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10.000 manifestants à Budapest contre la haine des juifs

Budapest manifestation contre antisémitisme
 

Ils étaient nombreux, à Budapest, à protester contre les dérives antisémites d’un député. Il s’agit de Marton Gyöngyösi, un élu de Jobbik, le parti d’extrême droite, qui a proposé au Parlement d‘évaluer le nombre de juifs dans les instances politiques, évoquant une menace pour la sécurité nationale.

Une provocation, à laquelle près de 10 000 hongrois, toutes appartenances politique ou religieuse confondues, ont réagi ce dimanche.

“C’est un parti nazi, estime l’un des protestataires Gyorgy Sarkozy. Ils reprennent un discours qui a conduit au massacre de 600 000 juifs durant la seconde guerre mondiale. Jusque-là, personne n’avait protesté contre ce parti, qui s’exprime ouvertement.”

“Je suis venu car huit membres de ma famille ont été pris par les nazis, et seulement quatre ont survécu, témoigne un autre manifestant, Andras Fraud. J‘étais un enfant, j’avais à peine six ans, et ma mère a dû m‘élever toute seule.”

Le Fidesz, le parti du Premier ministre conservateur Victor Orban, a souvent été stigmatisé pour ses positions populistes, visant à séduire les électeurs du parti d’extrême-droite Jobbik.

Pour voir la vidéo de la manifestation cliquez ici

 

 

Pétiton: Expulsons de Jérusalem l´ambassadeur de France en « Palestine »

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La France « meilleure faux amie » d’Israël depuis 40 ans envisage de prendre des sanctions contre Israël suite à l’annonce du gouvernement de construire 3000 nouveaux logements entre Maale Adoumim et Jérusalem, territoires israéliens !

François Hollande, à l’instar de son prédécesseur qui se prétendait ami d’Israël, vient de signer l’un des plus grands « coups bas » de la diplomatie française: lors de la visite de Netanyahu il avait annoncé que la France ne soutiendrait pas la demande palestinienne à l’ONU prétendant que seule la négociation ferait avancer la paix. Or, non seulement la France a voté pour la demande palestinienne de l’octroi du statut d’Etat observateur mais elle a de plus essayer d’entraîner toute l’Europe dans ce vote inique et stupide d’une diplomatie dhimmi de l’OCI !

Voici une pétition destinée au Premier Ministre Benyamin Netanyahu lancées par nos amis de JSSNews :

« La France envisage de prendre des sanctions contre votre Gouvernement, suite à l´annonce de la construction de 3.000 logements dans la zone E1, entre Maale Adoumim et Jérusalem. Si cette information, véhiculée par le journal Haaretz, se révélait être vrai, votre Gouvernement serait bien inspiré d’anticiper cette décision.

Alors que le Président français François Hollande avait affirmé que la France ne se rallierait pas à la demande faite par Mahmoud Abbas pour l´octroi à la « Palestine » du statut d’état observateur à l´ONU, la France a finalement voté en faveur de cette résolution. Le Ministre français des Affaires Etrangères a même déclaré que la capitale de ce « non état » devait être Jérusalem-Est.

Dans ces conditions, je demande que le gouvernement d´Israël décide ipso-facto d´expulser le Consul Général de France à Jérusalem, Monsieur Frédéric Desagneaux, qui d´ailleurs a également le rang d´Ambassadeur. Puisque la France considère ce diplomate comme son Ambassadeur en Palestine, qu´il soit donc nommé à Gaza ou Ramallah mais pas notre capitale qu´il considère appartenir aux Palestiniens et non à Israël.

Jérusalem, qui nest même pas reconnue comme capitale d´Israël, est donc devenue la « capitale de la Palestine » sans qu´aucune mesure concrète ne soit prise à l´égard de « nos amis » qui nous ont trahis. Il est de votre devoir d´agir pour que la respectabilité d´Israël ne soit plus mise à mal.

Et ainsi, les relations diplomatiques entre Israël et la France seraient clarifiées.

Je vous remercie de l´attention que vous voudrez bien porter à ce courrier et vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères, à l’assurance de mes sentiments respectueux. »

Pour signer la pétition cliquez ici

 

 

Un « coup de force » désignant Jérusalem, capitale de Palestine est prévisible !, par Arnold Lagémi

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La supercherie et le mensonge, surtout quand le vent est en poupe, ressemblent à des fauves en chasse : Le flair s’affine devant la proie encore lointaine mais qu’on devine accessible. Après avoir reçu de l’ONU, l’identité convoitée d’Etat, les Palestiniens ne tarderont pas à demander, exiger que Jérusalem soit, au plus vite, reconnue capitale du nouvel Etat Palestinien.

Peut-être même, que sera monté le simulacre de vote à l’ONU. Les USA apposeront leur véto mais, ayant abandonné les procédures d’équité pour la réalité pragmatique du « coup de force », tout se passera comme si le blocage au Conseil de Sécurité, n’empêchera pas, par exemple, les Palestiniens de soumettre le dossier à la Cour Internationale, pour avis, sinon pour décision ou faire pression sur la Ligue Arabe afin que celle-ci chargeât le pape d’en exprimer la demande et d’en justifier la légitimité. Celui-ci empêtré dans les problèmes sécuritaires frappant les communautés chrétiennes vivant dans les pays arabes, y verra, peut être l’occasion d’un répit.

