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Arrestation du responsable des jets de cocktails Molotov ayant blessé 4 soldats de Tsahal

Tsahal et l’Agence de Sécurité israélienne (Shin Bet) ont arrêté l’auteur d’une attaque au cocktail Molotov qui s’est déroulé le 15 mai 2013 (durant la fête de Shavouot). Des cocktails Molotov ont été jetés sur un véhicule de Tsahal, blessant 4 soldats de Tsahal. Lors de l’enquête, le suspect a avoué être responsable de cette attaque et de plusieurs autres actes de violence.

 

Les forces de sécurité israéliennes ont également arrêté une dizaine d’autres suspects ayant participé à des émeutes et jeté des pierres et cocktails Molotov au sud-ouest de Hébron.

Des chefs d’accusations ont été déposés contre les suspects.

Tsahal et l’Agence de Sécurité continuent de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour arrêter les actes terroristes en Judée-Samarie. Dans la première moitié de l’année 2013, 468 attaques à la bombe incendiaire ont été recensées en Judée-Samarie

Lu sur le blog de Tsahal, Armée de Défense d'Israël

 

Réaction de l’Assemblée Citoyenne Européenne contre le Boycott des infrastructures israéliennes

UNION EUROPÉENNE : COÏNCIDENCES OU DOUBLE JEU ?

Pourquoi l’ACE ne soutiendra pas une directive de l’Union Européenne qui interdira toute subvention, tout financement ou contrat avec Israël.

 Cette décision n’est ni plus ni moins qu’un embargo déguisé pour les infrastructures israéliennes implantées au-delà de la ligne d’armistice de 1967 (ligne de front entre la Jordanie et Israël). Elle devrait entrer en vigueur en 2014 et prendre fin en 2020. Il est intéressant de constater que cette directive visant les intérêts économiques d’Israël  exportant en majorité ces produits (68% de son exportation) vers l’union Européenne arrive juste après l’ouverture des négociations entre l’Union Européenne et les Etat Unis d’Amérique pour un accord de libre-échange.

Quelques coïncidences troublantes survenues cette semaine en rapport avec Israël :

-l’interdiction de l’abattage cachère  en Pologne qui exporte la majorité de sa viande bovine vers Israël

-La manifestation des Bédouins du Néguev qui sont des populations palestiniennes d’Israël possédant  la citoyenneté israélienne.

Le Haut Comité de suivi de la communauté arabe israélienne avait appelé à une « grève de la colère », avec une quinzaine de rassemblements prévus dans le Néguev en Galilée (nord), notamment à Oumm al-Fahem, et à Jaffa, dans l’agglomération de Tel-Aviv. Tous ces événements ont l’air d’être une prise d’otage économique et politique de l’Etat Hébreu. La bonne question à se poser est de savoir quels sont les intérêts en jeux. Il est évident que cette directive prend la forme d’un embargo et semble porter l’empreinte d’un « lobby-arabo-pétrolier » mêlé à une stratégie diplomatique de l’Union Européenne.

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L’Union Européenne aurait-elle  l’intention de se servir de cette directive afin de peser sur les négociations  avec les Etats Unis?

A notre avis, l’Union Européenne ne devrait pas s’ingérer dans la vie politique d’Israël, nous avons vu cette même attitude à l’égard de la Turquie pendant les manifestations du parc de Gezi au mois de mai, l’attitude de l’Union Européenne fut de souffler sur les braises en déformant les réalités politiques.

La politique internationale de l’Union Européenne semble dénuée de certaines valeurs de justice et de vérité, notamment au sujet du Moyen Orient qui compte comme nations démocratiques Israël et la Turquie.

 L’Union Européenne peut- elle vraiment se permettre de tourner le dos à ces deux grandes démocraties ?

Hasan URAN

Conseiller politique de l’ACE
19/07/2013 08:57
En savoir plus : http://www.lassemblee-citoyenne-europeenne.eu/news/union-europeenne-%3a-co%c3%afncidences-ou-double-jeu-/#.UejjyyM_QDk.facebook

Lu sur Europe Israël

 

Riposte : Israël menace de fragiliser le prestige de l’UE et le succès du Projet « Horizon 2020 ».

