ?". Vidéo et discours du geopoliticien Alexandre del Valle sur ce qui est appelé le processus d’Istambul, programme anti-liberté et théocratique soutenu à l’ONU par 57 pays musulmans (L’OCI) qui contrôle le Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
http://www.jforum.fr/forum/international/article/le-processus-d-istambul-la-sharia
Source vidéo : http://www.libertiesalliance.org/2012/08/17/brussels-2012-father-samuels-speech/
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Mahmoud Abbas trouve que Jérusalem est trop juive (JForum.fr)
Mahmoud Abbas récidive, encore une fois.
En Février, Abbas avait déclaré que, ces dernières années, Israël avait mené une "bataille finale" visant à effacer le caractère arabe, musulmane et chrétienne de Jérusalem-Est.
Il avait accusé Israël de vouloir détruire la Mosquée Al-Aqsa de Jérusalem, qui se trouve au sommet des restes des deux temples juifs.
Il avait eu le culot également, à la tribune des Nations-Unies, d’évoquer les racines musulmanes et chrétiennes d’Israël en oubliant totalement ses racines juives.
Les médias occidentaux avaient été fort discrets sur cette partie de son discours, comme sur celui d’une "Palestine sans juif".
Tout au plus y voyait-on une "provocation".
Qu’aurait-on pensé et dit alors dans les grands médias, si Netanyahou avait rappelé l’histoire des chrétiens en terre sainte et des Juifs en terre promise, mais oublié l’islam – qui, soit dit en passant, ne prête pas la même attention à cette terre que les Juifs et les chrétiens dans sa religion et son histoire ?
Nul n’avait réagi. Mahmoud Abbas sait donc qu’il peut recommencer, autant qu’il le voudra.
Aussi, dans un communiqué publié mardi à l’occasion du 43ème anniversaire de l’incendie criminel de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem, en 1969, provoqué par l’Australien Michael Rohan, Abbas a déclaré que le troisième lieu saint de l’islam est toujours menacé et que cette attaque était "le début [d’une] série [d’attaques] qui n’ont pas été interrompues depuis ce jour fatal."
Abbas a réitéré qu’il n’y aura "ni paix, ni sécurité ni stabilité, tant que notre ville bien-aimée ne sera pas libérée de l’occupation et de la colonisation." Il a également souligné que la ville "restera la capitale éternelle de l’Etat palestinien, selon l’agence de Nouvelles du réseau "Palestine".
La rhétorique d’Abbas est toujours aussi bien ficelée pour faire croire à l’opinion internationale des choses qui ne furent jamais. Comment Jérusalem pourrait "rester" sans l’avoir jamais été, la capitale d’un Etat qui n’a lui-même jamais existé et n’existe pas encore ?
Par ailleurs, le même jour, Mahmoud Abbas a parlé par téléphone à la fois au ministre de la Défense israélien Ehud Barak et au Premier ministre Binyamin Netanyahou.
Selon Abbas, tous les travaux d’excavation israéliens à Jérusalem et les tunnels sous la mosquée, "ne porteront pas atteinte au fait que la ville sera toujours arabe, islamique et chrétienne."
En guise de réponse, Mark Regev, porte-parole de Netanyahou, a déclaré qu’il espérait que la direction de l’AP ne niait pas la connexion juive à Jérusalem, qui remonte à 3000 ans.
"Ignorer cet égard est ignorer la réalité", a-t-il dit, "et ne fera rien pour faire avancer la paix et la réconciliation".
Regev a déclaré qu’il était "déçu" d’entendre la direction de l’AP "se faire l’écho des théories du complot scandaleux concernant le Mont du Temple, les théories du complot qui font le domaine habituel des éléments extrémistes."
Il a ajouté qu’il n’y a que sous le contrôle israélien que Jérusalem a connu une période de croissance sans précédent et se développement, au cours de laquelle les droits religieux de tous, et les lieux saints, ont été protégés.
Ceci est en contraste frappant avec la réalité avant 1967."
Le ton de la déclaration a renvoyé aux calendes grecques le fait que toute une série d’appels téléphoniques récemment, auraient pu conduire à un léger changement dans l’atmosphère, selon quelques rêveurs.
