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Qatar : l'ami de la France... et des islamistes (le CRIF).

Actuellement en visite à Gaza, l'émir Hamad Ben Khalifa al-Thani soutient partout les Frères musulmans et les salafistes armés.

 

Le Qatar est l'ami de la France. Son armée est largement équipée de matériel français. Nouveau propriétaire du PSG, il a recruté à prix d'or pour le club de football parisien une brassée de stars. Présent au capital de Total, Lagardère, Veolia, Vinci, il est aussi actif à Paris dans la télévision, le tourisme de luxe, l'immobilier de prestige et le marché de l'art.

« L’émir a accepté d’augmenter l’investissement du Qatar de 254 à 400 millions de dollars »

Son souverain, l'émir Hamad Ben Khalifa al-Thani a aidé Nicolas Sarkozy à libérer les infirmières bulgares prisonnières de Kadhafi avant d'être la caution arabe de l'intervention de l'OTAN en Libye. Nouveau membre associé de la Francophonie, l'émirat vient de s'engager à apporter au moins 50 millions d'euros à un fonds destiné à investir "dans les banlieues et le reste du territoire français".

 

Solidarité avec les islamistes...

 

Le Qatar est aussi l'ami des islamistes. Pour le régime de Doha, les Frères musulmans et les salafistes, parfois liés à Al-Qaida, propagent une interprétation de l'islam parfaitement compatible avec le wahhabisme de l'émirat. Au nom de cette solidarité, le Qatar et sa chaîne satellitaire globale Al Jazeera ont activement soutenu les révoltes de Tunis, puis du Caire et de Tripoli. Mais ignoré ou combattu les revendications démocratiques dans les monarchies amies de Bahreïn et du Koweït dont la contagion, dans le Golfe, pouvait être menaçante.

 

Au Proche-Orient, il préfère à l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas le "gouvernement" islamiste du Hamas au pouvoir à Gaza, où l'émir a été reçu ce mardi en grande pompe. Premier chef d'État reçu à Gaza depuis la prise de pouvoir par le Hamas, il apportait un cadeau de poids : 400 millions de dollars destinés à la reconstruction et au développement.

 

...et les djihadistes

 

Dans le nord du Mali, ce sont des groupes armés bénéficiant de l'aide qatarie qui imposent la férule de la charia. Avec l'Arabie saoudite, le Qatar est aujourd'hui l'un des principaux soutiens de l'opposition syrienne. Mais cette aide - notamment en armes - inquiète désormais Washington. Alertée par des rapports récents de ses services secrets, la Maison-Blanche déplore que la majeure partie des armes livrées par le Qatar parvienne aux opposants islamistes les plus radicaux.

 

"Précisément ceux qui ne devraient pas les recevoir", estime une source officielle américaine citée par le "New York Times". Question : le gouvernement français, qui entend combattre l'islamisme radical sur son territoire, peut-il avoir pour partenaire privilégié, doté d'un statut fiscal avantageux, une monarchie absolue au modernisme tapageur, mais trompeur, qui soutient partout les Frères musulmans et les salafistes armés ?

 

400 millions de dollars pour le Hamas…

 

Ismaïl Haniyeh, le chef du gouvernement du Hamas, a annoncé mardi 23 octobre 2012 que l’émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, va apporter 400 millions de dollars d’investissements pour la reconstruction de la bande de Gaza. « L’émir a accepté d’augmenter l’investissement du Qatar de 254 à 400 millions de dollars », a déclaré M. Haniyeh lors d’une cérémonie à Khan Younès (sud) en présence de cheikh Hamad pour poser la première pierre d’un projet de logements destinés à des familles palestiniennes défavorisées, qui portera le nom de l’émir.

 

 

 

Agression antisémite dans le 19è arrondissement à Paris (Le Crif).

Un jeune garçon de 12 ans a été victime d'une agression antisémite lundi 22 octobre 2012.

 

Alors qu'il attendait le bus pour se rendre dans l'établissement scolaire qu'il fréquente, le jeune homme a été violemment pris à partie par deux hommes d'une quarantaine d'années qui l'ont insulté en arabe, puis frappé à coups de ceinture alors qu'il est à terre.

« Les parents ont déposé plainte »

Des passants s’interposent et menacent d'appeler la police, ce qui fait fuir les agresseurs.

Les parents ont déposé plainte, le SPCJ (Service de Protection de la Communauté juive) accompagne la famille dans ses démarches.

 

 

Poussée antisémite au coeur de la campagne électorale belge (Le Crif).