 

Israël  fourbit ses armes. Face à l’arrogance, l’incohérence et l’incompétence criante de l’UE, la science, le savoir et la technologie sont des atouts majeurs pour Israël. Une question d’éthique se pose aussi : l’Europe revient à ses vieux démons antisémites et choisit le camp de la haine, de la dhimmitude et du déshonneur. Israël ne peut continuer à faire route avec un tel partenaire.

 

 En réponse à la directive européenne qui contrevient aux revendications légitimes et aux droits souverains d’Israël sur sa propre terre, le gouvernement a pris ses premières mesures de rétorsion. [EU directive that attacked Israel’s sovereign rights and claims over the land of Israel]

Selon un rapport de Ma’ariv, Israël a menacé de se retirer de l’important projet européen de science et technologie, le projet  « Horizon 2020 ».

Israël est le seul partenaire non-européen à part entière dans ce projet et est supposé y investir 600 millions d’Euros sur 7 ans.

Outre l’impact financier négatif que ce retrait générerait, c’est aussi un coup sérieux donné au prestige du programme et à ses chances de succès. Israël est un partenaire central des projets entrepris par Horizon 2020, et leurs réussites reposent en partie sur la qualité des ressources humaines et celle des chercheurs israéliens.

En promulguant sa directive anti-israélienne, l’UE a cru tenir Israël sous sa gâchette, mais les Européens ont surestimé leur puissance, d’autant qu’Israël ne manque pas de moyens de rétorsion.[Israel clearly has plenty of powerful ammunition it can fire back in return].

Par: Jewish Press News Briefs - 18 juillet, 2013
Traduction Nancy Verdier

 © Copyright Europe Israël – reproduction autorisée avec mention de la source et lien actif

 

Quelques nouvelles d'Israël (JSSNews)

Sous le gaz, le pétrole: Israël a t-il touché le super-jackpot avec Leviathan ?

«Le puits de pétrole le plus profond foré en 65 ans d’histoire d’Israël et peut être le plus important », écrit le site économique américain « Bloomberg » dans un article sur le nouveau forage de Léviathan, qui ciblera les couches pétrolifères situées à 6.500 mètres sous le fond marin méditerranéen. Ces couches peuvent avoir jusqu’à 1,5 milliards de barils de pétrole brut, correspondant à environ 15 années d’utilisation de ce pétrole par Israël. Les couches pétrolifères sont sous les strates de gaz, où 17 milliards de mètres cubes de gaz ont été découverts.

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« Alors que les explorateurs ont trouvé suffisamment de gaz naturel au cours des cinq dernières années pour transformer Israël en un pays exportateur, une découverte importante de pétrole va augmenter les richesses israéliennes. La troisième plus grande économie du Moyen-Orient dépense environ 10 milliards de dollars par an pour importer plus de 98% du pétrole qu’elle utilise. Ainsi, utiliser ce pétrole de manière domestique augmenterait les recettes fiscales, stimulerait la balance commerciale et réduira la vulnérabilité aux perturbations de l’approvisionnement », note » Bloomberg.

« L’impact économique sur Israël serait beaucoup plus élevé que celui du gaz naturel, » explique le grand quotidien économique. « Trouver du pétrole rapporterait bien plus d’argent pour Israël et pour le gouvernement. »

Leviathan est détenu par Noble Energy Inc, Delek Group Ltd. et Ratio Oil Exploration. Woodside Petroleum Ltd devrait acquérir 30% du Léviathan. Noble Energy va commencer le forage du puits aux couches de pétrole dès la fin de 2013, quand un nouveau navire de forage sera délivré par la Corée du Sud. La société évalue ses chances de succès à 25%. «Nous croyons qu’il y a un potentiel pour trouver des ressources pétrolières significatives dans cebassin», a déclaré Noble Energy.

