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Offensive de roquettes sur le sud d'Israël depuis Gaza et riposte israélienne.

« Pour un œil les deux yeux et pour une dent toute la mâchoire », Israël prêt à l’escalade contre le terrorisme

Dreuz.info. Jean-Patrick Grumberg.

Maison après une attaque de roquette ce matin

 

Deux nouvelles roquettes ont été tirées il y a quelques dizaines de minutes depuis Gaza et viennent de s’abattre au sud d’Israël.

Une autre a atteint la ville de Sdérot.

Ce matin vers 6 heures, 6 roquettes se sont abattues sur Israël.

Les écoles du sud sont fermées, et les enfants ont été priés de rester chez eux. A Ashdod, les gens ont été priés d’éviter de se déplacer avec des poucettes de bébés.

« L’armée frappe, et continuera de frapper Gaza » a déclaré le premier ministre Benjamin Netanyahu ce matin. « Les organisations terroristes subissent de graves revers grâce à nos soldats, et le monde doit comprendre qu’Israël ne vas pas rester sans réagir », en réponse à la nouvelle vague d’agression des terroristes de Gaza.

Nous sommes prêts à l’escalade », a ajouté le premier ministre.

Près de 60 roquettes et mortiers ont été tirées depuis samedi depuis Gaza sur les civils israéliens – dont 40 depuis minuit – par des terroristes palestiniens, blessant quatre citoyens à Sdérot dans le sud.

La série d’agressions a commencé par un tir de missile antichar palestinien contre une jeep de l’armée à la frontière entre Gaza et Israël.

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« Si cela continue, nous envisagerons des représailles beaucoup plus fortes et massives afin de protéger nos citoyens », a déclaré le ministre des Finances Youval Steinitz.

« La situation à Gaza devient insupportable. On ne peut pas tenir plus d’un million de personnes (dans le sud d’Israël) sous un barrage constant de mortiers et de missiles », a estimé son collègue Uzi Landau, ministre des Infrastructures.

« J’imagine qu’Israël devra se préparer à une opération, qu’il y ait des élections ou non », a-t-il ajouté.

Le vice président Moshe Yaalon a déclaré il y a quelques minutes que « la meilleure défense est l’attaque », et que « si les terroristes continuent leurs assauts, notre devoir, en tant que gouvernement, est de donner l’ordre à l’armée d’y mettre fin ».

Pour ma part, je suis étonné de ne pas avoir encore entendu les réactions outrées du quai d’Orsay, dénonçant la « disproportion » des réactions israéliennes. Selon vous, qui dégainera le premier, l’UE ou Laurent Fabius ?

 

Obama vainqueur et le découpage du Moyen-Orient (Le CRIF).

Obama vainqueur découpe le Moyen-Orient entre l’Iran nucléaire et le gant de velours des Frères Musulmans

DEBKAfile Analyse Exclusive 7 Novembre 2012

 

Barack Obama a remporté sa réélection en tant que Président des États-Unis, selon toutes les projections du vote du 6 novembre – quel que soit le recomptage final des bulletins de vote. La perspective d’un nouveau mandat de quatre ans de Barack Obama à la Maison Blanche suscite l’inquiétude chez plusieurs nations du Moyen- Orient, dans le Golfe persique et en Israël.

Ils envisagent que la politique étrangère va continuer à se polariser sur une influence américaine qui se raccroche au monde musulman – aussi bien sunnite que chi’ite – l’Iran tirant les wagons, en tant que première puissance nucléaire islamique chi’ite et alors que les Frères Musulmans sont devenus les parrains des nations sunnites arabes qu’ils ont mis sous leur férule. Pour Israël, cette politique se traduit froidement par l’appui américain aux deux pires ennemis idéologiques irréductibles auxquels il ait eu à faire face au cours de ses 63 ans d’existence : l’Iran, dont les dirigeants appellent ouvertement à l’anéantissement d’Israël – même à la tribune de l’ONU – bien que ce but ne soit réalisable qu’à travers une agression nucléaire ; et les Frères Musulmans hostiles.

