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Le Monde est-il le journal le plus "raciste" anti-israélien de France (Europe Israël).

Hier 31 août 2012, Le Monde publiait un article d’une certaine Hélène Sallon qui une nouvelle fois cloue aux piloris Israël en prétendant que c’est « l’Etat le plus raciste du monde développé » !

A partir d’un fait divers regrettable d’une bagarre entre jeunes arabes et jeunes juifs à Jérusalem, l’auteur stigmatise une nouvelle fois toute la société israélienne en oubliant qu’Israël est le seul pays du « monde développé » à permettre aux arabes d’élire leurs députés, d’avoir des juges à la Cour Suprême, d’avoir des généraux arabes…

Doit-on rappeler à cette journaliste sans scrupule, pisse copie anti-israélienne, que le racisme existe dans toute l’Europe ! Quelques exemples ?

L’augmentation des actes antisémites en France allant jusqu’au meurtre (attentat de Toulouse)…

L’augmentation des actes racistes contre musulmans en Grèce, en Espagne, en Allemagne, en Hollande, mais aussi en France…

L’augmentation des actes racistes « anti-blancs » en France…

Doit-on également rappeler l’augmentation des crimes contre les chrétiens et les juifs dans tout le monde arabo-islamique ? Pas une journée ne se passe sans que l’on déplore l’assassinat de chrétiens au « nom d’Allah ».

Le Monde, comme à son habitude, a beau jeu de stigmatiser Israël sur un fait isolé mais ne dira jamais un mot sur les récentes enquêtes effectuées auprès des arabes vivant en Israël qui confirment à plus de 70% qu’ils veulent rester israéliens même en cas de création d’un Etat Palestinien !

La réalité des arabes en Israël est tout autre que celle présentée dans cet article scandaleux : les arabes israéliens bénéficient des mêmes droits que tout citoyen juif israéliens.

Ils travaillent et occupent des postes importants dans toutes les strates de la société israélienne : c’est bien un arabe israélien, juge de la Cour Suprême, qui a condamné un ancien Président d’Israël à de la prison ! Il y même des généraux arabes israéliens dans l’armée israélienne !

Les arabes israéliens élisent leurs propres députés à la Knesset, ils sont actuellement plus de 12 députés arabes. Existe-t-il des députés arabes dans nos parlements nationaux en Europe ? Aucun.

De nombreux arabes israéliens sont des stars en Israël : dans le football, mais aussi dans le spectacle et il y a même eu plusieurs miss Israël arabes…

Vouloir noircir volontairement le tableau suite à un fait isolé, démontre cette phobie anti-israélienne qui règne chez certains journalistes français notamment dans la rédaction du Monde et de quelques autres organes de presse.

Certains journalistes français sont tellement acquis aux mensonges de la cause palestinienne qu’ils sont prêts à saisir à monter en épingle le moindre fait divers pour démontrer qu’Israël est un Etat raciste.

Contrairement aux vieilles démocraties européennes ankylosées, la société israélienne est une société vive et hautement évoluée qui n’hésite jamais à se remettre en cause quand de tels faits isolés voient le jour.

Le Monde devrait plutôt tourner ses regards vers les pays islamo-arabes, y compris au sein de la société palestinienne, où un racisme anti-chrétien et antisémite prolifère. Mais aussi au sein des pays européens où le communautarisme exacerbe toutes les formes de racisme.

Reproduction autorisée et vivement encouragée  avec la mention et le lien ci-dessous

Christian De Lablatinière – © www.europe-israel.org

Lire également cet article : Ces Musulmans qui aiment Israël et qui le disent !

 

Berlin : un Juif violemment agressé (JForum.fr).

Un rabbin a été blessé dans une agression à Berlin, sous les yeux de sa fille de six ans, par quatre jeunes hommes aux motivations antisémites, a annoncé la police allemande mercredi.

L’agression s’est déroulée mardi soir dans la capitale allemande où le rabbin âgé de 53 ans marchait avec sa fille.

Selon la police, un jeune homme d’origine supposée arabe a barré le chemin du religieux qui portait une kippa, lui demandant :

Es-tu juif ?.

Trois autres jeunes sont alors arrivés derrière le père de famille, qui a été frappé à plusieurs reprises à la tête par le premier individu.

Il y a eu ensuite des insultes contre cet homme, ses croyances, sa mère, et sa fille a été menacée de mort, a précisé la police dans un communiqué.

Les agresseurs ont réussi à prendre la fuite.

Blessé, le rabbin a été évacué en ambulance vers un hôpital.

La section criminelle de la police fédérale a été chargée de l’enquête.

