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Syrie - Israël aurait envisagé une attaque des sites d'armes chimiques (Israel info)

Syrie - Israël aurait envisagé une attaque des sites d'armes chimiques
par Gerard Fredj
Alors que l'inquiétude grandit dans la région sur le sujet, à deux reprises le mois dernier, Israël aurait envisagé une attaque contre les installations d'armes chimiques en Syrie et aurait demandé son accord à la Jordanie.

C'est ce qu'affirme Jeffrey Goldberg, un journaliste du site d'information et d'analyses The Atlantic (Goldberg a été plusieurs fois primé pour ses reportages, il a notamment reçu le prestigieux prix du "National Magazine" aux Etats Unis).

Benjamin Netanyahou aurait ainsi dépêché à Amman, à deux reprises le mois derniers, des responsables du Mossad pour s'entretenir de la menace chimique syrienne et obtenir un "feu vert' du royaume hachémite pour une intervention militaire.
La Jordanie aurait cependant donné une réponse négative à ces demandes.

Selon des officiels américains cités dans l'article, les dirigeants jordaniens estimaient que le moment "n'était pas le bon".
Israël aurait bien entendu mené une opération sans accord jordanien, mais aurait craint les répercussions d'une opération militaire.

Pour des sources proches des services de renseignement, les drones israéliens surveilleraient de près la frontière syro-jordanienne, et l'état hébreu mais les américains seraient particulièrement attentifs à des mouvements suspects d'armes chimiques.

Le New York Times rapportaient dimanche que les services de renseignements occidentaux signalaient un niveau d'activité élevé sur les sites de stockages syriens d'armes chimiques, sans qu'il soit possible de dire si le régime de Bashar Al-Assad cherchait à les utiliser contre les forces rebelles, ou à dissuader les occidentaux d'aider la rébellion par des "gesticulations" autour de son arsenal chimique.

"C'est quelque chose que le régime syrien à déjà fait", a expliqué un responsable du renseignement américain au New York Times tout en précisant que "les mouvements autour des sites laisseraient cette fois ci penser qu'Assad pourrait faire usage de ces armes".
Il semblerait que des ogives aient en effet été chargées, prêtes à être lancées.
Les américains estimaient lundi que les syriens avaient amorcé une phase de mélange de gaz pour les rendre actifs.

Les Syriens auraient plusieurs dizaines de sites d'armes chimiques et biologiques avec notamment des substances neurotoxiques tels que sarin, ou plus violents (tabun, VX).
En septembre, les Etats Unis avaient déjà signalé des mouvements de ces armes, indiquant que le régime cherchait à les mettre "à l'abri" de la rébellion.

Le roi Abdallah de Jordanie a, publiquement et à plusieurs reprises, fait part de ses craintes concernant une possible utilisation d'armes chimiques par les troupes loyales à Bashar Al-Assad, si celui-ci était acculé.

 

Comment la Palestine pourrait saisir la CPI ? (JForum.fr).

L’obtention à l’ONU, le 29 novembre, du statut d’"État observateur non membre" permet à la Palestine de saisir la Cour pénale internationale pour les violations prétendument commises par Israël. Une procédure digne du parcours du combattant.

L’obtention, jeudi 29 novembre, du statut d’"État observateur non membre" aux Nations unies permet aux Palestiniens d’accéder à nombre d’instances onusiennes dont celle, très sensible, de la Cour pénale internationale (CPI).

En juillet 2009, l’Autorité palestinienne a déjà sollicité la juridiction sur des crimes de guerre prétendument commis par l’armée israélienne lors de l’opération "Plomb durci" contre la bande de Gaza (décembre 2008-janvier 2009). Le procureur de la CPI, Luis Moreno Ocampo, s’était alors déclaré juridiquement incompétent, laissant à l’ONU le soin de trancher sur le statut de la Palestine.