Bloomberg ajoute que « la clé pour trouver des gisements énergétiques extracôtières d’Israël a été la technologie – développée dans des endroits comme la côte américaine du golfe du Mexique et au Brésil. Grâce aux progrès de la technologie de forage, des sociétés israéliennes et leurs partenaires internationaux peuvent désormais atteindre de plus grandes profondeurs qui permettront l’exploration pétrolière à des niveaux géologiques plus bas que jamais auparavant. »

Par Dan Birenbaum – JSSNews

Juifs de France: le grand départ ! 40% en plus de juifs émigrent vers Israël

Limmigration en Israël par des Juifs français est en forte hausse, selon les données publiées par l’Agence Juive. L’Agence juive s’attend à ce que près de 2.500 Juifs français s’installent définitivement en Israël en 2013, soit une augmentation de 40% par rapport à 2012.

Rien que dans les deux semaines à venir, près de 800 juifs quitteront le navire France pour l’Etat Juif.

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Le nombre de jeunes juifs français qui viennent passer au moins 9 mois en Israël est également en forte augmentation. Ces programmes d’études ou de stages en Israël permettent aux jeunes de découvrir la culture et la vie locale et ont pour but, à moyen termes, de permettre une émigration définitive.

Ainsi, quelque 1000 Juifs français vont participer à des programmes d’études ou de bénévolats organisé par Massa, comparativement à 700 l’an dernier. De nombreux participants français Massa finissent par immigrer en Israël après la fin de leurs programmes.

«Nous sommes au début d’une augmentation significative de l’immigration depuis la France, qui découle de l’investissement majeur de l’Agence Juive », a déclaré le président de l’Agence Juive Natan Sharansky. «Au cours des trois dernières années, nous avons investi pour amener les jeunes Juifs français dans des programmes à long terme en Israël, leur permettant de découvrir la vie dans le pays d’une manière pratique Maintenant nous voyons les résultats, avec de nombreux diplômés qui décident d’immigrer en Israël à la suite de leurs expériences ».

Il faut dire qu’après l’explosion du nombre d’actes antisémites, mais aussi de propositions de lois comme celle interdisant l’abattage rituel en France, les Juifs n’ont plus de quoi dire que la France leur permet d’être eux-même. A leur désespoir, et malgré tout l’amour qu’ils portent pour ce grand pays, la France n’est plus un pays où les Juifs peuvent imaginer leur futur.

Par Elyes Kahn – JSSNews

Comment Jérusalem est devenue « Sainte » pour les musulmans…

Israël et les Palestiniens [sic] sont une fois de plus en train de négocier leur future relation. Une des questions les plus difficiles auxquelles ils sont confrontés est le statut de Jérusalem.

Le 22 Septembre 2010, la Secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a félicité le roi saoudien Abdallah à l’occasion de la fête nationale de son pays. Elle a réservé une louange spéciale pour le soutien d’Abdullah de l’Initiative de paix arabe (API), qui appelle à un retrait israélien de tous les territoires acquis en 1967 et parlait de Jérusalem-Est comme capitale d’un Etat palestinien. Elle a suggéré que ce plan servira de base philosophique pour les pourparlers à venir. « Alors que nous continuons de travailler pour soutenir les négociations directes entre Israéliens et Palestiniens, les principes énoncés dans l’Initiative de paix arabe sont plus importants que jamais», a écrit Mme Clinton.

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Juifs et chrétiens savent que la revendication d’Israël à Jérusalem est ancrée dans le lien historique juif  avec cette ville. La déclaration d’indépendance d’Israël parle à la fois de « droit naturel et historique. » Jérusalem est la pièce maîtresse de ce droit historique.

Qu’en est-il de la revendication musulmane?

Pour les musulmans, on pense que Jérusalem est sacré pour deux raisons: d’abord, les musulmans se sont vus ordonné de se tourner vers Jérusalem pour prier, mais quand les Juifs ont refusé de se convertir à l’Islam, Muhammad a changé la direction de la prière vers la Mecque. Deuxièmement, les musulmans croient que Mahomet est monté au ciel au niveau du « Rocher », qui bien plus tard après sa mort, a été interprété comme signifiant « le Mont du Temple de Jérusalem. »

Fait intéressant, les sources islamiques des 50 premières années environ après la mort de Mahomet parlent clairement de Jérusalem comme une ville qui n’avait absolument aucun statut sacré pour les musulmans.