Le maire de Berlin, le social-démocrate Klaus Wowereit (SPD), a condamné cette agression, dénonçant une attaque contre la paix et le vivre ensemble des Berlinois.

Le Congrés juif européen (EJC) a accusé l’Europe de ne pas avoir tiré les leçons des événements de Toulouse, dans le sud de la France, faisant référence aux sept personnes tuées en mars par Mohamed Merah, dont trois écoliers et un enseignant de confession juive.

Moshe Kantor,président de l’EJC

La vie continue en Europe mais pour la communauté juive, il n’y a pas de retour à la normale, a fustigé l’EJC dans un communiqué.

Le directeur de l’antenne du Comité juif américain (AJC) à Berlin, Deidre Berger, a appelé les autorités allemandes à arrêter rapidement les responsables de l’agression, demandant au gouvernement de légiférer sans attendre en adoptant un plan complet de lutte contre l’antisémitisme.

D’après l’association « Forum juif pour la démocratie et contre l’antisémitisme », la victime fait partie des premiers rabbins désignés en Allemagne après l’Holocauste.

Le rabbin enseigne le judaïsme dans une école juive de la capitale allemande, s’engageant pour le dialogue inter religieux avec les musulmans et les chrétiens, selon le porte-parole du forum, Levi Salomon.

d’après AFP Berlin / 29 août 2012 /21h59

Romandie.ch

Allemagne : un centre de formation de rabbins déconseille le port de la kippa

Un des principaux centres de formation de rabbins en Allemagne conseille à ses étudiants de ne plus porter leur kippa dans les lieux publics, à la suite de l’agression d’un rabbin mercredi à Berlin, annonce son recteur dans un entretien à paraître vendredi.

"Au lieu de ça, ils devraient adopter un couvre-chef discret", affirme Walter Homolka, recteur de l’Abraham Geiger Kolleg, centre de formation de rabbins, situé à Potsdam, près de Berlin, dans un entretien au quotidien régional Berliner Morgenpost.

"Quand on n’est plus identifiable comme juif, c’est plus sûr", estime-t-il. Le centre au sein duquel 28 rabbins sont actuellement en formation a par ailleurs renforcé ses mesures de sécurité, a-t-il précisé.

Un rabbin a été blessé dans une agression à Berlin, sous les yeux de sa fille de six ans, par quatre jeunes hommes aux motivations apparemment antisémites, a annoncé la police allemande mercredi.

L’aggression s’est déroulée mardi soir dans la capitale allemande où le rabbin âgé de 53 ans marchait avec sa fille dans la rue.

Victime d’une fracture d’un os de la pommette, il a été transporté à l’hôpital.

 

Syrie - les rebelles massacrent les chrétiens. (Dreuz.info)

La communauté chrétienne de Syrie est en danger de mort

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Michel GarrotéFides informe qu’un attentat terroriste a frappé le 28 août des fidèles chrétiens dans le quartier de Jaramana, un faubourg de Damas. A 14h00, une bombe placée à bord d’une automobile a explosé au passage d’une foule de fidèles – familles, personnes âgées, femmes et enfants – foule qui se dirigeait vers le cimetière pour procéder à la sépulture de deux jeunes.

Ces derniers étaient morts la veille, 27 août, victimes eux aussi d’un attentat à la bombe. Alors que la foule, une fois célébrées les obsèques, accompagnait les corps vers le lieu de la sépulture, un taxi a explosé causant entre 12 et 17 morts selon les sources, dont 5 enfants, ainsi que plus de 50 blessés graves. A Jaramana, vivent environ 600’000 personnes, presque toutes appartenant aux minorités religieuses.

Y vivent notamment 250’000 chrétiens (assyriens, arméniens, chaldéens, melkites, orthodoxes, etc.). Les chrétiens subissent une forte pression de la part de groupes armés djihadistes dans les faubourgs de Jaramana (dans le sud-ouest de Damas) et de Zamalka (dans le sud-est de la capitale). A Zamalka, une famille de chrétiens arméniens a été retrouvée massacrée, tous les membres de la famille ayant été horriblement décapités.

Michel Garroté

Rédacteur en chef

Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info

 

Le Sinaï, tombeau des migrants vers Israël (Le Point).

 

Des centaines de personnes tomberaient chaque mois aux mains de trafiquants. Si elles ne payent pas, elles meurent.