 

Il y a seulement quatre jours, un responsable important du Ministère de la Défense, Amos Gilead a désigné le gouvernement égyptien dirigé par les Frères Musulmans comme représentant une « dictature impitoyable ». Après des années de relations étroites avec les dirigeants égyptiens et leurs chefs militaires, Gilead a déclaré : « Il n’y a aucun contact officiel entre les échelons supérieurs de l’Égypte et le gouvernement israélien, et je ne pense pas qu’il y en aura à l’avenir ».

 

Selon les sources du renseignement militaire de Debkafile, Gilead a juste offert un aperçu sur un horizon encore plus sombre, dont les dirigeants israéliens discutent à huis clos : ils craignent que le second mandat d’Obama n’ouvre toute grande la porte à un Iran chi’ite doté de l’arme nucléaire, savoir-faire qui tomberait très vite entre les mains des Frères Musulmans sunnites, en commençant par l’Égypte, dans une tentative conjointe pour faire disparaître l’État juif.*

 

Avant de rejeter ce scénario comme une simple exagération paranoïaque, cela vaut la peine de prendre connaissance d’un sondage d’opinion réalisé en Égypte en août dernier de cette année, par l’Institut de Recherche Greenberg, Quinlan & Rosner. Il avait pour objectif de prospecter ce que devenaient les taux de popularité de l’Iran, après la prise de pouvoir des Frères Musulmans au Caire.

 

Stanley Greenberg, qui est proche des dirigeants du Parti démocrate, a récemment été engagé par le Parti travailliste israélien en tant que stratège de haut vol pour la campagne électorale du 22 janvier 2013.

 

Ce sondeur américain a trouvé que 61% des Égyptiens interrogés approuvent le programme nucléaire iranien, qu’on peut rapporter aux 30 % qui le désapprouvent. En 2009, les configurations comparables se situaient à 40% pour et 34% contre l’Iran nucléaire.

 

Le même sondage fait en 2012 trouvait que 65% des Égyptiens sont favorables à la reprise des relations avec Téhéran, réduites depuis de longues années, contre 30% qui s’y opposent.

 

La discorde non dissimulée entre Barack Obama et Binyamin Netanyahou est habituellement présentée comme résultant de leur brouille au sujet d‘une action militaire visant à faire avorter le programme nucléaire de l’Iran. C’est à la fois simplificateur et trompeur. Leurs différences sont d’une bien plus vaste envergure : Netanyahou et la plupart des autres dirigeants israéliens contestent les objectifs signés de la main d’Obama au Moyen-Orient, consistant à mettre les Frères Musulmans au pouvoir en Égypte, en Tunisie et en Libye – et, au bout du compte, en Syrie – en les présentant comme un mouvement modéré avec lequel l’Amérique peut faire des affaires et conduire une politique moyen-orientale équilibrée.

 

Ce but a mis le feu aux poudres de la Révolte Arabe – dit : “Le Printemps”- qui s’est déclenchée en décembre 2011. Elle a condamné Israël à devoir vivre dans un environnement islamiste de plus en plus resserré autour de ses frontières, le pire restant à venir : le dernier écart sera comblé lorsque les Frères Musulmans accéderont au pouvoir à Damas et, finiront par poser leur dévolu sur la Jordanie, comme tremplin vers l’Arabie Saoudite.

 

À chaque fois qu’il est confronté à cette éventualité, Obama réplique invariablement qu’il a fait plus que n’importe quel autre président américain pour la sécurité d’Israël et qu’il a augmenté la coopération militaire et en matière de renseignement entre les États-Unis et Israël à un niveau jamais atteint.

 

C’est irréfutable, mais, selon le point de vue des experts du renseignement militaire de Debkafile, cela ne correspond qu’à un aspect particulier du tableau global : tout en renforçant militairement Israël, le Président américain a aussi renforcé ses pires ennemis au Moyen-Orient et amélioré leur capacité de frapper aux fondations même de la sécurité nationale d’Israël. La seule émergence d’une République islamique dotée de l’arme atomique, ce qu’Israël pourrait bientôt désespérer d’être en mesure d’empêcher, annulerait toute l’assistance militaire ou en termes de renseignements que l’Administration Obama a transférés à l’État juif, afin de garantir sa survie.

