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Egypte: le guide des Frères musulmans appelle au jihad contre Israël (Europe Israël).

Le guide suprême des Frères musulmans, dont est issu le président égyptien Mohamed Morsi, a appelé jeudi au “jihad” pour la libération de Jérusalem, qui ne se fera “que par la force”.

Voilà qui est clair ! Les islamistes veulent la guerre pour récupérer Jérusalem qui n’a jamais été musulmane et qui n’est même pas un lieu de saint de l’Islam… Ces islamistes sont prêts à tout ! Demain ils réclameront Rome et Paris…

Rappelons que Jérusalem n’est pas mentionnée une seule fois dans le Coran ni dans les Hadiths. Que les islamistes ont décidé d’en faire un lieu saint de l’Islam après la défaite de la Guerre des Six Jours en 1967 mais qu’avant cette date ils ignoraient purement et simplement Jérusalem qui ne les intéressait pas. Mais l’Islam est spécialiste du mensonge et de la manipulation, c’est même conseillé afin de servir l’Islam… L’Islam et les islamistes tenteront tout pour détruire Israël et l’Occident n’en doutons pas. Israël se bat et résistera mais qu’en sera-t-il de l’Occident ?

Chaque français ou européen qui soutient les mouvements palestiniens participe au Jihad islamiste en vu de détruire l’Occident. Il est temps que les français ouvrent les yeux.

 

 ”Al-Qods (Jérusalem) est islamique (…) et personne n’est habilité à faire des concessions” sur la ville, où est située la mosquée Al-Aqsa, au centre du conflit israélo-palestinien, déclare cheikh Mohamed Badie dans son message hebdomadaire à ses partisans.

Le jihad pour recouvrer Al-Qods est un devoir pour tous les musulmans“, a-t-il ajouté, soulignant que la libération de la ville “ne se fera pas dans les coulisses des Nations unies ou par des négociations“.

Les sionistes ne comprennent que la force et ne renonceront à leurs transgressions (…) que par le jihad sacré et des sacrifices onéreux“, a-t-il menacé, avant d’ajouter : “Et ils n’en seront convaincus que lorsque nous aurons brandi l’étendard du jihad et avancé sur le champ de la guerre sainte“.

Israël a vu avec inquiétude l’influente confrérie des Frères musulmans accéder au pouvoir après le soulèvement qui a chassé le président Hosni Moubarak en 2011, craignant pour le traité paix passé avec l’Egypte en 1979.

Mohamed Morsi s’est engagé à respecter les traités internationaux signés par son pays. Mais les Frères musulmans ont par le passé déclaré qu’ils pourraient revoir les accords de paix avec l’Etat hébreu, sans toutefois les rejeter dans leur principe.

Vidéo : « Le califat est notre but ultime » affirme Mohamed Badie, guide des Frères Musulmans

 

 

R. Prasquier sur France-Inter : je crois qu'on n'a pas pris la mesure du mal (le CRIF).

Le président du CRIF Richard Prasquier était l’invité, lundi 8 octobre 2012, de Pascale Clark dans l’émission « L’invité de 7H50 », sur France-Inter. Vous pouvez écouter ou réécouter cette émission ci-dessous.

 

 

« je ne connais pas une autre idéologie qui permette à quelqu'un de tuer un enfant à bout portant, à bout touchant tout simplement parce qu'il est né juif »

Richard Prasquier a estimé que la société n'avait pas "pris la mesure du mal". "Il faut prendre la mesure de ce type d'idéologie, je dis que l'islamisme radical c'est du nazisme", a-t-il déclaré. Le président du CRIF avait déjà établi un parallèle entre l'islam radical et le nazisme dimanche, à l'issue d'une réunion à l'Élysée avec le président François Hollande.

 

"L'islam radical compare ses ennemis à des animaux : les juifs sont des fils de singe, les chrétiens sont des fils de porcs, tous sont des fils de chiens. De la même façon que les nazis comparaient les juifs à des bactéries, à des rats, à des animaux...", a-t-il expliqué. "Deuxième point : je ne connais pas une autre idéologie qui permette à quelqu'un de tuer un enfant à bout portant, à bout touchant tout simplement parce qu'il est né juif", a-t-il ajouté. Selon lui, "être fier" d'exterminer ses ennemis, "que ce soit des enfants ou des adultes, ça c'est caractéristique des nazis". 