Payer ou mourir. Depuis bientôt quatre ans, un lucratif trafic d'êtres humains sévit dans la péninsule du Sinaï. Redoutablement organisé, ce sinistre "commerce" frappe le plus souvent les migrants venus du Soudan, d'Éthiopie ou d'Érythrée, qui tentent de rejoindre Israël par ce petit bout d'Égypte. Kidnappées au cours de leur périple ou vendues par des passeurs véreux, les victimes n'ont pas d'autre choix que de payer si elles veulent s'en sortir. "Reclus dans de véritables camps de torture, les "prisonniers" sont enchaînés les uns aux autres et entassés dans des salles où ils sont parfois soixante-dix", explique Meron Estefanos, cofondatrice du Mouvement érythréen pour la démocratie et les droits de l'homme (EMDHR), basé en Suède.

"Toutes les heures, ils sont torturés, poursuit-elle. Électrocutés, brûlés, violés ou forcés de se violer entre eux sous peine d'exécution immédiate, ils doivent téléphoner à leurs proches entre chaque session afin d'implorer de l'argent." Souvent, les proches des victimes sont contactés pendant les séances par les tortionnaires afin de leur infliger le maximum de pression. "Comme ce sont généralement des gens très pauvres, qui ne peuvent réunir les sommes exorbitantes qui leur sont demandées - jusqu'à 40 000 euros -, beaucoup meurent et leurs organes sont revendus", raconte Meron Estefanos.

Passeurs véreux

Pour cette activiste, qui a interviewé des dizaines de rescapés, la complicité de certaines instances ne fait aucun doute : "Ce trafic est trop bien organisé pour ne pas bénéficier du soutien d'autorités corrompues. Au Soudan par exemple, la plupart des gens que nous avons interviewés ont été kidnappés par des soldats qui étaient censés les conduire dans des camps de réfugiés. Au lieu de cela, ils les ont vendus aux Bédouins !" s'offusque-t-elle.

Des pratiques motivées par l'appât du gain : selon l'EMDHR, les "fournisseurs" toucheraient entre 200 et 2 000 euros par personne... Une source de revenus qui n'est pas près de tarir en raison du flux de migrants fuyant la misère et les conflits dans la Corne de l'Afrique. "Il y a encore une dizaine d'années, explique Meron Estefanos, les migrants venant d'Érythrée, d'Éthiopie ou du Soudan passaient par la Libye pour se rendre en Europe. Mais en 2006, l'Union européenne a durci sa politique migratoire, les contraignant à se tourner vers d'autres terres d'asile, en particulier Israël." Si, à l'époque, Israël était considéré comme une destination sûre et moins onéreuse pour les migrants - environ 400 euros de frais de passeur -, leur afflux dans le Sinaï a rapidement suscité la convoitise des trafiquants. "Lors des premiers enlèvements, les gens devaient payer 2 000 euros s'ils ne voulaient pas être torturés à mort. Aujourd'hui, il faut 40 000 euros pour ne pas mourir !" détaille la fondatrice d'EMDHR.

Impunité

Territoire égyptien, cette zone de 60 000 km2 est dans les faits contrôlée par des tribus bédouines ou des chefs religieux qui y font régner leur loi. Si le dénominateur commun de ces clans est de gagner de l'argent, leurs objectifs ne sont pas homogènes. Pour certains, ces fonds serviront à financer des groupes terroristes et islamistes ou en faveur de l'indépendance du Sinaï. "La péninsule, et en particulier le Nord, est depuis longtemps une plaque tournante pour toutes sortes de trafics", explique le père Mussie Zerai, président d'Habeshia, une organisation humanitaire dont l'objectif est de sensibiliser la communauté internationale sur les atteintes aux droits de l'homme. "Le fait qu'il s'agisse d'une zone difficile à contrôler a permis pendant des années à une quinzaine de clans de se partager la contrebande d'armes ou de drogues", continue-t-il. Lourdement armés et organisés pour survivre en milieu hostile, ces derniers possèdent l'avantage du terrain, ce qui rend toute intervention complexe.

Nouvelle dimension de ce juteux trafic, la traite d'êtres humains dans le Sinaï a longtemps été niée par le président Moubarak. La révolution égyptienne et le vide politique qui s'est ensuivi n'ont pas arrangé les choses : en détournant l'attention de leurs activités, le bouleversement politique a permis aux groupes armés de faire preuve de plus d'audace. "Aujourd'hui, ils attaquent même les camps de réfugiés et les postes de police pour se fournir en prisonniers et en armes !" s'emporte le père Zerai. Par ailleurs, la démilitarisation du territoire, prévue par les accords de Camp David de 1979 entre Israël et l'Égypte, limite les incursions de l'armée et permet aux trafiquants d'agir sans être trop inquiétés. "Le monde entier regarde ce qui se passe sans agir, car chacun se renvoie la balle pour ce problème, soupire Meron Estefanos. Cela laisse peu d'espoir aux personnes qui sont encore détenues à l'instant même où nous nous parlons..."