 

Aucun dirigeant israélien, politique ou militaire, ne souhaite aller plus loin que ne l’a fait Amos Gilead, ni admettre publiquement qu’Israël est pris en étau, par une double contrainte : il est obligé d’envisager des mesures concrètes pour mettre un terme au programme nucléaire iranien, alors qu’au même moment, il doit se tenir prêt à relever le défi égyptien sur le Sinaï, qui a échappé au contrôle du Caire et où la situation se détériore pour devenir un tremplin terroriste sans foi ni loi, prêt à se retourner aussi bien contre n’importe lequel de ces deux pays.

 

Lire la Suite : http://israelmagazine.co.il/obama-vainqueur-decoupe-le-moyen-orient-entre-liran-nucleaire-et-le-gant-de-velours-des-freres-musulmans/

 

Adaptation : Marc Brzustowski

 

 

Les Français financent les terroristes à hauteur de 3,6 M € (JForum.fr)

Plus de trois millions 600.000 € payés mensuellement par l’Autorité palestinienne aux terroristes palestiniens en prison

Palestinian Media Watch, observatoire des médias palestiniens, vient de présenter devant le Parlement britannique son nouveau rapport sur les salaires versés par l’Autorité palestinienne aux terroristes palestiniens jugés et emprisonnés en Israël.

Chaque mois plus de trois millions, 600.000 € leur sont versés, ce qui constitue une prime et un encouragement au terrorisme.

Ces sommes sont prises sur le budget général palestinien auquel contribuent des pays comme le Royaume-Uni, mais aussi la France...

Rapport de PMW : le Royaume-Uni paie des salaires à des terroristes

Rapport de Palestinian Media Watch devant le parlement britannique

L’argent du Royaume-Uni finance des salaires à des terroristes en finançant le budget général de l’Autorité palestinienne.

L’Autorité palestinienne paie actuellement chaque mois des salaires pour un total d’environ 17.500.000 shekels (plus de trois millions 600.000 € mensuels ) à tous les terroristes palestiniens en prison en Israël. Massacreurs y compris. .

Le terme utilisé dans la législation de l’Autorité palestinienne est Ratib – salaire. La loi ne mentionne pas « d’aide sociale » ou de « sécurité sociale ».

Le montant de ce salaire augmente en fonction du nombre d’années passées en prison, un montant qui est fonction de la gravité de l’acte terroriste et non pas des besoins de la famille du prisonnier.

Les terroristes célibataires reçoivent le même salaire de base que ceux qui sont mariés et ont des enfants.

Une petite somme est versée séparément aux prisonniers mariés qui ont des enfants.

Le salaire moyen d’un prisonnier est de plus de 3.000 shekels (£ 480) et peut aller jusqu’à 12.000 shekels (près de £ 2.000) par mois pour ceux qui sont en prison depuis plus de 30 ans.

La somme supplémentaire versée pour un prisonnier marié est de 300 shekels ($ 48) et de seulement 50 shekels (£ 8) par enfant.

Le terroriste en prison peut nommer un « agent autorisé » pour gérer son argent pendant qu’il est en prison. Il n’est pas tenu de le donner à sa femme, ses enfants ou ses parents.

Tous ces points et d’autres réfutent ce qu’affirme le ministre Duncan lorsqu’il dit que cet argent représente « une aide sociale » pour les familles.

Tant que le Royaume-Uni continuera à verser des fonds à L’Autorité palestinienne pour son budget général, il participera au paiement des ces salaires mensuels versés à des assassins terroristes.

Conclusion :

Le fait que l’Autorité palestinienne utilise son budget général pour récompenser des terroristes avec des salaires mensuels élevés [par rapport aux salaires versés généralement] devrait être un sujet de préoccupation pour la Grande-Bretagne et tous les pays donateurs qui financent l’Autorité palestinienne.

Cliquer ici pour voir le Rapport de PMW en PDF report in PDF

Le premier rapport de PMW sur la question avait fait l’objet d’articles dans le Wall Street Journal et le Daily Mail.

L’argent du contribuable français contribue au versement de ces salaires qui incitent au terrorisme

On notera que ce qui est vrai pour la Grande-Bretagne l’est aussi pour les autres pays qui financent l’Autorité palestinienne ; le contribuable français contribue donc à payer des salaires aux terroristes palestiniens qui ont été jugés et condamnés en Israël.