Forte de son statut d’État observateur, la Palestine ne deviendra pas pour autant automatiquement signataire du statut de Rome qui régit le fonctionnement de la CPI. Elle devra en faire la demande auprès de l’Assemblée générale de l’ONU.

 

Comment fonctionne la CPI ?

Installée à La Haye, aux Pays-Bas, la CPI est compétente pour poursuivre les auteurs présumés de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis depuis le 1er juillet 2002, date d’entrée en vigueur du statut de Rome. Ce dernier a été, à ce jour, ratifié par 121 États. Parmi les pays non signataires figurent Israël, les États-Unis, la Chine et la Russie.

Seuls des individus, par opposition aux États, peuvent être poursuivis par la juridiction. En outre, cette dernière ne peut engager des poursuites contre un individu qu’à la condition que ses crimes aient été commis sur le territoire ou par un ressortissant d’un État partie ou d’un État ayant reconnu la compétence de la Cour.

Comment saisir la CPI ?

Pour le cas palestinien, les possibilités seraient limitées. Si la Palestine peut espérer l’ouverture d’une enquête sur sa demande ou à l’initiative du procureur de la CPI (sous réserve de l’avis des juges), il reste peu probable que le Conseil de sécurité des Nations unies réclame, comme il en a le droit, la saisie de la juridiction internationale. Alliés d’Israël, les États-Unis useraient très probablement de leur droit de veto à toute démarche allant dans ce sens.

Pour quels motifs ?

Outre les crimes de guerre présumés lors de l’opération "Plomb durci", la colonisation israélienne pourrait faire l’objet d’une saisine de la CPI. D’après l’agence de presse Reuters, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, se serait dit, en privé, préoccupé par la perspective que les Palestiniens puissent poursuivre Israël pour le déplacement forcé de populations.

Bien qu’elle ait précisé ne pas vouloir se "précipiter" sur la CPI, l’Autorité palestinienne a, pour sa part, évoqué la possibilité de poursuivre l’État hébreu pour sa politique de colonisation. Si Israël "continue de violer la loi, de ne pas respecter les résolutions du Conseil de sécurité, de construire illégalement des colonies - ce qui est un crime de guerre du point de vue de la CPI - nous consulterons tous nos amis, dont les Européens, sur ce qui doit être fait pour forcer Israël à respecter" le droit international, a précisé Riyad Mansour, l’observateur palestinien permanent à l’ONU.

Par ailleurs, s’il était avéré, l’empoisonnement de Yasser Arafat, dont la dépouille a été exhumée le 27 novembre, pourrait amener les Palestiniens à entreprendre des démarches à La Haye. "Si nous avons la preuve que Yasser Arafat a été empoisonné, nous irons devant la Cour pénale internationale, a déclaré, le 27 novembre, le chef de la commission d’enquête palestinienne. Ce sera le premier cas dont les Palestiniens saisiront la CPI après avoir obtenu le statut d’État observateur à l’ONU."

Les groupes armés palestiniens seraient-ils également exposés à des poursuites ?

Une adhésion à la CPI pourrait également avoir des répercussions sur les groupes armés palestiniens, en particulier le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza. Régulièrement dénoncés par Israël, l’ONU et les ONG internationales, les tirs de roquettes effectués par le groupe islamiste contre l’État hébreu peuvent être également assimilés à des crimes de guerre par la législation internationale.

D’après la Convention de Genève, il est en effet "strictement interdit de diriger des attaques à l’encontre d’une population civile". Au regard des textes de la CPI, les attaques du Hamas constituent également un crime de guerre.

FRANCE 24 avec dépêches

 

 

Une famille juive agressée à Aix-en-Provence (JForum.fr).

Le BNVCA nous rapporte l’agression antisémite commise le 29/11/12 à 22h30, contre une famille juive, rue Clémenceau à Aix en Provence, par 4 jeunes décrits comme d’"origine maghrébine ".