Barak avait téléphoné à Abbas ce même jour à l’occasion de l’Aïd al-Fitr, après l’appel de Netanyahou, samedi soir, au début de la fête.
En l’absence de négociations actuellement en cours entre Israël et l’AP, de tels appels au niveau de la direction supérieure, sont rares.
Un communiqué publié par Barak a déclaré que les deux hommes ont discuté de la situation dans la région et des moyens de relancer le processus diplomatique.
Une source au bureau d’Abbas à Ramallah a confirmé la conversation, mais a déclaré qu’il était peu probable que le geste aurait des résultats politiques dans un avenir proche.
On s’en doutait quelque peu.
Misha Uzan/JForum - Correspondant spécial
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Juif par sa mère (JForum.fr)
La question « qui est juif ? » est depuis des millénaires un sujet de perpétuels débats et de perpétuelle discorde.
Depuis la fondation de l’État d’Israël en 1948 et avec l’immigration des juifs soviétiques, le problème a revêtu encore plus d’âpreté.
La loi du retour [1] stipulant dans son article premier « Chaque juif a le droit de retourner dans ce pays comme immigrant », il redevenait urgent de savoir qui était juif ?
Controverses
La solution adoptée, après bien des controverses, fut que toute personne ayant au moins un de ses grands-parents juif pouvait prétendre à la citoyenneté israélienne, en tant que juif.
Et toute personne née de mère juive ou convertie était considérée comme juive, sans préciser qui avait qualité pour effectuer cette conversion.
Cela permit à la Cour Suprême de reconnaitre les conversions non orthodoxes effectuées hors d’Israël.
Alyah
Mais le fait d’acquérir la citoyenneté israélienne n’impliquait nullement pour les instances religieuses du pays que le nouveau citoyen soit juif.
Sur ce point, le Rav Haim Amsalem [2], rapportait que sur le nombre estimé en 2007 de 985.000 émigrés de l’ex-URSS, environ 300.000 n’étaient pas juifs d’après la loi juive, et parmi eux, 110.000 ne l’étaient pas, car de père juif et de mère non juive.
Et il ajoutait « Aujourd’hui le chiffre réel est supérieur à 400.000 c’est dire l’importance et l’urgence du problème.
Un jeune avec un nom juif comme Cohen ou comme Meltzer qui a été maltraité en Russie parce que juif, arrive en Israël où il se voit considéré comme non-juif… »
Selon les rabbins, la judéité d’un enfant est déterminée par celle de sa mère.
On parle de transmission « matrilinéaire » de la judéité, bien qu’au sens strict, la matrilinéarité soit un principe de filiation qui relève du lignage de la mère, particulièrement en matière d’héritage, de propriété, de noms de famille ou des titres.
La matrilinéarité dans la Torah
Dans la Torah, on ne trouve nulle part de règle de la filiation matrilinéaire, au contraire un grand nombre de personnages ne sont présentées que par leur seule filiation paternelle. Shaye Cohen [3], professeur de littérature et de philosophie hébraïque à l’université de Harvard, fait par exemple remarquer que « Dans tout mariage où il n’y a pas eu de faute, l’enfant a le statut du père (Cohen, Lévi, Israël).
Quels sont les cas ?
Lorsque la fille d’un prêtre ou d’un Lévi ou d’un juif ordinaire épouse une Cohen, Lévi ou Israël… » [4].
Cela signifie que la qualité de Cohen ou de Lévite de la loi juive utilise une ascendance patrilinéaire et qu’ainsi pour le sacerdoce héréditaire, on n’est pas Cohen par sa mère, mais par son père.
Sous la dynastie constantinienne (de 312 à 363 ) un certain R. Ya’akov, de Kfar Niboraya, enseignait à Tyr que l’enfant d’un père juif était juif à part entière même si sa mère ne l’était pas ; à l’appui de sa thèse [5], il invoquait un passage de la Torah :
« 18 Puis ils convoquèrent toute la communauté, le premier jour du second mois ; et on les enregistra selon leurs familles et leurs maisons paternelles, en comptant par noms ceux qui avaient vingt ans et plus, chacun individuellement, 19 ainsi que l’Éternel l’avait prescrit à Moïse.
Leur dénombrement eut lieu dans le désert de Sinaï. On les enregistra selon leurs familles, selon les maisons de leurs pères » [6].