Par ailleurs, le fait que des salaires leur soient ainsi versés constitue une prime et une incitation au terrorisme, ce qui dément totalement les déclarations de Mahmoud Abbas lorsque celui-ci affirme avoir renoncé à la violence....

De plus, ces salaires ne sont jamais touchés ni revus à la baisse, même en cas de crise financière comme celle que traverse l’Autorité palestinienne, très mauvaise gestionnaire...

Hélène Keller-Lind/Crif.org

 

 

France: des centaines d’enfants musulmans non scolarisés sont endoctrinés au Jihad

Sans aller jusqu’à Kaboul ou au Pakistan, c’est au coeur même de la banlieue parisienne que des centaines d’enfants, voir beaucoup plus, échappent totalement à l’éducation nationale et sont endoctrinés dans des écoles coraniques prêchant un Islam radical. Au lieu de leur enseigner le français, les maths, ces enfants non scolarisés sont formés à la doctrine Jihadiste afin qu’un jour ils deviennent des “Chahid”, des martyrs de l’Islam, des bombes humaines…

Notre ami Serge Salfati a enquêté sur le sort de ces enfants dans ces milieux intégristes…

L’Inexorable Marche Vers La Haine

Histoire vraie…

Nul besoin d’aller au Pakistan pour voir la lobotomisation des cerveaux enfantins, maintenant visible à 10 kilomètres de Paris.

Pour des raisons de sécurité je ne diffuserais pas pour l’instant photos et enregistrements qui ont été pris.

Courage, le pire est à venir…

 
 

La porte s’ouvrit sur l’antichambre de la salle de prière.

Je ne savais pas très bien où tout cela allait me mener mais l’impression ressentie m’était inconnue, j’avais pourtant vu pas mal de choses jusqu’à présent et je ne me laisse pas, généralement, facilement surprendre.

Fort de ma raison jamais je n’aurais cru, mètre après mètre, pas après pas, remonter le couloir du temps.

Le temps, celui qui forge l’humanité et dont la mesure rythme la marche du progrès, pourquoi suis-je en train de ressentir cette sensation contre nature d’aller à l’encontre de sa vague, de son courant ?

J’avais pris soin de me fondre dans le paysage, balayant d’un revers les foudres de mon père et des gens qui m’aiment, ma barbe, si typiquement méditerranéenne, n’avait rien à envier à celle de mes voisins immédiats, et sacrifiant à l’esthétisme, finissait de donner de la crédibilité au personnage que je mettais forgé.

C’est en traînant vers la porte de Clignancourt que dans un café berbère j’ai rencontré R., autour d’un thé à la menthe. Dans un climat de convivialité orientale nous échangeâmes alors de multiples vues sur tout et n’importe quoi, la politique, la religion.

Immédiatement R. m’accueillit dans un grand sourire, m’enivrant de paroles de paix et de bénédiction, un voile mystique et protecteur tentait de m’envelopper de son côté moelleux.

La religion.

Elle tenait une place centrale dans la vie de R. et de ses amis, elle dictait la plupart de leurs actes et de leurs pensées, elle s’immiscait dans tous les aspects de leur vie quotidienne, du plus intime au plus général, c’était à la fois, leur mère, leur femme et leur maîtresse.

Petit à petit je pénétrais l’intimité de ce cercle en distillant mon propre rapport, supposé, à la femme convoitée, j’avouais mon ignorance sur des aspects pourtant basiques de la foi musulmane, et, très vite, on m’identifia à un musulman perdu qui recherche ses racines dans la foi religieuse.

A partir de ce moment tous firent assaut d’attention pour avoir l’honneur de me ramener dans le chemin d’Allah, les uns me citant versets et hadith adéquats, les autres puisant dans les exemples, qui se voulaient évidents, de la vie quotidienne, la preuve de la bonté et de la miséricorde d’Allah et de son prophète Mohamed.

Très vite ils entreprirent de dresser de moi un portrait global, état civil, famille, origine, situation matrimoniale, enfants…

Enfants.

