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Jérusalem : femmes contre femmes (Israel Infos).

par Gérard Fredj et David Koskas
Le célèbre marché Mahane Yehuda de Jérusalem est depuis peu un champ clos d'affrontements à fleurets à peine mouchetés entre femmes

La scène se déroule en semaine, un étal qui vend des légumes à des prix défiant toute concurrence est assiégé par un groupe de clients, majoritairement des femmes.

Dans la foule, plusieurs ménagères orthodoxes, la cinquantaine; elles ne sont pas là pour les tomates, mais pour une mission.
L'une d'entre elles approche une femme stationnée devant l'étalage, une femme qui porte un débardeur.

La femme haredi s'approche et touche le bras nu de sa voisine qui sursaute; elle l'apostrophe immédiatement en pointant son bras : "la prochaine fois, ne venez plus comme ça au marché, portez des manches".

Une seconde s'en prend alors à une femme, elle aussi bras nus, en pantalon court, et lui adresse la même remarque.

Ces groupes de femmes orthodoxes ont pris pour cible Mahane Yehouda depuis déjà un certain temps et ces "patrouilles" qui parcourent les allées du marché correspondent à une présence de plus en plus importante de la population haredi dans le quartier, depuis environ un an et demi.

Le quartier de Mahana Yehouda est en effet devenu avec le temps un quartier multi culturel, un lieu de passage ou de promenades pour les touristes, les jeunes –avec même une certaine forme d'animation nocturne qui se développe.

La bataille menée par les othodoxes pour le quartier a vraiment débuté il y a un an, durant l'été, au marché et dans les rues voisines : pour eux, la "renaissance" du quartier se fait "sans lois, sans règles, et cela choque les enfants".

Mais les commerçants ne l'entendent pas ainsi : "nous ne voulons pas de gardiens de la chasteté, c'est une ligne rouge pour nous", rapporte Shimon Darwish , le président de l'association des commerçants de Mahane Yehuda au site internet Ynet, considérant qu'il s'agit d'une "escalade dans l'attitude des haredim".

"Ils tentent de créer une atmosphère de peur et d'empêcher les gens de venir au marché" ajoute Darwish qui entend identifier ces groupes grâce aux caméras de sécurité qui équipent les allées de Mahane Yehouda.
Pour l'instant, il s'agit pour les commerçants "d'entamer un dialogue avec ces femmes et de leur faire entendre raison", précise-t-il.

Mais certains d'entre eux voient déjà un lien entre ces groupes de femmes et ceux qui opèrent dans les quartiers haredim et sont déterminés à préserver le caractère "ouvert et pluri culturel du marché".
Pour d'autres, il pourrait simplement s'agir d'une initiative individuelle d'un groupe de femmes.

Selon d'anciennes militantes de ces groupes orthodoxes, ce type d'initiative se développe traditionnellement dans les quartiers orthodoxes. "Leur action dans les quartiers orthodoxes leur apportent des soutiens et des dons; en milieu majoritairement laïc, elles ne gagneront rien, concluent-elles.

 

Les forces de l'ordre sur le qui-vive face à la menace islamiste (Le Criff).

Branle-bas de combat dans les rangs de la police. Face au spectre des manifestations islamistes brandies samedi à Paris en réaction au film Innocence of Muslims qui a embrasé le monde arabe, la Préfecture de police est en alerte maximale pour éviter coûte que coûte que ce rendez-vous à haut risque ne vire à la bataille rangée au cœur de la capitale. La tension, déjà vive, est encore montée d'un cran avec la parution d'une nouvelle série de caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo. Les locaux de l'hebdomadaire satirique, cible d'un attentat criminel en novembre dernier et dont le site vient d'être piraté, font l'objet d'une protection policière.