 

« La période électorale qui vient de s’achever aura été entachée d’une poussée sans précédent de manifestations antisémites », a déclaré dans un communiqué le Comité de coordination des organisations juives de Belgique (CCOJB). À Ixelles et à Schaerbeek, des candidats appartenant à la communauté juive ont été la cible d’attaques parce que juifs. À Schaerbeek, c’est une véritable campagne de haine qui s’est déchainée sous prétexte d’antisionisme. 

« Le CCOJB invite de manière pressante les partis politiques à se ressaisir »

 

« Dans un contexte de scrutin communal, par nature étranger au conflit israélo-palestinien, ces événements illustrent une fois de plus combien l’antisionisme est devenu une expression contemporaine de la judéophobie », dénonce le CCOJB. Plus inquiétant, le phénomène ne s’est pas arrêté aux groupuscules extrémistes. Il a été également le fait de candidats présents sur les listes de partis démocratiques. Si diverses personnalités de tous bords se sont insurgées publiquement contre ces actes ignobles, le CCOJB déplore que ses protestations auprès des leaders locaux des partis concernés soient jusqu’ici restées lettre morte. Le CCOJB « invite de manière pressante les partis politiques à se ressaisir et à veiller à ce que les candidats qu’ils alignent sous leurs couleurs adhèrent aux valeurs démocratiques qui constituent le socle de notre société ».

 

Source: http://www.ccojb.be/fr/communiques/13-communiques/985-campagne-electorale-communale--une-poussee-dantisemitisme

 

 

Pourquoi les arabo-Palestiniens veulent la citoyenneté israélienne ?

Jeune femme arabe - Proche-Orient

Les arabo-Palestiniens mais surtout les chrétiens de la région  indiquent clairement qu’ils préfèrent vivre en Israël que sous domination arabe. Comme on les comprend !!!

par Khaled Abu Toameh

 

On ne peut nier qu’en souhaitant détenir la citoyenneté israélienne, au mépris des avertissements de l’OLP et du Hamas, ils (les arabo-palestiniens) indiquent clairement qu’ils préfèrent vivre en Israël que sous n’importe quel gouvernement arabe.

L’Autorité palestinienne affirme qu’elle est inquiète de l’augmentation du nombre d’arabo- Palestiniens de Jérusalem à la recherche de la citoyenneté israélienne.

 

Hatem Abdel Kader (Fatah), en charge du « portefeuille de Jérusalem », a révélé que plus de 10.000 arabo-Palestiniens de Jérusalem ont obtenu la citoyenneté israélienne.

 

Abdel Kader attribue ce phénomène croissant,  à l’échec de l’aide apportée par l’Autorité palestinienne et des pays arabes et islamiques aux résidents arabo-palestiniens de Jérusalem.

 

En d’autres termes, il admet qu’Israël fait plus pour ces arabo-Palestiniens que la direction palestinienne et les pays arabes et islamiques réunis.

 

Selon les chiffres publiés par le ministère israélien de l’Intérieur, 3.374 arabo-Palestiniens ont obtenu la citoyenneté israélienne dans la dernière décennie.

 

Selon les responsables du ministère, durant les deux dernières années, le nombre de candidats à la citoyenneté israélienne s’est intensifié.

 

Les arabo-Palestiniens vivant à Jérusalem jouissent du statut de résidents permanents en Israël. Ce qui signifie qu’ils détiennent des cartes d’identité israéliennes, mais n’ont pas de passeports israéliens.

 

En tant que résidents permanents, ils ont les droits dont bénéficie un citoyen israélien, à l’exception du droit de vote lors des élections générales.

 

La loi israélienne, permet à tout résident de demander la citoyenneté.

 

Pourtant, dans les deux premières décennies qui ont suivi la libération par Israël de Jérusalem-Est après 1967, peu d’arabo-Palestiniens ont fait une demande de citoyenneté.

 

A cette époque, demander la citoyenneté israélienne était considéré comme un acte de trahison ; l’OLP a ouvertement menacé les arabo-Palestiniens qui l’ont obtenue.

 

Mais la tendance a changé après la signature des Accords d’Oslo en 1993 lorsqu’un an plus tard l’Autorité palestinienne s’est mise en place en Judée-Samarie et dans la bande de Gaza.

 

Tout à coup, le nombre de candidats a augmenté de façon spectaculaire et les arabo-Palestiniens n’ont plus eu peur ou honte d’attendre à l’extérieur des bureaux du ministère de l’Intérieur à Jérusalem pour demander la citoyenneté israélienne.