Il s’agissait aussi de connaître mes buts, mes aspirations, mon plan de carrière en quelque sorte, dans le service d’Allah, c'est pourquoi je ressentis très vite l’impression de passer un entretien d’embauche.

Je ne mis pas trop de temps à comprendre quel était le poste à pourvoir, un poste à la rémunération hors norme, la compassion et l’amour d’Allah qui me choisira comme un de ses fidèles serviteurs… pour peu que je me plie à ses exigences.

Et il se trouve que mes nouveaux camarades connaissaient fort bien les personnes par qui Allah, dans sa grande sagesse, transmettait les messages qu’il destine à chacun.

Il ne tenait qu’à moi d’aller vers eux en confiance car on m’assurait que c’était des gens à la grande sagesse, à ce stade, et bien que je sois envahi d’images inquiétantes et persistantes, j’acceptai de les suivre afin de voir si j’avais une chance de trouver ce que je venais chercher.

C’est au début du mois de septembre que Mathieu me parla de ce rapport, ce mystérieux et inquiétant rapport, ce terrible et consternant rapport des Renseignements Généraux.

A l’abri de ces quelques feuilles se cachait une terrifiante réalité qui me glaça le sang : il y aurait d’après ce rapport, tout ce qu’il y a de plus officiel et secret, plus de 600 enfants en France qui, en âge d’être scolarisés, suivent un enseignement dans une madrasa clandestine.

L’effroi continua de me gagner quand j’appris que ce chiffre, déjà sous-évalué à l’époque, datait de 2006 !!!

Une madrasa clandestine est un lieu de mort, mort de l’esprit, mort de l’âme, mort de l’intelligence, mort de la conscience, mort de la raison.

Une madrasa clandestine n’est pas une école musulmane au sens où on entend les écoles confessionnelles privées, c’est un endroit échappant à tout contrôle extérieur qui n’a pour seul et unique programme scolaire qu'un livre aux enseignements galvaudés et détournés pour insuffler la haine la plus profonde de l’autre.

Sa cible clairement identifiée est des esprits jeunes, malléables, corvéables, dont le seul effort qui leur est demandé est d’apprendre par cœur, encore et encore, des versets sans génie écrits par un berger inculte, plagiant et déformant à volonté ce que l’humanité avait produit de meilleur en matière de spiritualité, la culture judéo-chrétienne monothéiste.

Mon unique objectif était alors d’aller à la rencontre de ces enfants.

Les enfants.

Ils n’étaient pas à ce moment ma première inquiétude, je me dirigeais pieds nus dans un couloir ou mes « guides » m’ouvraient la voie, pour voir ces nouveaux Gabriel.

Je me doutais que j’allais devoir subir un moment de tentative d’endoctrinement hors norme, je me voyais prêcheur, ou kamikaze, je me voyais haranguer ou exploser, mais c’était sans compter un formidable sens de l’organisation et la parfaite maîtrise des moyens de communication de mes nouveaux, pileux, amis.

C’est dans un petit salon sombre meublé de coussins et de tapis de prière que l’on m’invita à m’asseoir autour d’une table basse.

Deux nouveaux interlocuteurs se trouvaient là, un jeune, pour qui j’avais l’impression d’être un (gros) gibier, aux yeux d’un chasseur, et un homme plus âgé, dont la barbe et l’allure générale dissuadaient le plus perspicace de lui donner un âge sans risque de se tromper à 3 décennies près.

L’homme plus âgé, le Sage, me fixa lentement avec les yeux plein de tendresse de celui qui sait, ce regard doux du gourou aimant, avant d’envoyer à la mort ses disciples lobotomisés.

Nous nous « salamalekoumons » avec insistance et force souhaits, le thé fut servi et l’ambiance conviviale, presque amicale qui s’était instaurée se changea en pesanteur mystique et artificielle, comme celle qui peut régner sur le plateau TV d’un évangéliste mormon.

Le discours, monologue décoché sans souffle mais non sans talent, avait clairement pour but d’assommer l’auditoire et de lui ôter toute volonté de formuler la moindre objection, il était clair que rien de ce qui était dit ne pouvait se négocier, nous critiquâmes alors de concert la société, l’islamophobie et la haine du prophète, les gouvernements mécréants arabes, le scandale palestinien et finîmes par former un vœux appuyé à la mort d’Israël, Inch’Allah (si Dieu veut), même si jusqu’à présent Allah n’a pas l’air de le vouloir.