 

 

L'attaque contre Malala Yousafzai : une tragédie nationale au Pakistan (le CRIF)

La nation entière prie pour Malala », écrit « The New International ». Le Pakistan est « en état de choc » après la tentative d'assassinat - revendiquée par le Mouvement des talibans du Pakistan (TTP) -de cette jeune fille de quatorze ans, dont le « crime », aux yeux de cette mouvance proche d'Al-Qaida, est de vouloir étudier. Mala Yousafzai « est aujourd'hui dans un état critique et le Pakistan aussi. Nous sommes contaminés par le cancer de l'extrémisme. Si rien n'est fait, nous glisserons vers la bestialité dont témoigne cette dernière atrocité », poursuit le quotidien en anglais.

« selon les agences de presse, des chirurgiens ont extrait une balle de l'épaule de la petite fille »

Sur son blog publié par l'autre quotidien « Dawn », Nadeem Paracha, connu pour ses critiques contre le fondamentalisme en politique, ironise sur ces « chers révolutionnaires, ces héros, dont les vies sont exposées aux drones américains, aux avions de combat, à l'armée, à la police, qui aujourd'hui s'en prennent à notre pire ennemi : une jeune fille instruite ». « Un monstre fait ce qu'un monstre doit faire et une simple condamnation est une farce », poursuit l'écrivain-journaliste en dénonçant, tout au long de son texte, la lâcheté de l'action des talibans et en rendant hommage, comme nombre de Pakistanais, au courage de Malala.

 

Hier, selon les agences de presse, des chirurgiens ont extrait une balle de l'épaule de la petite fille qui avait été attaquée mardi à Mingora, une ville de la vallée de Swat, reprise en 2009 par l'armée pakistanaise aux talibans. Mais, Malala, qui s'est fait connaître en 2009 en dénonçant sur un blog de la BBC les violences des talibans, restait dans un état critique.

 

 

Sécurité des synagogues : la grogne de la police municipale (le CRIF).

 

Le ton monte chez les policiers municipaux engagés dans la protection des synagogues, après le démantèlement samedi 6 octobre 2012 d'une «cellule» islamiste à Cannes, Torcy, Strasbourg et Paris.

« Il est intolérable de nous exposer comme des cibles vivantes »

«À la différence de nos collègues nationaux qui ont des gilets pare-balles et qui sont même parfois équipés de pistolets-mitrailleurs, nous sommes sous-équipés et nullement formés pour ce genre de missions à risques», s'exclame Frédéric Foncel, secrétaire général national du Syndicat national des policiers municipaux (SNPM).

 

Le SNPM a donc demandé au ministère de l'Intérieur «d'interdire l'engagement de policiers municipaux dans la surveillance des lieux de culte».

 

«Cibles vivantes»

 

«À Nantes et Toulouse, par exemple, les effectifs municipaux ne disposent que de bombes lacrymogènes et de simples bâtons de défense face à la menace terroriste, observe Frédéric Foncel. Il est intolérable de nous exposer comme des cibles vivantes. On ne fait appel à nous qu'en cas de coup dur, comme lors des émeutes par exemple, sans que l'on nous propose enfin un vrai statut.»

 

«Les gouvernements successifs ont régulièrement manifesté leur volonté de considérer la police municipale comme une sous-police, martèle le Syndicat des policiers municipaux. Il n'y a donc aucune raison aujourd'hui de laisser engager des policiers municipaux dans des missions qui relèvent de la compétence exclusive de l'État.»

 

Troisième force de sécurité publique en France, les policiers municipaux ont plus que jamais soif de reconnaissance alors qu'ils sont de plus en plus sollicités.

 

En dix ans, le nombre de ces agents a explosé, passant de 4000 en 1984 à près de 20.000 femmes et hommes affectés dans 3500 communes aujourd'hui. Ces effectifs en tenue, déployés pour plus de 90% d'entre eux sur le terrain, représentent 11% de la sécurité publique. Seuls 40% d'entre eux sont armés.

 

 

L'inquiétante affaire du drone espion, par Jacques Benillouche (Guysen).