 

La principale raison de cette précipitation est la crainte qu’Israël puisse céder le contrôle de Jérusalem-Est à l’Autorité palestinienne,  et  qu’ils perdent de ce fait tous les privilèges dont ils jouissent en tant que résidents vivant sous souveraineté israélienne, y compris les soins de santé gratuits et de l’éducation, et la liberté de mouvement et de travail.

 

En outre, les résidents arabo-Palestiniens de Jérusalem se sont rendu compte que malgré toutes les difficultés qu’ils rencontrent en Israël, leurs conditions de vie étaient encore de loin bien meilleures que ceux qui vivent sous la juridiction de l’Autorité palestinienne.

 

L’absence de démocratie et la corruption financière massive de l’Autorité palestinienne a également conduit de nombreux arabo-Palestiniens de Jérusalem à demander la citoyenneté israélienne comme un moyen de s’assurer qu’ils restent toujours sous souveraineté israélienne.

 

Comme un arabo-Palestiniens l’explique: «Je préfère l’enfer des Juifs au paradis du Hamas ou celui de Yasser Arafat. »

 

Une autre raison pour laquelle les arabo-Palestiniens se précipitent pour demander la citoyenneté israélienne est leur crainte que les autorités israéliennes ne leur retirent leurs cartes d’identité israéliennes.

 

Selon les règlements du ministère, les habitants arabo-Palestiniens de la ville qui se déplacent en dehors du pays perdent automatiquement leur statut de résidents permanents.

 

Lors de la dernière décennie, les nombreux résidents arabo-Palestiniens qui se sont déplacés vers hors d’Israël ont perdu leurs cartes d’identité.

 

Beaucoup de ceux qui ont demandé la citoyenneté israélienne sont des chrétiens de Jérusalem qui ont très peur de se retrouver sous la juridiction de l’Autorité palestinienne ou du Hamas.

 

Ironie du sort, l’obtention de la citoyenneté israélienne est devenu un moyen pour les arabo-Palestiniens de s’assurer leur développement social, économique, sanitaire et leurs droits à l’éducation dans le pays.

 

On ne peut nier que la demande de citoyenneté israélienne, au mépris des avertissements de l’OLP et le Hamas, constitue également une déclaration politique de la part des requérants. Par-là ces arabo-Palestiniens indiquent clairement qu’ils préfèrent vivre en Israël que sous domination arabe.



Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/10/pourquoi-les-arabo-palestiniens-veulent-la-citoyennete-israelienne/#ixzz2AEinPWM1

 

Panique dans le camp Obama (Guy Millière sur Dreuz).

Une trentaine d’heures se sont écoulées depuis le troisième débat de l’élection présidentielle américaine, et le verdict semble désormais sans appel. Mitt Romney l’a emporté sur tous les terrains où il devait l’emporter.

Un être arrivant d’une autre planète qui aurait regardé le débat aurait pensé que le Président s’appelait Mitt Romney

Il n’a, sur l’instant, pas semblé marquer davantage de points que Barack Obama, ce qui explique que ce dernier ait été déclaré vainqueur. Mais il a fait beaucoup mieux : il s’est posé en Président et, comme l’ont dit plusieurs commentateurs aux Etats-Unis, un être arrivant d’une autre planète qui aurait regardé le débat aurait pensé que le Président s’appelait d’ores et déjà Mitt Romney, et que le challenger s’appelait Barack Obama.

Mitt Romney n’a pas non plus attaqué Obama et montré à quel point le bilan de celui-ci est accablant sur tous les plans. Et il n’a pas démoli les alibis qu’Obama cherche à se trouver concernant le dossier Benghazi. Il a, là encore, fait beaucoup mieux : il a souligné, touche après touche, toutes les lacunes de la présidence Obama, a pris la position de leader et a tenu un discours à même de redonner confiance en l’Amérique, au peuple américain, et aux alliés de l’Amérique. Et il a laissé les questions telles que le dossier Benghazi à la commission d’enquête du Congrès, qui va continuer à faire son travail.

Ce que le peuple américain a vu lundi soir, cela n’a, en fait, pas été un débat, mais un discours tenu par celui qui s’installera sans doute à la Maison Blanche en janvier prochain, et qui a d’ailleurs parlé plusieurs fois au futur, et non au conditionnel.

Ce que le peuple américain a vu aussi, c’est un homme en train de perdre, et de se révéler davantage encore indigne de la fonction qu’il occupe aujourd’hui et qui ne sera bientôt très vraisemblablement plus la sienne.