J’avoue que je fus un peu déçu voire vexé quand je compris entre les lignes que je n’avais pas le profil d’un chahid, qu’est-ce qu’ils y connaissent eux en chahid !!!!, chahid ça veut dire martyr, j’aurais adoré être un chahid, mon égo aurait adoré, mais aux yeux du vieux Sage je n’étais clairement pas fait pour cela, je le pris même comme une sorte de discrimination dû à mon, très, léger embonpoint.

Cette vocation m‘étant manifestement fermée j’attendais avec soulagement (à la réflexion chahid est un job sans avenir), et anxiété de ce qu’il pourrait me proposer, la suite des événements.

Le vieux Sage est un homme bon, la preuve en est qu’il voue une passion aux enfants, à leur éducation, mon CV mentionnait deux garçons de 6 et 8 ans, âge tendre et tête de bois, un peu frondeurs, un peu bagarreurs, ils m’inquiétaient mais je gérais.

Le vieux Sage aime les enfants et il sait comment les rendre meilleurs, il a une méthode d’éducation formidable où le respect et l’obéissance est au centre du dispositif pédagogique, qui privilégie aussi le travail de mémoire et la diction.

Les enfants.

Les enfants dans son établissement sont invités à se calmer dans une ambiance fraternelle, où le seul professeur est absent mais si présent, où le seul professeur est mort il y a 1360 ans (à quelque chose près), mais dont la voix résonne encore à l’oreille de millions de disciples.

Le programme scolaire est simple, apprendre par cœur toujours, chaque jour, la moindre phrase, le moindre mot, la moindre lettre de cette parole divine, soufflé par un ange dans l’oreille du prophète au cours d’une longue nuit étoilée dans le désert d’Arabie.

Pas de mathématiques, pas de langues autres que l’arabe, pas d’histoire, pas de géographie, pourquoi faire ? Seul l’arabe a vocation à unir le monde puisque c’est en cette langue qu’Allah a parlé à Mohamed, l’histoire à quoi bon puisque seule celle que décrit le Coran est véridique, la géographie, pourquoi faire puisque c’est le monde dans sa totalité qui est appelé à devenir musulman.

Une fois cela dit, l’horreur est loin d’avoir atteint son comble, au fur et à mesure que le vieil homme parlait, il apparaissait moins vieux et plus hideux, me revenaient en mémoire ces images affligeantes de madrasa pakistanaise où des centaines de gosses ayant abandonné tout libre arbitre, servent de jouets à une clique d’islamistes pervers et morbides, dont le seul objectif est de faire de ces gosses des bombes humaines tant sur un plan philosophique que sur un plan militaire.

La gangrène se serait, à entendre le vieil homme, répandue jusqu’en région parisienne, sa fierté, mon cauchemar, prenait forme, un sourire illuminait son visage de dément sanguinaire à la pensée de l’œuvre qu’il accomplissait, muter des innocents enfants à qui la vie ouvrait les bras en bombes humaines élevées dans le culte de la mort.

L’effroi me gagna en imaginant le destin de ces fils que je m’étais inventés, condamnés à devenir des objets de morts, manipulés, mes fils seraient voués à l’aube de leur vie à assouvir l’insatiable désir de haine de psychopathes pour qui Dieu est une excuse plus qu’une passion.

En reprenant mes esprits je demandai à voir la salle où les « cours » étaient dispensés et évaluer le nombre d’enfants présents. Il me fut opposé un refus ferme et impoli, attirant sur moi la suspicion, je n’eus plus que le culot pour me sortir de ce mauvais pas, prétendant que jamais je ne laisserais mes enfants dans un endroit que je n’ai pas inspecté avant.

L’homme chasseur pris alors le relais avec des airs dont ils ne cherchaient même pas à masquer la teneur menaçante, l’hostilité se renforça encore quand pris dans la dispute le ton monta et attira à nous R. et ses camarades, je fus rapidement encerclé par la petite troupe et sentis alors un besoin impérieux de changer d’air.

