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l'islam de France n'existe pas - Guy Millière -Europe Israël).

Il paraîtrait que Jean-François Copé a tenu des propos monstrueux en évoquant des enfants qu’on empêche de manger en temps de ramadan.

Il a évoqué l’islam, et il a parlé de voyous et de violence. Comment a-t-il pu ?

Il devrait savoir que l’islam est toujours non violent et qu’il n’y a pas de voyous musulmans.

 

Dans les zones de non-droit en France, ce sont donc des bandes composées de non-musulmans qui agissent.

Quand des violences sont commises par des musulmans, elles sont commises par des gens, dit la presse, « qui ne sont pas musulmans ».

Quand des non-musulmans se voient empêcher de manger en temps de ramadan, ce ne sont pas non plus des musulmans qui agissent contre eux, dit la même presse.

On me dira qu’il ne faut pas faire d’« amalgame » et qu’il ne faut pas « stigmatiser ». Ces propos reviennent tout particulièrement lorsque des actes barbares sont commis par des gens qui, donc, ne sont pas musulmans, sauf lorsqu’ils le sont et n’ont donc rien compris à l’islam – ainsi Mohammed Merah, ou, plus récemment, ce groupe djihadiste démantelé par la police conduit par un certain Jé­rémie Louis-Sidney.

Ne stigmatisons donc pas ! Disons que tous les musulmans ne sont pas islamistes, que tous les musulmans ne sont pas violents et que tous les musulmans ne sont pas des voyous. C’est incontestable.

Mais disons aussi qu’il semble exister une forte proportion de musulmans dans les prisons et dans les zones de non-droit.

Disons que, même si « cela n’a rien à voir avec l’islam », les pressions « communautaristes » s’accentuent en France, et ail­leurs en Europe, depuis des années et qu’en période de ramadan, manger dans un quartier à prédominance musulmane est une activité réprouvée, potentiellement dangereuse.

Même hors des périodes de ra­madan, il est fortement déconseillé aux jeunes femmes de sortir après la tombée de la nuit, sauf si elles portent le voile.

Disons que la recrudescence d’antisémitisme qui se rencontre dans ce pays n’émane pas des communautés musulmanes, sauf lorsqu’elle en émane. Disons que les prisons sont des lieux de conversion de délinquants non-musulmans à une religion qui n’est pas l’islam, sauf lorsqu’il s’agit de l’islam.

Disons que les convertis rejoignent souvent une branche radicale de l’islam. Et répétons que, si tous les musulmans ne sont pas islamistes, tous les islamistes sont musulmans. Ajoutons que les cloisons entre islam et islam radical sont poreuses et les passerelles nombreuses.

Quand bien même il ne faut pas faire d’amalgame et pas stigmatiser, il y en a assez de ce discours censé susciter l’aveuglement et l’intimidation.

Et il n’y a rien de plus grotesque que les affirmations selon lesquelles l’islam n’a rien à voir avec l’islam radical et qu’il existe un islam de France distinct de l’islam qui se pratique ailleurs.

Oui, l’islam a à voir avec l’islam radical. Et c’est seulement en le reconnaissant qu’il sera possible de combattre l’islam radical.

Oui, il y a un grave problème inhérent à l’islam, et ce problème est au cœur du sous-développement économique, politique, culturel et moral qui marque les sociétés musulmanes.

Et, non, il n’y a pas d’islam de France. L’islam ne connaît pas les frontières et ne fait pas de différence entre la France, la Belgique, l’Allemagne ou la Tunisie.

Il existe des écoles juridiques différentes dans l’islam, une différence entre chiites et sunnites, des courants mystiques, des écoles de pensée, mais il existe fondamentalement l’islam, la oumma, la communauté des croyants.

Et il existe dans l’islam des lignes de démarcation porteuses d’inégalités : L’une passe entre hommes et femmes, une autre passe entre croyants et mécréants (et chrétiens et juifs sont des mécréants selon l’islam), des gens inférieurs qui devraient rester à leur place inférieure.