Autant Mitt Romney est apparu à même de se situer au dessus de la mêlée, rassurant, porteur d’un élan et d’une vision du futur, autant Barack Obama est apparu arrogant, agressif, vain, mesquin, défensif une bonne part du temps, offensif et hargneux le reste du temps, mais jamais à même d’articuler une vision du futur.

D’ores et déjà ce mardi, des fragments du discours de Romney font l’objet de vidéos publicitaires. Trois son particulièrement marquantes. La première insiste sur ce que Romney a appelé la « tournée d’excuses » de Barack Obama : cette série de discours prononcés par l’actuel Président expliquant que les Etats-Unis ont eu tort et doivent se faire plus humbles et plus effacés. Romney y note les étapes de la « tournée » et souligne que si elles passent par divers pays du Proche-Orient, elle n’a comporté aucun passage par Israël.

Romney demande subtilement aux Américains si leur vie est meilleure. Il connait la réponse, les Américains aussi.

Le deuxième souligne que les Etats-Unis se sont affaiblis sous Barack Obama et demande subtilement aux Américains si leur vie est meilleure, et s’ils se sentent davantage en sécurité qu’il y a quatre ans. Romney connaît la réponse. L’immense majorité des Américains aussi.

La troisième définit le chemin sur lequel Obama a placé les Etats-Unis et le monde depuis quatre ans, et énonce, à l’opposé un autre chemin, plus fécond.

Mitt Romney articule très justement à chaque fois l’indissociabilité de l’économie et de la politique étrangère : sans une économie puissante, pas de puissance militaire et géopolitique.

Romney parle de paix, mais sur un mode reaganien.

Sachant que le peuple américain est inquiet et pense que le pays doit se redresser avant de réaffirmer sa place sur la planète, et sachant aussi que le camp Obama entend le présenter comme un belliciste, Romney parle de paix : mais, je l’ai déjà dit, sur un mode reaganien.

Discernant fort bien qu’il est en train de perdre, Barack Obama montre des signes évidents de panique. Ceux-ci étaient présents depuis le premier débat : ils s’accentuent.

Depuis des semaines, Barack Obama a renoncé à parler en Président. Il passe de basses attaques dignes d’un humoriste façon David Letterman à des jeux de mots approximatifs censés rabaisser Romney mais qui, en réalité, rabaissent celui qui les prononcent.

Voyant que sa stratégie de démolition de Romney a échoué totalement et que ses attaques ne suffisent pas à le faire remonter, il a fait imprimer dans la nuit de lundi à mardi un « programme » de vingt pages qui sera distribué à trois millions cinq cent mille exemplaires. Ce « programme », d’où l’utilisation de guillemets, consiste en une reprise des propos vides qu’Obama tient depuis le début de la campagne. Même les journalistes de CNN, pourtant acquis à la cause d’Obama ont dû convenir qu’il n’y avait rien de nouveau dans le « programme ».

J’ai constaté que des journalistes français avaient dit qu’Obama avait montré une maîtrise des sujets en politique étrangère lors du débat. Pour affirmer cela, il faut être sourd, et aveugle.

Chaque thème abordé par Barack Obama l’a été sur le mode du mensonge ou de la falsification. Et là encore, même la presse acquise à Obama aux Etats-Unis a dû relever de multiples affirmations erronées. En faire la liste serait fastidieux. Je me contenterai de donner quelques exemples :

Obama a dit qu’il n’avait jamais été envisagé de laisser des troupes en Irak. Des documents officiels du ministère de la défense américain montrent que le projet initial d’accord avec le gouvernement irakien impliquait de laisser dix mille hommes en Irak, et que c’est Barack Obama lui-même qui a pris la décision d’un retrait total.

Obama a dit que l’alliance entre Israël et les Etats-Unis n’avait jamais été aussi forte. Les paroles négatives d’ Obama concernant Israël au cours des quatre dernières années abondent, et ne sont pas difficiles à retrouver.

Obama a dit qu’il avait entendu d’emblée soutenir l’insurrection contre Bachar al Assad. Les déclarations d’Obama lui-même, ou d’Hillary Clinton parlant de Bachar al Assad comme d’un réformiste trois mois après que ce dernier ait commencé à tirer sur la population à la mitrailleuse abondent elles aussi.