Le vieil homme disparut, abandonnant à la violence de la dispute, le discours aux accents si doux, séducteur et vicieux, sur le bonheur des enfants qui vont à la rencontre du prophète.

Mon souci principal était maintenant de sortir de ce guêpier avec un minimum de violence, et vu le rapport de force, pour tout dire je ne voyais pas trop de solutions.

L’option de la frappe préventive ne me semblait pas sans danger, et comme le disait Astérix, être invincible ne rend pas invulnérable, ces gens-là avaient-ils lu Astérix, le risque était trop gros pour le vérifier, je tentai une négociation où les « woulah » se mélaient à mes « Inch’Allah », ce qui finit, tant de bondieuserie, par agir comme relaxant sur leurs cerveaux malades.

Petit à petit je me retrouvai par petits pas successifs dans la salle de prière, ma chance fut qu’avec cinq prières par jour on est jamais loin de la suivante, ce qui ne manqua pas de se passer, je proposai donc que nous nous mettions à prier et avouai immédiatement que je n’excellais pas dans l’exercice.

Le chasseur me prit donc en main et m’indiqua rituel et paroles de la prière, je fis de mon mieux pour observer les consignes et surtout pour respirer et profiter de l’aubaine, je décidai que dès la fin de la prière je saisirais la 1ère occasion pour m’éclipser.

Manifestement cet instant de communion avec Dieu rendit mes interlocuteurs moins agressifs et nous pûmes deviser quelques minutes encore sur les bienfaits de l’enseignement de Dieu aux enfants, avant que je disparaisse dans le méandre des rues de cette triste et morne cité de la banlieue nord de Paris.

Le constat que je fis de cette immersion fut accablant, une fois encore l’islam radical pousse ses pions, et s'il est vrai que je n’ai pas pu voir les enfants dans la salle de cours, le Sage m’a annoncé qu’ils étaient 32, 32 enfants dans un seul quartier d’une banlieue banale, 32 enfants fanatisés, 32 enfants conditionnés, 32 enfants transformés en bombes humaines potentielles par la faute d’un embrigadement contre nature.

32 enfants à qui on apprend que le prophète attend que l’on se sacrifie pour lui en semant la mort autour de soi, 32 enfants que le République a abandonnés à leur sort misérable et sur lesquels fleuriront les théories racistes.

Mais combien sont-ils réellement ces gosses qui, au lieu d’aller à l’école de la République, sont séquestrés au fond de mosquées sordides où on leur apprend qu’ils sont les envoyés de Dieu qui ont pour charge de punir les mécréants.

Mais combien sont-ils ces enfants, sachant qu’il existe 400 cités sensibles en France, que le chasseur lui-même a prétendu que dans sa cité il y a 2 madrasas et que l’on suppute que le nombre d’élèves y est constant.

Que penser de l’immobilisme des gouvernements successifs alors que le signal d’alarme est tiré depuis six ans, et que penser de ces médias muets devant le phénomène, qui invoqueront surement le souci de ne pas nourrir l’islamophobie, eux qui par la diffusion de nouvelles trafiquées n’ont jamais craint d’attiser l’antisémitisme ?

Dans dix ans circulera en France des milliers de gamins qui auront été élevés à l’école de la haine de l’autre, de l’antisémitisme et du terrorisme, des gamins qui seront alors en âge de porter et de se servir d’armes de guerre telles qu’il en existe aujourd’hui dans les cités, à portée de mains et qui n’auront alors qu’une envie d’égaler et de surpasser les Merah  et autres Sydney Roy.

Je n’aurai eu qu’un regret, celui de ne pas être parvenu à pénétrer dans cette foutue salle de cours et voir de mes yeux la preuve du carnage qui se prépare… ce que j’ai vu et ce que j’ai entendu est déjà de nature à me glacer le sang…

Serge Salfati

Europe Israël

 

Après l'Amérique (Guy Millière sur Dreuz.info).

Je le dis d’emblée : je me suis trompé.

Je ne me suis pas trompé sur qui est Obama, sur l’effet de ses décisions politiques ou sur qui est Mitt Romney. Mais j’ai sous estimé la capacité de mobilisation souterraine de la campagne Obama.