Quelques siècles plus tard, Ibn Taymiy’ya (1263-1328), un dignitaire musulman important avec une connaissance encyclopédique du Coran et du Hadith, a beaucoup écrit sur Jérusalem, et du fait qu’il y avait seulement deux villes saintes de l’islam – La Mecque et Médine. Il est finalement devenu le parrain intellectuel du wahhabisme, la doctrine islamique dominante du gouvernement saoudien. Il a affirmé que les musulmans doivent se débarrasser de toutes les innovations non-musulmanes et revenir au début de l’Islam de Muhammad et aux quatre premiers califes. Les dirigeants de l’époque d’Ibn Taymiy’ya voyaient en lui une menace et l’ont emprisonné. Même ainsi, il ne se rétractait pas.

Ibn Taymiy’ya s’est donné beaucoup de peine pour expliquer que la vénération de Jérusalem n’était rien de plus que la «judaïsation» de l’islam. Il a écrit que, après le deuxième calife Omar ait conquis Jérusalem en 637, lui et son assistant Ka’b al-Ahar (un juif converti à l’islam), sont allés jusqu’à voir le Mont du Temple. Omar demanda à son assistant: «Où voulez-vous que je construise un lieu de prière pour les musulmans? » Ka’b répondit: «Créer le derrière (au nord de) le rocher. » En colère, Omar dit a Ka’b: « Oh toi, fils d’un Juif, c’est ta judéité qui domine ton point de vue? » Omar accusait Ka’b de judaïsation de l’Islam en disant qu’ils voulait construire un lieu de prière au nord du Rocher où le Temple juif avait été construit. S’ils l’avaient fait, ils se seraient prosterné à la fois vers le Rocher et vers la Mecque. C’est pourquoi Omar a décidé de construire ce lieu pour prier sur la partie sud du Mont du Temple – l’endroit aujourd’hui connu comme la Mosquée Al Aqsa. Le choix de l’emplacement d’Omar signifiait que les Musulmans se prosternèrent seulement vers La Mecque et que leur dos (extrémités avant et arrière) sont tournés vers le Rocher.

Ibn Taymiy’ya se demandait comment un religieux musulman aurait pu accepter les tentatives de Ka’b d’intégrer les traditions juives dans l’Islam, parce que Ka’b n’a cité aucun des compagnons de Mahomet comme source de ses affirmations.

Ibn Ka’b Taymiy’ya l’a également accusé de fabriquer des traditions musulmanes et d’y intégré des écrits juifs, c’est à dire, la Bible, le Talmud (etc..) dans l’islam. Ibn Taymiy’ya a même admis que la direction initiale de prière était Jérusalem, mais il a souligné que Mahomet et les musulmans ont abandonné cette tradition afin de se différencier des Juifs.

Plus tard, Ibn Taymiy’ya écrit à propos des premiers califes et a montré que quand ils ont régné sur la Syrie, le Liban, la Jordanie et l’Israël d’aujourd’hui, ni eux, ni aucun des premiers gouverneurs ni leur clercs n’ont fait la moindre tentative de construire une structure sur le rocher sur le Mont du Temple. Cela démontre, selon Ibn Taymiy’ya, qu’ils n’attachaient pas d’importance à cela. Et comme c’était les premiers dirigeants et compagnons de Mahomet, qu’ils connaissaient ses opinions et sa religion mieux que les générations futures de musulmans, aucun savant, plus tard, ne pourrait être en désaccord avec eux, ni avec les traditions qu’ils ont observé. Ils n’auraient clairement pas attaché la moindre importance islamique à la mosquée d’Al Aqsa.