« La tension, déjà vive, est encore montée d'un cran avec la parution d'une nouvelle série de caricatures de Mahomet dans Charlie Hebdo »

Le parquet de Paris, qui a ouvert une enquête, a par ailleurs reçu d'une association une plainte pour «provocation à la haine». Face à la tempête qui s'annonce, la police cargue les voiles. «Plusieurs fois par jour, nous réunissons les responsables de l'ordre public, de la police d'agglomération, de la PJ et de la Direction du renseignement pour suivre quasiment heure par heure l'évolution de la situation, confie un fonctionnaire. Les derniers messages diffusés sur les réseaux sociaux, comme les informations opérationnelles, sont passés au crible. Aucun débordement ne sera toléré.»

 

Boucler certains accès stratégiques

 

Conformément au souhait de Jean-Marc Ayrault qui refuse de «laisser venir dans notre pays des conflits qui ne concernent pas la France», le préfet Bernard Boucault devait signer un arrêté visant à interdire le rassemblement «pacifique» officiellement prévu samedi après-midi devant la Grande Mosquée de Paris. Cette mesure, rarissime, n'avait jusqu'alors frappé que 5 des quelque 2259 manifestations revendicatives organisées dans Paris depuis le début de l'année. «Outre les prévisibles troubles à la paix publique qu'il pouvait générer, ce rassemblement n'était pas désiré par les responsables de la mosquée. Il serait en outre intervenu une semaine après les 152 interpellations et les six policiers blessés à la place de la Concorde», estime-t-on à la Préfecture de police. Si l'organisateur éconduit persiste à maintenir son rassemblement, il encourt une peine de six mois d'emprisonnement et 7500 euros d'amende.

 

Reste à faire face aux manifestations sauvages que les extrémistes religieux tentent de fomenter, via la blogosphère, Facebook et les SMS, dans les quartiers du Trocadéro et de la Concorde. Selon nos informations, une vingtaine d'unités mobiles, soit près de 1600 experts en maintien de l'ordre, pourraient venir en renfort pour appliquer un véritable «cataplasme bleu» sur les périmètres sensibles. Ce «comité d'accueil», aussi visible que musclé, permettrait de boucler certains accès stratégiques. Et de tendre des «souricières» pour cueillir les éventuels fauteurs de troubles avant qu'ils ne se regroupent.

 

Par ailleurs, des patrouilles guidées en temps réel par la vidéosurveillance seront déployées dans les gares et sur les axes ferroviaires d'Ile-de-France afin d'intercepter des groupes suspects avant leur venue à Paris. Enfin, alors qu'une circulaire du ministère de l'Intérieur a demandé un «renforcement de la protection des intérêts américains, mais aussi anglais sur le sol français», une série de caméras mobiles et discrètes ont été disséminées pour filmer les abords de sites sensibles.

 

«Évidemment, nous sommes aussi attentifs à ce qui peut déjà se dire et se préparer dans certains chaudrons sensibles de la banlieue parisienne», confie un responsable policier de haut rang. La journée de vendredi prochain, marquée traditionnellement par la grande prière, est d'ores et déjà considérée comme un test pour jauger le regain de colère des fondamentalistes. Qualifiant les caricatures de Charlie Hebdo d'initiative «extrêmement dangereuse et même irresponsable», le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a appelé la communauté musulmane «au calme et à la responsabilité».

 

Les prêches sont décortiqués

 

En marge d'une rencontre avec les représentants du Conseil français du culte musulman (CFCM), le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a de son côté refusé toute remise en cause du «droit d'expression, celui de l'information, de l'opinion, de la caricature dans le cadre évidemment de la loi», expliquant que «les tribunaux sont là pour être saisis par ceux qui se considéreraient comme attaqués, offensés».

 

Les risques de contestation sont également pris très au sérieux en province. À Lyon, Lille, Toulouse, la police prend le pouls des mosquées et des lieux de prière. Les prêches sont décortiqués. Dans les cités, la consigne est de faire remonter toute information sur un possible rassemblement. À Marseille, une demande de manifestation a été déposée et refusée par les autorités.