J’ai sous estimé le pouvoir de nuisance des grands médias. J’ai basé mes analyses sur les données utilisées par les plus grands analystes américains, Karl Rove, Michael Barone, Thomas Sowell, Charles Krauthammer. Ils sont aujourd’hui consternés autant que je le suis.

J’ai longtemps pensé qu’Obama serait réelu. Divers signes m’ont laissé penser, comme Karl Rove, Michael Barone, Thomas Sowell, Charles Krauthammer, que Romney était parvenu à incarner l’alternative. Il s’est avéré que non.

Obama a été réélu bien que des centaines de milliers d’Américains restent sans électricité après le passage de la tempête Sandy. Une majorité d’Américains semble donc trouver normal que le gouvernement fédéral soit aussi inefficace après un cataclysme naturel qu’un pays du tiers monde.

Obama a été réélu malgré une multiplication des pauvres et des assistés sociaux. Parce qu’il a bénéficié d’un vote massif et d’une mobilisation absolue des pauvres et des assistés sociaux.

Il a été réélu malgré l’islamisation du Proche Orient, une politique d’apaisement vis à vis de l’Iran, et la trahison des assassinés de Benghazi.

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Une majorité d’Américains ne s’intéresse plus à l’esprit d’entreprise qui a fait des Etats Unis ce qu’ils sont, et ne s’intéresse pas davantage au sort géopolitique du monde. Une majorité d’Américains n’en a plus que faire des règles éthiques qui ont prévalu depuis le temps des pères fondateurs.

Nous entrons dans une phase ou les Etats Unis ne seront plus les Etats Unis que nous avons connus. Les Etats Unis seront un pays où la corruption et la trahison seront tolérées, où on achètera les voix, ou l’économie déclinera et glissera lentement vers la faillite, comme les économies européennes. Ils sont un pays dont la voix ne comptera plus guère sur la planète.

Les conséquences pour les Américains attachés à ce que l’Amérique fut seront douloureuses. Le nombre de ceux vivant de prédation l’emportera sur le nombre de ceux qui vivent de production. Le futur, je le crains, ressemblera à la Californie aujourd’hui : une minorité de gens riches vivant d’entreprises liées au gouvernement fédéral ou d’autres gens riches vivant dans les fantasmes d’artistes plus ou moins décadents, et une majorité de pauvres en situation d’assistance. Passer de San Francisco à la Vallée centrale est passer d’une ville opulente de bourgeois de gauche à des régions sinistrées et en faillite. Les pauvres votent pour ceux qui leur donnent le chèque de fin de mois, jusqu’au moment où il n’y a plus d’argent.

Les conséquences pour le reste du monde seront douloureuses aussi. Les Etats Unis ont été la locomotive économique du monde. Obama détruit la locomotive, et il n y a pas de locomotive de rechange. La Chine ne peut jouer ce rôle, l’Europe déliquescente et vieillissante non plus.

Les Etats Unis ont assuré l’ordre du monde qui a permis d’éviter le pire depuis la Deuxième guerre mondiale. Nous allons vers un désordre planétaire croissant très propice aux crimes des dictateurs.

Nombre de commentateurs européens se réjouissent, j’en suis sûr. Ils ne voient pas les relations de cause à effet, et ne relient pas Obama à la décomposition économique du monde ou à la montée de l’islam radical. Les liens n’en existent pas moins.

Je reviendrai sur ces sujets dans les jours qui viennent. Pour l’heure, je suis en état de choc et dans une immense tristesse.

J’ai voulu croire qu’il restait assez de forces vives aux Etats Unis pour qu’une page se tourne, et de multiples données semblaient me donner raison. La page qui se tourne est en fait celle des forces vives des Etats Unis.

Ronald Reagan doit se retourner dans sa tombe. George Walker Bush est sans doute aussi triste que moi. Mitt Romney aussi. Entre l’entrepreneur et l’escroc anti-américain, une majorité d’Américains a choisi l’escroc anti-américain.

Mon livre, le désastre Obama reste d’actualité. Le désastre va se poursuivre et s’accentuer. Il peut servir de guide a ceux qui veulent comprendre ce qui les attend.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info

 

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