Le père de la famille victime, Mr KH....B. 40 ans,relate au BNVCA qu’alors qu’il était avec sa famille dans son apartement situé au 1er étage d’un immeuble cossu de la rue Clémenceau, à Aix en Provence, il entend à travers la porte des cris "SALE JUIF SALE JUIF...ON VA TE FAIRE TON SHABAT SHALOM ETC..." .

Mr KH. B qui ne s’explique pas les raisons de cette agression, soupçonne les auteurs de l’avoir identifié comme juif, et repéré par la présence de cet objet religieux fixé sur sa porte : la Mezouza .

Quand il ouvre sa porte, il se trouve en présence de 3 jeunes qu’ils décrit comme « âgés de 17 à 25 ans, d’origine maghrébine, ».

Ils le prennent à partie, le frappent, arrachent la Mezouza, la piétinent, crachent dessus, et urinent dessus, comme sur la porte de l’appartement .

ls auront aussi uriné sur les portes du magasin situé au bas de l’immeuble avant de s’enfuir.

La victime qui fait appel à la police dit souffrir de blessures vertébrales . Le BNVCA recommande à la victime de déposer plainte et de ne rien toucher avant les constatations et prélèvements de preuve que la police scientifique devra effectuer.

Le BNVCA qui met son avocat à la disposition de la victime assure la famille victime de son soutien .

Le BNVCA demande à la police de tout mettre en oeuvre pour identifier les auteurs de cette agression, Le BNVCA a reçu les assurances du Préfet que l’affaire sera suivie avec la plus grande attention.

 

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme

8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 06 63 88 30 29

 

 

 

Alerte nucléaire à Téhéran et Moscou

Alerte nucléaire à Téhéran et Moscou due au risque d’explosion de Bushehr

 
 

Barres de combustible retirées du réacteur nucléaire de Bushehr.

Le réacteur nucléaire de Bushehr a été fermé à la mi-octobre, par crainte d’une explosion. Samedi 1er décembre, une source de l’autorité de l’industrie nucléaire russe a révélé la cause de ce dysfonctionnement : « Des indicateurs ont montré que certaines petites pièces extérieures, de la cuve du réacteur de Bushehr… ont été identifiées comme étant des vis dispersées sous les cellules de carburant ».

 

Les sources moscovites de Debkafile rapportent que cette information provient d’une source du bureau de Sergueï Kiriyenko, chef de l’autorité à l’énergie nucléaire russe Rosatom, qui a supervisé la construction du premier réacteur atomique d’Iran à Bushehr.

 

Selon nos sources des renseignements, les experts scientifiques et ingénieurs russes se sont précipités depuis Moscou vers Bushehr, dès que les dirigeants russes, y compris Vladimir Poutine ont été prévenus que le danger d’explosion à Bushehr était élevé. Ni Moscou ni Téhéran n’ont communiqué pour dire ce qui se passait. Actuellement, ils sont lancés dans une course contre la montre pour remettre le réacteur en service.

 

Les experts russes estiment qu’une explosion dans le réacteur de Bushehr dispose d’un potentiel suffisant pour provoquer un million de morts iraniens et des centaines de milliers de victimes des radiations dans les Emirats du Golfe Persique, qui approvisionne le monde d’un cinquième de son carburant. Le risque était si élevé en octobre que Poutine a ordonné aux équipes commandant le Ministère russe de l’Urgence, entraînées pour les désastres nucléaires de s’installer à l’extérieur de Bushehr, dans le Sud de l’Iran et de préparer l’infrastructure à recevoir des équipes plus importantes. Les ingénieurs ont immédiatement fermé le réacteur et enlevé ses 163 barres de combustibles. Les vis démontées dans la cuve du réacteur ont été examinées pour découvrir de quelle partie de l’installation elles s’étaient détachées – des barres de combustible ?- ce qui aurait embarrassé la Russie en tant que fournisseur, ou d’une autre partie du réacteur. La source russe qui a révélé l’accident, a fait le point en disant que les vis étaient des « petites pièces externes », indiquant qu’elles ne provenaient pas des barres de combustible. Nos sources des renseignements à Moscou rapportent que deux causes extérieures possibles de dysfonctionnement sont passées au peigne fin à Moscou et Téhéran :
1. Les vis ont été délibérément dévissées et sont tombées dans la cuve du réacteur, à la suite d’un acte de sabotage.