À force de ne pas dire la vérité sur l’islam, à force d’énoncer des mensonges ineptes, à force d’inciter à la censure, on obtient un double effet : D’une part, une peur globale des non-musulmans vis-à-vis de tous les musulmans (l’amalgame qu’on prétend éviter !) ; d’autre part, une propagation continue de l’islam radical, que rien ne freine.

Des dizaines de Mohamed Me­rah existent. Des bandes analogues à celle récemment démantelée existent aussi.

L’aveuglement n’empêche pas la réalité d’être ce qu’elle est. Au contraire.

Source : Les 4 vérités, par Guy Millières

 

Quels liens entre les « présidentielles américaines » et les prochaines élections en Israël ?

Plusieurs éléments et considérations sécuritaires et diplomatiques lient de près – du point de vue israélien – les deux importantes consultations électorales que sont le scrutin présidentiel américain du 6 novembre prochain et le scrutin législatif du 22 janvier 2013 en Israël …

On se souvient que début mai dernier, le Premier ministre, Binyamin Nétanyaou, avait déjà engagé une procédure de dissolution de la 18ième Knesset en vue d’élections anticipées prévues juste avant la rentrée d’automne 2012 … Or, c’est un accord de dernière minute conclu avec le nouveau chef du parti Kadima, Chaoul Mofaz, pour la formation d’un gouvernement d’union nationale (disposant d’une énorme majorité de 94 sièges au parlement sur 120) qui stoppa net ce processus d’élections. Tout simplement, parce qu’en faisant ainsi entrer Kadima dans la coalition au pouvoir, Nétanyaou parvenait à ses mêmes fins sans recourir à un couteux et pesant scrutin électoral : A savoir élargir et solidifier les assises de son gouvernement, tout en réaffirmant par là-même aux yeux de toute la communauté internationale – et particulièrement ceux des Etats-Unis et de l’Europe – le « consensus israélien » autour de sa politique. Et ce, en ce qui concerne deux dossiers délicats touchant à la sécurité du pays en vue d’ « importantes décisions » à prendre … surtout en cas de réélection (estimée alors assez probable à Jérusalem) du président Barack Obama : Le sulfureux dossier du nucléaire iranien, et celui de la totale impasse diplomatique perdurant avec une Autorité palestinienne (AP) de plus en plus extrémiste et irrédentiste.

De fait, bien que plus de cinq mois soient passés, ce sont les mêmes deux facteurs de politique étrangère régionale qui ont, à nouveau, poussé le Premier ministre à décider, en ce début octobre, d’élections nationales anticipées pour la fin janvier prochain … même si à présent, la réélection d’Obama à la présidence ne semble plus si évidente qu’en mai.

Après avoir, en quelque sorte, donné à l’ONU, voilà trois semaines, un « ultimatum technologique » – à la fois aux mollahs iraniens et au monde – pour que le programme nucléaire de Téhéran soit stoppé à temps, Nétanyaou souhaite en effet plus que jamais avoir les « coudées franches », même si c’est en fin de compte Romney qui est élu, afin de pouvoir prendre au moment opportun les graves décisions (éventuellement militaires) qui s’imposeront … Surtout dans le cas où les sanctions internationales continueraient de s’avérer inopérantes contre cette folle course de l’Iran à la bombe atomique et si, de surcroît, les Etats-Unis devaient confirmer leur inertie en la matière qui dure depuis des années !

Même souci en ce qui concerne les Palestiniens : A la veille d’une nouvelle démarche unilatérale de l’AP qui sera vraisemblablement engagée à l’ONU dès après les élections américaines en vue de faire reconnaître par le monde son pseudo « Etat de Palestine », et alors que les Renseignements israéliens confirment qu’une Intifada économique sur le point d’éclater pourrait déstabiliser les grandes villes arabes de Judée-Samarie en favorisant le Hamas et toutes ses cellules dormantes prêtes à opérer contre Israël, Nétanyaou préfère « avoir du champ » et davantage de marge de manœuvre décisionnelle – quel que soit le prochain hôte de la Maison Blanche – afin de contrer ces deux très sérieuses menaces d’ordre sécuritaire et diplomatique.

D’autres raisons supplémentaires d’avancer les élections en janvier.