En dépit du soutien américain, n’oublions pas l’inaptitude de celui-ci à empêcher la reconnaissance onusienne de l’Etat Palestinien.

Plus d’une ruse peut se substituer au droit et rendre la volonté palestinienne inéluctable. Quelle sera alors la position du gouvernement israélien ?

Le poison fatal, le danger ultime, c’est l’initialisation d’un procédé d’une extrême dangerosité qui a fait que, pour une décision aussi essentielle à la stabilité du Moyen Orient qu’à la paix du monde, l’ONU a pris une décision sans même consulter Israël, créant ainsi un précédent qui pourrait être utilisé pour la reconnaissance de Jérusalem, comme capitale de l’Etat Palestinien.

Au-delà du fait, le mode opératoire choisi atteste la limitation du droit d’Israël à commenter une décision le concernant au premier chef. Implicitement le vote historique de l’ONU ayant écarté Israël, s’est comporté comme si l’Etat d’Israël n’avait pas, lui, de reconnaissance juridique. La parade est trouvée. On décide, le monde et Israël s’inclineront !

De plus, il y a dans le comportement palestinien le désir de savoir si l’Occident pose on non des limites aux revendications palestiniennes. L’absence de tout rappel à l’ordre, signifie, confirme et invite à de nouvelles demandes, quand bien même, elles relèveraient de l’insolite, de l’extravagance et de la provocation.

Les Palestiniens savent la place que tient Jérusalem dans l’histoire et la conscience d’Israël. Ils savent aussi que le Saint-Siège est favorable à l’internationalisation des Lieux Saints. Quant à l’Europe, sa promiscuité avec toutes les formes de compromission la prépare à l’abandon de l’intérêt, quand bien même vital, d’Israël, si elle devait y trouver une amorce de longévité que son absence d’ambition a réduit à une coalition de la médiocrité !

Le monde est donc mis sous tension et placé dans l’obligation d’un choix !

Je disais hier que si Israël démontre effectivement sa force, que les Nations sentent et sachent, « l’Etat de Palestine » en premier, que « jeter le bouchon » trop loin entraînerait des conséquences lourdes, nous assisterions à une modération prévisible de l’adversaire.

Ce qui reste préoccupant, cependant, c’est l’inévitabilité du problème posé par Jérusalem. Car un Etat sans capitale n’est pas un Etat. Ce qui est inquiétant donc, c’est le black-out gouvernemental à ce sujet.

Espérons qu’il s’agit là de l’application du mot fameux « Un vieux soldat n’abat pas toutes ses cartes en même temps. » Sinon…

On aimerait donc entendre le Premier Ministre confirmer que le gouvernement d’Israël est conscient de la proximité de ce nouveau danger !

Source : Arnold Lagémi

 

 

Selon l’ONU: « Israël occupe illégalement le Mur des Lamentations… (Europe Israêl).

Le vote de l’Assemblée générale déclarant que la Palestine, dans les frontières d’avant 1967, est un «Etat», du moins à certaines fins, aurait de mauvaises conséquences juridiques, si elles venaient à être prises au sérieux par la communauté internationale. Cela voudrait dire qu’Israël, qui a gagné une partie du territoire jordanien dans Jérusalem-Ouest après la guerre de 1967, occupe illégalement le Mur des lamentations (site le plus sacré du judaïsme), le quartier juif de la vieille Jérusalem (où les juifs ont vécu pendant des milliers d’années), les routes qui mènent à l’Université hébraïque (qui a été créée bien avant qu’Israël soit un Etat) et d’autres domaines nécessaires à la sécurité de ses citoyens.

Cela signifierait également que la Résolution 242, dont le but était de permettre à Israël de conserver une partie des territoires conquis pendant la guerre défensive de 1967, serait annulée par le vote de l’Assemblée Générale, quelque chose que la Charte des Nations Unies interdit explicitement. Ce serait la première fois dans l’histoire qu’une nation doive retourner toutes les terres qu’elle a gagnées légalement.

Si tous les territoires conquis par Israël dans sa guerre défensive sont illégalement occupés, alors le Nouvel Etat de Palestine pourrait porter l’affaire devant la Cour Pénale Internationale afin de faire emprisonner les leaders politiques et militaires israéliens impliqués dans « l’occupation » de ce territoire… Cela signifie que pratiquement tous les dirigeants israéliens pourraient être mis en cause. Ils ne pourraient alors plus voyager à l’étranger où ils risqueraient d’être extradés vers la Haye.

Ces conclusions absurdes suivent le théâtre de l’absurde qui a eu lieu lors de l’Assemblée générale, pour la millième fois, en publiant une déclaration unilatérale hors de propos sur la Palestine. Comme Abba Eban l’a dit un jour: «Si l’Algérie présentait une résolution de l’Assemblée générale que le monde était plat et qu’Israël l’avait aplati, elle passerait avec 100 voix pour contre 10, avec 50 abstentions.» C’est à peu près ce qui s’est passé l’autre jour. Je me demande si les pays européens qui ont voté pour la résolution connaissaient les erreurs légales qu’ils étaient en train de mettre en place.