On constate que les mariages mixtes intéressent des personnages fondamentaux de la bible, mais la mère israélite qui épouse un non-israélite sort de l’histoire fait remarquer le Rabbin Delphine Horvilleur [7].
Ce fut par exemple le cas de Dinah, fille de Jacob, qui dut épouser Shechem, le fils non israélite du chef de la ville de Sichem.
Chez les hommes, Moïse avait épousé une étrangère, Tsipora, fille du prêtre madianite Jethro et ses enfants sont hébreux comme leur père.
Juda fils de Jacob épousa la cananéenne Thamar qui lui donna deux garçons jumeaux : Perets et Zérah.
Le roi david
Le roi David est un descendant de Perets [8] qui ne serait pas aujourd’hui reconnu comme juif.
Son père Ichaï est le fils d’Oved, lui-même fils de Boaz et de Ruth la Moabite qui n’était pas juive.
Mais Ruth est considérée s’être convertie après avoir déclaré à sa belle mère Naomi « N’insiste pas auprès de moi pour que je te quitte et que je m’en retourne sans te suivre, car là où tu iras, j’irai ; là où tu demeureras, je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple et ton Dieu sera mon Dieu.
Là où tu mourras, je veux mourir aussi et y être enterrée, que l’Eternel m’en fasse autant et plus, si toute autre chose que la mort me séparait de toi. » [9]
Malgré son ascendance qui aujourd’hui pourrait être regardée comme embarrassante par certains puristes, David, juif, a engendré l’une des lignées les plus prestigieuse de l’histoire juive.
Le frère de Juda, Joseph épousa Asénath, fille du prêtre égyptien Potiphéra et ses enfants Ephraïm et Manassé, également non juifs, sont considérés comme le modèle de transmission de la judaïcité : les parents juifs religieux, le vendredi soir, avant le premier repas du chabbat, bénissent leurs garçons en terminant par la phrase :
« que Dieu te mette comme Éphraïm et comme Manassé ».
Les descendants d’Ephraïm constituent une des douze tribus d’Israël.
Hormis la « conversion » de Ruth, nulle part il n’est fait état de conversion : la conversion n’existait pas à cette époque.
Ce que dit la Torah
Quelques textes peu nombreux sont habituellement cités pour justifier l’existence d’une transmission matrilinéaire de la judéité dans la Torah.
A propos des peuplades présentes en terre promise, il est écrit dans le Deutéronome [10] :
« Ne t’allie avec aucun d’eux : ta fille, ne la donne pas à son fils, et sa fille, n’en fais pas l’épouse du tien !
Car il détacherait ton fils de moi, et ils adoreraient des divinités étrangères, et la colère du Seigneur s’allumerait contre vous, et il vous aurait bientôt anéantis. »
On peut toutefois faire remarquer qu’en cas d’union mixte, le danger d’idolâtrie peut venir de chacun des deux partenaires, peu importe le sexe.
On lit aussi dans Ezra [11] :
« Oui, dès maintenant, contractons avec notre Dieu l’engagement de renvoyer toutes ces femmes et les enfants nés d’elles, conformément au conseil de mon seigneur et de ceux qui sont zélés pour le commandement de notre Dieu.
Que tout se passe selon la loi ».
Ce que dit la Mishna [12]
Il faut attendre beaucoup plus tard la Mishna pour y lire que « Dans tout mariage où il n’y a pas eu de faute, l’enfant a le statut du père.
Dans tout mariage où il y a eu une faute, l’enfant suit le parent entaché de la tare.
Dans tous les cas où il n’y a pas eu de mariage ni avec sa mère ni avec les autres femmes, il est comme sa mère.
Dans quels cas ?
Celui de l’enfant d’une esclave ou d’une non-juive. » [13]
Ce que Sylvie Coirault-Neuburger, professeur de philosophie et auteur de nombreux ouvrages sur la religion, interprète ainsi :
« Dans tous les cas où il y a mariage et sans transgression, l’enfant issu de cette union est selon le père. [Cela veut dire qu’il est juif seulement si le père et la mère sont juifs]… » [14] Mais dans aucun de ces textes il n’est affirmé la matrilinéarité.