 

2. Le virus Stuxnet qui s’est attaqué au programme nucléaire iranien, il y a deux ans, est de retour et aurait altéré les ordinateurs du réacteur.

 

Il y a cinq mois, l’Iran a suspendu ses opérations dans l’installation souterraine d’enrichissement de Fordo, près de Qom, à la suite du sabotage, le 17 août, des lignes électriques approvisionnant le site, alors que certaines centrifugeuses avaient explosé. Les Iraniens ont repris le travail à Fordo, durant la seconde moitié de septembre, sans découvrir qui était responsable de l‘incident. Cependant, le soupçon de sabotage de Bushehr a immédiatement traversé les esprits des investigateurs russes et iraniens, quoiqu’ils n’aient pas écarté la possibilité d’un accident ou le résultat d’une incompétence.

 

Bushehr fournit un cinquième du réseau national d’électricité de l’Iran et il était, par conséquent, important de le remettre en marche sans délai. Nos sources rapportent que lundi 26 novembre, les ingénieurs russes et iraniens ont rechargé les barres de combustible – sans expliquer encore pourquoi on avait dû les retirer.

 

Vendredi 30 novembre, peu avant l’aveu de Moscou, Téhéran, pour la première fois, au cours de ses vingt ans de programme nucléaire, a fait preuve de préoccupations concernant l’impact des « accidents nucléaires », dans les sites nucléaires iraniens, sur le bien-être de la population et de l’environnement.

 

Gholamreza Massourni, directeur du centre médical d’urgence et de traitement des accidents, a annoncé que : « Nous pensons que tous nos centres d’urgence devraient subir un entraînement et être prêts à faire face à des accidents nucléaires ». Il a fait référence à des « accidents » dans le Site de Conversion d’Uranium d’Ispahan, où le Yellowcake est converti en uranium hexafluoride hautement toxique et a révélé : « Des gens qui vivent dans la région, par exemple, dans le SCU d’Ispahan- ont subi des accidents pour lesquels on a dû les traiter ».

 

Il a admis que certains employés d’Ispahan souffrent de « problèmes de santé » et a averti de « problèmes que les civils vivant près des sites nucléaires pourraient rencontrer ».

 

Les commentaires de Massourni ont été retirés du site internet de l’agence de presse semi-officielle Mehr, quelques heures à peine après avoir été publiés.

 

Les responsables à Téhéran, déjà nerveux à cause de la quasi-catastrophe de Bushehr, doivent avoir réalisé que les commentaires sur le besoin impératif de préparer les services d’urgence à des accidents nucléaires, s’ils sont liés à des « problèmes de santé » à Ispahan et au risque de désastre à Bushehr, constituait la recette pour un scénario cauchemardesque de panique massive dans la population et de protestations dans la Région du Golfe à cause des risques créés par le programme nucléaire de l’Iran –bien avant même qu’il n’est produit une arme atomique.

http://www.debka.com/article/22577/Alarm-in-Tehran-and-Moscow-over-Bushehr-nuclear-reactor%E2%80%99s-near-explosion-in-mid-October

DEBKAfile Reportage Exclusif 1er Decembre 2012, 1:13 PM (GMT+02:00)

Adaptation : Marc Brzustowski. 

 

 

l’Occident observe l’islam avec des lunettes roses …

Vladimir Fédorovski : « l’Occident observe l’islam avec des lunettes roses … la France est en grand danger »

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Vladimir Fédorovski

 

Ancien diplomate, l’écrivain Vladimir Fédorovski connaît « la face cachée de l’Orient ». Regard sans concession sur le développement de l’islamisme. Entretien publié sur Tendance Ouest* et passé à peu près totalement inaperçu, étrange.