 

Les manifestants sont censés partir samedi de la porte d'Aix et traverser une partie de la ville jusque devant le consulat des États-Unis, à deux pas de la préfecture. Les CRS ont déjà reçu consigne de bloquer l'éventuel cortège dès le début du rassemblement. Comme à Paris, la direction régionale du renseignement remonte la piste d'appels à manifester. En scrutant encore et toujours les réseaux sociaux dans une atmosphère de veillée d'armes.

 

 

Réactions en Egypte (le Criff).

Des dirigeants musulmans égyptiens ont critiqué la publication de caricatures du prophète Mahomet dans l'hebdomadaire Charlie Hebdo, mercredi 19 septembre 2012, y voyant une nouvelle insulte à leur foi, et ont pressé le gouvernement français de prendre des mesures fermes.

« Nous rejetons et condamnons les caricatures françaises qui déshonorent le Prophète »

"Nous rejetons et condamnons les caricatures françaises qui déshonorent le Prophète et nous condamnons toute action qui diffame le sacré", a déclaré en Egypte un haut responsable du Parti liberté et justice (PJD) des Frères musulmans. Essam al Erian a estimé que la justice française devrait s'attaquer au problème avec autant de fermeté que dans le cas des photos seins nus de la duchesse de Cambridge, Kate Middleton, publiées dans Closer.

 

 

Film anti-islam : dans les quartiers, la colère gronde (Le Criff)

Après l'annonce d'une prochaine manifestation dans la capitale, Paris est sous surveillance, mais la banlieue, également, s'agite. «On craint que ça n'explose. Dans les quartiers sensibles, la Cocotte-Minute est en train de siffler » met en garde Fatima Hani, secrétaire nationale d'Aclefeu, cette association créée au lendemain des émeutes de Clichy-sous-Bois qui avaient embrasé la banlieue en 2005.

 

« Depuis plusieurs jours, les jeunes parcourent sans relâche les réseaux sociaux, échangent des messages avec la ferme intention de manifester samedi à Paris »

Chargée de transmettre la parole des habitants des cités auprès des institutions, cette structure s'inquiète de l'effervescence fiévreuse qui gagne les quartiers. «Ça tweete comme jamais», reconnaît son président, Mohammed Mechmache. Depuis plusieurs jours, les jeunes parcourent sans relâche les réseaux sociaux, échangent des messages avec la ferme intention de manifester samedi à Paris. «Il faut arrêter de se laisser attaquer», y est-il écrit. «Toute cette génération est en colère. Pour les trois quarts, ils ne sont pas pratiquants, mais ils se sentent insultés», souligne Fatima Hani.

 

La tension est déjà vive

 

Cette rage qui s'exprime sur la Toile et peut-être demain dans la rue est exclusivement liée à la diffusion du film islamophobe. «Les jeunes n'achètent pas Charlie Hebdo et les caricatures de Mahomet n'ont pas encore fait le tour des réseaux sociaux. Ils réagiront à cette publication plus tard dans la soirée», signale la responsable de l'association qui a soigneusement décrypté toutes ces réactions. «Depuis une semaine et jusqu'à vendredi dans le cadre d'un sondage sur ce film, j'ai entendu des jeunes de Clichy, de Montfermeil, de Bobigny», dit-elle. Au total, déjà trois cents habitants de 16 à 24 ans ont déjà répondu à un questionnaire.

 

À travers les réponses livrées, il apparaît clairement que ce film est, selon la responsable, «la goutte qui fait déborder le verre». «Entre les débats, tantôt sur la laïcité, tantôt sur la burqa, les musulmans se sentent sans cesse stigmatisés. Il y a une accumulation de ressentiments», explique-t-elle. Et ce brûlot de série Z parachève ce sentiment de persécution permanente. «Quand il a condamné la manifestation parisienne, Manuel Valls, ministre des Cultes, qui a dénoncé le film, aurait pu exprimer sa solidarité auprès des musulmans», signale Mohammed Mechmache. Une absence de soutien très mal vécue au pied des tours des cités où la tension est déjà vive.