Autres justifications
D’autres s’appuient sur l’incertitude de la paternité pour justifier la matrilinéarité.
Le professeur Shaye Cohen écrit :
« L’argument de la filiation matrilinéaire, donnée par les laïcs dans les mouvements orthodoxes et conservateurs (bien que pas par leurs rabbins) est la « certitude » de la maternité par opposition à l’« incertitude » de paternité. »
Ce qui signifie qu’on est sûr de la mère et pas du père.
On pourrait faire valoir que la certitude de paternité n’est pas davantage assurée s’il s’agit d’un couple juif plutôt que d’un couple mixte.
Pour Shaye Cohen, même dans le cas du fameux jugement de Salomon, il y a incertitude sur la certitude de l’identité de la mère.
Il est écrit en effet [15] « 22 Non pas ! dit l’autre femme, mon fils est vivant, et c’est le tien qui est mort !
Point du tout, reprit la première, c’est le tien qui est mort, celui qui vit est le mien !"
C’est ainsi qu’elles discutaient devant le roi.
23. Le roi dit alors : "L’une dit : Cet enfant qui vit est le mien, et c’est le tien qui est mort ; l’autre dit : Non, c’est le tien qui est mort, celui qui vit est le mien." »
Aujourd’hui les tests ADN pourraient facilement lever toutes les incertitudes.
Une autre explication réside dans l’affirmation que cette transmission aurait été édictée pour intégrer les enfants des femmes juives violées par les soldats romains lors des répressions sanglantes d’Hadrien en 135.
Sylvie Coirault-Neuburger
A ce propos, se référant à la Mishna, Sylvie Coirault-Neuburger écrit « Et si une femme a une relation sexuelle avec un homme qui n’est pas son mari, et qu’elle n’est pas mariée elle-même par ailleurs, l’enfant est selon elle, esclave si elle est esclave, non-juif si elle est non-juive.
[Et donc on peut en déduire : juif si elle est juive.
On peut préciser cela par un autre texte tiré du Traité Ketoubot (12-13) : l’enfant peut être considéré fils de père inconnu, ce qui lui donne un statut de simple juif.
Cette jurisprudence ici explicitée alors que la conclusion n’est qu’implicite en Ketoubot permet de donner un statut et un respect à tous les enfants nés d’un viol qui seront tous juifs] [16].
Ou est l’erreur ?
Il n’est pas de notre propos de trancher en quoi que ce soit ce problème.
Nous n’en avons ni la compétence et ni les connaissances.
Il s’agit uniquement de faire remarquer les conséquences ambigües des choix effectués.
Examinons le petit calcul suivant :
Un juif épouse une non-juive.
Ils ont un garçon Simon et une fille Rachel qui ne sont pas juifs au titre de la matrilinéarité rappelée dans ce qui précède.
La fille Rachel épouse un juif Gabriel.
Ils ont une fille Léa qui n’est pas d’avantage juive selon la loi juive.
Elle a 50% de « juif » en elle.
Cette dernière épouse un juif David, ils ont une fille Rivka encore non juive malgré 75% de juif.
Cette dernière épouse un juif Moché, ils ont une fille Shulamit qui n’est toujours pas juive malgré ses 87.5 % de « juif ».
On peut continuer…
De l’autre coté, le garçon Simon épouse une juive Hanna. Ils ont une fille Dafna qui selon la loi juive est juive avec 50% de « juif » en elle.
Cette dernière épouse Robert un non juif, ils ont une fille Suzana qui est juive avec 25% de « juif ».
Cette dernière épouse un non juif Pierre, ils ont une fille Sarah qui est juive malgré se seuls 12,5% de gènes juifs.
Ainsi en tenant compte des origines de chacun des enfants, on aboutit à ce que Sarah est juive avec 12,5 % de gènes juifs, alors que Shulamit elle, avec 87,5 % de gènes juifs, n’est pas juive.
Epilogue
Beaucoup de mouvements juifs libéraux en Europe et aux Etats-Unis considèrent, depuis les années 80, que la transmission patrilinéaire vaut la transmission matrilinéaire et que les enfants d’un père juif et d’une mère qui ne l’est pas ont « la présomption d’être d’ascendance juive » à confirmer par une éducation juive appropriée.