 

Le réveil macabre d’Arafat et la tragi-comique décision française, par Freddy Eytan

Jeudi 11 novembre 2004, 3 heures du matin, Yasser Arafat est décédé à l’hôpital des armées Percy à Clamart …

Quelques heures après, sur le tarmac de la base aérienne de Villacoubay, le cercueil d’Arafat est recouvert du drapeau quadricolore palestinien et porté par huit soldats français de l’armée de terre. Au son de la marche funèbre de Chopin, trois compagnies de la Garde républicaine en tenue d’apparat rendent les honneurs … Après la sonnerie aux morts retentit l’hymne national palestinien et la Marseillaise, joués par la fanfare militaire. Des drapeaux français et palestiniens en berne flottent au vent tandis qu’un avion Airbus de l’armée de l’air s’envole avec la dépouille vers les cieux escorté par un autre avion de la République française avec, à son bord, le chef de la diplomatie …

On convient que cet hommage sans précédent et orchestré par Jacques Chirac a dépassé l’entendement et toutes les directives protocolaires. Jamais dans les temps modernes, un pays occidental et laïc n’a réservé à un chef « guerrier », à savoir à un chef terroriste d’un Etat étranger virtuel, une telle admiration en grande pompe et aussi solennel …

En ce jour du 11 novembre … le jour de l’Armistice du premier conflit mondial de l’Histoire !

Et voilà que sept années plus tard, la France de François Hollande décide d’ouvrir le dossier médical qui pourtant a été profondément enterré et dont des médecins militaires français y étaient eux mêmes responsables et n’avaient trouvé aucune anomalie ou empoisonnement quelconque.

Ils savaient parfaitement qu’Arafat avait un certain âge, souffrait d’une cirrhose du foie très aigue et quelques années auparavant, son avion s’était écrasé dans le désert libyen. Qu’Arafat  l’avait échappé belle, mais que ce crash néanmoins valu deux hémorragies cérébrales, et enfin, ils étaient  conscients qu’Arafat fut atteint aussi de la maladie d’Alzheimer, sans oublier le Sida … 

 

 

 

 

 

Donc pourquoi ce camouflet à l’encontre des médecins ?

Pourquoi relancer une nouvelle tragi-comédie ?

Ne s’agit-il pas d’un acte purement politique pour ressusciter un dossier palestinien oublié et agonisant face à l’impuissance devant les turbulences islamiques, la crise syrienne, et l’approche de l’Assemblée générale de l’ONU afin d’assurer la reconnaissance de l’adhésion de la Palestine … et par la même occasion satisfaire les caprices de madame Souha Tawil-Arafat et justifier l’enquête d’al Jazzera …, la chaîne d’une principauté arabe « très chère à la France… »

Depuis plusieurs décennies, la France se distingue par un traitement singulier et étrange de la solution du problème palestinien.

Pour rafraichir nos mémoires, rappelons quelques jalons marquants, inspirés et dictés par le Quai d’Orsay :

  • La rencontre  Sauvagnargues-Arafat à Beyrouth.
  • L’ouverture d’un bureau de l’OLP à Paris.
  • La libération d’Abou Daoud, cerveau du massacre des 11 athlètes israéliens à Munich.
  • L’invitation d’Arafat à l’Elysée,  le jour même de la commémoration de la Shoah,
  • L’hospitalisation d’Arafat en France, et ouverture d’une enquête sur sa mort approuvant indirectement la thèse de « l’empoisonnement » par Israël …
  • Reconnaissance de la Palestine au siège de l’UNESCO à  Paris
  • Ouverture d’un réseau diplomatique et consulaire dans les territoires palestiniens et une « ambassade de France auprès de la Palestine » dans le quartier ouest de Jérusalem …
  • L’inquiétude du Quai d’Orsay et son attachement à la liberté de circulation vers et dans les territoires palestiniens approuvant et encourageant ainsi les initiatives des opérations de « Bienvenue en Palestine » par des anarchistes et antisionistes voulant semer la pagaille et attirer l’attention de l’opinion publique internationale.

Ont-ils programmé d’aller manifester à Damas ou  dans les rues de Paris contre les massacres quotidiens en Syrie ?

Dans son dernier discours devant les ambassadeurs de France, le Président François Hollande nous « recommande de reprendre le chemin de la négociation dés lors que les Palestiniens ont levé bon nombre de préalables ». Ah bon, lesquels ?

Il est temps que le président français nous révèle les concessions que les Palestiniens ont fait dernièrement …

N’ont-ils pas en effet lancé une campagne de dénigrement et de déligitimation de l’Etat juif dans toutes les tribunes internationales et particulièrement à Paris ?!

Source : Le Cape, par Freddy Eytan

Source : Europe Israël.

 

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