Obama a déclaré que l’armée américaine n’avait pas besoin de vaisseaux de guerre supplémentaires car la défense a évolué

D’autres déclarations relèvent de la simple ignorance : prenant une pose suffisante, Obama a déclaré que l’armée américaine n’avait pas besoin de vaisseaux de guerre supplémentaires car la défense a évolué, et il a dit que l’armée n’utilisait plus de baïonnettes. Son propre ministère de la défense souligne la nécessité pour les Etats-Unis de se doter de vaisseaux de guerre supplémentaires pour endiguer la marine chinoise, et un simple examen de l’armement des troupes américaines suffit pour discerner que les troupes au sol sont encore équipées de baïonnettes. Ce degré d’incompétence chez un Président en exercice est consternant.

D’autres déclarations encore sont effroyablement révélatrices : Obama entend, a-t-il dit,, refuser que l’Iran se dote de l’arme nucléaire. Ce qui signifie que l’Iran peut aller jusqu’à disposer de tous les moyens d’avoir une arme nucléaire sans que ce soit un problème pour Obama. Romney a précisé qu’il était contre la possibilité que l’Iran se dote des « capacités de disposer de l’arme nucléaire » : la différence est cruciale. Obama n’a pas condamné le régime de Téhéran, et a, de fait, réaffirmé qu’il laissait la porte ouverte à des négociations : Romney a souligné que des gens tels que les dirigeants iraniens devaient être considérés comme incitant à un crime contre l’humanité. Obama a ignoré les propos de Romney. Si Romney a déclaré que la Chine était un partenaire commercial des Etats-Unis et devait simplement arrêter de manipuler ses taux monétaires et de piller la propriété intellectuelle du reste du monde, et s’il a souligné la nécessité de poser des limites à l’expansionnisme chinois, Obama a parlé en termes de protectionnisme industriel vis-à-vis de la Chine, montrant ainsi qu’il n’a pas compris que l’économie américaine passe au stade post-industriel.

Lorsqu’il s’est agi d’économie, Obama a, une fois de plus, parlé d’ »investissements » pour définir des dépenses gouvernementales supplémentaires, comme tout socialiste de par le monde, et il n’a cessé de dire qu’il fallait procéder à du « nation building » aux Etats-Unis, donc à une reconstruction du pays par décision du gouvernement : pense-t-il lui-même qu’après quatre années de sa présidence, les Etats-Unis sont détruits ? S’incrimine-t-il lui-même ? Et si c’est le cas, pourquoi propose-t-il de l’étatisme supplémentaire après quatre années de ravages étatistes ?

L’inénarrable blog de la gauche caviar du Figaro, Obamazoom titrait hier : « Obama, champion du monde ». Effectivement, Obama est champion du monde : de l’imposture.

La plongée d’Obama dans les sondages est impressionnante.

L’imposture va sans doute prendre fin dans moins de deux semaines. Un prochain titre de l’Obamazoom pourrait être encore « Obama champion du monde ». Il suffirait d’ajouter : champion du monde de la plongée.

La plongée d’Obama dans les sondages est, de fait, impressionnante. Les deux instituts de sondage les plus fiables à ce stade, Rasmussen et Gallup, donnent Romney vainqueur avec une large marge (six à sept point chez Gallup). Ils donnent aussi Romney vainqueur dans les « swing states ».

La Floride, la Virginie, la Caroline du Nord et le Colorado ne sont plus des « swing states » à ce jour, mais des Etats passés dans la colonne Romney. L’Ohio et l’Iowa sont en train de glisser vers Romney. Le New Hampshire, le Wisconsin et le Nevada montrent des écarts très faibles et qui se resserrent.

Mitt Romney pourrait bien être le premier candidat à faire tomber un Président en exercice qui n’a pas eu de challenger dans son camp depuis huit décennies. Ce serait un événement historique et la possibilité pour ceux qui aiment les Etats-Unis de reprendre la formule de Ronald Reagan : « L’Amérique est de retour ».

Mon livre « Le désastre Obama » aurait alors des allures d’épitaphe. Il restera, parmi les opuscules des marchands d’illusions, le seul livre à avoir expliqué le désastre et le sursaut du peuple américain qui, trois ans après l’élan des tea parties est en train de porter Mitt Romney vers la Maison Blanche.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info

PS. On vient d’apprendre, par le biais d’un témoignage devant la Commission d’enquête, que la Maison Blanche a été mise au courant de ce que l’attaque contre le consulat de Benghazi était une attaque terroriste deux heures après que l’attaque ait commencé. Je reviendrai sur ce dossier, comme je reviendrai sur le bilan de la politique étrangère d’Obama dans les prochains jours. Ceux qui veulent des références les trouveront dans mon dernier livre.


Read more at http://www.dreuz.info/2012/10/panique-dans-le-camp-obama-2/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29#tBwir8Rcs7BOLvPc.99

 

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