Ils font remarquer que la matrilinéarité peut avoir des effets pervers, la mère étant assurée que ses enfants sont juifs, n’aura pas une volonté forte de leur enseigner le judaïsme.
De même un père juif qui a épousé une non-juive sera découragé de le faire s’il n’a aucune chance de succès pour que ses enfants soient reconnus comme juifs.
Le problème comme on le sait est fort complexe, d’autant qu’il y a dans le caractère juif d’un individu à la fois une dimension ethnique (notion de peuple ou de nation) et une dimension religieuse.
Mais si la patrilinéarité était utilisée de la même façon que la matrilinéarité, au lieu de 16 millions, les juifs seraient peut-être dix fois plus nombreux dans le monde et le problème de leur devenir ne se poserait certainement plus dans les termes actuels.
Fabien Ghez/Temps & Contretemps
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Le Kaddish, prière juive des endeuillés (Dreuz.info)
Le kaddish, prière juive traditionnelle dans la spiritualité et la liturgie du peuple d’Israël, évoque avant tout la sanctification du Nom divin. (kaddish, comme kadosh, saint)
Composée à l’époque où la Judée se trouve sous domination romaine, cette belle prière de louange est un véritable concentré de bible : elle est constituée de versets tirés des Psaumes, de Job, de Daniel, et particulièrement d’Ezekiel, qui dans sa vision annonce que la splendeur de D.ieu sera reconnue à la fin des temps par les nations.
Le kaddish est récité en communauté après la lecture de la Bible et le commentaire qui suit. On peut donc imaginer l’instant où Jésus l’a exprimé avec son groupe de disciples à la synagogue de Nazareth après avoir lu et expliqué le fameux passage d’Isaïe qui inaugure son engagement.
Précisément, la prière du Notre Père « Avinou shebashamayim » apprise ensuite par Jésus à ses disciples n’est qu’une variante à peine plus développée du kaddish.
Même s’il ne mentionne pas la mort, le kaddish est une prière souvent dite avec ferveur lors d’un dernier adieu ou d’une commémoration d’un défunt. La tradition juive considère que ceux qui récitent le kaddish avelim (kaddish des endeuillés) en répondant amen de toutes leurs forces, verront leurs fautes effacées, car c’est la royauté de D.ieu qui est ainsi proclamée. Près d’une tombe, on y ajoute une oraison affirmant la foi en la résurrection finale des morts et on espère ainsi alléger l’étape de purification que connaîtra le défunt pour s’approcher de D.ieu.
*Traduction française du Kaddish :
Magnifié et sanctifié soit le Grand Nom dans le monde qu’il a créé selon sa volonté,
et puisse-t-il établir son règne, faire fleurir son salut, et hâter le temps du messie,
de votre vivant et de vos jours et des jours de toute la maison d’Israël,
dès que possible et dites : amen !
Puisse son Grand Nom être béni à jamais et dans tous les temps des mondes,
béni et loué et glorifié et exalté,
et élevé et vénéré et élevé et loué soit le Nom du Saint, béni soit-il,
au-dessus de toutes les bénédictions et cantiques et louanges
proclamés dans le monde, et dites : amen !
Qu’une paix parfaite et une vie heureuse nous soient accordées à nous et à tout Israël,
que celui qui fait régner l’harmonie dans les sphères célestes l’étende parmi nous et dans tout Israël, et dites : amen !
Osse shalom bimromav, hou yaassé shalom aleinou, veal kol Yisrael, ve imru, imru amen !
Au cours des célébrations chrétiennes de dernier adieu, la prière du Notre Père accompagne toujours le moment où l’assemblée confie le défunt à la miséricorde du Père.
Comme le kaddish, le Notre Père n’est pas en soi une prière pour les morts, mais une prière vers Dieu pour louer sa sainteté.
On peut considérer que Jésus, en l’apprenant à ses disciples, a voulu traduire et partager cette confiance au Dieu créateur et sauveur qu’il voulait honorer en donnant sa vie sur la croix romaine du Golgotha.
Ce reflet du visage de tendresse du Père devrait nous réconforter dans les moments où nous prenons congé de ceux et celles que nous aimons.
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© Abbé Alain René Arbez pour www.Dreuz.info
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