En perspective de ce prochain scrutin présidentiel américain, d’autres facteurs menaçants liés à la situation sécuritaire régionale ont aussi poussé Nétanyaou à anticiper les élections : L’aggravation de la situation en Syrie (assortie de tous les scénarios-catastrophes anti-israéliens envisageables sur la fin d’Assad) et la montée des tensions dans tout le monde arabe (particulièrement perceptible lors des manifestations et émeutes de septembre dernier contre le film sur Mahomet et lors de l’attaque du consulat américain de Benghazi) dressent un tableau sécuritaire global peu rassurant et montrent que les risques d’embrasement régional se sont accrus depuis mai dernier. Surtout sur fond de cet explosif dossier iranien bien loin d’être résolu !

A cela, on peut ajouter deux autres raisons plus « domestiques » qui ont certainement poussé le Premier ministre à avancer les élections : La nécessité de « prendre de court » la détérioration accélérée de la situation économique mondiale et ses répercussions qui se font déjà ressentir en Israël au niveau de la production industrielle, des exportations et du chômage, avec tous les risques de voir se mobiliser à nouveau partout dans le pays un vaste mouvement de protestations sociales ; mais aussi pouvoir « couper court », par ce scrutin anticipé, aux velléités de formation d’un « grand parti du centre » qui regrouperait Kadima (avec Olmert à sa tête ?!) et les fans de Yaïr Lapid …

Il n’empêche : Ce sont surtout ses diverses préoccupations sécuritaires et de politique étrangère qui ont à nouveau poussé le Premier ministre à avancer la date de ces législatives initialement prévues pour l’automne 2013.

 Comme si – et c’est sans doute là l’une des nouvelles donnes capitales de la période ouverte par la difficile présidence d’Obama – Israël ne pouvait être sûr désormais de compter sérieusement sur son traditionnel « ami américain » !
Et ce, même si c’était – bonne surprise pour Jérusalem – Mitt Romney qui l’emportait sur le fil, le 6 novembre prochain …

Source : Hamodia, par Richard Darmon  - pris sur Europe Israël

 

Israël : des comprimés de fabrication israélienne pour purifier l'eau des Syriens (Israël Flash).

aquatabs

On pourra toujours crier Mort au Juifs, dans les rues de Paris, et dans toutes celles des pays arabo-musulmans, nous aurions aimé que ces pays aient investi dans la recherche plutôt que dans la haine d’Israël, ainsi nous pourrions sauver des milliers de vies en plus !

Dans notre série Israël sauve le monde

Par Aschkel lu sur israel21c

Le gouvernement israélien a donné son accord à la Sté Chemicals pour la vente de tablettes Aquatabs à l’Unicef à destination de  la Syrie en dépit d’une interdiction de commercer avec un pays ennemi.

Invoquant des raisons humanitaires urgentes, le ministère des finances a récemment donné son accord à une filiale de Israël Chemicals basée en Iralande pour vendre des comprimés qui purifie l’eau à destination de la Syrie déchirée par la guerre.

La disponibilité d’eau potable étant au plus bas du fait de la crise, l’UNICEF a travaillé à la réhabilitation  des sources d’eau du pays.

L’Unicef s’est tourné vers Medentech Israel Chemicals basé en Irlande pour acheter des lots de tablettes Aquatabs qui purifie l’eau, mais la loi israélienne défend de commercer avec un pays ennemi .

Youval Steinitz, ministre des finances a cependant donné son autorisation, en précisant toutefois que ces tablettes ne devaient pas être directement  vendues à la Syrie mais plutôt à l’ONU.

Il est à préciser que les tablettes Aquatabs sont les meilleurs comprimés au monde pour purifier l’eau.

L’Humanitaire l’emporte sur le politique.

 

Il est a noter que ce n’est pas la première fois qu’Israël fournit son aide indirectement. Israël est d’ailleurs connu pour apporter son aide (Haïti, Turquie, Japon, Iran même etc…)

Ces pastilles de chlore sont des comprimés effervescents qui tuent les micro-organismes et préviennent du choléra, de la typhoïde, de la dysenterie et autres maladies d’origine hydrique.