 

L’affaire du drone d’origine inconnu, qui a été abattu par l’aviation israélienne le 6 octobre au-dessus du Néguev, est prise très au sérieux par les autorités militaires. Il s’agit d’une faille sévère dans les services israéliens de détection aérienne puisque le drone a pu voler en Méditerranée, s’introduire par Gaza et pénétrer dans l’espace aérien israélien après avoir eu le temps d’observer et certainement de filmer pendant trente minutes. Quatre F-16 ont été à sa rencontre pour l’abattre au-dessus de la forêt de Yatir. On imagine le risque encouru par Israël si le drone disposait d'une charge explosive ou chimique.  


 

 Victoire du Hezbollah

F16 israélien

 
            Les israéliens sont convaincus que cette opération a été coordonnée par le Hezbollah, avec l’aide technique des Gardiens de la révolution iraniens qui occupent une partie du Liban-Sud. Tsahal se défend en arguant qu’il n’y a eu pour lui aucune surprise, que le drone avait été détecté dès le départ et que la décision de le détruire avait été retardée pour éviter des dommages collatéraux civils dans les régions qu’il survolait. 
          En effet, selon la porte-parole de l’armée israélienne, Avital Leibovich : «ce drone a été repéré au-dessus de la Méditerranée dans un secteur proche de la bande de Gaza, avant son entrée dans l’espace

aérien   israélien, et des appareils de l’armée de l’air l’ont ensuite escorté. Le drone a été suivi depuis le début jusqu’à ce que la décision soit prise de l’intercepter et de l’abattre pour des raisons opérationnelles et de sécurité au-dessus de la forêt de Yatir, dans le nord du  désert du Néguev, un secteur inhabité»
. Cependant le drone a eu le temps de survoler la base aérienne de Nevatim au Néguev.
 
        Si le Hamas était impliqué dans l’opération, il aurait alors passé outre aux instructions de l’Égypte et du Qatar qui lui ont conseillé de ne pas s’engager dans des provocations contre Israël. Gaza s’attend à des représailles puisqu’il a mobilisé des forces de réserve, a placé des barrages routiers pour limiter le trafic civil et permettre aux forces militaires de se déployer librement en cas de conflit.
 
                    Test de la défense aérienne
Radar Xband de la station américaine au Néguev
 
            La détection à temps d’un objet volant non identifié fera donc l’objet d’études et d’analyses de la part des services israéliens qui semblent avoir été surpris par l’audace du Hezbollah. Et pourtant, dès le 20 juillet, Hassan Nasrallah avait mis en garde les israéliens sur une probable opération exceptionnelle : «Le mouvement de résistance va surprendre Tel-Aviv dans une guerre future.» Il a tenu son engagement en filmant les bases israéliennes du sud et la station radar américaine du Néguev. 
 
            Il n’était pas chargé d’une mission de destruction. Il devait éprouver la fiabilité des procédures israéliennes de contrôle aérien avec pour mission de détecter les signatures électroniques de la défense aérienne du réacteur nucléaire de Dimona et celles de la station américaine qui a pour fonction de protéger Israël contre une attaque de missiles balistiques iraniens. Le drone aurait donc réussi à percer les lacunes du système du bouclier.
 
Général Amir Ali Hajizadeh

 
            On s’explique à présent la déclaration du général iranien Amir Ali Hajizadeh qui avait prévenu les occidentaux le 23 septembre qu’il était prêt à lancer des opérations préventives contre Israël. Le survol du territoire sud par le drone a été un test réussi de réactivité des services israéliens de défense aérienne et la preuve qu’une telle attaque pouvait être envisagée. Il semble que Tsahal ait attendu les ordres du ministre de la défense pour abattre le drone mais Ehud Barak a tardé à les délivrer car il voulait neutraliser le drone par des moyens électroniques afin de le récupérer intact pour analyser ses performances et connaitre son origine. A présent, il ne reste que des débris épars à analyser pour les faire parler.
 
            Il est évident que le Hezbollah ou les iraniens ont fait preuve d’une audace dans ce qui pourrait être considéré comme une provocation militaire pour ne pas dire un acte de guerre nécessitant des représailles à la hauteur de l’enjeu. Les américains se sentent eux-aussi très concernés par cette intrusion qui a mis à mal leurs procédures de détection dans leur base radar. Ce vol de drone peut être considéré comme une réussite indéniable des iraniens qui masque leur échec dans la fuite du caméraman officiel du régime.  


 

 

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