Ce n’était pas la résolution d’une reconnaissance de la solution à deux Etats, car un nombre considérable d’États qui ont voté en faveur de la création de la Palestine ne reconnaissent pas le droit à Israël d’exister.

Ce qu’ils voulaient, c’était une solution à Un état, un autre Etat appliquant la sharia qui ne permettra pas aux juifs ou aux chrétiens des droits égaux.

D’ailleurs, cette résolution onusienne n’encourage pas plus les Palestiniens à faire un pas vers la paix puisque rien ne les oblige à négocier avec Israël, comme pourtant Jérusalem le souhaite tant. Les Palestiniens sont désormais peu enclins à négocier un Etat, ce qui nécessiterait d’importants compromis et sacrifices de tous les côtés. Ils pensent maintenant qu’ils peuvent obtenir leur État reconnu, sans la nécessité d’abandonner le droit au retour ou à faire le genre de compromis territoriaux nécessaires à la sécurité d’Israël. L’action des Nations Unies ne fera que décourager les Palestiniens d’entrer dans des négociations sérieuses avec Israël.

L’action des Nations Unies incitera également le Hamas à continuer à tirer des roquettes sur Israël, sur une base périodique, afin de provoquer des représailles israéliennes.

Dans l’ensemble, avec ce vote des Nations Unies, il sera difficile de parvenir à une solution pacifique de deux États, acceptable pour les deux parties.

David Da Silva – JSSNews

 

Pourquoi Benjamin Netanyahou fait payer Barack Obama (Israel infos)

par Gerard Fredj
La colère de Barack Obama tient moins aux conséquences de la décision israélienne de construire 3000 logements dans la zone dite E1 sur un hypothétique processus de paix, que sur le message qu'il a compris des dirigeants israéliens.

On pourrait croire les israéliens ingrats, alors que le Président n'a pas ménage son soutien à l'état hébreu pendant l'opération Pilier de Défense, ni lors du vote en faveur de l'attribution du statut d'état non membre à la Palestinee.

Pourtant, la décision israélienne est en réalité déconnectée de ces évènements et,, contrairement aux apparences, la décision est plus tournée vers l'administration américaine qu'en direction de Mahmoud Abbas.
Et le message est passé car Obama aurait intensifié ses critiques à l'égard du gouvernement israélien lorsqu'il aurait compris qu'il s'agirait d'une mesure de "représailles "israélienne.

C'est en effet le refus de l'administration américaine d'honorer un égarement du précédent Président qui aurait conduit Benjamin Netanyahou à ne plus se sentir engagé par la décision de ne pas construire dans cette zone, proche de Maale Adoumim.

En fait, Jérusalem aurait préparé sa décision depuis un certain temps et aurait simplement attendu un "prétexte" pour la mettre en œuvre.
Un coup en deux temps en quelque sorte : 100 millions de dollars pour "punir " l'Autorité palestinienne – confiscation des taxes collectées pour le compte de l'AP – et payer l'arriéré de facture d'électricité et la décision de construire dans la zone E1 pour faire payer les USA.

Mais leur faire payer quoi?

Le 14 avril 2004, le Président Bush a envoyé une lettre à Ariel Sharon, Premier ministre israélien.

Une lettre qui faisait partie d'un échange de plusieurs missives entre les deux dirigeants, avant le désengagement israélien unilatéral de Gaza, qui précisait la position de l'administration américaine et ses engagements à l'égard de l'état hébreu.

Ces échanges contenaient une clause vue par les israéliens comment un soutien à leur demande de " conserver certaines implantations juives" des territoires disputés, comme d'autres engagement étaient pris par l’Égypte sur la sécurisation de la nouvelle frontière.

"A la lumière des nouvelles réalités de terrain, y compris l'existence d'importants centres de population juive, il serait irréaliste d'imaginer que lors des négociations, le statut final des discussions pourrait se traduire par un retour aux lignes d'armistice de 1949, et tous les efforts pour négocier une solution à deux états ont conduit aux mêmes conclusions. Il est réaliste d'imaginer que le statut final d'un accord se traduira par des échanges mutuels (de territoires, ndlr) qui reflèteront ces réalités", écrivait le Président américain.

En dépit de ses efforts, Israël n'est pas parvenu à convaincre l'administration Obama de reprendre à son compte les termes des courriers de Bush, et d'en faire la position officielle américaine dans les négociations sur la délimitation des frontières entre palestiniens et Israéliens.

Le point culminant de ce désaccord est apparu lors du discours de Barack Obama, le 19 mai 2011, affirmant que la "délimitation des frontières devait être basée sur les lignes de 1967, avec des accords d'échanges mutuels de territoires".

Une façon de clôturer l'épisode u désengagement israélien et des promesses non tenues, ni par les américains, ni par les égyptiens.

 

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