Ces pastilles sont considérées comme la meilleure alternative à l’eau bouillante pour décontaminer l’eau.

Des centaines de milliers d’enfants, selon l’Unicef, sont en danger de malnutrition et font face à un manque d’hygiène dangereux.

 

Si des centaines de Syriens ont fui vers les pays voisins, il reste selon l’ONU, des millions d’autres vivent encore à l’intérieur du pays, dans leur maison et un manque humanitaire cruel se fait sentir

Par Aschkel pour israel-flash



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/10/israel-des-comprimes-de-fabrication-israelienne-pour-purifier-leau-des-syriens/#ixzz29gDyco6M

 

Ligue de Défense Juive : action BUYcott-Israël chez Carrefour. (Israël Flash).

Une fois encore la LDJ se fait remarquer pour son bon gout.
Venez découvrir la dernière vidéo de nos petits jeunes, déterminés à garder la tête haute et à défendre le droit d’Israël à participer au concert des nations.

Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/10/video-ldj-action-buycott-israel-chez-carrefour/#ixzz29gBrAbtU

N'hésitez pas à cliquer sur le lien ci-dessous pour visionner ce reportage parlant, effectué par des jeunes intelligents et qui n'ont pas froid aux yeux :

http://youtu.be/xDM43f3tyLo

Copyright © Israël Flash - Reproduction autorisée avec la mention et un lien vers la source



 

 

Certains islamistes sont parfaitement invisibles (le CRIF).

Henri Masse (photo), haut responsable des prisons, tente de repérer les détenus les plus radicalisés dans les différents établissements pénitentiaires.

« Chaque établissement pénitentiaire compte un agent chargé du renseignement, auprès duquel remontent les observations effectuées en détention »

L’islamisme en prison, est-ce un fantasme ou une réalité?

 

Ce n’est pas un fantasme, mais un phénomène marginal sur lequel nous sommes vigilants. Le prosélytisme islamique concerne une poignée d’individus. Il est loin d’être un phénomène de masse.

 

Avez-vous les moyens de repérer les détenus les plus radicaux?

 

Nous faisons tout pour cela. Chaque établissement pénitentiaire compte un agent chargé du renseignement, auprès duquel remontent les observations effectuées en détention. Ces observations sont centralisées au siège de l’administration pénitentiaire, elle-même en liaison régulière avec les services de renseignement comme la DCRI ou la gendarmerie. Si j’en ai besoin, notre état-major de sécurité a la possibilité, dans les cinq minutes qui viennent, de savoir précisément où se trouve tel ou tel.

 

Les surveillants ont-ils vraiment le temps de faire du repérage?

 

Depuis quelques années, ils reçoivent une formation à cette fin. Leurs surveillances s’exercent essentiellement dans les cours de promenade, où les imams autoproclamés peuvent tenter d’exercer leur influence. Dans les établissements, chaque étage est doté d’un cahier électronique de liaison qui permet aux surveillants d’échanger leurs observations. Leur vigilance doit être permanente, car, parmi les islamistes radicalisés, certains sont parfaitement invisibles.

 

Y a-t-il beaucoup d’imams autoproclamés?

 

Il y en a quand les prisons ne sont pas dotées d’un aumônier musulman dûment recruté. Or, c’est un fait, les prisons françaises manquent d’imams. La ministre de la Justice a d’ailleurs annoncé le recrutement, à partir du 1er janvier prochain, d’une quinzaine de postes supplémentaires. Il y en aura quinze autres en 2014.

 

Lorsqu’un détenu se radicalise, comment l’administration pénitentiaire réagit-elle?

 

Elle procède, le plus rapidement possible, à son transfert dans un autre établissement. L’idée, en répartissant ces détenus, c’est d’éviter la formation de noyaux radicalisés.

 

Que fait l’administration pénitentiaire des islamistes radicaux à leur sortie de prison?

 

Ils ne sont pas lâchés sans surveillance dans la nature. Les services de renseignement sont alertés de manière systématique. Et les conseillers d’insertion et de probation, chargés d’organiser les sorties des détenus, ont vocation à jouer un rôle accru dans ce travail de repérage et de signalement. 

 

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