Afin de renforcer son argument contre la sainteté de Jérusalem, Ibn Taymiy’ya a écrit que pendant la nuit du voyage de Mahomet dans le ciel de Jérusalem, il n’y a aucune mention du Rocher (Temple) dans l’histoire. Par conséquent, depuis que le Rocher n’est même pas mentionné, il n’a aucune importance dans la tradition islamique.

Nous voyons donc que, selon le parrain intellectuel des Saoudiens, la Mosquée Al Aqsa et le Mont du Temple n’ont absolument aucune signification religieuse islamique. Comme il s’est avéré, ce ne sont rien de plus que les traditions juives qui ont pénétré l’Islam, et que ces innovations non-musulmanes, doit être radiées de l’Islam.

Alors, comment Jérusalem est-il devenu Saint dans l’Islam ? Dans les années 680, une guerre civile a éclaté parmi les musulmans. Le calife qui régnait sur Damas voulait créer une révolte contre les gens qui contrôlaient la Mecque, le lieu de pèlerinage. Afin de les affaiblir, il a décidé de construire un site de contre-pèlerinage pour éviter que les ouailles partent en Arabie prendre fait et cause pour les rebelles. Il a donc choisi de construire un dôme au-dessus du Rocher de Jérusalem et à encouragé les gens à faire des pèlerinages là-bas, au lieu de la Mecque. [Tout comme le roi Jéroboam, quand il a commencé à régner sur le royaume du nord d'Israël (1 Rois 12,26 à 32-ed)] C’est alors que Jérusalem est devenue sainte pour l’Islam. Donc, en substance, la sainteté de Jérusalem aux musulmans découle d’une révolte locale qui a eu lieu plus de 50 ans après la création de l’Islam.

Selon le saoudien Ibn Taymiy’ya, ceux qui sont en désaccord avec sa philosophie le font à leurs risques et périls. Aujourd’hui, Ibn Taymiy’ya, un pieux musulman doit se retourner dans sa tombe.

Par Nisso Amzar – JSSNews

Israël « occupe » t-il les territoires ? La réponse par l’exemple irakien…

Quand une force armée détient territoire au-delà de ses propres frontières nationales, le terme «occupation» vient immédiatement à l’esprit. Cependant, toutes les situations aux quelles nous pensons quand nous parlons « d’occupation » ne tombent pas dans le cadre juridique du terme «occupation» tel que défini par le droit international. Le mot « occupation » est soumis au régime juridique international qui réglemente la chose et impose des obligations à l’occupant.

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Le terme «occupation» est souvent utilisé politiquement, sans égard envers son sens général ou juridique. L’utilisation de ce terme dans la rhétorique politique réduit des situations complexes de revendications territoriales en objet de « bonheur » ou de « malheur. » Le terme «occupation» est également employé dans le contexte du conflit israélo-palestinien [sic]. Une partie en conflit avance l’argument selon lequel Israël porte la responsabilité ultime du bien-être des Palestiniens, tout en limitant ou refusant le droit d’Israël à se défendre contre le terrorisme palestinien ; le tout en se soulageant de la responsabilité de ses propres actes et conséquences. Le terme est également utilisé dans le cadre d’une bagarre générale sur la légitimité d’Israël, dans le contexte d’un récit géopolitique qui a peu à voir avec le statut d’Israël en tant qu’occupant en vertu du droit international.

L’Irak a été occupé par les forces de la coalition à partir du printemps de 2003 jusqu’au 28 Juin 2004, date à laquelle le gouvernement irakien a repris les clefs réelle du pouvoir. À ce moment, les forces de la coalition sont restés en Irak, mais l’Irak n’était plus occupé. Si la remise des pouvoirs à un gouvernement intérimaire nommé par la coalition a mis fin à l’occupation de l’Irak, pourquoi n’est-ce pas vrai pour l’Autorité Palestinienne et Israël ?

En vertu de l’accord intérimaire entre Israël et l’Organisation de libération de la Palestine du 28 Septembre 1995, il semblerait qu’au moins les zones placées sous le contrôle effectif de l’Autorité palestinienne, et à partir de des quelles Israël a effectivement retiré ses forces militaires, ne peuvent plus être appelées «occupé» par Israël. Par ailleurs, depuis que la présence continue des troupes israéliennes dans la région a été adoptée, et régie par l’Accord entre les deux parties, cette présence ne doit plus être considérée comme une occupation.