Quelle distinction faites-vous entre islam et islamisme ?

« L’islam est une grande religion mais l’islamisme modéré n’existe pas. Le Coran est une religion de tolérance et d’équilibre mais l’islamisme est une manipulation de la religion à des fins politiques. S’il faut faire alliance avec la classe moyenne des pays arabes, il ne faut pas se faire d’illusions en essayant de s’associer à l’islamisme ».

Comment l’islamisme est-il appréhendé dans le monde ?

« Nous vivons une période de flou très dangereuse. Je constate un recul de l’analyse. On nous a promis la démocratie en Libye, on y constate la charia. On nous a promis la liberté en Egypte, les frères musulmans y ont pris le pouvoir. Idem demain en Tunisie et au Yémen. Autant de raisons qui nous obligent à rester très lucides et intransigeants sur les valeurs de l’Occident. Nous avons interdit les foulards islamiques dans les lieux publics mais les Jeux Olympiques les ont tolérés. Si je condamne avec fermeté les récentes caricatures de l’islam, les réactions extrêmes ayant provoqué des morts sont un signe de fanatisme inacceptable. L’islamisme agressif menace la paix dans le monde ».

Quel est l’objectif de l’islamisme ?

« Le changement géopolitique dans le monde au détriment de l’Occident. Les racines de l’islamisme sont lointaines et nourrissent aujourd’hui de nombreux courants (salafisme, djihadisme, partis intégristes…). Quand on entre sur les sites web islamistes, on découvre leur projet : créer des califats “de l’Asie centrale jusqu’à Poitiers”. Les Russes sont très attentifs parce qu’ils savent que demain, le Caucase peut s’embraser. En Russie, chaque jour, des imams traditionnels sont tués par des radicaux« .

Comment expliquez-vous la position russe sur le dossier syrien ?

« Il ne faut pas croire que la Russie a beaucoup de sympathie pour Assad à qui elle vend des armes. Je critique souvent Poutine mais sur la Syrie, il pose simplement une question : qui, après Assad ? Le djihadisme et son extrême violence sont en embuscade dans ce pays. Ces perspectives affolent la Russie mais aussi les chrétiens d’Orient ».

Pourquoi dénoncez-vous l’angélisme de l’Occident ?

L’islamisme modéré auquel croient les américains est un peu comme le bolchévisme modéré : cela n’existe pas.

« L’Occident observe cela avec des lunettes roses. Il croit que l’islamisme peut évoluer, voire se transformer s’il accède au pouvoir, selon le message politiquement correct répandu aujourd’hui. Malheureusement, cette analyse, qui correspond à la vision américaine actuelle, n’est pas suffisamment stricte. Consulté par les Etats-Unis sur le sujet, j’ai expliqué que l’islamisme modéré auquel ils croient est un peu comme le bolchévisme modéré : cela n’existe pas. L’Amérique a déjà tenté des expériences comme l’utilisation de Ben Laden contre les Russes, cela a abouti au 11 septembre. Elle a essayé de miser sur la société civile libyenne, la mort de Kadhafi a enflammé le Maghreb et on observe la propagation d’une sorte de nouvel Afghanistan au cœur de l’Afrique du Nord. Sans compter les otages français, la circulation des armes partout et l’Iran qui prône la destruction d’Israël avec le danger de l’arme atomique… Si un jour Israël est attaqué, nous serons aux portes d’une guerre mondiale. Cette situation exige une extrême lucidité. »

Que pensez-vous de l’intégration des musulmans en France ?

« C’est un grand raté. La gauche et la droite en portent la responsabilité depuis trente ans et la société française est en danger. On ne devrait pas mentir sur les chiffres mais regarder les réalités en face. »

Source: * http://www.tendanceouest.com

 

 

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