 

Hasard du calendrier: on attendait, en effet, mercredi une audience concernant le non-lieu en faveur de deux policiers qui avaient poursuivi deux adolescents morts ensuite à Clichy. L'examen de l'affaire a finalement été reporté au 3 octobre, mais le climat reste, de toute évidence, tendu. Quant aux musulmans plus âgés, également interrogés par l'association, ils sont encore plus heurtés par ce film. «Parce qu'ils sont pratiquants. Du coup, ils n'apaisent pas les jeunes et certains iront aussi manifester», explique-t-on au sein de l'Aclefeu. Autour des mosquées, les visages sont d'ailleurs graves et fermés. C'est le cas à Paris, près de la mosquée Omar, cet établissement situé rue Jean-Pierre-Timbaud et réputé pour être un lieu de rassemblement de nombreux intégristes.

 

Les langues se délient

 

Pour couper court à toute discussion, certains sèchement affirment ne se soucier ni du film ni des caricatures de Mahomet. Ceux qui arborent la tenue salafiste sont d'ailleurs les plus prompts à garder le silence, sommant les autres d'en faire autant. Mais dans les cafés ou les librairies religieuses adjacents, les langues se délient: «On est tous en colère, et humiliés», certifie Imad tandis que Wissam, responsable de la librairie al-Bouraq, dénonce une politique à géométrie variable. «Au nom de la liberté d'expression, on accepte les caricatures de Mahomet dans la presse, mais on interdit la liberté d'expression des musulmans qui veulent réagir contre ces parutions. Il faut autoriser la manifestation», dit-il.

 

D'autres, au contraire, lancent un appel vers les jeunes pour qu'ils ne manifestent pas. C'est le cas d'Amel, qui enseigne l'éducation islamique dans des écoles privées. Cette enseignante de 51 ans n'hésite pas à répandre la théorie du complot orchestré par les États-Unis et Israël. «Le film est un piège que l'on tend au monde musulman pour le faire basculer dans la violence. Il ne faut pas manifester», insiste-t-elle en redoutant des débordements en cas de rassemblement à Paris

 

 

L'otage juif d'Al Qaïda (Israel Infos).

par Benjamin Fredj
L'otage américain Warren Weinstein exhorte Benjamin Netanyahu à intervenir pour faire satisfaire les conditions fixées par Al Qaida pour sa libération.

Dans une vidéo rendue publique par Al Qaida il y a deux jours, Weinstein, enlevé au Pakistan il y a plus d'un an, affirme qu'Obama n'a pas fait preuve du moindre intérêt pour son cas, et lance un appel à Benjamin Netanyahu " d'un juif à un autre ".

Warren Weinstein, un bénévole humanitaire juifs américain détenu par al-Qaida au Pakistan depuis plus d'un an a interpelé le premier ministre Benjamin Netanyahu afin qu'il réponde aux exigences de ses geôliers et obtienne ainsi sa libération.

Rappelant le désintérêt montré par Obama pour sa situation, il déclare dans une vidéo publiée par al-Qaida : "en tant que juif, j'attire votre attention, Monsieur le premier ministre Netanyahu, chef de l'Etat juif d'Israël, d'un juif à un autre, et vous demande d'intervenir en ma faveur, de travailler avec les mujahideen et d'accepter leurs conditions afin que je sois libéré et puisse retourner auprès de ma famille; je veux revoir ma femme, mes enfants, et mes petits enfants ".

Weinstein, kidnappé an Aout 2011 dans la ville de Lahore situé au centre du Pakistan, suppliait Obama dans une première bande vidéo diffusée en mai 2011, lui rappelant que sa vie était entre ses mains.

Le leader d'al-Qaida, Ayman al-Zawahri, revendiquait en Décembre l'enlèvement de Weinstein et réclamait la libération de tous les individus incarcérés aux Etats Unis pour avoir des liens avec son groupe islamiste ou avec les Talibans.

Il a également exigé la fin des frappes aériennes américaines et de leurs alliés contre les groupes islamistes pakistanais, afghans, yéménites, somaliens, et ceux de la bande de Gaza.

 

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