Le retrait de tout le personnel militaire israélien et de toute présence civile israélienne dans la bande de Gaza, et l’éviction ultérieure de l’Autorité palestinienne et la prise de contrôle de la région par le gouvernement du Hamas, constitue aussi la fin de l’occupation claire israélienne de Gaza. Néanmoins, même si Gaza n’est plus sous l’autorité d’une armée hostile, et malgré l’absence de contrôle effectif nécessaire pour fournir les services publics nécessaires d’une puissance occupante, il est néanmoins soutenu que Israël demeure la puissance occupante à Gaza.

Une fois de plus, tout est lié à la méconnaissance internationale et à l’envie des Nations de nuire à l’Etat Juif.

Par Amos Lerah – JSSNews

 

Londres vend des armes à la Syrie (Le Figaro.fr)

Des rebelles syriens dans la province d'Idlib, au nord du pays.

Des rebelles syriens dans la province d'Idlib, au nord du pays. Crédits photo : ABDALGHNE KAROOF/REUTERS

Selon un rapport parlementaire, le Royaume-Uni a autorisé des exportations de matériel militaire à plusieurs pays sensibles dont l'Iran, la Syrie et la Chine.

 
 
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Correspondant à Londres

Alors que David Cameron vient d'abandonner sa proposition d'armer les rebelles syriens, le Royaume-Uni a-t-il livré des composants permettant de fabriquer des armes chimiques au régime de Bachar el-Assad? Un rapport parlementaire révèle l'exportation par le pays de 12,3 milliards de livres (14 milliards d'euros) d'armement à 25 nations figurant sur sa propre liste de régimes sensibles.

Selon le comité de contrôle des exportations d'armes de la Chambre des communes, du fluorure de sodium, qui peut servir à la fabrication d'armes chimiques, a été exporté vers la Syrie ces deux dernières années. Des véhicules tout-terrain et des pièces de sonars ont également été vendus à Damas. Londres vient par ailleurs d'annoncer l'envoi de tenues de protection contre les armes chimiques aux insurgés syriens. Le gouvernement assure qu'aucun équipement «de nature à être utilisé pour faciliter la répression interne», «provoquer ou prolonger des conflits régionaux ou internationaux» n'est concerné. Mais la logique commerciale semble l'emporter sur les droits de l'homme: sur les 27 régimes à caractère sensible désignés par le Foreign Office, seuls la Corée du Nord et le Soudan Sud n'ont pas de contrat d'armement avec la Grande-Bretagne.

Fusils d'assaut au Sri Lanka

Plus de 3000 licences d'exportations de «produits stratégiques sous contrôle», qui peuvent avoir un double usage civil ou militaire, ont été signées ou renouvelées. L'Iran a bénéficié de 62 contrats, essentiellement pour du matériel cryptographique. La Russie reçoit du matériel biotechnologique, des fusils, des systèmes d'armes guidés par laser et des drones. La Chine a acheté pour 1,4 milliard de livres d'équipements, alors qu'il existe un embargo européen sur les livraisons d'armes à Pékin. Des fusils d'assaut ont été exportés au Sri Lanka, malgré les rapports sur la répression. Israël représente plus de la moitié des montants vendus à l'étranger.

Président de la commission parlementaire, l'ancien ministre de la Défense, John Stanley, s'est dit «stupéfait» par cette «somme gigantesque» - il a d'abord cru que «quelqu'un avait ajouté des zéros»! Il demande au gouvernement des «clarifications» sur l'utilisation possible des produits autorisés à la vente par les fournisseurs britanniques dans certains régimes douteux. «Le gouvernement doit reconnaître le conflit inhérent entre la promotion soutenue des exportations d'armes à des régimes autoritaires tout en critiquant en même temps leur non-respect des droits de l'homme», souligne le député

 

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